Resident Evil 9
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[FIC] The Grudge [Terminé]

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Message  Adrien Normikwawal Lun 2 Mar - 1:30

Matinée Ordinaire

L'histoire que je m'apprête à vous raconter est vrais, même si cela peut vous sembler invraisemblable, tout ce que je vais vous dire m'est vraiment arrivé.

18 Juillet 2010

Ce jour commençait pourtant bien, j'avais fais la grasse mat et je m'étais réveillé à 11 heures 30 du matin, voila.
J'étais en vacance à Tokyo, au Japon, avec 2 collègues.
Gill Maronier et Bernard Fuiseur, surement mes meilleurs amis au sein de la Police.
Quand à Anne-Marie, elle était resté à Strasbourg, chez nous car elle était enceinte de 7 mois, je préférerais de pas la faire bouger.
A ce moment là, je me doutais bien que je lui manqué et elle aussi me manquais, heureusement on allait rentré dans l'après midi en France chez nous.
Mais d'abord mes deux amis farceurs avaient prévus de me faire visiter une maison hantée qu'ils disaient.
Si seulement j'avais su...
Donc à peine réveillé ils m’éjectèrent du lit pour me parler.

Gill : Hé Adrien, t'es près pour les sensations fortes !?

Adrien : Ouais, votre histoire de maison hantée.

Bernard : Rhooo allez tu vas adorer.

Adrien : On est autorisé à y aller ?

Bernard : Pas vraiment, mais bon c'est pas grave, on fera juste un petit tour.

Adrien : Bon et c'est quoi son histoire à la maison hantée ?

Gill : Il y a quelques années vivait ici la famille Saeki, un jour le mari Takeo a fouiné dans le journal intime de sa femme Kayako et il a appris qu'elle entretenait une liaison avec un bel américain. Fous de rage il l'a tué en lui brisant la nuque. Puis il a noyé leur gamin, Toshio, et leur chat avant de se pendre à l'étage.

Adrien : Et depuis leur fantômes hantent la baraque c'est ça ?

Gill : D'après la culture nipon, lorsque quelqu'un meurt en proie à un sentiment de rage ou de tristesse intense, le lieu de sa mort est frappé d'une malédiction, la personne morte ainsi devenant un fantôme vengeur qui s'attaque à toutes les autres personnes qui y pénètrent.

Adrien : Et des gens ont été frappés par cette malédiction.

Gill : On raconte que les personnes qui sont entrés dans cette maison depuis sont sont soit mortes dans des circonstances mystérieuses, ou ont disparu sans laissé de trace.

Adrien : Vous avez inventé ça de toute pièce ou quoi ?

Bernard : Bah toi qui est septique, viens avec nous, on verra bien ce qu’on y trouve.

Adrien : Je sens surtout que ce sera une perte de temps.

Bernard : Arrête de faire la tronche, bon habille toi, on t'attend dehors.

Et les deux reloues s'en allèrent, me laissant un temps tranquille pour pouvoir en profité pour m'habiller.
Je me préparais sans le savoir au début d'un long et douloureux calvaire.
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Message  Adrien Normikwawal Sam 7 Mar - 19:24

La Maison

On marcha à travers une bonne partie de cette grande et incroyable ville qu'était Tokyo.
Ces japonais avaient du goûts quand me^me et ce qui m'impressionnais c'étaient les passages piétons, la foule de piétons traversant et les chauffeurs qui conduisaient bien.
Ils étaient civilisés, bon j'irais pas dire que c'est le meilleur pays du monde, non si on prend par exemple en terme de gouvernement, je préfère celui de la Norvège ou de la Suède par exemple, j'y suis déjà allé, c'était sympa aussi.
Ces scandinaves, ils sont sympas aussi.
Bref je me perds moi dans mes explications.
On arrivait devant la maison (Photo) après avoir passés par des petites ruelles, le temps devint plus nuageux et franchement dés le premier coup d’œil, je sentais déjà que cette maison puait beaucoup.
J'ai regardé beaucoup de films étant jeunes, même ceux Japonais, donc contrairement à ce que tout le monde crois sur moi, je ne suis pas sceptique, oh non justement j'y crois tellement que je sais que c'est une mauvaise idée de faire chier des Fantômes Vengeurs.
Et des fois je préfère tout simplement évitant de passé à al dure réalité, je vous dis déjà ça pour que vous comprendrez mon déni plus loin dans mon roman.
Quand à Gill et Bernard, eux ils étaient plutôt du genre farceur et eux les trucs de Fantôme, c'était marrant de jouer avec, ils en rajoutèrent donc encore une couche.

Gill : Je sens cette maison m'appeler.

Bernard : Ouh !!!!

Adrien : Les gars, je n'entrerais pas la dedans.

Gill : Oh tu es une vrais flipette.

Adrien : Allez y si ça vous amuse, je reste ici pour être sur que la police ne vient pas.

Bernard : OK, on revient tout de suite.

Et mes 2 amis passèrent le portail puis ils entrèrent en rigolant dans la baraque qui semblait les avaler tout cru.
Moi, je restai là comme un con à attendre, à regarder les fenêtres de cette maison qui me foutait les chocottes.
Je ne sais pas comment mais je sentais que quelque chose clochait avec cette piaule.
Une sorte de sensibilité, je ne sais pas, mais après vérification ultérieur, je me suis rendu compte que j'étais pas le seul à avoir eu cette impression.
Plusieurs passants évitaient d'ailleurs la Maison Saeki pour cette raison.
Et pourtant ils n'étaient pas "maudits"...
En tout Dupond et Dupont ne revenaient pas et moi je m'inquiétais pour eux.
Dans quel merdier me suis je encore fourré ?
J'entrais à mon tour dans la cour avec un trac fous puis j'ouvris la port et j'entrais sans m'en rendre compte en Enfer.
A peine arrivé dans le petit que je me sentais déjà oppressé et j'avais vraiment envie de quitter ce lieu, mais je ne pouvais pas, pas envie d'avoir retrouvé mes amis.
Je vais maintenant vous faire le plan de la maison.
A ma gauche se trouvait l'escalier en U montant au premier étage où se trouvaient les chambres et l'accès au grenier.
Devant moi se trouvait le couloir menant à la buanderie, salle de bain et cuisine.
Puis à droite du couloir se trouvait le salon avec les murs en papiers styles japonais plus la salle de séjour donnant sur le jardin.
En tant normal j'aurais trouvé ces décors magnifiques mais pas là, non désoler.
J'entendis alors un miaulement et je vis un chat noir venir d'en haut et descendre les escaliers pour aller se frotter à mes pieds.

Adrien : Hé mon petit, qu'est ce que tu fais là ? C'est pas un endroit pour animal comme toi.

