Resident Evil 9
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[FIC] Resident Evil 3

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Message  Léon Kennedy Dim 25 Avr - 15:17

Léon Kennedy
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Message  Sun-Hi Fritsch Dim 23 Mai - 21:40


La blondinette hoche positivement de la tête, ce qui nous permet de progresser enfin dans cette histoire trop longtemps mise en pause, en passant par la porte dont aucun des personnages ne viennent afin de vérifier ce qu'il s'y trouve, même si la madame le sait déjà puisqu'elle l'a déjà traversé auparavant.
Sur la droite se trouve tout au bout une minuscule table, capable seulement de tenir sur elle une vieille boite à musique dont on ne connait point encore l'air joué, mais si ça vous intéresse de la découvrir en avant première, vous pouvez vous enjoué dessus en cliquant .
Juste après ce trésor riche en mécanismes, nous avons le droit au grand escalier, cette fois ci pas vraiment central, qui permet grâce à ses nombreuses colonnes en pierre de faire tout le contour de la zone en finissant par se terminer vers là gauche pour rejoindre le balcon extérieur menant vers la tour de l'horloge.
Si on saute se dédale de marches, nous trouvons de l'autre côté de celles ci, plusieurs choses plus ou moins intrigantes, telle qu'une autre mystérieuse et ancienne boite musicale sur une toute petite table au fond qui nous sonne une version quelque peu différente de la première musique jouée.
Il y aussi une grande table en bois massif, posée sur une gravure solaire l'entourant tout entier, où se trouve un vase en son centre, contenant des fleurs qui sont déjà à moitié fanées pour le plupart, et non loin d'elle, nous avons aussi un bureau de taille moyenne installé sur un tapis rouge à sa taille, sur lequel on peut notamment trouver la carte de ce beffroi qui sera utile à nos survivant pour pouvoir se retrouvant en ce lieu.
En face, à plus d'une dizaine de mètres d'eux, se situe une porte en bois similaire à celle qu'il viennent d'emprunter pour se rendre dans cet immense hall, et non loin de ce point de sortie, nous avons aussi un cadavre d'un mercenaire de l'UBCS, reposant sur le ventre entre deux longs chandeliers.
Impossible pour l'instant de reconnaître le visage du macchabée tant que l'on ne sera pas suffisamment approché de lui pour le découvrir.
Seule chose qui était sûr, c'est l'arme expérimental de chez Umbrella qui jonche par terre, dans le sang du monsieur, et qui pourrait être un attrape couillon si le gars se réveille en un Z dans le but de grignoter la main du pauvre malheureux à qui ça arriverait, bien que ça pourrait être sympa d'avoir ce qui s'avère être un lance mine d'une efficacité et vélocité exemplaire.
Quant à la gauche, à plusieurs pieds du groupe de deux, il y a une double porte, gardée de tous ses côtés par des rambardes ayant des lampes allumées à chaque tournant, ce qui permet d'éclairer comme il le faut cette sortie qui doit très certainement à l'extérieur de ce bâtiment comme le suppose son allure.
Certaines dalles au sol sont blanches, tandis que d'autres sont rouges, pour bien aller avec le sang vers par ici.
Voilà pour le description du mobilier, meilleur qu'un Stéphane Plaza, dont on avait plus l'habitude.
Carlos n'en a que faire de la décoration en elle même, car il l'a assez maté jusqu'à présent, et doit désormais porter de lourdes charges sur le dos en s'assurant au bien être de ceux qui comptent sur lui, que cela soit Amy Markley ou bien Jill Valentine dont il craint la pire destinée.
D'ailleurs, tant que l'on est dans ses pensées qui en quelques lignes résument plutôt bien son état mental actuel.

Que le ciel soit loué pour une fois, vu qu'Amy est toujours vivante.
Dommage que Dario ne s'en soit pas sorti.
Il ne faut pas que Jill connaisse le même sort.
Nous devons faire vite !


L'hispanique au fusil d'assaut vérifie bien qu'aucune de ces saletés d'énormes araignées, rappelant les Web Spinner crées en laboratoire par la société pharmaceutique emblématique de cette saga qui nous prouve toujours son immondice à chaque chapitre, mais pour une fois il n'y a aucune de ces créatures dans les parages.
Quoi que l'étage n'ait pas pu être vérifié de fond en comble, donc qui sait si il y en a une qui a décidé de s'y planquer pour nous faire une grosse surprise tout à l'heure.
De ce côté là, elles ont des fâcheuses habitudes en commun avec leurs lointains cousins Drain Deimos que l'on a déjà rencontré à quelques reprises auparavant, et aussi les Brains Suckers que l'on aura l'occasion de connaître dans une dizaine de chapitres environs.
Pour l'instant, le plus important reste au rez-de-chaussée, et c'est pourquoi le mercenaire encore debout fait signe à son escorte de rester en retrait pendant qu'il fouille avec prudence celui qui est crevé au sol, veillant bien sûr à à ce qu'il ne se relève pas, sans pour lui en loger une dans la caboche.
Gâcher une balle pour ça serait certes prudent, mais ça serait mieux pour le moment de les économiser à fond.
Le défunt est reconnu comme étant le Caporal-chef Campbell, le sous officier à la tête de l'Équipe Echo, et l'on peut aisément remarquer les traces de brulure à l'acide qui recouvre principalement son visage, ainsi que ses vêtements, sont à première vue la cause de son trépas.
Unfortunément, il ne semble pas avoir eu autant de chance que Carlos en confrontant les autres arachnides.
Au moins les quelques mines à sa disposition serviront prochainement à celui qui le trifouille pour sa quête.
Tandis que les instructions d'opération qu'il se trimbalait aussi sur lui serviront potentiellement à son ramasseur un peu plus tard puisque pour l'instant, lui il a autre chose à faire que de passer quelques minutes à lire quoique ce soit, et la seule chose qui soit assez précieuse à ses yeux pour se repérer dans cette infrastructure assez avare en pièces, contrairement au Manoir ou le Commissariat, c'est la carte dépliée mentionnées plus tôt.
Une fois celle ci en main, il s'en va retourner auprès d'Amy, qui est toute tremblante avec son pistolet dans ses mains, afin de confirmer auprès d'elle une information qui assez évidente, mais un nouvel avis vaut toujours mieux que aucun, dû moins dans cette situation là au moins.

Carlos : C'est bien cette double porte là que tu as emprunté pour pénétrer dans ce beffroi et qui mène à l'avant du tram ?

Amy : Oui. J'ai dû me dépêcher de le faire à cause d'une nuée de corbeaux qui rodait autour et qui a tenté de s'en prendre à moi.

Carlos : Il faut s'assurer qu'ils ne fassent rien à Jill.

Amy : Je vais continuer à te suivre de près en faisant de mon mieux.

Remarquant que jeune femme de 19 ans galère à tenir correctement son arme, et est trop stressée pour se corriger, l'invétéré charmeur de donzelles prend ses mains afin de les recadrer comme il le faut, tout en affichant un sourire se voulant rassurant sur son visage.
L'effet escompté est tout trouvé, puisque aux craintes justifiables de la madame, viennent se rajouter une très puissante gène qu'il va essayer de calmer de son mieux, avec les talents qu'on lui connaît pour faire cela, et qui se terminaient généralement en un coup d'un soir.

Carlos : Courage, je ferai tout pour garantir notre survie à cet Enfer sur Terre.

Amy : Merci pour ton t'aide. Sans ton aide, je serai déjà mort.

Carlos : Une fois qu'on aura récupéré Jill, je tâcherai de t'apprendre à utiliser correctement ce pistolet.

Amy : Moi qui était anti-arme avant tout ça. L'arrivée de ces morts vivants a vraiment fait basculer dans ma vie.

Un début de sentiments chaleureux nait au sein du cœur de la fille qui rigole nerveusement à sa phrase, et elle aimerait bien que pour le garçon face à elle, cela soit pareil, alors qu'en réalité il voue déjà de profonds sentiments pour une personne en particulier qui n'est plus vraiment de ce monde, ainsi que d'autres pour une autre personne rencontré récemment avec qui il aura peut être de la chance
Si elle survit d'ici là...

C'est derrière ces portes que tout va se jouer.
Faites qu'elle ne soit pas morte.
Candela, que ton ombre veille sur moi, ainsi que sur elle.
Voir sur nous tous si tu es clémente.


