Resident Evil 9
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Message  Stive People Mer 26 Aoû - 14:46

23 Septembre 2012

France; Alsace; Bas Rhin; Bischheim; Collège Le Ried

De nombreuses têtes juvéniles se trouvent sur le sol, baignant dans leur propre sang, avec des dents éparpillés sur le sol un peu trop dur de ce gymnase où aucun matelas mou n'a été ajouté pour éviter une dure chute.
Tous les élèves des différentes classes présentes à ce cours de sport en particulier sont terrifiés à l'idée d'affronter le démon responsable de ce carnage qui n'est même pas conscient des dégâts qu'il cause dès qu'il a une balle dans la main.
Une fois, en volley, il a réussi à éliminé tout le monde y compris la prof, en même pas 5 minutes chronos.
Les membres de la Protection Civile qui sont intervenus en ce terrible jour n'avaient jamais vu rien de tel durant leur carrière.
Là aujourd'hui c'est basketball, et que Dieu ait pitié des pauvres âmes innocentes qui ne méritent pas tant de violences injustifiés.
Seul un jeune garçon de presque 15 ans est inconscient du danger présent dans les environs, n'en ayant jamais entendu parlé, et étant un peu con aussi il faut dire.
Stive People n'était pas encore le bel homme ténébreux aux longs cheveux noirs qui excite les filles et rend jaloux les Leon Kennedy. Avec son sourire à la Dante, le héros de la franchise de jeux et pas l'auteur d'une célèbre comédie, aucune femme hétéro ou aucun gay ne peut lui résister.
En revanche, à cette époque il n'avait pas encore tout ce charisme, étant un petit gros puceau geek ignoré des autres et dont les rares amies sont "spéciaux" dans leur genre, mais au moins ils lui sont fidèles, hormis quelques rares exceptions.
Autant dire que le prochain à faire partie de cette liste ne va pas sortir du lot, et le voilà d'ailleurs qui se dirige vers lui en étant accompagné par leur deux professeurs de sports respectifs, Madame Babale et Monsieur Choupignax, qui se comportent un peu comme deux policiers qui amènent le dangereux tueur qu’ils escortent jusqu'à la cellule où il va croupir jusqu'à sa sentence.
Celui qui est déjà tranquillement assis sur un banc installé à côté de la porte donnant au couloir où se trouve le vestiaire des filles, n'a pas vraiment envie d'avoir un compagnon pour venir lui faire la causette alors que ce n'est pas trop la forme au niveau de la santé pour lui, expliquant pourquoi il n'est pas ne train de jouer avec les autres en ce moment même.
Pas sûr qu'il puisse résonner les enseignants, peu importe l'argumentaire.
Pourtant il tente quelque chose, car ce n'est pas en ne faisant rien qu'on peut gagner la partie.

Stive : Il est moche, je ne veux pas de lui. En plus je vais péter tellement fort que je v...

Choupignax : Ferme ta gueule ou je te met zéro pointé à ce trimestre !

En temps normal, le féroce scorpion l'aurait piqué, mais pour le coup, il sent que c'est lui qui a merdé dans son phrasé et préfère donc baisser la tête en signe de défaite.
La petite femme faussement blonde qui débordé d'énergie force son élève à s'asseoir à côté

Babale : Tu restes là et tu bouges pas, sinon j'appelle les flics !

Moche : Mais putain je...

Babale : Surveille ton langage ! Tu veux pas en plus un mot dans ton carnet !?

Moche : Non mais... C'est injuste !

Babale : Et les filles qui ont la gueule cassée, tu en fais quoi !?

Moche : C'est pas faute ! Peu importe où je vise, la balle tombe directement sur leur tête !

Babale : Fous toi de ma gueule aussi !

Moche : J'avais prévu que je ne savais pas dribbler, et vous en avez rien à faire, puis là vous vous en plaignez ! Vous ne m'aimez juste pas !

Babale : Comment on pourrait aimer quelqu'un comme toi !? Tu crois qu'on est pas au courant !?

Moche : De quoi ?

Babale : De cette fille, Marion, que tu as harcelé pour qu'elle sorte avec toi ! Tout le monde le sait ici !

Stive : Pas moi.

Choupignax : Une heure de colle !

Stive : Oh...

Moche : J'ai jamais voulu lui faire du mal, et j'ai arrêté de traîner près d'elle après qu'elle m'ait clairement fait comprendre que pour rien au monde elle ne sortirait avec moi, sous un ton méprisant. Pourquoi a t-il fallu que je tombe amoureux d'une connasse pareille ?

Babale : C'est toi le problème ici, pas elle. Tu es un dangereux maniaque sexuel, une brute sans cœur comme on a pu encore le voir lors de ce cours, et aussi un élève médiocre qui n'excelle en rien.

Moche : Fermez là juste s'il vous plaît ! J'en ai marre...

Babale : On en a pas fini avec toi. Et ne t'avise plus de regarder admirativement les pieds des filles de ta classe si tu ne veux pas que tes parents se fassent convoquer.