Je me sentis alors observé, je regardais en haut et vis quelqu'un m'observait à travers les barreaux du premier.
C'était un petit garçon genre de 8 ans qui me regardait assit tranquillement.

Adrien : Hé petit, tu devrais quitter cette endroit. Tu risque des ennuis s'y tu reste là.

Il ne m’écouta pas et resta à sa place, je soupirais.

Adrien : Dis moi, tu n'aurais pas vus deux hommes entrer avant moi, c'est mes amis. Tu ne saurais pas où ils sont passés ?

Je le vis se lever et s'en aller hors de ma vu. Je m'inquiétais pour se garçon et je me demandais à qui il appartenait.
Je commençais alors à monter pour le rejoindre.
Arrivé dans le couloir, je ne le vis pas.
Alors je m'aventurais un peu plus loin, j'ouvris la première porte à droite, rien qu'une salle de travail.
La porte de gauche me menait à la chambre à coucher, rien d'utile.
Il me restait la porte tout au fond.
Je l'ouvris pour me retrouver dans une petite pièce, de jeu je dirais avec un placard qui donnait enfaîte sur le grenier.
La pièce était assez sombre, ce qui donnait un petit coté pesant.
J'entendis alors des craquements de pas venir d'en haut, je me disais que ça devait être les deux autres qui faisaient les cons dans le grenier.
Mais ça pouvait être aussi le gamin vu précédemment, il n'y avait qu'un seul moyen de la savoir.
J'ouvris la porte du placard pour entrer dedans puis je regardais en haut il y avait la trappe menant au grenier, je l'ouvris à son tour.
Puis à peine la tête passé que je vis Bernard me faire "Bouh !", je le frappa alors par reflex sans faire exprès mais il l'avait mérité.
Gill était avec lui.

Bernard : Putain mon nez !

Adrien : Putain les gars, arrêtez un peu de faire les cons, je m'étais inquiété pour vous !

Gill : RHOOO, si on ne peu même plus rigoler.

Adrien : Allez maintenant on sort d'ici.

Mais c'est alors que la porte se referma et elle était bloqué, elle refusait de s'ouvrir.

Adrien : Mais allez ouvre toi !

Gill : Hé, vous entendez ça ?

On vit une ombre humaine se faufiler, on aurait dit celle du gamin que j'avais vu, elle se transforma en ombre de chat et un miaulement très aigu se fit entendre.
La porte s'ouvrit enfin et on put sortir, seulement pour se retrouver face à face avec deux agents de police, qui ne semblaient pas content de notre présence ici.
On allait passer un sale quart d'heure.
Mais au moins on avait pu partir de cette maison et c'était pas plus mal.
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Message  Adrien Normikwawal Dim 8 Mar - 17:13

Les Conseils de Kanagawa

Bon on était à un poste de police de Tokyo pour se faire interroger mais sinon à par ça, ça pouvait aller mieux.
Gill et Bernard y étaient passés.
C'était à mon tour, j'entrai dans la salle où m'attendait l’Inspecteur Kanagawa qui savait bien parlé français.
Il me demanda de m'asseoir puis prit la parole avec un ton très calme.

Kanagawa : Alors, pouvez vous me dire ce que vous faisiez tous les 3 dans la Maison Saeki en ce début d'après midi ?

Adrien : Mes amis voulaient à tout pris visiter cette demeure réputait hantée mais bon il n'y a pas eut mort d'homme, en plus personne n'habite ici.

Kanagawa : En effet les derniers habitants, la famille Williams avait été retrouvée morte il y a deux mois dans le grenier, nous n'avons pu jamais trouvé le coupable. Mais il n'empêche que vous n'étiez pas autorisés à être là-bas.

Adrien : Je ne voulais pas moi à la base y aller mais comme mes amis ne revenaient pas, je suis allé les chercher et j'ai...

Kanagawa : Racontez moi tout.

Adrien : J'ai croisé un mystérieux chat noir et un gamin qui s'est enfuit au premier étage en ma présence.

Kanagawa : Nous n’avons trouvé aucun chat noir et aucun enfant là-bas.

Adrien : Eu.... Et puis j'ai trouvé Bernard et Gill dans le grenier mais là-bas....

Kanagawa : Je sais ils m'ont tous dis, fantôme, miaulement de chat, prote que se bloque.

Adrien : Cette maison n'est pas normale, j'ai l'impression que ce ne sont pas que des rumeurs.

Je vis alors l'inspecteur regarder au alentour puis couper le micro.

Kanagawa : Retrouvez moi sur le toit, j'ai à vous parler.

Puis il remit le micro.

Kanagawa : Enfin bon vous pouvez y aller, vos amis vous attendent dehors. Au revoir.

Il se leva de sa chaise et me fit signe de la suivre, ce que je fis après avoir quitter la pièce à mon tour.
Une fois sur le toit. Le policier japonais d'une cinquantaine d'années sortit un paquet de cigarette et s'en grilla une avant de prendre la parole.

Kanagawa : Vous êtes au courant de l'histoire des Saeki ?

Adrien : Ouais, c'est horrible ce qui s'est passé.

Kanagawa : Je sais, des amis ont travaillé sur ce qui s'est passé dans cette maison pour comment ce mari, si calme, à put péter un capable et tous les tuer.

Adrien : Et vos amis ont conclu quoi ?

Kanagawa : Ils sont morts.

Adrien : La malédiction, les fantômes vengeurs. Vous y croyez donc ?

Kanagawa : Bien sur, comment ne pourrais je pas y croire après avoir vus tous ceux que connaissaient et qui ont tentés d'enquêter dans cette maison et qui sont morts de causes étranges.

Adrien : Comme quoi ?

Kanagawa : Mort noyé dans son lavabo par exemple.

Adrien : Ah ouais merde, désoler pour vos amis.

Kanagawa : Ce n'est pas votre faut, mais maintenant que vous êtes entré dans cette maison et vous avez dérangé esprits qui s'y trouvés. Vous êtes maudits et vous allez malheureusement vous aussi y passer.

Adrien : Y a t-il un moyen d'empêcher cela ?

Kanagawa : N'y pensez pas, peut être que ça marchera et qu'ils vous laisseront en paix. De toute façon vous êtes condamner alors autans essayer.

Adrien : D'accord merci pour le conseil.

Kanagawa : De rien, je ne peux rien faire d'autre pour vous.

Et je m'en allais, le laissant seul pour aller rejoindre les autres et nous rendre ensuite à l'aéroport.
Et je suivis sont conseil, à deux balles, d'oublier tout ça et de vivre ma vie normalement.
Je vous laisse deviner à quel point ça aura vachement marché.
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Message  Adrien Normikwawal Dim 8 Mar - 17:45

Le Courroux de Takeo.