Le mercenaire optimiste ouvre la double porte en menant toujours la marche, arrivant dans la cour du beffroi.
Celle ci est composée d'une statue représentant comme pour le tableau de tout à l'heure, le Saint Michel brandissant fièrement son épée à la lueur de la lune dans le ciel, ce renforce toujours plus l'aspect biblique de cette construction humaine et peut être céleste où nous nous trouvons.
Cette œuvre architecturale se trouve au beau milieu du chemin, entourée par quatre lampadaires, ainsi que reliée par des sortes de mini colonnes en pierre qui se trouvent à leur tour aux quatre coins de la statue artisanale, mais pas aux même coins exactement.
Toutes elles tiennent en leur sommet des sortes de sphères faites de la même matière que leur support et qui sont de tailles moyennes.
Diverses sculptures ornent ce petit jardin d'entrée, que cela soit des jeunes femmes légèrement dévêtues se trouvant sur la gauche et la droite de notre dragueur à la coupe hors paire, tandis que plus loin sur cette même droite se trouve une autre représentation du même gabarit qui est cette fois plus tournée vers les plumes puisqu'il s'agit d'un corbeau perché fièrement sur ce qui s'avère être une fontaine à pied d'où très peu d'eau ne coule.
Quant à la végétation en elle même, elle n'est pas omniprésente, bien qu'elle demeure sur plus ou moins la moitié du paysage, avec son parterre d'herbe où l'on y a aussi planté quelques fleurs impossibles pour moi de reconnaître, et il ne faut pas manquer de souligner les nombreux buissons présents aux alentours, dont on peut faire le tour pour ceux que ça amuseraient de faire cela, ou bien pour semer un zombie trop collant en le faisant tourner en bourrique.
Sur la droite du péruvien armé se trouve un chemin menant tout droit à une porte ramenant à l'intérieur de ce lieu.
Nul besoin cependant d'en venir à passer par là pour l'instant, car la solution se trouve droit devant l'archange.
Le mur en pierre qui délimitait les contours de cette propriété publique, et la porte qui en accordait l'accès, ont tous les deux été pulvérisés en beauté par le tram à pleine vitesse qui a servi de moyen de transport pour nos survivants, et qui ne sera plus jamais opérationnel à l'avenir, ce qui est mieux vu comment s'est terminé l'arrivée au terminus pour que tout le monde descende.
Trêve de plaisanteries, le but de Carlos est presque atteint, puisque voilà enfin l'avant du tramway qu'il voulait rejoindre afin de pouvoir fouiller ce qu'il y a dedans afin de retrouver Jill, mais il n'aura pas besoin d'aller si loin pour se faire, puisque la demoiselle git de manière inerte sur le devant du moyen de locomotion.
Ayant visiblement été éjecté du bousin à la dernière minute, elle se retrouve couchée sur des débris de verres qui ont un peu entaillé sa peau sur plusieurs endroits, et on peut voir du sang s'écouler de sa tête si jamais on venait à s'y approcher d'un peu plus près.
Chose qui n'est pas un bout signe, et le mercenaire a la volonté en bêton armé s'en rend compte après avoir contourner la statue centrale pour la rejoindre, ce qui l'inquiétude pas mal sur le coup, bien qu'il refuse de croire à sa perte et tente de se dépêcher de la rejoindre.
Juste qu'il y a un gros problème que je n'ai pas souligner jusque là, et qui entrave sa tentative d'aide amoureuse.
Les piafs mentionnés précédemment par Amy sont toujours là, et il y en a qui ont commencé à se dire que cette proie immobile ferait un bon casse-dalle pour la route, au point de commencer à la picorer vigoureusement, accroissement les risque pour elle de finir infectée de la même manière que feu le Forest.
Sauf que ce n'est pas comme cela que cela va se passer, comme le souligne le bruit d'une M4 qui prépare son coup pour intervenir à temps.

Carlos : Dégagez de là ! Saloperies !

Amy : Je vais essayer de les repousser ! Essayer...

Faisant de son mieux, l'apprentie tireuse s'exerce à cette fonction, en ouvrant le feu à cinq reprises, touchant mortellement trois des volatiles ciblés, ce qui est loin d'être un mauvais score, et cela permet de les faire se disperser sans avoir à tous se les farcir un par un.
En dépit de ça, le caporal en colère contre ces bestioles décide tout de même de leur faire voler des rafales de balles dans les plumes, en descendant quelques autres au passage, avant de revenir à la raison et de se concentrer sur ce qui importe le plus ici et maintenant.
La santé immédiate de Jill Valentine.
Très vite il s'accroupit sur cette dernière et se rend compte de l'état déplorable dans lequel elle se trouve, en étant à moitié dans les vapes tout en étant à moitié réveillé, ce qui va lui permettre d'entendre et de vaguement lui répondre quand il va lui adresser la parole.

Carlos : Jill ! Attrape ma main !

Jill : Carlos... ?

Carlos : Dépêche toi ! Nous n'avons plus beaucoup de temps !

Jill : D'accord...

Sans être brusque ou trop lent, et avec une pointe de délicatesse, l'hispanique enroule le bras droit de l'américaine autour de sa propre nuque, de telle sorte à pouvoir l'épauler correctement une fois à nouveau debout, le tout en gardant sa nouvelle arme, le lance mine, dans sa main gauche plutôt que son fusil d'assaut qu'il a décidé de ranger dans son dos au préalable, tout simplement parce qu'il juge qu'elle serait la plus adapté pour la suite de l'aventure.
C'est alors que des mots qui intriguent viennent se glisser le longs de ses tympans, le plus doucement possible.

Jill : Ne lâche rien...

Carlos : Jill !?

Jill : C'est ce que Murphy voulait te dire... Avant de mourir...

Carlos : Tiens le coup Jill ! On va te mener en lieu sûr !

Quant on dit ce genre de choses, on finit bien trop souvent par le regretter pour le Destin est vraiment trop joueur.
Une gigantesque ombre s'en va planer sur notre trio se remettant à peine de leurs émotions, en faisant résonner le choc de ses bottes nazis sur la toiture métallique du tramway sur lequel il vient de se poser, et il n'y a pas mille personne, rien que dans cette ville, à qui pourrait correspondre une telle description.
Dans le cas contraire, il suffirait de tout simplement écouter les cinq initiales qu'il ne cesse de prononcer à chacun de ses passages, pire que le meeting d'un politique avec un slogan qui fait jolie sur le papier.

Poursuiveur : S.T.A.R.S. !

Des frissons gagnent tous les acteurs de cette pièce de théâtre qui a tout l'air d'être une tragédie à la grecque.
Les corbeaux, loin d'être cons malgré le virus qui les rongent, s'envolent vers d'autres horizons pour ne plus être là quand la situation va tomber en un milliard de petits morceaux qu'on aura dû mal à ramasser avec une pelle ou une balayette dans un éventuel espoir de tout reconstituer.
Soyons sérieux deux minutes.
Nos trois survivants sont dans la merde jusqu'au coup.
Amy écarquille des yeux et ravale sa salive, tout en brandissant fébrilement le pistolet dans ses mains face à cette menace qui la dépasse en tout point, au point où elle recule face à celle ci, allant jusqu'à trébucher contre de bas murets entourant les buissons de la cour, tombant la fesses les premières dedans.
Carlos s'empresse de réagir verbalement, sans pour autant avoir le moyen d'intervenir physiquement puisqu'il porte déjà une charge lourde trop encombrante qu'il ne peut pas abandonner à son sort, d'autant plus qu'elle prend déjà une place importante dans son cœur.

Carlos : Amy !

Le mercenaire avance de quelques pas tout en se retournant, avant de stopper sa marche et mépriser du regard cette abomination qui se trouve devant, posant fièrement dans son armure donnant l'impression d'être kevlar, et nous dévisage toujours autant avec son unique œil d'exposé.
Cette fois ci, le gargantuesque poursuiveur n'est pas venu les mains vides, mais n'a pas non plus fait revenir son énorme sulfateuse style gatling qu'on avait pu voir lors de son assaut sur le Grill 13 lors de leur première rencontre entre le mercenaire et lui même.
En sa possession il a dans sa main gauche un FIM-92 Stinger étant capable tout simplement de pouvoir faire un tir direct et dépourvu de l'antenne de suivi montée sur le dessus, ce que un lance missile sol air à tir verrouillé comme celui ci ne devrait pas être capable, sauf que celui ci a été visiblement intentionnellement modifié par Umbrella pour donner le résultat que l'on connait déjà.
Un certain Leon Kennedy aura par la suite une arme similaire lors d'un affrontement contre un autre tyrant similaire.

Pas lui...
Le sacrifice du Capitaine Mikhail n'aurait donc servi à rien ?
Non !
Je ne peux pas renier qu'il nous a fait gagner du temps pour nous opposer à ce monstre comme il le faut !
Je ne le laisserai pas vous avoir !
Ni toi Jill.
Ni Amy.
Je peux le faire !


La prochaine action de la monstruosité ambulante est clairement définie quand il se met à braquer dangereusement son nouveau jouet sur la protagoniste de l'histoire globale, alors que celle ci plane à moitié en se tenant à son preux chevalier sans amure qui est venu la sauver des griffes des oiseaux de malheur.
Le coup part très rapidement, or le héros de ce chapitre parvient à sauver in extrémis la demoiselle et lui en se jetant sur leur gauche au dernier moment, évitant à la fois de mourir explosé en un tas de petits morceaux, et arrivant à ne pas finir dans les buissons proche d'eux, contrairement à une jeune blonde juste avant pour ceux de l'autre côté.
Extrêmement secoué par cette manœuvre de dernière minute, notre bon Carlos ne va pas pouvoir éviter la prochaine action du colossal emmerdeur, alors que celui ci descend de sa hauteur pour atteindre le plancher des vaches, faisant gronder la terre autour de lui au passage.
Se relevant avec une certaine aisance pour quelqu'un de son gabarit, il garde son lance patate dans sa main gauche, sauf qu'il ne compte s'en servir pour sa prochaine attaque, et à la place compte bien jouer son arme fétiche avec laquelle il a mis à mort ce pauvre Brad Vickers.
À croire que c'est son moyen préféré qu'il utilise pour éliminer les S.T.A.R.S., avec une efficacité garantie.
Cela va être encore prouver à ce moment là puisqu'il va profiter que le latino soit temporairement décontenancé par ce coup d'esquivé pour marquer un point.
Son tentacule de la main droite refait son apparition, sauf que cette fois ci il ne va pas soulever sa cible dans les airs afin de le transpercer avec, ce qui lui ferait perdre trop de temps et augmenterait les chances d'une potentielle contre attaque d'un des alliées de son
Cette fois ci il va se montrer plus malin, usant l'extensibilité de son arme corporelle pour atteindre la proie sans avoir à bouger de sa position qui est déjà parfaite, faisant pousser un hurlement de douleur à la pauvre femme à moitié sonnée quand l'appendice pénètre sa peau à travers l'une des multiples couches visibles de l'iceberg dans sa tenue trop à découvert.
La douleur est insoutenable, se répandant auprès des proches de la personne touchée grâce au cri.
Eux ne peuvent imaginer à quel point l'expérience est douloureuse, mais ils essayent de compatir de leur mieux.
Heureusement, cela ne dure que l'espace de quelques secondes en vérité.
C'est juste que pour la principale concernée, ça donne l'impression de durer une éternité.
Une fois le tentacule retiré de son épaule touchée, du sang commence à en jaillir, ce qui n'est pas bon signe.
Déjà qu'elle saignait de la tête et avait des entailles un peu partout sur le corps.
Cette nouvelle blessure ne va pas aider à la guérir, et le pire n'a pas encore été annoncé.
Pour le coup, il y en a un qui est plus que outré par toutes ces conneries et qui sent l'adrénaline lui monter à la tête.

