[RP] Lucy Dodgera et la Chambre des Secrets

Silver est le premier a aller voir la pièces libérer et délivré de son mur bloquant l'accès  montrant ainsi la deco de la chambre rester figer depuis 19 ans, qui avaec l'expolison avait prit des dégâts,

Silver: bon espérons que ce qu'on cherche soit encore intact

Il entra donc dans la pièce cherchant dans le noir l'interrupteur de la pièces

Silver tapote un peu partout sur le mur près de lui jusqu'à trouver l'endroit où se trouve l'interrupteur pour la lumière qui a miraculeusement été épargné par l'explosion juste avant. L’éclairage montre qu'il y a bien de l’électricité encore dans ce lieu ,car évidemment Armand y prend énormément soin de ce lieu qui lui rappelle tant sa défunte fille qui lui manque trop, au point d'en faire encore des cauchemars près de 20 ans après.
La déco se révélé être assez innocente avec plusieurs arbres blancs dessinés sur le mur, accompagnés par des oiseaux roses immobiles. Il y a aussi quelques peluches sur une étagère en hauteur, ainsi que un lit pour bébé qui est resté planté là toutes ses années à attendre le bambin qui n'est jamais venu.
Seul truc sordide, c'est le chat noir momifié dans un coin de la pièce, qui appartenait autrefois autrefois et s'appelait Salem, que Lucy reconnaître peut être, et qui a visiblement été emmuré vivant par inadvertance par l'autre vieillard. Reste plus qu'à voir si celle qui avait huit ans la dernière qu'elle l'a vu s'en souviendra, puisque pour le pilote, c'est le brouillard total.

Yves : Qu'est ce que ce chat fout là ? Il dénote du reste du mob...

Le bruit d'une chasse d'eau qui est tiré se fait entendre, interrompant l'homme dans sa phrase.
Cela semble provenir des toilettes de l'étage où ils sont, puisque la porte de celles ci s'ouvre peu de temps après, révélant une figure connue qui n'a absolument rien à foutre là, malgré le fait qu'il était présent quand toute l'histoire avait été racontée à l’anniversaire de Lucy et Shiho.
Albert Wesker entre en scène pour notre plus grand plaisir, en ne comprenant pas ce qui se passe.

Albert : C'était quoi ce bruit avant !? Quelqu'un a pété trop fort !? Peut être l'autre blondasse d'avant ! Oh salut !

Il fait signe de la main au trio en les repérant.
Reste plus qu'à voir leur réactions.

Lucy alla a son tour voire la pièces, la premier chose qu'elle vit fut Salem son chat noir, momifier, le pauvre animal n'avais pas etait emmurer  vivant, mais mort, ceci un jour apres la mort de c'est maitre, le veille homme n'avait pas u la force d'enterrer l'animal et l'avait simplement mit dans la pièces poser dans boite en papier qui avec le temps c'etait décomposer elle aussi, une larme coula sur les joue de la blonde

Lucy: Repose en paix mon petit Salem

Yves : Qu'est ce que ce chat fout là ? Il dénote du reste du mob...

Lucy fut surpris et ététonner de la rection de Yves, elle le regarda bizarement , car il savaitbien que la faille avait un Chat

Lucy remarqua un Wesker sortant de son habita naturelle une bande de PQ accrocher a lui le suivait

Albert : C'était quoi ce bruit avant !? Quelqu'un a pété trop fort !? Peut être l'autre blondasse d'avant ! Oh salut !

Lucy soupira a la remarque du Wisky,

Lucy: Non c'est ta boite a merde qui a fait trembler les mur

Silver qui examina la la pièces du regard dans un premier temps, commença a fouiller la pièces se foutant de l'arriver de Wesker qui sortait des chiotte

Personne n'en a rien à foutre de la présence d'Albert Wesker sur scène car de toute façon il a déjà eu son récent moment de gloire après un long moment d'absence et courtes apparitions sans importance, alors il va pas commencer non plus à trop se montrer, surtout que son humour si particulier n'est pas du goût de tous il faut dire.
Ah non, on me dit dans l'oreillette que quelqu'un veut lui répondre.