On était tous dans l'avion en route pour Strasbourg, on avait fait une bonne partie du trajet et j'avais hâte de retrouver ma femme.
Gill était à mes cotés et le pauvre Bernard était derrière nous, à coté d'une vieille dame qui était entrain de lui raconter ce qu'elle faisait en 1955.

J'en pouvais plus, cette grand mère n'arrêtait pas raconter sa vie et je ne l'allais pas l'envoyer chier sèchement.
Elle me regarda avec ses petites lunettes en articulant bine comme si elle parlait à un enfant.
Et en faisait des gestuelles avec ses mains pour accentuer son récit.

Vieille Dame : Et puis là il y a Marichaux qui arrive me demande l'heure, oh qu'il était perspicace ce Marichaux, enfin bref, il était charmant et bel homme, ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh !!!! C'était marrant....

Je fermais les yeux et posa pas tête contre la paroi à ma droite pour me reposer.
Elle était tellement prise dans son discours qu'elle ne semblait pas avoir remarqué que je m'étais reposé.
J'entendis alors un drôle de gémissement comme si quelqu'un qu'on avait enlevé la tranchée tentait de crier. (Vidéo)
Je sentis alors quelque chose toucher ma main gauche, j'ouvris les yeux et regarda pour voir de longs cheveux noirs me la toucher.
Je remarquais à cette instant que n'était plus la vieille dame à mes cotés.
Je vis au jeune femme très pale qui possédait ses cheveux et qui me regarda avec de drôles de yeux et qui ouvrit la bouche pour faire le bruit que j'ai entendu juste avant.
Avant de me sauter au visage.
Je me réveillais en sursaut, et tout était redevenu normal.
J'entendis alors mes comparses devant parler tranquillement.

Gill : Sacha Briquet est mort hier, ça fait bizarre, c'était un acteur qui j'aimais bien.

Adrien : Faut penser à changer nos montres, là il est 17 heures au Japon mais 10 heures chez nous en France.

La vieille aussi allait bien, elle devait avoir perdu beaucoup de salive à parler.
En tout cas moi il me fallait que me passe un peu d'eau fraîche pour ma calmer, ce putain de cauchemar m'avait grave fait flipper.
Je m'adressais alors à ma voisine.

Bernard : Excusez moi, je dois aller aux toilettes.

Vieille Dame : Ça ne fait rien, je finirais mon histoire à votre retour.

Je me levais alors de ma chaise et je me poussais jusqu'à arriver dans la rangée.
Je me rendis ensuite aux toilettes sans regarder les passagers et une fois aux chiottes, je refermais la porte derrière moi en fermant le verrou.
Je me rendis après au lavabo et posa mes deux mains dessus puis je me regardais dans le miroir.
J'entendis alors quelqu'un toquer, je lui répondis.

Bernard : C'est occupé.

Mec : Grouille, j'ai envie de pisser !

J'appuyais sur le bouton pour faire sortir l'eau du robinet je trempais mes mains dedans avant de m'en foutre sur le visage.
Ça me fit du bien un peu de frais en cet été caniculaire.
Mais soudainement, en reportant mon attention sur le miroir, je vis un hommes juste derrière moi.
Je ne le savais pas mais c'était Takeo, celui qui avait commit le carnage dans la maison.
Il me chopa par le cou avec une puissance enragée et m’entraîna vers les WC.
Il souleva la cuvette et plongea ma tête dans l'eau dégueulasse des waters.
Je ne pouvais malheureusement rien faire, sa force était trop grande, il réussit finalement à me noyer dedans comme il avait noyé son fils.
Il disparu ensuite comme si il n'avait jamais été là et une voix retentit à l'extérieur.

Mec : Et voila ! J'ai fais dans mon froc, merci bâtard !

J'étais mort mais je n'étais que le premier d'une série de décès que j’espérais ne pas être trop grande.
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Message  Adrien Normikwawal Jeu 11 Juin - 18:39

Étrange Disparition

Moi et Gill, nous étions de retour à notre lieu de travail, l'Hotel de Police de Strasbourg situé au Neudorf.
Mais là ce n'était pas pour travailler, oh non.
Il était 13H30 et nous étions dans le bureau du Capitaine Richmond, il dirigeait ce bâtiment et il était en compagnie de Commissaire Divisionnaire de la Police Nationale de la ville, Mr Skarzon.
Vous sentez donc qu'on était pas là pour rigoler.
Ils nous regardèrent avec un air très sérieux et Gill était méga stressé.
Moi ça allait, je gardais mon calme malgré la situation.
Le Capitaine qui avait finit de lire des papiers nous fit un résumer un voix haute.

Richmond : Je résume, d'après les derniers témoignages, Bernard Fuiseur serait allé aux toilettes et d'après la dernière personne à avoir parlé avec lui, il y aurait eu des bruits de luttes. Bon ça ne l'avait pas choqué aux premiers abords, c'est qu'après la signalisation de la disparition que ça lui est venu à l'esprit. Le gros problème qui se pose à nous. Où est passé Bernard, les hôtesses ont été obligé de forcer la porte car le verrou était enclenché, mais à l'intérieur, personne. Pourtant il n'aurait pas pu sortir, c'est ça le hic. Vous étiez avec lui sur ce voyage, avez vous une idée de ce qui s'est passé ?

Moi : Non capitaine aucune idée.

Gill : Vous présumez que ce serait surnaturel ?

Richmond : Peut être.

Skarzon : U.N.I.T. nous laisse trois jours pour prouver que ce n'est pas le cas, après ils prendront la relève.

Richmond : Mais pour le moment, aucun indice. Nous avons trouvé ses empruntes dans les toilettes mais rien d'autres.

Moi : Vous voulez qu'on reprenne l'affaire ?

Richmond : Non, vous avez déjà fait assez pour aujourd'hui, je ne suis pas horrible, je vais vous laisser faire votre deuil correctement mais demain vous reprenez votre boulot.

Moi : Qui s'occupe du cas alors ?

Richmond : L'agent Bigballs.

Skarzon : Bien, vous pouvez disposer.

Je me levais et Gill fit de même puis quittions ce bureau pour nous promener dans les couloirs du premier étage qui étaient bondés de mondes.
Evidemment mon ami qui était du genre parano vint de coller à moi pour me parler de ce que vous savez.

Gill : Pourquoi tu ne lui a pas dit à propos de la Maison Hantée ?

Moi : Ça donnerait raison à UNIT.

Gill : Mais tu crois que c'est ça à cause de ça que Bernard à disparu ?

Moi : Si c'est ça, c'est pas en devenant super parano que tu vas les empêcher de t'atteindre.

Gill : Mais il faut faire quelque chose.

Moi : Dis toi que Bernard n'était qu'un signe d'avertissement et qu'il ne nous embêterons plus, avec un peu de chance il n'est pas mort et on le reverra.

Gill : Mais...

Moi : Je te laisse, je dois voir Bigballs.