Carlos : Jill !

Prenant appuie sur l'une de ses mains, le courageux soldat use de ses forces encore suffisamment présentes pour se relever en vitesse, en ayant réussi à garder son gros atout dans l'autre main dont il se sert pour viser l'arme ultime d'Umbrella de cette période là.
Le Poursuiveur, dont on ne sait toujours pas le vrai nom si il en a un, s'apprêtait visiblement à repartir après réussi sans problème son action décisive quant à la survie de la flic mal en point, or il remet cette idée de côté pour l'instant car un piètre être humain a l'air de vouloir oser le défier en dépit du fait que le vainqueur de ce combat est déjà défini, et qu'il n'y aura pas de second round selon l'esprit du mauvais gros géant.
Qu'il en soit ainsi, les deux adversaire se foudroient du regard, préparant chacun leur potentielle initiative.
La hargne du mercenaire se fait d'autant plus ressentir par les propos qu'il tient, en reprenant sa langue natale pour l'occasion, signifiant clairement qu'il est de mauvais poil.

Carlos : ¡ Muere perra ! (Crève saloperie !)

Leur armes, construites par la société responsable du chaos présent à Raccoon City, sont levées.
Les coups sont près à partir.
Un duel digne des meilleurs westerns se joue à présent entre la créature immonde et le simple homme.
Qui sera le plus rapide ?
Il s'agit de celui qui a les doigts les plus fins sur le lot, à savoir Carlos pour ceux qui auraient un doute.
Une mine vient se loger à l'intérieur du lance missile, juste avant que celui ci ne veuille tirer une roquette, ce qui provoque une explosion du tonnerre qui détruit instantanément le bousin et propulse le tyrant contre le tram derrière lui, le faisant pousser un gémissement de douleur.
Néanmoins, cette attaque ne suffit pas à venir à bout du gros lourdaud qui demeure toujours debout, quasiment indemne.

Carlos : ¡ Dije "muere" ! (J'ai dit "crève" !")

Une nouvelle mine vient cette fois ci se coller au manteau de l'increvable monstre avant de le souffler encore plus contre la devanture du tramway, la détruisant en partie, et le faisant rentrer à l'intérieur de ce moyen de locomotion afin de mieux l'enterrer avec.

Carlos : Pero te vas a morir, ¿¡ sí !? (Mais tu vas crever, oui !?)

La dernière mine d'envoyée s'attache à la parois interne de la carcasse du véhicule, non loin du Poursuiveur qui se remet encore une fois assez facilement de ce qui auraient été être de lourds dommages pour lui, mais compte tenu de sa ténacité, ce n'est pas le cas.
Cependant, cette fois ci ce sera la bonne pour se débarrasser de lui, on l'espère définitivement.
Un concerto d'explosions survient alors, commençant par le rayon d'action touchée par l'explosif initial, puis s'enchainant avec d'autres facteurs qui donne un résultat qui aurait de quoi rappeler le jeu vidéo Goldeneye sur Nintendo 64 à une certaine policière geek sur ses bords si elle elle était capable de voir ça.
S'en suit alors un calme après cette tempête, ou ce déluge de flammes si l'on pût dire.
Seul le crépitement du feu qui s'est propagé sur tout ce qui reste de du tramway se fait entendre, avec juste quelques râles de corbeaux lointain qui ne viendront néanmoins plus nous emmerder eux non plus de leur côté pour la simple et bonne raison qu'ils ont bien compris la leçon après avoir observé cette dérouillée de loin sans oser y intervenir pour compliquer encore plus les choses.
Devant ce brasier, le Caporal Carlos reste muet, reprenant son souffle, et appréciant ce petit moment de répit.

Enfin crevé ce type ?
Putain...
Il était coriace.
Mais je l'ai eu.
Il ne pourra plus nous faire de mal.
Le Capitaine Mikhail serait fier de moi sur ce coup là.


Pendant qu'il est en train de savourer mentalement sa victoire, Amy qui avait été éjectée par elle même hors du ring, s'en va le rejoindre afin de profiter elle aussi du moment, malgré l'atroce odeur de fumée qui vient écœurer ses pauvres narines si fragiles.

Amy : Tu as réussi ?

Carlos : On dirait bien oui.

Un gémissement féminin situé non loin derrière lui, vient lui rappeler ce pour quoi il était là à la base, et sa tête se tourne immédiatement vers Jill, toujours à terre, avant que les jambes ne suivent l'initiative dans le but de la rejoindre et voir si elle n'a rien de cassé.

Carlos : Tiens bon Jill. J'ai eu l'autre pot de colle et il n'est pas près de revenir s'en prendre à toi.

Seule nouvelle blessure à rajouter par rapport à celles qu'elle avait déjà, est celle que le "pot de colle" lui a porté à l'épaule et d'où ne s'échappe pas tellement de sang, mais dont il faudra s'occuper pour éviter qu'elle ne s'infecte, même si ce sera déjà trop tard pour ça.
Quant à la demoiselle victime de nombreux grands maux, elle est inconsciente pour le moment, et ce n'est pas la voix charmeuse du beau latino qui va la sortir de cet état là.
Ce dernier est grandement préoccupé par tout ça, et ne veut pas perdre de temps à l'emmener dans un endroit qui serait pus sûr que celui où il sont à l'intérieur, et il se rappelle alors d'une chapelle qu'il avait vu sur la carte de tout à l'heure, et il se dit que si il n'y a pas d'ennemies pour interférer avec leur plan, ce serait le bon endroit où se rendre.

Carlos : Amy, aide moi à la porter s'il te plaît.

La blonde obtempère après avoir hoché positivement de la tête, et ensemble elle et le mercenaire épaulent la membre des STARS jusqu'au lieu mentionner juste en haut, sans savoir qu'un mal inconnu s'était glissé dans son corps et avait déjà commencé à la consumer lentement mais sûrement.
Ceci, il ne leur faudra pas longtemps pour s'en apercevoir, sauf que l'on verre ça une prochaine fois.
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Message  Léon Kennedy Jeu 5 Aoû - 20:18

Chapitre 17

Les râles des morts-vivants se mêlent aux croassements des corneilles pour accueillir parmi nous ce tout nouveau jour qui se lève sur Raccoon City, pour nous faire clairement savoir que cette ville autrefois si paisible, est désormais un vrai bain de sang telle la Commune de Paris en 1871, sauf que cette fois ci on dépasse l'entendement encore d'un cran avec les éléments de science fiction qui rentrent en jeu.
Un virus mortel est en liberté, et les morts sont sortis de leurs tombes pour s'en prendre aux vivants, ce qui donne donc lieu à des scènes que vous pouvez constater par vous même avec plusieurs centaines de ces ravageurs qui pullulent aux quatre coins de la cité, en manifestant clairement leur victoire, où il manque juste les banderoles et autres pancartes pour qu'on la leur cède encore plus.
Pour autant, au cœur même de cette zone de quarantaine encerclée par l'armée, se dresse fièrement un ultime bastion où beaucoup de choses vont se jouer à l'avenir pour un groupe de survivant, et que vous pouvez repérer entre autre grâce à son imposant tour de l'horloge qui domine à l'horizon.
Il s'agit du Beffroi de Saint Michael.
Au point le plus en hauteur de celui ci, dans ce qui n'est pas un clocher mais une salle des machines permettant d'actionner les cloches non visibles ici, se trouve une figure qui nous est familière puisqu'on a commencé à le suivre après avoir laissé de côté, et ce pour encore plusieurs chapitres de ça, la véritable protagoniste de cette histoire.
Le Caporal Carlos Oliveira est là, se tenant face à l'échelle qui lui a permis de monter ici depuis un balcon inférieur et qui lui permet de contempler l'horizon d'un air pensif, avec le soleil qui se reflète sur le côté gauche de son visage, étant donné que ce dernier se lève à l'Est.
L'homme de l'U.B.C.S. est épuisé, au bout de ses forces, mais il se doit tenir le coup.
Pour elles.
Pour elle.
Malgré tout, il a du en faire des allers et retours dans ce manoir qui ne s'assume pas, à récupérer des clés qui ouvrent des portes donnant sur une énigme avec trois tableaux, puis une autre liée à des boites à musique, avant de récupérer des engrenages afin de réparer l'horlogerie en place afin d'envoyer le signal pour qu'un hélico vienne les récupérer comme c'était prévu de base dans le plan du Capitaine Mikhail Viktor de son vivant.
Tout ça en éliminant toutes les saloperies d'araignées vicieuses qui ont élu domiciles dans cet endroit.
Et on peut dire que le bougre à réussi à faire tout ça en une nuit blanche qui l'a donc lessivé comme dit plus haut.
Tout ce casse tête mis de côté, nous pouvons savourer le doux bruit des cloches qui résonne à travers nos oreilles et les siennes aussi, ce qui aura de quoi alerter toute la citée déchue qu'il y a quelque chose d'important se déroule en ce moment même par ici.
Cependant, ceci, le résolveur de d'énigmes n'en a rien à faire, car il y a plus important en jeu en ce moment même.
Quelque chose d'important devrait venir, et pourtant il ne vient pas, ce qui mine de rien a de quoi lui faire grincer des dents, ainsi que faire perdre sa patience, comme en témoigne ce qu'il se dit dans sa tête.

