Resident Evil 9
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[FIC] Warrior Inside [Terminé]

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Message  Alain Verger Dim 30 Juil - 23:46

15 Mai 2005

France; Dijon; Locaux "Le Bien Public"

A seulement 21 ans, Alain Verger avait bien commencé sa carrière de journaliste en tant que rédacteur pour ce journal du Nord Est de la France en tant que rédacteur.
L'année dernière, il avait couvert plusieurs événements comme L'Affaire du Death Note ou encore La Panique à Terragrigia. Il avait réussi à dénicher de superbes informations en inédit qui avaient permis de faire connaître le journal à l’international.
Aujourd’hui, il allait en être récompenser, et il était heureux pour une fois dans sa vie. Il en avait chier pour en arriver jusque là, mais il avait réussi à percer dans ce qu'il voulait, ce que tant d'autres n'ont jamais pu faire.
Il était 21H12 et son Patron avait organiser une petit fête où tous ses collègues lèches-culs et vrais amis étaient présents, ce qui faisaient 8 personnes sans compter Alain et son Boss.
Ce dernier était plutôt cool avec ses employés, un spécimen rare, mais bon comme c'est un journal local, ça passe encore.
Des amuses bouches étaient présents sur des tables ainsi que de l'alcool à volonté et du jus de fruit. Quelqu'un avait même apporté du foie gras, et pas n'importe qui.
C'était Élisa Marnier, une employée au service de nettoyage des locaux qui avait commencé à sortir avec les super stars il y a 2 mois de ça.
Là Alain logeait de son appart car jusqu'à maintenant il vivait chez ses parents, de riches bourgeois avec 5 autres enfants et dont notre héros est le dernier et le plus ignoré.
C'est aussi le plus tolérant avec son Oncle Benjamin, c'est donc pour cela qu'il a pu sans problème sortir avec uen fille du peuple, ce qui a causé le fait qu'il soit chassé de chez lui comme un malpropre.
Elle était vêtue d’une très belle robe blanche, mariant bien son sourire enfantin et sa paire de sandales qu'elle avait acheté la veille pour faire plaisir à l'un des plaisirs de son petit ami. Ce dernier était conquis.
Bref, la seule chose qui manquait pour égayer encore plus la journée, c'était le petit discours du patron pour lancer la joie et bonne humeur dans les locaux.
C'est ainsi qu'à peine 5 minutes après le début de la fête en soi, il tapotant sur son verre à champagne avec une petit cuillère en argent, attirant l'attention sur lui.

Patron : Si nous sommes tous là ce soir, c'est pour féliciter le meilleur d'entre nous, Alain Verger. Voilà à peine quelques années qu'il est parmi parmi nous, mais il a déjà écrit quelques uns des meilleurs articles du Journal.

Employé : C'est vrai ça !

Patron : Nous nous rappelons tous de l’excellent article sur Le Massacre de Bressey-sur-Tille qui nous a valu une mention du Président de la République lui même dans son discours sur ça.

Employée : Vive Chirac !

Patron : Levons donc tous un toast à ce brillant rédacteur !

Alain : Merci c'est gentil à vous d'être gentil avec moi.

Patron : Allez, buvons tous en son honneur !

Ils trinquèrent et commencèrent à boire chacun de leur coté en discutant de tout et n'importe quoi. Le Patron fit de même, tandis que la joliment vêtue Élisa s'approcha de son amoureux en le prenant dans les bras par derrière ne rigolant avant de le relâcher, un sourire béant sur son visage.
Alain, un peu fatigué, rigolant quand même, mais bailla peu de temps après, ce qui intrigua sa dulcinée qui posa une question avec son air plus qu'innocent.

Élisa : J'en connais un qui a encore passé beaucoup de temps à travailler son prochain article.

Alain : Tu dois être médium pour savoir ça.

Élisa : Je commence à bien te connaître c'est tout. Ce sera sur quoi ton prochain sujet ?

Alain : Un Nouveau Sujet en or, mais je peux pas encore t'en dire beaucoup, mais j'ai reçu beaucoup de données d'un de mes contacts, BadBoy17, et c'est du lourd.

Élisa : Ah ? Du lourd comment exactement ?

Alain : Une organisation secrète qui dirigerait un réseau important de criminalité dans l'ombre, et ça n'a pas l'air d'être du Fake, crois moi.

Élisa : Je veux bien et croire, mais fais attention avec ces trucs là.

Alain : Ne t'en fais pas, je surveille toujours mes arrières pour que rien ne puisse arriver ni à moi, ni à toi ma douce licorne.

Élisa : Contente de le savoir mon Porte-Bonheur.

Leur regard était chaleureux et le baiser qui suivit l'était tout autant. Si ils avaient su que ce serait le dernier, ils y auraient mis plus d'intensité.
Car même pas quelques après qu'il ait commencé, 4 silhouettes noires débarquèrent dans la pièce, sortant de l'ombre, et tous furent mitrailler.
Y compris le couple qui n'eut même pas le temps de réagir.
Même pas une dizaine de secondes plus tard qu'il ne resta un tas de corps par terre, dominés par ces Corbeaux au bec pointu qui attendirent l'arrivé de deux individus plus haut gradé qu'eux.
Une chevelure argenté ayant pour nom de code Gin était le plus en avant, les mains dans les poches, tandis que suivait juste derrière, un grand type avec un accent du Kansai qui se nommait Tequila.
Ils s'approchèrent des corps encore chauds et fumant de membres de la rédaction mais n'affichèrent aucune émotion, restant plutôt de marbre face à cet acte qu'ils avaient commis avec tellement de facilité.