Je laissais alors Gill en plomb pour aller vers le bureau de mon meilleur ami Adam Bigballs qui discutait avec un nouveau que j'aimais bien, Miguel Adriani, quand ils me virent arriver, ils firent une mine plus triste.

Adam : Désoler pour Bernard, Adrien, c'était un chouette gars.

Moi : C'est sur... T'es en charge du dossier en plus.

Adam : Ouais, là j'allais demander à Jean Michael et Muller de s'occuper de fouiller l'avion pour trouver des indices. Tiens d'ailleurs les voila... Hé les gars vous pouvez vous occuper de l'avion pour trouver des indices !?

Muller : Ouais bien sur.

Jean Michael : Tu sais Bigballs que c'est pas dernière enquête ,après je passe chez les Stups.

Adam : Ouais, tu vas garder la drogue pour toi mon vieux, ah ah ah.

Miguel : Adrien, tu veux que je te raccompagne chez toi ?

Moi : Non c'est bon, à demain les gars.

Et je les saluais de la main puis je partis vers la sortie, descendant les escaliers puis sur le chemin de la sortie, je croisais Alex Terrieur et son équipe du GIPN.

Alex : Hé Franck et Anna, sortez le fourgon.

Les Deux : Oui Commandant !

Moi : Vous partez en intervention ?

Alex : Ouais, on a trouvé le repaire de gros trafiquants, ça va donner du lourd.

Moi : Hé bien bonne chance.

Alex : Merci, et désoler pour ce qui est arrivé à Bernard.

Et ils partirent, quand à moi je rejoignais mon véhicule pour retourner la maison.
j'avais prévu de regarder la TV en attendant que ma femme rentrer de son travail.
Elle allait très bientôt être en congé maternité.
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Message  Adrien Normikwawal Ven 12 Juin - 12:09

La Belle Anne-Marie

J'étais assis sur mon canapé, les pieds posés sur la table basse, la Manette de Playstation 3 dans la main entrain de jouer à BioShock 2, un jeu qui était fraîchement sorti à cette époque.
Là j'avançais tranquillement dans la ville de Rapture avec mon personnage.
C'est alors qu'un Chrôsome sorti de nul part me sauta dessus et commença à me frapper avec sa clé à molette.
Evidemment je sortis ma foreuse et la fit fonctionner et je l'empalais avec.
Il fit moins le malin après ça.

Moi : Ptain, elle est où la Petite Sœur ?

J'entendis alors le bruit des clés sur la porte d'entré.
Je fis pause à mon jeu et me levais.
Je vis la porte s'ouvrir et une sublime beauté entrer en mon salon.
Anne-Marie Duclaire de son nom de jeune fille, nous nous étions marié l'année dernière.
Elle avait 35 ans, 5 ans de moins que moi.
Une petite photo pour voir à quoi elle ressemble.
Je m'avançai vers elle pour la prendre dans mes bras mais pas trop fort.
Car oui je l'avais dis précédemment qu'elle était enceinte et elle avait déjà un ventre bien rond.
Elle me sourit et posa ses affaires sur la table.

Anne-Marie : Alors comment c'est passé ton voyage ?

Moi : Bien, jusqu'au retour.

Anne-Marie : Pourquoi, qu'est ce qui s'est passé ?

Moi : Bernard a disparu dans l'avion, personne ne sait où il est mais d'après des quelques indices, il serait mort.

Anne-Marie : Oh merde.... Tu as une idée de qui aurait pu faire ça ?

Moi : Non, mais Bigballs est sur le coup, il nous trouvera le coupable.

Anne-Marie : Enfin bon, il est déjà 19 heures, tu m'aide à faire la cuisine, j'ai besoin de faire sortir cette mauvaise nouvelle de ma tête.

Moi : D'accord, j'arrive.

Je l'as vis partir dans la cuisine.
Je m'approchais alors de la PS3 et je laissais mon doigt sur une partie de la console pour qu'elle s'éteigne.
L'écran de la TV devint donc noir mais à ce moment là je vis quelqu'un dans le reflet, on aurait dit Bernard.
Je me retournais pour me rendre compte que c'était juste le fruit de mon imagination.
Je partis donc aider ma moitié dans la cuisine.
On aimait bien faire la cuisine ensemble.
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Message  Adrien Normikwawal Ven 12 Juin - 12:29

Nuit de Folie

Gill Maronier était assit dans son fauteuil en cuir situé devant la grande TV du salon, avec son papier peint brun et le sol en bois.
Il habitait dans un appartement au 3ème étage d'un immeuble dans le quartier de l'Orangerie (Carte) où il vivait plutôt bien et le loyer était peu cher.
Enfin bon là il était 23 heures et il était assez tendu, donc il n'avait pas vraiment envie de dormir pour le moment.
Il se rongeait les ongles en pensant à ce qui allait lui arriver.
Il tapait aussi du pied sur le sol en le regardant d'un air pensif.
La faible lumière de la pièce donnait un ton glauque à l'endroit.
Il entendit alors du bruit derrière lui.
Et regarda en arrière et vit une ombre traverser le couloir plus loin et entrer dans la chambre, celle de Gill.
Ça lui fit très peur, il se leva tout doucement et contourna le fauteuil pour s’avancer vers le couloir
Il prit une statuette traînant sur une commode pour s'en servir d'arme au cas où.
Il se stoppa alors juste à la jonction entre le salon et le couloir pour réfléchir si c'était une bonne idée d'aller enquêter.
Un bruit le fit sortir de ses pensées, c'était la sonnette.
Quelqu'un sonnait à la porte.
Il souffla un peu et décida d'aller voir qui pouvait bien lui rendre visite à une heure aussi tardive de la nuit.
Une fois à la porte d'entrée, il enleva le loquet et ouvrit pour voir qu'il n'y avait personne.

Gill : Il y a quelqu'un ?

Il voulait refermé mais c'est alors que surgit des escaliers deux malotrus et l'un d'eux poussa la porte de force et s'approcha de Gill avec un sourire, ce qui était la seule chose qu'on pouvait voir car les deux personnes possédaient des cagoules.

Cambrioleur 1 : Coucou.

Il sortit alors son fusil à pompe à canon scié, un Mossberg 500 et foutu un coup de crosse à notre pauvre victime pour l’assommer.
Gill se réveilla quelques minutes plus tard dans sa chambre, ligoté à une chaise avec le mec qui l'avait assommé assit sur une autre entrain de le surveiller avec son fusil tandis que son collègue devait être entrain de fouiller les autres pièces pour voir ce qu'il y avait à choper.
Notre petit chaton apeuré tenta de se défaire de ses liens mais en vain.

Cambrioleur 1 : Cherche pas à les enlever, sinon tu te prend un coup de chevrotine dans les dents.