Où est ce putain d'hélicoptère ?
Il faut qu'il vienne.
Ce n'est possible autrement.
Sinon comment on s'échappera de cet enfer ?
Comment elles s'échapperont ?
Je me dois de remplir la mission qui 'm'a été confié.
Même si c'était par les mêmes connards que d'habitude.
Pour qu'elles puissent s'en sortir.
Afin qu'elles ne subissent pas le même destin que le tiens.
Ma douce et chaude Candela.
Avec un peu de chance, je m'en sortirai aussi.
J'ai réussi à me débarrasser de ce monstre qui en avait après Jill.
Cela rachètera peut être mes fautes passées.
Quand je faisais plus sauter les civils que de les sauver.
Seul le Ciel pourra être clément avec moi sur ce coup là.
Si Dieu en a quelque chose à faire de nous.
Au lieu de nous laisser entre les mains du Malin.
Enfin...
Si tout ça existe vraiment, autant qu'on a voulu me faire croire jadis.
Je nage dans le dou...
Le voilà enfin !


Un Sud-Aviation SA330 Puma, tels que ceux qui les ont conduit à cet enfer quelques jours plus tôt, débarque dans le ciel matinal de cette journée qui risque peut être de se terminer plus tôt que prévu, ce qui fait réagir le caporal de manière rapide puisqu'il ne perd pas de temps et descend en glissant la première échelle qui se présente à lui.
Celle ci lui permet d'accéder au balcon en contrebas où c'est un véritable foutoir puisqu'il y a un projecteur tourner vers la porte menant au hall, sauf que celui ci trempe dans de l'eau, et si jamais quelqu'un avait le malheur d'activer l'interrupteur pour l'allumer, il se ferait rôtir sur place.
Pas le temps de se questionner sur ça, Carlos ouvre la porte menant à l'étage de la pièce d'entrée de ce beffroi d'où nous n'avions vu que le rez-de-chaussée quand il s'était rué pour sauver Jill Valentine dans le chapitre précédent, et là encore une fois il a à peu près le même objectif qui est de la rejoindre.
Pour faire cela, il court en avant pour ensuite tourner sur sa droite plusieurs mètres plus loin, puis il continue encore loin pour à nouveau tourner sur sa droite, puis il se dépêche de descendre les gros escaliers de la zone d'accueil qui le ramène là il y avait le cadavre de son confrère mercenaire qui lui avait gratuitement refilé le lance mine.
On peut remercier à titre posthume le Caporal-chef Campbell sans qui l'affrontement face au Poursuiveur aurait été grandement plus difficile, il ne faut pas se le cacher, et on espère que cette créature restera enterrée six pieds sous terre dans ce tramway en flamme où on l'a laissé brûler sans qu'il n'y ait de cheminée à alimenter.
Ce qui nous intéresse là c'est la double porte à la droite de l'hispanique que l'on suit une fois qu'il a descendu entièrement les marches, qui le fait passer à côté du cadavre qui a eu de la chance de ne jamais se réanimer en zombie, il faut quand même le souligner ce petit détail.
La prochaine salle à laquelle il accède à une grande salle à manger assez luxueuse avec les chaises correctement rangées tout autour de la table centrale, avec une cheminée n'étant point alimenter par un hideux monstre au fond de la pièce, mais comme il fait encore assez chaud en ce début de saison, il n'y a pas besoin de cela.
Pas le temps de manger un coup avant de repartir car il y a plus urgent en jeu, et c'est pourquoi le mercenaire passe vite fait par ici pour rejoindre la prochaine salle qui se démarque de celle ci sur de nombreux points que je vais vous décrire immédiatement.
La salle de dance à trois voies d'accès, que ça soit la porte d'où il provient, celle juste à gauche qui ramène dans la cour avant où il a affronté le colosse armé de ses tentacules et d'un lance roquette, et pour finir la dernière juste en face qui est la zone où il souhaite se rendre, mais nous y reviendrons un plus tard car on peut s'arrêter deux secondes sur des éléments intéressant dans cette pièce.
Tout d'abord, il y a le magnifique piano à queue qui se trouve sur la partie gauche de cet endroit, où on pourrait essayer d'être le nouveau Beethoven, si on du temps à perdre, ou bien si on veut ouvrir un passage dérobé, sauf que Carlos n'a nullement le tempos pour faire ça actuellement.
Il pourrait à la limite s'inquiéter de ce qu'il se passe à sa droite où nous avons de grandes baies vitrées donnant sur l'extérieur, où des morts sont entrain de taper à intervalle régulier contre celle ci, de manière lente, pour essaye vainement de créer une brèche par laquelle se faufiler pour manger du latino en ce matin riche de vitamines, ce qui ne plaît pas trop au gaillard en question qui n'a plus que quelques pas à faire pour retrouver le deux donzelles qu'il a quitté auparavant pour faire toutes ces énigmes tordues en vu de faire venir l'hélico.
Nous nous retrouvons alors dans une petite chapelle où il y a des bancs sur lesquels notre vaillant héros aurait de quoi de confesser et prier vis à vis de ses fautes de jadis, bien qu'il ne soit pas très pieu, chose qui veut dire qu'il ne le fera pas, à moins d'être forcé à le faire.
À sa droite se trouver aussi une vieille mal en bois dans laquelle il a stocker son lance mine et quelques pièces de son attirail car ça lui pesait trop lourd, et puis comme ça ils sont dans un endroit pratique pour les récupérer, surtout à côté d'une machine à écrire où il peut y enregistrer ses données si ça peut bien vouloir lui dire quelque chose d'employer de tels termes en face de lui.
Jill Valentine est présente dans ce lieu religieux, couchée et inconsciente sur l'autel au bout de la pièce, en attendant l'arrivé d'un prince charmant pour la sortir de ses songes, même si ça ne marche que dans les contes de fées ça, et notre caporal survivant le sait très bien, bien qu'il souhaite à tout prix à lui sauver la mise.
Amy Markley, sans sa fursuit mais avec un STI Edge pour assurer ses arrières, veille sur la Blanche Neige presque aussi pale que cette dernière, et elle sait immédiatement pour quelle raison son camarade de survie est de retour en attendant les cloches sonner à attirer tous les zombies de la ville jusqu'ici.
Il n'en faut pas plus pour qu'il lui confirme ce qu'elle pensait,, et ce que vous pensiez aussi au passage.

Carlos : L'hélico est arrivé ! On va pouvoir évacuer.

Amy : C'est bien. On pourra peut être apporter de l'aide à Jill.

Carlos : Elle n'a toujours pas repris connaissance.

Amy : Non toujours pas. C'est inquiétant.

Carlos : Comme tu as dit, on va réussir à l'aider, comme elle a nous a aidé à survivre jusque là.

Amy : On fait quoi pour elle là ?

Carlos : Je vais la porter sur mon dos, et on sort dans la cour être ramassé par les renforts.

Amy : Je suis contente qu'Umbrella ne nous ait pas laissé crever comme ils auraient bien pu faire.

Carlos : Oui, ils auraient pu étouffer cette affaire, mais on dirait qu'ils veulent sauver les meubles.

Amy : Allons y !

Le mercenaire plus costaud qu'il n'y parait prend la flic par ses deux bras pour faire en sorte qu'ils enroulent son cou à lui, pour ensuite faire passer le reste du corps sur son propre dos, ce qui lui permet de la transporter sans souci, en gardant sa mitraillette dans ses mains, puis il sort de la pièce en même temps que la troisième tête d'affiche.
Ensemble, ils passent vite fait par la salle de dance où les goules se font de plus en plus nombreuse derrière les vitres, comme attirées par le boucan provenant des cloches de la tour de l'horloge, tels des moustiques venus voir ce qu'il se passait du côté de cette moustiquaire qui aura forcément raison de nous quoiqu'on y fasse.
Une fois enfin à l'extérieur, ils peuvent constater que l'hélicoptère est actuellement en train de prendre un créneau dangereux pour atterrir, bien qu'il ait de la chance que le tram et le Poursuiveur aient fait de sacrés dommages dans cette zone pour rendre cela possible, ce qui nous fait nous demander comment ça se serait passé autrement.
Notre trio favori observe l'engin se poser, puis deux mercenaires en sortir pour les entourer, et on peut déjà sentir que quelque chose ne va pas à la tête qu'ils font, ce qui fait que leur collègue de l'U.B.C.S. comprend qu'il y a un hic, avant de percevoir trop tard de quoi il s'agit exactement, alors que c'est un scénario dont il aurait dû se douter.