Lucy : Non c'est ta boite à merde qui a fait trembler les murs.

Au temps pour moi, il n'a aucun ami ici.
Le pauvre...

Albert : Pas possible, je l'ai pas amené avec moi ! Je dirais plutôt que toi avec tes gros sabots qui l'a fait ! En plus bordel de merde, t'as pris du poids ou bien !? C'est un double menton que je vois là ou je rêve !?

Pour un être assez débile, il sait quand même remettre en place ceux qui l'énervent.
Comme quoi, il y a peut être des éléments de son ancienne personnalité qui sont restées.

Sans personne pour les contrer puisque la Famille Millione n'est plus qu'une image du passé et que la police municipale est de leur côté, la Famille Marcano-Derazio est complètement sur son territoire et elle n'aime pas avoir des fouineurs qui viennent s'y pointer, alors elle met les gros moyen pour se débarrasser de ces foutus rongeurs, n'ayant plus de mort aux rats pour eux.
Bravo pour les Quatre Dons pour réussir à s'en sortir dans leur organisation avec ce cas unique de façon de diriger une mafia, là où il y a en générale toujours un seul et unique boss.
Il reste juste à voir si ça marche vraiment bien dans la pratique en continue, ou si ça n'aurait jamais dû dépasser la théorie, car ça pourrait se retourner contre eux.
Pour le coup, nous allons nous concentrer, sur l'un de leurs Capos, à savoir Stephen Deggarmo, le frère du défunt Diego Deggarmo, et aussi neveu de l'assassin aujourd'hui décédé des parents de Lucy, à savoir ce cher Remy Duvall. Le premier membre nommé de cette organisation criminelle à apparaître est occupé à dirigé la charge contre les troupes d'Hydra afin de les empêcher de trouver de potentielles infos qui pourraient les aider à perturber leurs activités.
La consigne est de ne laisser aucun survivant, et faire cramer les lieux aussi.
On ne croirait presque dans l'intro de MGS V, sans la douleur fantôme.
Un échange brutal à lieu entre les deux camps, avec les mafieux qui ont foiré leur effet de surprise et se sont bien fait plomber par les fascistes qui pour une fois ne sont pas habillés en vert mais en noir pour faire plus discret, bien qu'ils gardent quand même leur fameux poulpe sur leur épaules bien en évidence afin qu'ils soient quand même reconnus avec sa teinte verdâtre qu'il n'a pas forcément. Faut croire que c'est une récurrente des sociétés secrètes de ne pas vraiment, avec l'une des rares exceptions étant nos chers amies Corbeaux, bien que quelques rares de leurs membres n'étaient pas subtiles aux non plus.
Les italiens, même si ils n'ont bénéficié d'aucun bonus sur leur attaque soudaine, finissent tout de même à se révéler plus dangereux que leurs opposant plus de pertes de leur côté, avec certains qui sont allé même se réfugier à l'intérieur de la baraque, dont Noémie Josse pour faire descendre l'artillerie lourde.
Chose qui se révélera pratique puisque cela renversera la tendance.
Une fois Shiho Miyano sous sa forme la plus puissante, dans le deck, autant dire que les cartes de l'adversaire tombent rapidement une par une, pour au final expédier l'affrontement en même pas une minute.
De quoi terrifier bon nombre de personnes, y compris ceux de l'ombre, et son ancien nemesis devait le savoir quand il l'a confronté pour la troisième fois, lors du remplacement des Avengers par des L.M.D. en 2017, ce quia finalement mené à sa mort de la lame de celle qu'il n'aurait jamais dû souiller au préalable.
Tous les connards finissent par avoir la monnaie de leur pièce, tôt ou tard, même si ce n'est plus de leur vivant.
Notre arme ultime finit ainsi par avoir son propre corps aiguisé sous la gorge du caporegime qu'elle a fait exprès d'épargner car elle avait pigé durant son massacre qu'il était le petit chef de toute cette troupe, et que donc si il y en avait un qui pourrait cracher les infos dont ils ont besoin, ce serait lui.

Shiho : Parle !

Stephen : Vaffanculo !