Cambrioleur 2 (Au loin) : Hé je le prend ou pas le tableau avec le chat qui encule un chien !?

Cambrioleur 1 : Ouais vas y ! Ça marche bien sur le marché noir ce genre de truc !

Il rigole avec un rire de gros mongole, ce qui irrita les tympans de Gillou.
Soudainement les lumières s’éteignirent, ce qui fit se lever d'un bon le garde et regarda partout avec son fusil à pompe.

Cambrioleur 1 : C'est pas normal ça.

Il vit alors un chat noir entrer dans la pièce et monter sur le lit et commencer à cracher sur le mec qui lui braquer la torche de son arme dessus.

Cambrioleur 1 : Qu'est ce qu'il a ton chat ?

Gill : C'est pas mon chat.

L'ombre du chat commença à grandir sur le mur pour devenir celui d'un garçon qui prit la fuite.
Un rire d'enfant se fit d'ailleurs entendre suivant un miaulement long et rauque et semblait de partout.
Soudain il sentit quelque chose lui toucher les jambes et vit justement un petit homme très pale et torse poil le regarder avec un regard noir et miauler avant de fuir vers la sortie.
La lampe de son pompe s'éteignit alors.

Cambrioleur 1 : Putain de merde, c'est quoi ça !?

Un craquement vint du parqué au niveau de la porte.
Prenant son courage à deux mains il tira en cette direction et entendit quelque chose tomber au sol.
Sa torche se ralluma et il vit le cadavre sans tête de son pote avec du sang qui coulait à flot et des morceaux de cervelles un peu partout.

Cambrioleur 1 : Merde merde merde merde ! MERDE !!!

Il se tira ensuite en courant laissant Gill là où il était et avec juste la faible lueur de la Lune qui traversait la fenêtre.
Se sentant un peu seul il tenta de bouger, mais c'est alors qu'il entendit le râle de Kayako.
Celle ci sortit en rampant de sous le lit et avec une vitesse fulgurante se retrouva sur le pauvre Gill, son visage près du sien à le regarder avec ses yeux de fantômes démoniaques.
Il prit peur et hurla de toute ses forces.
Ses cris se répandit dans tout l'immeuble et interrompit le silence de cette nuit glaciale d'été.
Le pire c'est que ce n'était que le début d'une terreur qui va s’étendre sur 3 jours.


Dernière édition par Adrien Normikwawal le Sam 13 Juin - 12:12, édité 4 fois
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Message  Lucy Dodgera Ven 12 Juin - 17:07

Un vrai film d'horreur^^
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Message  Gilbert Montagné Ven 12 Juin - 17:18

Ça tu l'as dis ^^
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Message  Adrien Normikwawal Sam 13 Juin - 12:10

La Méfiance du Capitaine

J'avais la tête posé posé contre mon siège entrain de regarder le toit quand finalement je coupai le contact et rangeais mes clés dans ma poche.
En effet je venais de me garer sur parking de mon lieu de travail, il était 7 heures et je devais bosser.
Mais sur le chemin le Capitaine m'avait appelé pour me dire qu'il voulait me voir et que Gill était là.
J'espérais juste qu'il ne lui avait rien dit à propos de la Maison Hantée.
Il faisait plutôt beau aujourd'hui, quelques éclaircis, c'est déjà pas mal.
J'ouvris la portière pour m'extirper et je l'a refermais derrière moi.
Je m'avançais de l'avant, regardais les collègues entrer et sortir du bâtiment, quand à moi je m'y glissai.
A l'accueil je tombai sur Bigballs qui discutait le Réceptionniste et une policière.
Il me vit arriver et leur faussa compagnie pour me voir.

Adam : L'enquête sur l'avion n'a rien donné, aucun indice. Là on s'occupe de l'appart de Gill.

Moi : pourquoi, qu'est ce qui s'est passé ?

Adam : Tu n'es pas au courant ? Bein le Capitaine va t'en parler, il veut te voir.

Moi : En tout cas bon courage pour la suite.

Je montais alors l'escalier jusqu'au premier et je traversais l'open-space pour arriver au couloir menant au bureau de Richmond.
Je toquais à sa porte et j'entrais pour voir Gill et mon boss faisant des têtes pas sympathiques.
Ouais ça sentait mauvais.

Richmond : Asseyez vous.

Je fis ce qu'il m'avait demandé; c'est alors que Gill me cria après.

Gill : Mais pourquoi tu n'as rien dis le premier jour !?

Moi : A ma défense ta rien dis non plus, et puis c'étaient votre idée à toi et Bernard cette putain de Maison Hantée, c'est de votre faute !

Richmond : Calmez vous !

Moi : Bon qu'est ce qui s'est passé à l'appart de Gill ?

Richmond : Hé bien deux cambrioleurs l'ont attaqué et ligoté à une chaise rien de plus banale, une historie comme on entend parlé assez souvent. Sauf que ils se sont fait attaquer par les fantômes et l'un des cambrioleur à tuer son pote dans la confusion, nous l'avons retrouvé complètement paniqué à quelques rues du lieu de crime. Quand à Gill....

Gill : C'était horrible ! J'ai vu son regard à cette morte, on aurait dit un démon !

Richmond : Puis Gill est venu me parler de tout ça et ce qui est arrivé dans cette Maison au Japon.

Moi : C'étaient leur fautes.

Richmond : Je m'en fous de ça ! La vie de deux de mes agents sont en jeu maintenant ! Et je ne peux rien vraiment faire à part prévenir UNIT !

Moi : Faites pas ça, par pitié, ils vont nous traiter comme des animaux.

Richmond : Je le sais... Vous savez quoi je vais mener ma propre enquête et si je ne trouve rien pour vous aider, je préviens UNIT. En attendant restez calme, continuez votre boulot et surtout ne restez pas seul, avec un peu de chance ça dissuadera les fantômes d'attaquer.

Moi : Ça n'a pas vraiment marché avec Gill.

Richmond : Mieux vaut prendre des précautions, bon vous pouvez y aller et ne dites rien aux autres, je m'en chargerais personnellement en même temps que UNIT pour le Plan B.

Je me levais avec Gill et nous quittions cette pièce en refermant la porte derrière.
Ca me rappelait la veille sauf que là Gill était vraiment en mode "je flippe".
Il resta très près de moi pour me parler.

Gill : On va tous mourir.

Moi : C'est sur, si tu continue à m'emmerder je vais te tuer.

Gill : Mais pourquoi t'es comme ça ?

Moi : Tu crois que ça m'amuse, moi aussi je suis inquiet mais ta parano ne fait que m'énerver, faut rester souder et surtout ne pas paniquer sinon on va le regretter.

Gill : Mais...

Moi : Vas faire ton boulot, je vais à mon bureau.