Mercenaire 1 : Est ce qu'elle est infectée ?

Mercenaire 2 : Répondez !

Carlos : Oui, elle est infectée, mais on peut trouver un moyen de la sauver une fois à l'extérieur de cette zone de quarantaine.

Mercenaire 1 : C'est trop dangereux.

Mercenaire 2 : On ne la prend pas.

Amy : Mais vous ne pouvez pas faire ça !

Mercenaire 2 : Si, on peut, car c'est nous qui sauvons votre cul.

Carlos : Amy...

Amy : Carlos ?

Carlos : Pars sans moi, je vais rester ici pour trouver un moyen de la guérir.

Amy : Je ne peux pas d'abandonner comme ça, aussi facilement !

Carlos : Si quelqu'un doit survivre, c'est au moins toi.

Amy : Carlos...

Carlos : On se reverra après la fin de cet Enfer, promis.

Mercenaire 1 : Montez à bord de l'appareil.

Mercenaire 2 : Si vous ne vous dépêchez pas, on vous abandonne avec eux deux.

Amy : J'arrive ! C'est juste que...

Carlos : Sois forte Amy.

Amy : Je le serai. Au revoir.

Mercenaire 1 : On a la survivante, on peut décoller.

Séparée des autres, Amy peut voir depuis l'arrière de l'aéronef, Carlos et Jill s'éloigner de plus en plus de là où elle se situe, les faisant disparaître au bout d'un moment, sans aucun moyen de leur venir en aide, impuissante comme elle, alors que pourtant tout s'était annoncé idéal en ce début de journée.
De leur côté, l'envolé de l'appareil volant a laissé sa place à de lourds gémissements qui viennent combler l'arrêt des cloches, ainsi que du bruit du moteur de la machine de guerre, où ils ne vont plus pouvoir ne compter que sur eux même pour se sortir de cette situation désastreuse dans laquelle ils se trouvent.
Une ombre portant chance à Carlos risque de se montrer présente pour l'occasion, alors que ce dernier est pensif.

Amy...
J'espère qu'Umbrella ne te fera pas taire.
C'est le mieux que je puisse espérer pour toi.
On se reverra, il faut que j'y crois.
Maintenant, je n'ai plus qu'à veiller sur Jill en vérifiant si son état s'améliore ou pas.
Je n'ai plus que ça à faire.
Ce qu'il me faudrait, c'est de trouver l'un des repaires d'Umbrella afin d'y chercher un vaccin.
Peut être qu'il y en a un pas loin d'ici.
Je ne connais pas cette ville donc je vais m'y perdre si je vais farfouiller partout à l'aveuglette.
J'aurai besoin d'un guide.
J'aurai besoin de toi.
Jill...


C'est sur ces bonnes paroles internes que nous allons nous quitter aujourd'hui, et la suite s'annonce être amusante.
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Message  Albert Wesker Jeu 10 Fév - 13:34

Chapitre 18

30 Septembre 1998

Même Endroit

Libérés de l'Enfer, c'est ce qu'aurait pu vivre Carlos Oliveira et Jill Valentine si ce maudit hélicoptère leur avait laissé une chance de s'en sortir, même si le bon sens veut qu'une personne infectée comme la star des STARS peut se révéler dangereuse pour le reste de la planète si elle venait à s'échapper.
Néanmoins, le beau latino, toujours au service des plus faibles, se porte garant de sa sécurité tout en aillant des doutes qui le submergent vis à vis des sentiments qu'il porte pour celle dont ça fait presque deux jours qu'elle est inconsciente sans aucun signe pouvant nous dire qu'elle va aller mieux.
Au contraire, son état à l'air d'empirer au fur et à mesure que le temps passe, avec de fortes fièvres et aussi la propagation d'un liquide violet dans ses veines, qui doit être en lien avec ce que le Poursuiveur lui a injecté avec l'un de ses tentacules de la même couleur.
Donc il faudrait un vaccin pour la soigner, mais où trouver ça, hormis en farfouillant toute la ville pour chercher les différents complexes d'Umbrella Corporation  plus ou moins cachés, afin d'éviter qu'elle ne subisse le même sort que le défunt soldat Murphy Seeker qui avait failli devenir un zombie si Nikolai Zinoviev n'était pas intervenu.
Que leur âmes restent en paix à tous les deux, bien que ça ne change ne rien la pénibilité de la situation que vit le latino au grand cœur qui fait les cent pas à se surmener sans parvenir à trouver le sommeil, craignant très fortement qu'elle reprenne connaissance et essaye de le dévorer par la même occasion.
Pourtant, il aimerait au plus profond de son être qu'elle se réveille et aille mieux, aussi magique que cela est.

Jill...
Je ne peux pas t'abandonner ici, seule, pendant que je cherche un antidote au mal qui te ronge !
Je suis dans une impasse !
Fais chier !
J'aimerai tellement t'aider.
Que dois je faire ?
Si seulement je n'avais pas ses sentiments que j'ai pour toi...
Non !
Faut que j'arrête avec ça.
Je ne l'aurai pas abandonné, même si ça avait été platonique entre elle et moi.
Cela s'est fait plutôt rapidement.
Un coup de foudre, et de la survie qui entretient nos liens, ça fait beaucoup.
Pour l'instant, je serai loin de savoir si cela est réciproque.
Après tout ce n'est pas le plus important à présent.
Te soigner et nous barrer de là, ce sont ces deux points qui sont essentiels.
Je ne saurai même pas par où commencer ?
Si tu étais consciente, tu pourrais me donner un indice à ce sujet.
Je sais que ces salauds d'Umbrella ont des sites secrets dans le coin, mais où ?
Pas dans ce beffroi en tout cas.
Je l'ai déjà farfouillé en long et en large.
Hormis des araignées mutantes, et ces saletés de morts vivants, il n'y a rien d'autre ici.
Il y avaient.
Je m'en suis débarrassé.
Même de ceux d'à côté qui avaient été attirés par les sons de la cloche.
Je n'ai plus de munitions dans mon  pistolet, mais il m'en reste dans ma M4.
Espérons que ça tienne le coup pour un moment.
J'ai entendu que ça se bastonnait pas loin d'ici.
J'aurais dû m'approcher pour voir de quoi il s'agissait.
Cela aurait pu être de précieux alliés, ou de précieuses balles si il n'avaient pas survécu.
Je fais un piètre héros...
Bordel...


Alors qu'il s'apitoie sur son sort et sur celui de celle qu'il aime en secret, cette dernière commence à bouger les doigts de ses mains tout en gémissant fortement, ce qui attire l'attention du prince charmant qui est ravi de voir que la belle aux bois dormant reprend enfin ses esprits, même si ce n'est pas dans le meilleur des états.
Ses yeux à elle s'ouvrent difficilement, puis une fois que c'est fait, ils cherchent du regard son protecteur.

Jill : Carlos ?

Carlos : Jill !

Jill : Tu as battu l'autre monstre... ?

Carlos : Oui, et normalement, il ne reviendra plus jamais nous emmerder.

Jill : Où est... Où est Amy... ?

Carlos : Elle a pu évacuer en hélico, mais pas nous. Enfin c'est surtout toi qu'ils ne voulaient pas embarquer.

Jill : Tu m'étonnes...

Carlos : Nous trouverons un moyen de sortir de ce territoire des morts, je te le promet.

Jill : Merci...

Carlos : Le plus important, c'est d'abord de trouver un moyen de te guérir du mal qui te ronge.

Jill : En effet... Je sens ce virus se répandre dans mon corps...

Carlos : Je dois avouer que ne connaissant pas Raccoon City du tout, je ne sais pas où trouver cela.

Jill : On est dans la tour de l'horloge Saint Michael... C'est ça ?

Carlos : Oui, le beffroi.

Jill : L'hôpital général de Racoon City est juste à côté...

Carlos : Tu penses qu'ils ont une sorte de vaccin contre ce virus ?

Jill : Chris pensait qu'ils traficotaient avec Umbrella... Donc c'est possible...

Carlos : D'accord. Il faudrait que j'enquête de ce côté là, mais je ne peux pas te laisser seul dans ton état.

Jill : C'est bon.... Pas besoin de t'inquiéter pour moi...

Carlos : J'ai de bonnes raisons de m'inquiéter. Je n'ai pas envie que tu te fasses dévorer par un zombie en mon absence.

Jill : Tu es trop gentil... Cela te perdra.

Carlos : Il faut dire aussi que j'ai une autre raison qui fait que je ne peux pas te laisser seule dans le pétrin, outre mon côté chevalier servant que j'ai de base.

Jill : Quelle est cette raison... ?

Carlos : La vérité est que je voue de forts sentiments pour toi, depuis que l'on s'est rencontré.

Jill : Tu m'aimes... ?

Carlos : Exact.

Jill : Je ne sais pas si c'est réciproque... Tout ce que je sais... C'est que je suis amoureuse de mon partenaire Chris Redfield...

Carlos : Je m'attendais à être peut être rejeté car c'est vrai que c'est pas vraiment le moment pour une idylle romantique.

Jill : Laisse moi réfléchir là dessus pendant ton absence... Puis on verra sur quoi nous partirons.

Carlos : Merci.

Jill : Ne t'avoue pas déjà vainqueur...

Carlos : Désolé, c'est juste que je suis un peu trop sûr de mon coup.