Gin : Occupe toi des données, et vous, vous vous assurez que personne ne vienne déranger notre opération.

Les corbeaux se dispersèrent pour se mettre dans les positions stratégiques en cas de visite imprévu. Ne laissant que les deux alcools entre eux.

Tequila : Tu vas faire quoi toi ?

Gin : Je vais rester à la voiture à t'attendre.

Tequila : Tu vas en profiter pour fumer je me doute.

Gin : Oui, je ne peux le faire ici alors je le fais là bas.

Tequila : Ça marche, ça ne devrait pas prendre plus de 10 minutes.

Gin : Je note.

La Barbie Girl s'en alla par l'entrée et quitta le bâtiment sans trop de soucie puisqu'il n'y avait presque personne à cette heure de la soirée. Heureusement qu'il y a eu cette fête, ils ont pu comme ça éliminer la personne qui en savait trop et supprimer les donner en un coup.
Une fois dans la Porsche 356, Gin baissa la vitre de son coté et sortit une Jiloise Caporal et l'alluma avec son briquet et il l'entama sans problème.
Evidemment, sa nature de mec très vigilant faisant en sorte qu'il regardait assez fréquemment si personne ne l'observait de dehors. On ne sait jamais.
Pour le moment, rien à signaler. Tant mieux.
Il eut le temps de la terminer et de patienter encore un peu sans que personne ne sorte des locaux, ni son collègue important, ni les autres ombres.
C'était bizarre.
Ils mettaient trop de temps.
Ça faisait déjà plus de 10 minutes qu'ils étaient là bas.
Il a dû se passer quelque chose, il en mettrait sa voiture à la casse.
Il referma la vitre de sa main droite et sortit son Beretta 92FS avec son autre main gantée, car précaution l'oblige toujours. Ne laisser aucune trace est la règle d'or pour survivre.
Il ouvrit doucement la portière et posa un regard sur la droite.
Rien hormis un lampadaire qui déconnait un peu plus loin.
Alors, il commença à l'ouvrir plus en grand, mais son ego prit soudainement un grand coup, qui claqua sa main et fit perdre le contrôle de son arme, assez brièvement pour qu'elle tombe entre celles de l'ennemi.
On le plaqua très rapidement contre le cuir su siège conducteur après avoir rouvert la portière avec une vitesse pouvant rendre vert de jalousie Barry Allen.
Il sentit la doux contact du canon en acier contre la peau de son cou, et celle du lame en argent traversant ses tissus mais ne touchant miraculeusement rien de grave.
Pour la première fois de sa vie, il était fait comme un rat, et surtout, il n'arrivait à rien faire. La force adverse était bien plus éleva que lui, il était clairement la demoiselle en détresse.
Il se sentait vulnérable, et il avait quoi de l'être.
La Salive du Mort-Vivant se répandait sur son visage, et ses yeux vitreux se noyant dans un sourire sadique, imitant à la perfection celui qu'aimait avoir celui qui pourrait être sa victime.
Cet homme, c'était Alain Verger.
Pourtant il était mort ? Faut croire que non.

Gin : Qu'est ce... Qu'est ce que tu es ?

Alain : Je suis...

Il changea soudainement d’apparence et plus une voix plus grave et glauque.

Alain : ... le Lwa de la Mort.

Il reprit son apparence normal, tandis qu'une musique extradiégétique jouait en fond sonore.

Alain : Tu vas dire à tes employeurs que leur jeu a assez duré et que si ils continuent ainsi, leur empire se verra s'éteindre dans 10 ans, entre Fin 2015 et début 2016.

Suite à ce sage conseil, l'esprit puissant se tira aussi rapidement qu'il soit venu, laissant comme empreinte son arme dans le bidou de l'homme aux cheveux argentés.
Ce dernier ne savait pas trop comment réagir face à... ça !
Il savait juste une chose.
Pour la première fois de sa vie, il avait peur, vraiment peur.

14 Mai 2017

Antarctique; Base Hydra Abandonnée

Gin avait conté son histoire à son partenaire qui ne savait pas trop quoi dire sur le coup.

Partenaire : Pourquoi me raconter tout ça.

Gin : Pour te dire que cette personne est la seule chose que je crains dans ce monde, et que ce qu'il a dit s'est réellement passé.

Partenaire : Ouais et ?

Gin : Tu sais, à propos des hommes de Léviathan qui se dirigent vers nous ?

Partenaire : Aucun soucie, on a réussi à créer des LMD des membres d'une des deux équipes, ils tueront ceux que l'autre.

Gin : Sauf qu'Alain Verger fait parti de l'autre équipe.

Partenaire : Le type mort ?

Gin : Oui, et je vais te laisser t'occuper de lui si t'y arrives.

A ces mots, il s'éloigna de la scène.
Ne voulant pas risquer sa vie aujourd'hui, il laisse la suite à son partenaire.
Alain Verger
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Date d'inscription : 15/05/2017

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