Et je le laissais en plan comme la dernière fois pour aller faire mon taf.
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Message  Adrien Normikwawal Sam 13 Juin - 15:47

En Patrouille

Je me retrouvais dans une voiture de patrouille, une Renault Mégane III (Photo), à voir les rues de Cronenbourg défiler devant moi.
Je ne conduisais pas, c'était Miguel qui s'occupait de ça et qui se temps en temps buvait son café qui était posé sur le tableau de bord.
Il nous stoppa à un feu rouge au bout de la Rue Neuve donnant sur la Route de Mittelhausbergen (Google Earth), j'ai toujours eu dû mal à prononcer ce nom correction et je m'en amusais avec mon pote.

Moi : Mittelhshfgf... Mitlljgjr.... Mittelshaihbfehu...

Miguel (En rigolant) : Arrête un peu de faire le con, tu vas me faire faire n'importe quoi.

Moi : Pfff c'est pas ma faute si le mec qui a fait le nom des routes était bourré.

Miguel : C'est de l’Alsacien ou de l'Allemand.

Moi : Rho c'est la même chose non ?

A la radio, il passait Tourner ma page de Jenifer. (Vidéo)

Moi : Je suis du temps, de tout ce que j'ai perdu !

Miguel : Oh la voix de casserole.

Moi : Le feu est vert.

Miguel : Ah merde.

Moi : C'est pour ça qu'ils klaxonnes depuis tout à l'heure derrière.

La voiture continua sur la droite pour longea en ligne droite.
C'était maintenant Stamp on the Ground du groupe allemand ItaloBrothers. (Vidéo)

Moi : We're sending out an invitation
To everyone in every nation.
But don't sleep get on the run
Stop thinkin' and have some fun !

Miguel : Tais toi un peu, regarde là-bas, des touristes. Ils nous font des signes allons voir ce qu’ils veulent.

Moi : La Rousse t’intéresse c'est ça ?

Il me fit une tape sur les l'épaule et nous garions sur le trottoir à coté d'un petit parc.
Il y avait deux personnes qui nous faisaient des signes, c'étaient deux touristes typiques, c'est pas la première fois qu'on en aidait pour quelque chose.
Je regardais ma montre tandis que Miguel coupa le moteur, il était 11 Heures 04.
En tout la jeune femme aux cheveux oranges était vraiment très belle. (Photo)
Je baissais la vitre tandis que Miguel quitta le véhicule pour les voir, mais c'est moi qui prit la parole en premier.

Moi : En quoi puis je vous aider ?

La jolie dame prit la parole avec un fort accent anglais, malgré ça en semblait bien parler et comprendre le français, de même pour son petit ami.

Femme : Nous cherchons hum la Rue Fleischhauer, moi et mon petit ami.

Miguel : Bien sur madame, donnez moi votre carte, je vous montre le chemin à faire.

Je le laissais faire, il était mieux que moi pour les itinéraires.
La rue qu'isl cherchaient était l'endroit où se trouvait le Siège de la DRE Alsace (Photo) et c'était aussi dans ce quartier.
Je patientais ne me tournant les pousses et en réglant aussi mon rétro en haut pour bien voir dernière.
C'est alors que je vis un gamin torse nu assit derrière et me regarder.
Ça me glaça le sang, je me retournais en vitesse pour voir qu'il n'y avait personne.
Je me disais à ce moment là Merde, ça put tout ça mais j'entendis ensuite Miguel revenir dans le véhicule car il avait terminé avec les deux autres.
Il me regarda intrigué.

Miguel : Qu'est ce qu'il y a ? Un problème ?

Moi : Non rien.

Miguel : En tout avec la nouvelle technologie, bientôt nous n'aurons même plus besoin d'aider les touristes perdus, c'est dommage.

Moi : La Police Municipale va en prendre un coup.

Miguel : Ouais, ça va leur enlever énormément de boulot.

Moi : Et les Gendarmes....

Miguel : L'autre jour j'en ais vu dans le coin, qu'est ce qui foutaient là ? C'est pas leur coin, qu’ils retournent chez les bouseux.

Moi : Ah ta raison, ils nous volent notre travail maintenant.

Miguel : Les enfoirés !

Mon ami appuya sur l'accélérateur après avoir ralluma la caisse puis on continua notre ronde en déconnant comme de vieux potes, on avait dû mal à croire qu'on ne se connaissait que depuis peu.
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Message  Adrien Normikwawal Dim 14 Juin - 15:21

Les Ward

Gill Maronier se promenait tranquillement dans la quartier de Cronenbourg, il vit même au loin la voiture d'Adrien passer.
Il essayait de ne pensé à rien pour se détendre mais ça marchait moyen car il avait toujours la sensation d'être observé et toujours en stress.
Il était seul pour sa patrouille à pied, il ne suivait pas les conseils du Capitaine.
Il arrivait à la Rue Fleischhauer en venant de la Rue de la 1ère Armée Française, et il approchait du Siège de la DRE Alsace qui était sur le même trottoir que lui. (Google Earth)
Mais alors qu'il avançait il entendit une voix lui murmurer quelque chose à son oreille.

Voix : Tu vas mourir....

Il ne pouvait plus bougé tellement la peur le paralysé.
Il resta alors là sans bouger en voyant les nombreuses personnes passer autour de lui en s'en fichant pas mal de ce flic qui ne faisait rien.
Il vit alors le couple que Adrien et Miguel ont aidé avant passer à coté de lui et il entendit leur conversation censé être secrète en parlant anglais, ce que Gill traduisait directement dans sa tête.

Homme : Alors on entre et se fait les gardes jusqu'à trouver l'Obélisque ?

Femme : Bien sur Monsieur Grant Ward.

Grant : Et nous nous en sortirons Madame Amy O. Ward ?

Amy : Ah que le dis tu.

Notre bon flic remarqua alors un pistolet dépasser légèrement de son sac à main.
Il décida de réagir, il dégaina son arme et tira 1 coup de feu en l'air en guise de sommation puis les braqua.

Gill : Les mains en l'air et posez vos armes sur le sol !

Bien sur les passants s'écartèrent mais restèrent dans les environs pour assister à la scène en la filmant avec leur portable.
Ils écoutèrent gentiment sa remarque et levèrent les mains, en tout cas ils firent mine.
car juste après le bonne dame lui balança son sac à main dans le visage en ayant reprit son flingue à l’intérieur.
elle cria alors à son conjoint "Run !".
Les deux se dispersèrent, elle continua le long de la route tandis que Grant traversa la route pour se diriger vers un petit parking vide.
Gill qui avait réussit à faire jeter le sac sur le coté, se lança à la poursuite du mec et prit sa radio en évitant les voitures sur la route.

Gill : Ici l'agent Maronier, j'ai repéré deux suspects armés et dangereux sur la Rue Fleischhauer. Ils fuient à pied, un homme brun et une femme rousse dans la vingtaine, je poursuis l'homme, demande de renforts immédiats.