Jill : Tout ça pour dire que tu peux y aller sans moi... Je tiendrai le coup jusqu'à ton retour...

Carlos : Je tâcherai de ne pas être trop long.

Jill : Merci...

Carlos : C'est l'heure de faire les Voyages de Gulliver.

Jill : Reviens vite monsieur l'aventurier...

Carlos : À bientôt !

C'est avec un grand sourire sur son visage que l'hispanique s'en va explorer à nouveau le reste du bâtiment dans lequel ils se trouvent afin de trouver la porte de sortie permettant de sortir d'ici, et il a peut être son idée sur la localisation de la porte de sortie de ce buffet froid.
Il y avait une cloche qui gênait une porte dans la salle aux tableaux avec le mercenaire et la filles décédés.

Maintenant que mes sentiments pour elle ont été clarifiés, je dois me débrouiller pour lui sauver la vie.
Ce ne sera pas facile mais il faut que j'arrive.
Le Capitaine Mikhail serait fier de moi si il me voyait faire tous ces efforts pour sauver une vie.
Murphy aussi.
Dommage qu'ils ne soient plus là pour voir ça.
Où qu'ils soient à présent qu'ils sont morts, je tâcherai de les rendre encore plus heureux.
Cette mission va me faire devenir croyant à force.
Ce serait un comble, vu comment je n'ai pas été pieu jusqu'à présent.
Mon image de prince charmant est toute récente, mais je vais m'y tenir.
Je le dois pour elle, vu qu'elle a été l'une des premières à y croire.


Le voilà qu'il retraverse le hall armé de son fusil d'assaut en rebroussant chemin par rapport à de là d'où il est venu à la base, quand il avait croisé Amy toute chamboulée par les actions qu'elle avait dû faire avec un pistolet pour survivre face aux menaces tapis dans l'ombre de ce Manoir 2.0.
Cependant la suite, nous la découvrirons une prochaine fois car on a quand même bien avancé dans ce chapitre.


Dernière édition par Albert Wesker le Mer 21 Juin - 13:53, édité 2 fois
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Message  Albert Wesker Mer 14 Juin - 21:24

Chapitre 19

Des gouttes de pluies se rejoignent sur le pavé servant de sol à cette route ouverte, donnant droit au beffroi que l'on commence à bien connaître, en faisant plic et ploc en très grand nombre, de quoi donnant une certaine rythmique à l'ambiance sonore qui autrement se résumait aux râles des morts ou les croassements des corneilles.
Par moment, on pourrait presque entendre des loups hurler au vent, sauf qu'il ne s'agit pas vraiment de loups.
Il serait le temps idéal pour sortir notre plus beau parapluie en rouge et blanc afin de rajouter une petite dose d'ironie quand à la situation que l'on vit, mais malheureusement Carlos qui vient tout juste de sortir de salle des tableaux du la tour de l'horloge en étant resté depuis plus d'un jour au sec auprès de la femme qu'il aime.
Maintenant, il faut la sortir de l'état dans laquelle elle se trouve pour espérer avoir une réponse à cet amour fou.
Par chance, il remarque dés lors qu'il est sorti, qu'il n'y a pas l'air la moindre trace de morts vivants sur le chemin, en avançant un peu jusqu'à se trouver sous la flotte face à un choix vers où aller, et encore une fois, je le répète, il n'y a pas la moindre présence des zomzoms pour venir gâcher la fête, ce qui est tant mieux.
Le mercenaire peut souffler un bon coup en essayant la transpiration mélangée à l'eau naturelle qui s'écoule sur son visage, ce qui lui permet de profiter d'une petite douche chaude pour la saison qui le lave aussi des saletés qu'il y avait accumulé après plusieurs jours sans avoir pu changer de vêtements ou se nettoyer le corps.
Toutefois, il n'est pas là pour rien glander, chose qui veut dire qu'il va essayer de trouver l'hôpital mentionné par Jill après son réveil, et qui devrait être juste à côté de la tour Saint Michael d'où il vient de de quitter les lieux, mais reste à voir si il faut continuer à gauche ou à droite.
Testant la droite pour essayer, il découvre que cela mène au parc de la ville où la grille est visiblement fermée par un gros cadenas qui fait bien tâche, sans qu'il n'ait la clé permettant d'y avoir accès, mais c'est pas grave car c'est à gauche qu'il faut passer, faisant qu'il voit apparaître assez rapidement un gros "Raccoon Hospital" droit sur la devanture du bâtiment qui sert justement à soigner des patients.
Il quand même ne pas oublier de mentionner les liens que cet édifice a probablement avec Umbrella et ses expériences, ce qui veut dire que le personnel médical a dû faire pas mal de crasse par le passé.
Quand il faut y aller, il faut y aller, assez rapidement, histoire de se remettre au sec, tout en pensant à la suite.

Je ne veux même pas savoir ce sur quoi les chercheurs de cet hôpital ont pu travailler.
J'espère que je ne tomberai pas sur pire que le Poursuiveur ou ces araignées que j'ai pulvérisé.
Peut être qu'il y a des survivants qui pourront m'être utile dans ma quête du vaccin.
Je ne suis plus qu'un personnage de jeu vidéo qui avance en suivant les scripts sans plus rien réfléchir.
J'exagère un peu.
Je ne suis pas aussi inutile.
J'ai réussi à maintenir en vie Jill jusqu'à présent.
Et ça, ça n'a pas de prix.
Bon allez !
Voyons voir qui nous attend à l'intérieur de cet hospice !


Sous une ambiance tendue, il s'avance vers les doubles portes automatique qui lui permettent de pénétrer au sein de ce lieu servant à soigner les gens où néanmoins l'odeur de la mort plane dans l'air, plus que d'habitude, car c'est la défaite des êtres humains qui règne comme sentiment quand on arrive par ici.
Nous avons depuis le point de vue de Carlos, une double porte à sa gauche qui mène à la salle d'attente mais qui est bloqué par un rideau de fer dont il ne sait pas comment l'enlever, surtout qu'il y en a un autre au bout à gauche, dans un recoin sombre d'où il ne peut voir la lumière d'un distributeur de boisson, une autre porte métallique qui empêche d'emprunter les escaliers menant aux autres étages de cet endroit.
Nous pouvons signaler aussi une sorte de pilier qui se trouve au beau milieu de la pièce, entachant la lisibilité de cette salle, et caché par ce dit pilier se trouve une porte qui mène à priori aux bureaux du personnel médical, qui est le seule chemin ouvert pour notre mercenaire qui est toutefois perturber par autre chose.
De nombreux corps sans vie jonchent l'endroit, que ça soit des docteurs qui ont péri au début de l'épidémie mais qui ne sont jamais devenus des zombies jusqu'à présent, ou bien plus récemment des soldats de la Delta Force de l'Armée de Terre qui ont été décimés par des ennemis non identifiés, bien que les traces de griffes présentes sur leur cadavres ne laissent que notre imagination d'imaginer le pire, et ça ça fait flipper notre homme autant que nous.
Le responsable de ce massacre n'est peut être pas là, et n'a rien à voir avec un homme sangsue qui avait été combattu par ici il y a quelques jours de cela, quand l'épidémie avait ravagé l'hôpital comme une souris avec un bon gros gruyère posé devant elle.
On peut cependant se dire qu'on pourrait bientôt le croiser, si on jette un œil plus approfondie à l'espace situé plusieurs mètres devant la belle gueule latino où quelques bruits se font entendre alors même qu'il vient de pénétrer dans cet endroit pas vraiment idéal à visiter lors d'une pandémie de zombies.
En parlant d'eux, l'un des leurs émerge du dit espace où il devait être en train de déguster son repas du soir, dont les traces de chairs se trouvent encore sur le coin de sa bouche qui a commencé à se décomposer, laissant mieux ses dents paraîtres à l'instar du Poursuiveur, alors que sa tenue de patient laisse suggéré que cela fait un moment qu'il a été infecté par le Virus Tyrant, responsable de tous ces maux en ville.
Cependant avant que la chair à canon envoyée par Umbrella ne puisse dézinguer ce revenant, un cri semblant venir d'une sorte de dinosaure comme on pourrait se l'imaginer après avoir maté Jurassic Park, se fait entendre d'au dessus du mort vivant, puis le conduit d'aération s'y trouvant se fissure, révélant une ombre rougeâtre qui atterri devant sa cible qu'il décapite en un seul coup sans ménager.

[FIC] Resident Evil 3 - Page 2 6af27d2a53b6f82f7b65ed7ddfbf3ab3

Ressemblant à son modèle précédent, l'Alpha, ce Hunter Beta comme le nomment leur créateurs d'Umbrella Europe, reconnaissable entre mille de part par ses excroissance rouges qui occupent la moitié droite de la tête jusqu'aux épaules, ainsi que de ses griffes plus grosse qui font bien plus de dégâts, forcément, sans compter sur ses reflexes qui ont été amplifiés, ce qui finit par vite se voir.
Quand Carlos lui ouvre le feu avec sa carabine, la bestiole évite ses tirs avec aisance avant de se lancer sur lui pour le décapiter à son tour, sauf que c'est mal connaître son adversaire qui esquive avec une certaine habilité notable, pour ensuite enchaîné par d'autres tirs bien plus proche et beaucoup moins ratable, chose qui fait que la créature finit par rendre l'âme en se mangeant des pruneaux dans la gueule.
Encore sous le choc de ce qu'il vient d'affronter avec classe, notre aventurier se remet de cette rencontre.
Aussi tumultueuse fut elle, cela ne l'empêche pas à lui de penser très clairement après cette attaque foirée.