Peu enclin à être coopératif, il faudra le forcer un peu pour le faire changer d'état d'esprit.
En parallèle à ça, Ophelia Sarkissian, qui est toujours dans le bureau de Carmine, avec la rouquine qui surveille l’entrée et la majordome qui ne sert pas à grand chose pour l'instant, et qui vient de mettre la main sur un journal intime caché sous un faux fond de tiroir où le Don y a écrit en italien ses pensées de son vivant.
Madame Hydra connaît de nombreuses langues, dont celle ci, donc elle peut le lire sans trop de problèmes.
En survolant vite fait aux dernières entrées de celui ci, un détail l'interpelle à la date du 14 Mars 2015, et lui fait instinctivement dire à voix haute le terme en question qui sort du lot.

Ophelia : Vermut...

Sans qu'elle ne le remarque, une paire d'yeux lui adresse un regard anxieux en l'entendant prononcer ce nom d'alcool qui n'est pas anodin si on réfléchit quelques minutes en remettant toutes la pièces du puzzle ensemble.
Je crois qu'il est temps de replonger dans le passé un peu pour expliciter tout ça.
Après la pub bien évidemment.

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Revenons aux choses moins sérieuses avec le clash entre Albert Wesker et Lucy Dodgera qui ont vraiment que ça à foutre, alors qu'on est sur le point de mettre la main sur des réponses concernant le sort des parents de la pauvre blondinette qui a dû grandit sans eux, en évitant de tomber dans un puits par la suite qui lui donnerait ensuite envie de tabasser des criminels costumée en chauve-souris.
Au lieu de lui faire ravaler sa salive avec ses poings, la mercenaire se prend au jeu, ce qui va donner lieu à un moment d’anthologie opposant deux icônes de l'absurdité de ce forum, et on est heureux qu'il y ait un certain aveugle qui ne soit pas là pour former un triangle mortel qui risquerait d'invoquer Stive depuis l'au-de-là.

Lucy : Je n'ai de reproches à recevoir sur mon poids de la part du Steven Seagal des méchants de série Z ! Oh tiens d'ailleurs, qu'est ce que j'entends !? C'est l'heure de prendre ton insuline ! Et mange pas trop sucré papy !

Albert : Tu...

Un maillet de 1 000 tonnes vient crasser le sommet de son crâne et éparpiller ses dents sur le sol.
Kenzie est celle qui le manie, et elle vient tout juste de gâcher un moment qui avait du potentiel pour rester dans les anales, tout ne étant fière d'elle car elle vient de rendre service à sa môman chérie. C'est donc avec sa voix la plus énergique qu'elle s'exprime, le tout avec toutes les lettres de sa phrase en caractères majuscules.

Kenzie : TU ES LA MEILLEURE !!!

Autant dire que si il y avait un homme en noir dans la forêt voisine, il l'aura entendu.
Pendant que le bordel continue de grandir et que Yves se retient de rire face à tout ça, il y en a un qui fait correctement son boulot, ce que j'admet avoir dû mal à reconnaître. Silver Shroud est en effet tombé sur une piste sérieuse et qui se retourne vers le reste du groupe afin de faire partager sa solide découverte.

Silver : Regardez un peu ce que j'ai pu trouver.

Il montre dans sa main droite un carnet, et de tend de sa gauche vers Lucy, une photo qu'il a sorti de celui ci.
On y voit plusieurs visages inconnus au bataillon pour ce qui est de la petite fille aux cheveu carmins, mais pour ce qui est de sa mère, il y a deux figures dessus qu'elle connait très bien et dont ça lui fait quelque chose de les revoir là, aux côtés de ce qu'elle suppose être les méchants de cette histoire.
Nous sommes alors transporté près de 20 ans en arrière, alors que les notes laissées par les morts sont lues.
L'occasion pour vous d'apprendre à connaître Jean-Yves et Florance Dominique Dodgera.