Central : Très bien Maronier, nous vous envoyons 3 voitures et le GIPN.

Arrivant dans le parking, Gill vit le suspect rater un de ses pas et se croûter par terre.
Celui ci se releva vite mais vit alors une arme braqué sur lui à un mètre distance.

Grant : Hé bien on dirait que vous m'avez eu.

Gill : Les mains en l'air et tournez vous.

Grant : Oh il est 13 heures, c'est l'heure de manger.

Gill : Tourn... J'ai d....

Gill commença à étouffer et sa gorge commença à grossir, sous l'étonnement de Grant qui ne comprenait rien à ce qui se passait devant lui.
Quelque chose de gros commença à remonter de la gorge, ça devint tellement gros, que la mâchoire se coupa en deux et la partie inférieur tomba sur le sol.
Laissant la langue du flic pendouiller un peu partout et du sang couler à flot.
Quand à la chose qui avait remonté, ça s’avéra être une grosse boule de poil noir qui tomba à coté de la mâchoire inférieur.
Le cadavre tomba lui aussi et Ward, dégoutter, se barra par là où il était venu pour rejoindre sa copine avant que les renforts n'arrivent.
Gill était mort, la prochaine cible allait être Adrien Normikwawal.


Dernière édition par Adrien Normikwawal le Dim 14 Juin - 16:35, édité 1 fois
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Message  Adrien Normikwawal Dim 14 Juin - 16:32

U.N.I.T.

15 heures, déjà, le temps passe vite.
Notre patrouillé était fini depuis un petit moment et là je m'emmerder sur mon bureau, je pensais alors au bon vieux temps, quand j'ai rencontré Anne-Marie.
C'était la belle vie, c'était dans le Parc Wodli à Bischheim (Google Earth), je me souviens comme si c'était hier.

09 Novembre 2009

France; Bischheim; Parc Wodli

J'étais assis dans un banc entrain de contempler la statue rendant hommage à des personnes disparus durant la 2ème Grande Guerre.
Un gamin de 12 ans vint vers moi avec ses lunettes et son regard de mongole.
Il me foutu alors un coup de pied dans la jambe pour se marrer, ce petit fumier.

Gamin : Nique ta mère, espèce d'enculé !

Moi : Connard, je vas le dire à tes parents !

Maxime : D'abord c'est Maxime Moulin et puis j'habitude juste à coté de la Caisse d'Epargne à coté de ce parc, vous ne saurez jamais où j'habite.

Puis cet abruti de môme se barra en courant.
Une personne avait vu ça, c'était Anne-Marie, elle vint vers moi avec plein de compassions dans ses yeux.

Anne-Marie : Oh il vous a aussi embêter.

Moi : Vous le connaissez ?

Anne-Marie : Oui, il habite par là et il adore faire chier pour le dire vulgairement, toute les personnes de ce quartier.

Moi : Moi c'est Adrien Normikwawal.

Anne-Marie : Anne-Marie Duclaire.

Moi : Vous pouvez vous asseoir.

Anne-Marie : Ecoutez moi !!!

Moi : C'était pas dans mes souvenirs cette phrase.

Dans la réalité, c'était le Commissaire Skarzon qui avait dit cette dernière phrase d'Anne-Marie.
Il était au milieu de l’open space avec un mec, noir, qui avait une tenue de Colonel de UNIT, une organisation bossant pour l'ONU.

Skarzon : Je vous présente le Colonel Zimbaboué de N.U.I.T., il a quelque mot à dire à tout le monde.

Zimbaboué : U.N.I.T. et donc la division NUIT prend le contrôle de l'Enquête sur l'attaque à la Rue Flemachin qui a lieu il y a 2 heures; nous prenons tous vos indices; tout ça nous appartient, passez à autre chose.

Policier 1 : Et on notre mot à dire nous !?

Policier 2 : Ouais, vous osez reprendre notre affaire tranquillement comme ça comme si on était de la merde !?

Jean Michael : Parfaitement !

Muller : Et Gill Maronier dans tout ça, nous n'avons plus de nouvelle de lui depuis !?

Moi : Qu'est ce que vous avez à dire !?

Zimbaboué : Top Secret !

Et le colonel machin s'en alla tandis qu'on le huait.
Quand au commissaire il semblait très en colère.

Skarzon : Vos gueules ! Si JAMAIS je vois l'un d'entre vous fouiner dans les affaires de UNIT, il est viré !

Policier 3 : Virez nous tous alors !

Skarzon : Commençons pas toi, t'es viré !

Policier 3 : C'est n’importe quoi, je vais vous faire procès mon vieux et mes potes seront là pour me défendre, pas vrais !?

Les Autres : Ouais Rémy !

Rémy : Merci les gars.

Skarzon : T'as enterré à avoir fait tes affaires quand je serais revenu.

Et le commissaire s'en alla en grognant.
Quand à moi, je m'approchais de Miguel.

Miguel : Pauvre Rémy, c'est quand même un Brigadier-chef. Et cool en plus.

Moi : Ouais, il est où Richmond, je l'ai pas vu depuis mon retour ?

Miguel : Il est parti en voyage quelque part, personne ne sait où. Donc Skarzon fait son chef dans ce bâtiment alors qu'il devrait s'occuper de la ville.

Moi : Aidons Rémy à faire ses cartons.

Nous fumes à peu près tous solidaire envers Rémy et nous l'aidions à prendre ses affaires pour partir mais il avait vraiment l'intention de porter plainte et nous serons derrière lui à ce moment là.
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Message  Adrien Normikwawal Dim 14 Juin - 18:34

Après le Travail

J'étais à bord de ma voiture, je ne l'avais pas encore précisé mais c'était une Audi Allroad Quattro II (Photo).
J'arrivais devant ma maison et je me garais sur l'allée.
J'étais quand même content qu'on ait réussit à trouver cette belle maison à bas prix, moi et ma femme.
La Aston Martin DBS V12 (Photo) de ma femme était déjà là, elle est donc rentrée plus tôt de son travail car il n'était que 17 heures 20, elle rentrait qu'à 19 heures d'habitude.
Je coupai le moteur et quittai ma caisse, refermant la portière après moi.
J'avançais ensuite vers la porte d'entrée le trousseau de clés dans la main.
Je rentrais la bonne dans la serrure mais j'entendis alors une voix derrière moi, une voix familière.

Gill : Hé Adrien, ça va !?

Moi : Gill, où t'étais, on te cherchait par....tout.

Je m'étais retourné à la fin de ma phrase, voyant qu'il n'y avait personne à part le voisin qui promenait son Pitbull.

Voisin : Salut salut salut, le voisinou qui parle tout seul !

Moi : Salut....