Qu'est ce que c'était que cette abomination ?
Limite plus glauque que le Poursuiveur à mater.
Si il y en a d'autres comme elle, je ne veux pas les croiser.
Quand tu penses que Jill a affronté ce genre de bestioles avec les autres STARS dans ce manoir.
Si seulement j'avais pu être là à cette époque.
Avec le Capitaine, et peut être Nikolai, on aurait pu les faire tomber.
Pour le Colonel, je ne le connais pas assez pour savoir quel camp il aurait choisi.
Il se serait peut être mêlé aux deux autres russes.
On aurait pu tellement faire.
Je peux encore le faire.
Récupérer un putain de vaccin et sauver Jill.
Voir en faire plusieurs et peut être sauver le monde.
Je n'en demande pas moins.
Je dois arrêter d'être trop pessimiste envers mes compétences.
Je suis plus fort que je ne le laisse paraître.
Murphy se serait déjà moqué de moi pour ça, en plaisantant.
Je vous vengerai tous.
Je vous en fait le serment.
Maintenant allons y.
Une femme m'attend.


En entrant dans les bureaux, il s'assure qu'aucune mauvaise surprise ne l'attend encore une fois derrière la porte qu'il ouvre, mais c'est bon, il n'y a rien à craindre à priori, et il peut donc baisser son arme pour l'instant, bien que l'on ne soit jamais sûr à cent pourcent qu'on est hors de danger dans cette ville infernale.
Un gros bureau central se trouve à sa gauche, le séparant de la deuxième porte de cette salle dont il ne peut voir le contenu, à cause des rideaux fermés, donc le prudence est de rigueur pour éviter à nouveau le coup d'un reptile qui fait une soudaine apparition pour mieux détacher la tête du reste de ton corps.
Rien de bien intéressant se trouve sur la grande table, exceptée cette machine à écrire d'aussi bonne qualité que celle du beffroi qui nous fait rappeler que les mails c'est pas encore trop la mode à cette époque là où se déroule notre histoire, ainsi nous devons nous montrer bienveillant quand aux us et coutumes de jadis.
Sur le sol en revanche, on peut constater que des mouchoirs imbibés de sang se trouvant à droite et à gauche sans savoir à qui ce sang peut bien appartenir puisque il n'y a aucun cadavre dans cette pièce, mais la piste semble mener à la prochaine salle d'où aucun bruit notable ne provient, juste un silence mortel.

On dirait qu'il y a quelqu'un qui était blessé.
Le carnage qui a dû avoir dans le coin.
Je n'aurais pas aimé y être.
En première ligne sur le front des morts vivants.
Paix à leur âmes.
Je dois faire gaffe ne revanche.
Il doit y avoir plus que ce zombie que j'ai croisé dans l'autre salle.
Pas sûr que tous les reptiliens comme l'autre chose les aient tous buté.
J'aurais pas cette chance.
Bon, allons y.


Du bout du canon, il ouvre la porte qui l'emmène à la salle de repos du personnel médical où nous pouvons retrouver des charriots roulant au milieu de salle sur lesquels se trouvent de la nourriture imbibés de sang qui parait immangeable désormais, chose qui est compréhensible car l'hémoglobine n'a pas le meilleur des goûts.
En partant de la droite de Carlos et en tournant encore à droite plus loin, nous avons un ascenseur qui normalement devrait être verrouillé en temps normal, mais d'autres survivants sans passés avant lui, permettant de l'ouvrir et d'avoir accès aux autres étages de l'hôpital, que ça soit en hauteur ou en sous sol.
Sur la gauche se trouvent deux divans posés de deux côtés d'une table basse pour pouvoir se détendre, avec les casiers des employés juste derrière, dont l'un est grand ouverte, laissant sous entendre que quelqu'un est venu ici vider le sien de casier, ne laissant plus rien derrière lui.
La piste des mouchoirs ensanglantés mène à un homme décédé totalement avachi contre l'un des canapés, des traces de morsures dans le cou, avec son journal intime baignant dans son propre sang, que notre héros ramasse avec prudence, au cas où il viendrait à se réveiller, pour en lire le contenu de ce qui est encore lisible.

10 Septembre

Ces patients souffrent de gangrène et de congestion de leur sang dans un premier temps. Puis leur esprit se détériore lentement. En fin de compte, il ne reste rien de leur esprit. Lorsque cela se produit, même le meurtre par pitié semble inutile. Après tout, ils sont déjà morts...

Cette maladie ne ressemble à rien de ce que j'ai jamais vu. Une fois que l'esprit du patient est parti, ils deviennent des monstres affamés de chair et agissent comme des animaux sauvages qui sont sur un certain type de soif de sang.

18 Septembre

Un autre patient a été admis à l'hôpital. Il montre des symptômes des premiers stades de la maladie à ce stade, mais... Je n'ai pas pu dormir du tout ces derniers jours. Je refuse de laisser ces patients devenir des "zombies". Je ne suis pas qu'un simple citoyen. Je suis médecin. Même si je meurs, mes dossiers cliniques contribueront à trouver un remède.

26 Septembre

Nous avons perdu la plupart des médecins et du personnel lors de la bataille contre les patients "zombies". Il est impossible de maintenir l'hôpital dans ces conditions. Et, je sais que c'est trop tard pour moi. Je commence à ressentir ce même désir de démangeaisons et de faim que tous mes patients ressentaient.

C'est trop tard pour moi... Peut être que cette créature faite de sangsues pourra m'éviter un long calvaire...

Les informations contenus sur ces traces écrites du défunt docteur permettent d'établir une chronologie de l'épidémie qui s'est abattue sur la ville, montrant que les gens se changeaient déjà en créatures d'outre tombe avant même que l'as assassinat raté de William Birkin ait eu lieu, avec les rats qui ont accéléré le processus en répandant le Virus T à travers les égouts, alors que la cité était déjà condamnés par les actions du chercheur d'Umbrella au préalable.
Néanmoins, le mercenaire affilié à cette entreprise de connait pas tous les détails qu'ont appris Claire Redfield et Leon Kennedy de leur côté, et il doit faire sans pour essayer de mieux comprendre la situation dans laquelle il est, et si vous ne connaissez pas les détails comme lui, je vous conseille de lire la fiction Resident Evil 2.

On dirait bien que tous les soignants de cet hôpital n'étaient pas forcément affiliés à Umbrella.
Cela me rassure quelque peu.
Le contraire m'aurait affligé.
C'est juste dommage qu'ils soient à priori tous morts.
Ou en tout cas ceux qui ont survécu se sont fait la malle depuis un moment déjà.
Je peux les comprendre.
Qui voudrait rester dans ce foutoir ?
Pas moi déjà.
Bon, prenons l'ascenseur et trouvons cet hypothétique vaccin.
Plus vite je serai parti d'ici, mieux je me sentirai.


Ceci étant pensé, cela est fait quand il ouvre les portes de l'ascenseur en pressant le bouton d'appel sans avoir besoin de l'attendre, ce qui veut dire que le dernier a l'avoir emprunté s'est arrêté à l'étage 1F où il se situe, ce qui est pratique quand même, il faut se le dire.
Une fois monté dans l'élévateur, Carlos appuie sur le bouton 4F car il a prévu de commencer à fouiller cet endroit du plus haut au plus bas, sans passer par l'héliport sur le toit car il ne croit sincèrement pas que le vaccin se trouvera là bas, étant donné la logique si on se tient à ça.
Les portes se referment et l'engin se met à tourner, le faisant monter des échelons dans cet hôpital, lui permettant de se reposer un petit peu en baissant son fusil, et en s'épongeant encore le front car il est tout humide, mais baisser sa garde est vraiment mauvais pour lui car n'importe quelle menace peut surgir pour le gnaquer.
Soudain, quand les portes se rouvrent, notre mercenaire imprudent fait face à carrément cinq zombies de patients et infirmières qui veulent bien croquer ce corps si juteux, allant plus loin que simplement la cervelle, et ils essayent de le choper pour y arriver.
Ayant des reflexes du tonnerre, le héros de ces dames recule pour se coller contre la parois de l'ascenseur, puis il se met à mitrailler dans le tas, en visant si possible la tête dans le but de ne pas finir comme ses hommes qui s'étaient fait dévorer par ces mangeurs d'outre tombe, où lui seul avait survécu.
Quelques crânes sont perforés pour le coup, mais un seul de ces morts-vivants parviennent à passer les mailles du filet afin de planter ses crocs dans le bras nu de celui qui finit infecté et qui le repousse d'un coup de pied, disant adieu à un morceau de chair lui appartenant.
Avec une autre balle sorti de sa M4, il parvient à éliminer ce dernier zombie, qui se met à gigoter encore un peu une fois sur le sol avec ses confrères revenants, mais au moins ils sont morts pour de bon cette fois ci et ne l'emmerderont plus, alors qu'il est passé à deux doigts d'un destin funeste.
Le Caporal Oliveira se tient le bras, là où il a été tout touché, et il gémit de douleur en voyant cela, grinçant des gents, puis il sort de cet endroit bien trop étroit pour lui, se retrouvant dans un couloir en T qui mène à des chambres d'hôpitaux, ainsi qu'à la salle des données, tout en étant dans un foutoir comme pas permis.