Dans la Reculée d'Arbois, aucune belette de chante puisque c'est pas une vallée de Bretagne, mais à la place nous avons deux personnes qui attendent dans les bois bois près de cours d'eau, alors que leurs hommes de mains les attendent dans la voiture garée sur une route tout près d'ici. Sauf qu'ils ne peuvent pas encore y aller puisqu'ils attendent qu'une certaine personne vienne pointer le bout de sa chevelure rousse pour qu'ils aillent ensemble chez les Marcano-Derazio afin de s'amuser un peu avant de discuter de choses sérieuses, notamment concernant Carmine Millione et certaines bratva qui font chier.
Après un quart d'heure d'attente, une mélodie d'un autre temps résonne au-de-là des arbres, avant qu'une chanteuse aux nombreux disques de diamants viennent rouler jusqu'à eux à la façon d'un tatou avant de se déplier à leur pieds et de se mettre droit debout en un saut comme si de rien était.

Mylène : Désolée du retard, j'ai beaucoup ricoché sur les troncs sur le chemin.

Ses amis ne sont dérangés par le temps qu'elle a mis à venir car ils l'apprécient beaucoup pour quelqu'un de la chanson française, et je crois qu'il est temps de décrire qui sont ces deux mystérieux bonhommes qui vont l'accompagner.
Il s'agit du Don de la famille du crime napolitaine qu'est la Famille Franchetti, à savoir Paulie, accompagné de son cousin Frankie qui dirige les affaires familiales au bercail, là où le boss est à présent posté à New York City où il a déjà réussi à avoir bon nombre de flics corrompus à ses bottes grâce à un ami gradé chez eux.
Leur réponse à celle qui aime être filmée à poil ne se fait pas attendre.

Paulie : Dans ce cas, ne perdons pas, et allons y.

Mylène : En roulant comme une boule de flipper ?

Frankie : Non, en roulant avec la voiture.

Ensemble, ils vont donc rejoindre la Lamborghini LM002 d'un rouge vif afin de se rendre à la fête où on les attend.
Voyons voir ce qui se passe là bas d'ailleurs.

Pendant que l'autre flash-back met du temps à me parvenir pour que je puisse vous le raconter, nous allons en explorer un autre, tournant autour d'un ancien antagoniste important de l'histoire de ce forum puisqu'il aura bien malgré lui influencer tant d'évènement en transformant Gilbert Montagné, le faisant devenir ce qu'i lest aujourd'hui.
Vous savez de qui on va parler.



De mauvais émanations proviennent du bureau de Don Millione qui est justement à l'intérieur de celui ci depuis la matinée et n'y est pas sorti, même pas pour le repas du midi, ayant préféré le sauter. Ses hommes n'osent pas le déranger, sachant que son empire autrefois surpuissant, tellement que toutes les autres mafias italiennes le craignaient, est aujourd'hui la risée de celles ci parce que un simple aveugle a réussi à l'affaiblir considérablement avec l'aide de ses amies.
Enfin, ce serait de mauvaise foi de tout lui mettre sur le dos, car il y a aussi aussi de grosses décisions de merde.
Faut dire que le vieil homme a toujours eu un sale caractère de manière générale, surtout depuis la mort de sa femme bien aimée, et rare étaient les personnes auxquelles il s'efforçait de ne pas le montrer. Notamment sa ravissante fille qu'il chérit plus que tout au monde et dont il aurait aimé qu'elle ait pour idole quelqu'un d'autre que ce chanteur français à deux francs qui est depuis plus de dix ans source de tension entre eux.
Jamais elle ne lui a pardonné d'avoir causé la mort de tous ses proches sur l'île de Marawarzaza en 2004, ayant tout de suite deviner qu'il en était le principal orchestrateur, juste parce que la stars n'a pas voulu chanter l'annif de sa femme.
Laura Millione, elle qui était si proche de son papounet, a eu le cœur brisé et s'est détaché de lui, refusant de passer du temps avec lui en dépit de tous les efforts du monde qu'il montre pour arranger les choses.
Enfin jusqu'à cette année là, quand le bougre est revenu à la charge en frappant fort, trop fort.
Le château de cartes s'effondre et le roi à son sommet ne peut que voir tout s'écrouler sous ses pieds, impuissant s'en rien pour voir faire pour contrer.
Il le sait, il a déjà perdu.
Voilà pourquoi il a décidé à la seule chose qu'il n'avait jamais voulu accepter pour se réconcilier avec fille, jugeant que c'était trop dangereux pour eux deux.
Là, il a envoyé Serena, la majordome et garde du corps personnelle de la descendante du chef de la pègre, afin de chercher cette dernière pour qu'elle se rende au bureau de papa pour une discutions comme ils n'en ont plus eu depuis longtemps.
Pour l'occasion il s'est mis sur son 31, lui qui était salement négligé depuis plus d'une semaine.
Ce qui s'est passé à New York fut une douche froide il faut dire.
Il a perdu l'un de ses meilleurs lieutenants et sa place forte en Amérique qui lui permettait d'avoir ce marché précis.
Tout ça juste pour une histoire de diamants, de russes, et de ninjas de l'ombre.
Déjà qu'il avait été trahi par son bras droit qui l'avait vendu.
Rien de va.
Surtout que les vautours attendent avec impatience sa mort pour pouvoir se repaitre sur son cadavre.
Carmine souffle un bon coup de fumée négative qui pollue l'air de cette chambre close, avant d'écraser violemment le mégot innocent contre un cendrier qui se retrouve complice de crime, avec déjà plusieurs autres corps de précédentes victimes qui s'y trouvent éparpillées.
Dur pour le Don de se calmer, même après avoir pris ses calmants, mais il se doit de faire un effort devant sa progéniture pour ne pas que leur future conversation ne finisse comme toutes les autres.
Au bout du compte, la double porte s'ouvre sur d'eux visages de femmes très différents, l'une étant assez stoïque, bien qu'on puisse y déceler un peu de tristesse vis à vis de la rancœur qu'éprouve sa protégée par rapport à son patron, et de l'autre nous avons une amertume sans pareil venant de celle qui n'est plus une jeune ado joyeux à présent, chose facile à remarquer.
Sans tarder, la question se fait entendre de très loin.