J'entendis ensuite la porte s'ouvrir, je me reretournais pour voir ma femme m'accueillir avec un beau sourire.

Anne-Marie : Je t'ai entendu parler avec le voisin, rassure moi son chien n'a pas encore foutu ses griffes sur le capot d’une de nos voitures ?

Moi : Non c'est bon...

Anne-Marie : J'ai finis plus tôt aujourd'hui, ils ont été sympa, j'avais prévu d'aller chez l'épicier d'en face pour nous chercher des bières.... T'es sur que ça va ?

Moi : Non, il faut qu'on discute.

Anne-Marie : Tu me trompe ?

Moi : Quoi !? Non, pas encore. C'est autre chose.

J'entrais alors pour tout lui expliquer.
Un quart d'heure après, j'avais fini de raconter la partie Japon.
Elle me regarda ahuri, assit sur le fauteuil alors que moi j'étais posé sur la canapé.

Anne-Marie : Oh non !

Moi : Puis après Bernard a disparu dans l'avion comme je t'ai dis, Gill s'est fait attaqué le soir même pas des fantômes et ne dois sa survit qu'à des cambrioleurs présent cette nuit là. Mais il a finalement disparu cette après midi après avoir engagé des suspects et comme on les retrouve pas et que l'enquête nous a été confisqué, on ne peut pas savoir ce qu'ils ont vu. Et là je sens que c'est mon tour.

Anne-Marie : Pourquoi tu ne m'as rien dis plus tôt ?

Moi : Je ne voulais pas t'inquiéter.

Anne-Marie : Et donc tu compte faire quoi ?

Moi : Je ne sais pas, au pire j'essaye de faire comme si tout va bien et au pire attend toi à ce que j'y passe à un moment ou à un autre.

Anne-Marie : En tout cas je resterais avec toi jusqu'à ce que le problème soit régler de la pire façon ou de la meilleur.

Moi : Et ton travail ?

Anne-Marie : J'en m'en fiche de ça, le plus important pour moi, c'est toi.

Moi : Heureusement que tu es là.

Je m'approchais alors du fauteuil pour l'embrasser.
Très vite l'embrassade se transforma en acte sexuel, sans capote, ce que notre nuit torride allait donner naissance à notre fille Gormoute 9 mois plus tard.
Mais là je prenais soin de ne pas trop pressé le ventre déjà bien gonflé car notre petit Zeroc nous attendait là dedans.
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Message  Adrien Normikwawal Dim 14 Juin - 21:04

C'était pas prévu ça

4 heures du matin; Anne-Marie Normikwawal dormait tranquillement dans le lit au coté de son mari.
Rien ne semblait perturber leur sommeil, pour le moment.
C'est alors qu'un bruit réveilla en douceur la femme, c'était un miaulement tout mimi d'un chat, mais venant de leur salon.
Une fois à peu près réveillé par le bruit, ça l'étonna.
Elle pensa alors qu'elle avait dû mal fermer une fenêtre et qu'un chat errant était rentré.
Elle se leva délicatement du lit sans réveiller son compagnon et alla voir dans le salon.
C'était une maison à 1 étage donc elle arriva directement au salon après avoir traversé un petit couloir.
Elle vit alors un chat noir posé sur la table basse entrain de se laver la tête avec sa matte en se la léchant.

Anne-Marie : Hé bien alors mon petit, on s'est perdu ?

Elle entendit un son qui lui glaça le sang, c'était le long râle célèbre de Kayako.
Elle leva les yeux vers un coin du plafond et vit une paire de cheveux en sortir puis la tête, et au final le reste du corps de la mort vivante.
La pauvre femme hurla de toute ses forces pour alerter le plus de monde possible.
Ça réveilla son mari qui se mit en position assit d'un bond et vit la porte de la chambre se claquer avant de se verrouiller toute seule.
Il se leva en vitesse pour s'y précipiter et tenta de tirer la poignet en vain.
Il frappa alors à la porte et cria.

Adrien : Anne-Marie, qu'est ce qui se passe !?

Cette dernière entendit alors quelqu'un arriver de la salle de bain et vit le fantôme de Takeo qui tenait un journal intime dans sa main, il serra ses poings avec une grande colère et le lâcha.
Il tourna son regard vers Madame Normikwawal et la regarda comme si c'était sa propre femme.
Il s'avança vers elle en criant avec rage pour la saisir.
Entre temps Adrien avait prit un katana coupant qui servait normalement à décorer le mur et était entrain de défoncer la porte avec.
Il espérait ne pas arriver trop tard mais Takeo avait déjà réussit à choper Anne-Marie et s'avança vers un mur et fracassa son visage dessus avant de la jeter comme une merde en arrière.
Elle se retrouva à terre avec la face amochée et elle commença à ramper vers le couloir en désespoir de cause.


Je réussis enfin à défoncer cette putain de porte !
Arrivant dans la couloir, je l'a vis par terre avec le visage... Oh mon dieu son jolie visage, il était tout ensanglanté et cassé.
Je m'approchai d'elle et l'aida à se mettre assit contre le mur.

Adrien : C'était pas prévu ça !

Anne-Marie : Ils ont dû penser que j'étais un obstacle pour t’avoir toi.

Adrien : Là s'en est trop, j'appel Miguel, il faut te mettre en sécurité !

Je cherchais alors le téléphone fixe du salon et je téléphonais à Miguel qui mit un peu de temps à décrocher.

Miguel (T) : T'as vu l'heure ?

Adrien : Miguel, il faut que tu vienne tout de suite, ma femme est blessée, dépêche toi !

Miguel (T) : Oh putain, qu’est ce qui s'est passé !?

Adrien : Je t'expliquerais à ton arrivé, vite !

Miguel (T) : OK, je serais là dans 10 minutes !

Il raccrocha et on attendit.
10 minutes plus tard, il sonna à la porte, je l'ouvris.
Il entra en trombe et vit les dégâts dans le salon puis l'état de ma femme dans le salon.

Miguel  : Vous avez lâché un Lion où quoi ?

Adrien : Elle te dira tout durant le trajet, c'est une historie de fantôme. moi j'ai quelque chose à faire pour éviter que ça ne se reproduise.

Miguel : Tu vas faire quoi ?

Adrien : Je vais à l’hôtel de police, chercher mon flingue puis je réserve un billet pour Tokyo.

Miguel : OK je comprend rien mais elle me dira tout. Bonne chance en tout cas pour ce que tu as à faire.

Je le saluais de la main et m'en allai, je ne pris pas ma voiture trop dangereux, je préférais me promener dans routes, on était à Strasbourg, elles étaient encore un peu dynamique la nuit.
J'avais prévu de rendre visite aux Fantômes dans leur repère et leur montrer qu'on ne s'en prend pas à ma moitié comme ça.
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