Cet enfoiré m'a eu !
J'ai été imprudent.
Merde !
Bon, faut que je reste calme.
La prochaine fois, je prendrai les escaliers.
Ce sera plus épuisant mais moins dangereux.
Maintenant il faut que je trouve un vaccin pour moi aussi.
Espérons qu'il y ait des renseignements là dessus à cet étage.
Je vais fouiller cette pièce là bas en première.
En espérant qu'il n'y ait pas d'autres mauvaises surprises.


Contournant des débris de verres sur le sol, et un tableau qui est tombé à la renverser, l'infecté s'approche de la prochaine salle qu'il va visiter, tout en essayant de calmer la douleur dans son bras droit qui est celui qu'il utilise pour viser et tirer, ce qui est un poil emmerdant.
Tout aurait été mieux si il avait été gaucher, mais là n'est pas le moment de s'apitoyer sur son propre sort.
En ouvrant la porte, l'homme de l'UBCS découvre la prochaine pièce, avec ses trois fenêtres sur la gauche dont les stores ont été baissé, ainsi que différents documents qui jonchent le sol, tandis que des cartons se font bien présent immédiatement sur sa droite, là où il y a un petit bureau avec la chaise qui l'accompagne, ainsi que plus loin un recoin caché par une armoire métallique où se trouvent différents flacons dans du formol dont on peut se demander ce que peut bien en être le contenu exact car là ça fait un peu repaire du scientifiques fous, comme ceux d'Umbrella.
Plus loin à droite, masqué par des étagères contenant tout un tas de dossiers sur différents virus, bactéries ou champignons, nous avons le reste de cette lecture, sauf qu'il y a du bruit qui provient de cette zone d'où nous ne pouvons rien voir, alors le caporal braque son arme vers là bas, au cas où ce serait un nouvel ennemi.
Sauf que la surprise est agréable quand surgit de l'ombre le Sergent Nikolai Zinoviev que l'on pensait mort après avoir péri dans la pharmacie où Jill Valentine l'avait laissé, mais le voilà bel et bien en chair et en os, avec son ThinkPad sous le bras droit, et son Heckler & Koch USP Tactical dans sa main gauche.
On peut lire une forme de stupeur provenant des deux sous officiers vis à vis de leur survie respectif.

Carlos : Nikolaï ?

Nikolaï : Toujours vivant à ce que je vois. Je t'ai peut être mal jugé.

Le plus haut gradé des deux remarque alors la marque encore dégoulinante de sang sur le corps de son camarade et il sait tout de suite ce que ça veut dire, bien qu'il ne va pas se montrer aussi menaçant que face à Murphy Seeker, peut être dû au fait qu'il le connaisse un peu mieux, ce qui rapproche les gens comme vous le savez.
Ce qui ne l'empêche pas de faire remarquer le détail évident que son allié ne va pas dire en premier.

Nikolaï : On dirait bien qu'un de ces zombies t'a eu. Ils ont failli m'avoir, mais je m'en suis sorti indemne.

Carlos : Jill te croyait mort.

Nikolai : Comme tu peux le voir, je suis en vie.

Carlos : Ce qui n'est pas le cas du Capitaine Mikhail. Il s'est sacrifié pour nous sauver la vie.

Nikolai : Dommage. C'était un très bon officier.

Carlos : J'ai d'ailleurs réussi à vaincre la créature qui en avait après Jill et ses collègues des STARS.

Nikolai : Oui, le Nemesis.

Un sourcil se lève à cette information donnée, de la part de Carlos qui s'entretient avec lui même par la pensée.

Tien...
Comment il connait son nom à cette créature ?
Est ce que... ?
Non, je dois me faire des idées.
Ce doit être juste un surnom qu'il lui a donné.
Comme était le terme de Poursuiveur qu'on utilisait avec Jill.
Faut que j'arrête d'être parano.
Je ne vais pas m'en tirer en vie comme ça.
Bon...
C'est l'heure de s'entre aider.


Une fois ces mauvaises idées balayées, il peut reprendre là où ils en étaient, en écoutant le chef causer.

Nikolai : J'ai pu entrer en contact avec le Colonel Sergei Vladimir avec qui je suis ami.

Carlos : Est ce qu'il peut chercher un moyen de guérir Jill du virus qui coule dans ses veines ?

Nikolai : Non. Or, il demande justement à ce que nous fouillons cet hôpital pour en trouver un et le lui rapporter.

Carlos : Est ce qu'on cherche ensemble, ou pas ?

Nikolai : Prends l'ascenseur pour visiter les autres étages de ce bâtiment. En attendant, je finis de fouiller cette pièce.

Carlos : D'accord. On se retrouve vite et avec j'espère un moyen d'éviter que Jill ou moi devenions des zombies.

Nikolai : À plus tard.

La beau latino hoche la tête, puis il fait demi tour sur lui même afin de quitter la pièce dans laquelle il se situe.
Sans le savoir, un vil sourire se dessine sur le visage du platonique ancien Spetsnaz qui n'est peut être pas aussi sympathique qu'il tend à nous le faire croire, mais bon ça nous le verrons une prochaine fois, et en attendant vous pouvez vous méfier des russes qui sont forcément des méchants, ou pas.


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Message  Albert Wesker Mar 20 Juin - 21:07

Chapitre 20

Tyrell Patrick apparaît au troisième sous sol.

Tyrell : Es tu là pour mettre fin à mes jours, ou pas ?

Carlos : Du calme, je viens en paix.

Tyrell : Comment pourrais je te croire ?

Carlos : Si je pose mon arme, ça ira ?

Tyrell : Oui, fais donc cela.

Carlos : D'accord, attends juste deux secondes.

H

Tyrell : Ton nom.

Carlos : Carlos Oliveira. Et toi ?

Tyrell : Tyrell Patrick, Peloton Bravo. Tu ne sembles pas bosser pour lui.

Carlos : Je ne comprends rien à ce que tu parles.

Tyrell : Tu es de quel Peloton ?

Carlos : Delta.

Tyrell : As tu croisé le Sergent Nikolai Zinoviev ?

Carlos : Oui, au troisième étage de cet hôpital. Pourquoi cette question ?

Tyrell : Il m'a donc suivi jusqu'ici... C'est problématique.

Carlos : Qu'est ce qui se passe ?

Tyrell : Il se trouve que lui et moi, nous sommes des Moniteurs.

Carlos : Des Moniteurs ?

Tyrell : Nous faisons parti des rares personnes au sein de l'UBCS a connaître le véritable objectif de notre venu.

Carlos : Je suppose que ce n'est pas sauver des civils.

Tyrell : Tu es un idéaliste toi, mais en effet c'est vrai.  Nous sommes ici pour récolter les données contre armes bio-organiques qui grouillent en ville. Tel les zombies, cerberus, hunters et les Tyrants. Mais nous ne nous attendions pas a perdre la majorité de nos effectifs.

Carlos : Mais quel est le problème avec Nikolai ?

Tyrell : Afin de gagner plus de blés, il s'est mis dans la tête l'idée de tuer tous les autres moniteurs pour récupérer leurs données.

Carlos : Bordel... Je ne peux pas croire que ça soit possible.

Tyrell : Pourtant c'est vrai.

Carlos : Et évidemment, Umbrella ne fait rien pour sauver votre peau.

Tyrell : Nikolai est ami avec le Colonel Vladimir, donc il le laisse faire ce qu'il veut.

Carlos : Si j'avais su que bosser pour Umbrella m'amènerait à de tels emmerdes, j'aurais choisi l'option prisé.

Tyrell : J'étais condamné à mort en France après des magouilles faites à la Légion Étrangère.

Carlos : Tu n'avais pas trop le choix.

Tyrell : En effet, mais je n'ai pas vraiment envie de parler plus que ça de mon passé.

Carlos reprend son fusil.

Carlos : Je cherche un vaccin contre le Virus T, pour soigner une amie, Jill Valentine des STARS, et moi même aussi.

Tyrell : Il y a un labo de l'autre côté de cette porte, et sur les notes que j'ai lu, ça parlait de créer un vaccin.

Carlos : C'est formidable ! Allons y alors !

Tyrell : Si tu veux, je peux essayer de t'aider, pour te remercier de m'avoir filé des infos sur Nikolai.

Carlos : Merci, ce serait gentil de ta part.

Tyrell : C'est parti. Je couvre tes arrières.

H

Carlos : Nikolai !

Nikolai : Je crois qu'il est temps de jouer à visage découvert.

Carlos : C'est vrai que tu es un traître ?

Nikolai : Disons que mes objectifs sont différents des votre. Mais si ça peut te rassurer, "traître" est le bon mot.

Carlos : Est ce que tu avais tous prévu de nous tuer dès le départ ?

Nikolai : Non. L'idée d'éliminer les moniteurs ne m'est venu que la veille. Et toi tu n'en fais pas parti. Bien que je vais devoir t'eliminer avec lui pour ne laisser personne se mettre sur ma route.

Carlos : Le Capitaine Mikhail serait indigné d'apprendre ça si il était encore en vie.

Nikolai : Si cela peut te consoler, j'avais un profond respect pour lui. J'aurais aimé qu'il s'en sorte.

Tyrell : Tu ne t'en tireras pas comme ça.

Nikolai : J'ai une autre mission qui m'attend pas loin d'ici. Je vais donc faire bref. Alors... Adieu....

H


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Message  Albert Wesker Mar 20 Juin - 21:33

Chapitre 21


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Message  Albert Wesker Sam 1 Juil - 10:19

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