Laura : Qu'est ce que tu me veux encore !?

Carmine : Ecoute... Calme toi, je vais vais t'expliquer calmement. Serena, si tu peux nous laisser en privé s'il te plaît.

Laura : Bien entendu Boss.

Se retournant pour faire face au couloir d'où elles viennent, elle s'y aventure en fermant derrière elle, laissant les deux êtres du même sang de regarder avec mépris et chagrin suivant de quel point de vue on se met.
C'est le meneur de la famille qui s'exprime en premier afin de faire cesser les hostilités.

Carmine : Tu pourras aller au concert de Gilbert Montagné demain soir.

Laura : Je ne te crois pas. Tu prépares un mauvais coup.

Carmine : Non. Je serai juste présent à tes côtés pour y assister.

Laura : Je le savais ! Tu vas encore essayer de le buter !

Carmine : Mais non ma p'tite gazelle !

Laura : Alors pourquoi est ce que tu accepterais d'aller avec moi voir le mec que tu as toujours haïs !?

Carmine : Parce que je veux profiter des jours qu'il me reste à vivre en ta compagnie ! Même si ça veut dire faire la paix avec ce crétin !

Ces propos sonnent une cloche au fond de la jeune adulte qui ne sait pas trop bien comment réagir face à ceux là, ne s'y attendant pas du tout.
Le vieux mafieux est un peu soulagé que cela soit enfin sorti, ayant eu dû mal à imaginer comment il allait pouvoir le placer dans la conversation sans que ça ne le fasse trop passer pour une mère amante, cassant la figure du père impitoyable qu'il a auprès de ses soldats et de ses ennemis.

Laura : Tu vas mourir ?

Carmine : Ton idole va bientôt y parvenir. Et si ce n'est lui qui le fait, ce sont les Marcano-Derazio avec qui il s'est allié qui vont le faire. Ou d'autres de mes rivaux. Mes plus fidèles Capos sont morts, donc je n'ai aucune chance de survie.

Laura : Je ne savais pas.

Carmine : Je suis au pied du mur. C'est pourquoi j'aimerais passerai des moments avec ma fille avant que de me prendre une balle.

Laura détourne un peu le regard, songeuse, puis finit par soupirer avant de le réorienter vers sa seule famille afin de lui laisser enfin une chance de se rattraper, bien qu'elle reste encore très méfiant quant à ce qu'il en résultera.

Laura : J'accepte.

Carmine : Merci Laura.

Laura : Si tu tentes de faire du mal à Gilbert, je te tue.

Carmine : Compris.

Cela aurait pu finir pire que ça, car même si l'animosité est encore là, on moins il aura une opportunité de mieux faire que ce qu'il avait pu faire jusqu'à présent.
Dès qu'elle est partie, il soupire de soulagement en exprimant un sourire sincère sur son visage comme il n'à plus eu depuis longtemps. Il est fier de lui sur ce cas là de ne pas avoir encore tout faire foirer.
Quelques secondes plus tard, on vient toquer à sa porte, l'empêchant de profiter de cette victoire comme il se doit.
D'une voix plus joyeuse qu'à l'accoutumé, il invite la personne à entrer. Cette dernière se révèle être un simple sbire du nom de Martino, ce qui intrigue beaucoup le chef qui lève un sourcil avant de poser une question intéressante.

Carmine : Tu n'étais pas censé être malade Martino ?

À la surprise générale, c'est une voix féminine avec un accent américain qui lui répond, en italien bien sûr.

Martino : Tu ne sais toujours pas me reconnaître depuis le temps que l'on se connaît ?

Le Boss est pris de court, écarquillant les yeux, alors qu'il reconnaît l'individu qui se tient devant lui.

Carmine : Vermouth...

La femme en noir arrache le masque en latex hyper réaliste qu'elle portait jusque là pour se faire passer pour le malade absent, révélant sa longue chevelure blonde naturelle qui est très claire, bien que pas autant que du platine. Sur son visage un peu trop parfait, elle esquisse un sourire de femme fatale prête à jouer avec toi, potentiellement au péril de ta vie.
Sa présence n'est pas là pour rassure son vieil ami qui n'est d'ailleurs pas si heureux de la revoir.

Carmine : Je suppose que je suis aussi dans le collimateur de cette personne.

Vermouth : Un peu puisque tu te fais trop remarqué en ce moment et que certains de nos collaborateurs veulent ta mort.

Carmine : Les enfants d'Henry et Michael. En même temps ils ne doivent pas connaître la vérité.

Vermouth : Que tu avais organisé l'assassinat de Michael Marcano avec Henry Derazio pour avoir un allié à la tête de cette famille. Sauf que une fois le meurtre commis, ce dernier t'a trahi en te mettant tout sur le dos.

Carmine : Tout le monde a fini par me trahir. J'ai tellement de poignards dans le dos que je ne peux que dormir sur le ventre à présent.

Vermouth : Pas facile de choisir son entourage. À qui accorder sa confiance.

Carmine : Après, si j'avais laissé Michael vivre, il vous aurait utilisé pour m'éliminer. Henry, lui, préfére tout régler par lui même ou ses hommes, que de vous utiliser.

Vermouth : Je me rappelle qu'il avait été prévu que l'on s'occupe nous même de l'accident des Dodgera dans le plan initial avant que cela soit changée.

Carmine : Sinon tu viens pour quelle raison là ?

Vermouth : Pour te conseiller, en tant qu'amie, de profiter du concert avec ta fille. Ce sera sûrement la dernière occasion pour toi de le faire.

Carmine : Je vois... C'est ce que je craignais.

Vermouth : Je ne peux pas t'en dire plus. Un secret fait d'une femme, une femme.

Carmine : Je sais. Merci pour le conseil.

Vermouth : Je vais m'en aller. Adieu.

Carmine : Adieu... Et au fait !

Vermouth : Quoi ?

Carmine : Pourras tu veiller sur ma fille quand je ne serai plus là.

Vermouth : Je ferai de mon mieux.

Sans perdre le sourire, elle s'en va tout en remettant un masque pour la route, elle qui est la maîtresse du déguisement. Capable de prendre l'apparence de n'importe qui, ce qui est quand assez fortiche.
Un silence de mort est laissé derrière son passage, laissant déjà présager des tragiques événements du lendemain.

(suite prevu avant fin 2021)