Résigné, celui qui s'en prend plein la gueule ferme sa propre gueule, c'est le mieux pour lui.
De toute façon, il a l'habitude d'être au pire rejeté comme on le voit là tant par les adultes que les adolescents qu'il côtoient à cause du fait qu'il est un énorme carré qui ne peut pas rentrer le minuscule cercle pour être ensuite dans le moule de la société où il évolue. Au mieux, ceux de son âges sont juste amusés par sa présence anormale, mais ça ne va pas plus loin que les blagues habituelles sur ses traits particuliers, avec en ce moment en tête de liste son fétiche pour les pied fait marrer tout le monde sauf lui.
Il essaye de s'en foutre, sauf que ce n'est pas toujours facile à faire.
Rares sont ses amies, et encore plus rares ceux sur qui il peut vraiment compter et qui ne vont pas lui tirer une partie de son impressionnante collection de jeux vidéos au passage.
Pour ce qu'il y ait de l'amour, c'est aussi vide que le crâne de Roselyne Bachelot, étant toujours vierge et ce n'est pas sa timidité coutumière mêlée de maladresse innée qui va le sortir de la panade sentimentale. D'autant plus que son honnêtement inégalée peut lui causer bien des torts, car quand son cœur en pince pour quelqu'un, il réfléchit encore moins sur ce qu'il va choisir de dire, et peut se retrouver à parler de la fois où il s'est chié dessus en public et que ça a été gêné pour lui.
Rien de mieux comme parade pour la mâle afin d'attirer la femelle à lui.
Dans tous les cas, les figures d'autorités ici présentes se cassent reprendre leur boulot, et la garçon méprisé de beaucoup de personnes finit par essayer de se retenir de pleurer, pour au final craquer en même pas cinq secondes et de finir par sangloter entre ses jambes.
Stive n'est pas le plus intelligent, certes, mais il comprend très bien que cette situation est injuste pour celui qui semble beaucoup trop souffrir pour coller à l'image que l'on veut donner de lui et qu'il finira pas adopter dans le futur qui est votre passé.
N'ayant rien de mieux à faire, il décidé de changer d'état d'esprit par rapport à tout à l'heure et d'aborder ce collégien d'une autre classe de la sienne dont il ne connaît pas encore le nom, en se présentant à lui en premier.

Stive : Salut, moi c'est Stive Poppel, mais appelle moi Stive People, c'est plus classe. Et toi, tu t'appelles comment ?

Maxime : Maxime Moulin...

Le pauvre gamin relève sa tête couverte d'une toile châtaine plutôt courte mais qui arrive néanmoins à partir dans tous les sens. Des lunettes assez stylées avec des ressors métalliques sont posés sur son nez plein de morves, alors que ses yeux bleus-verts regardent avec hésitation celui qui lui parle, cherchant sûrement toutes les manières possibles et inimaginables de continuer la conversation sans tout faire foirer.
Notre victime, qui était étonnamment maigre à l'époque avec dix kilos en moins qu'au temps présent, essaye d'articuler quelque chose en essayant de ne pas parler trop à voix basse ou à voix haute, ce qui est un défis quotidien pour lui.

Maxime : Pourquoi est ce que tu me parles ?

Stive : Parce que je n'aime pas la façon dont ta prof t'a traité, et pour te dire que tout le monde n'est pas contre toi. Moi je ne savais même pas qui tu étais et même en apprenant des trucs sur toi, je n'ai pas une envie subite de te détester.

Le moulin à parole, quand il est avec ses proches, esquisse un franc sourire un poil ému à cet inconnu qui est assez sympathique envers lui et a fait le premier pas pour amorcer une amitié qui deviendra dure comme de l'iridium à l'avenir.
Notre gothique fan de pro wrestling sent qu'il a réussi à amorcer la descente et il décide de plonger en profondeur dans cette relation naissante.

Stive : C'est quoi cette histoire de harcèlement ?  Si tu ne veux pas m'en parl...

Maxime : Je suis tombé amoureux d'une fille l'année dernière, qui n'était pas aussi bien que je le pensais, et je suis nul en amour.

Stive : Qu'est ce que tu as fait notamment pour lui prouver ton amour.

Maxime : J'ai déjà oublié une partie de ce que j'ai fait, mais je ne suis pas la bête sauvage immonde et incontrôlable qu'ils veulent me faire passer.

Stive : De quoi tu te rappelles ? 

Maxime : De quand on faisait de la course en heure de sports, sur le terrain dehors là. Elle était assise toute seule sur un banc et je voulais tenter ma chance. Elle avait de jolies pieds enveloppés dans des sandales qui les affinaient bien, et je lui ai alors dit en phrase d'accroche "Tes pieds sont jolies". Ses moqueries qui ont suivi étaient plus méchantes que ce que j'aurais voulu.

Stive : Beaucoup trop de personnes ne sont pas gentils, mais il faut persévérer jusqu'à les trouver.

Maxime : J'avais même fait une vidéo sur Facebook pour son anniversaire. J'espère juste ne pas être encore puceau à mes dix huit ans.

Stive : Tu trouveras la bonne personne. J'en suis sûr.

L'ado aux cheveux aussi lisses que les plumes d'un corbeau essaye de réfléchir à où il a pu déjà voir le visage de son nouveau pote qui lui dit quelque chose.
Soudain, il tape du poing dans la main, ayant trouvé.

Stive : T'es le gars que j'ai vu plusieurs fois se parler à lui même durant la récrée ! 

Maxime : Ah tu as vu... J'invente des histoire où moi et les personnages que j'ai inventé vivent de superbes aventures pleines de rebondissements. Pour mieux les interpréter que de simplement avoir leurs voix dans ma tête, je les joue. Cela m'occupe comme je n'ai pas vraiment de personnes avec qui parler durant la pause.

Stive : Bah maintenant tu as moi.

Maxime : C'est vrai...

Une main amicale est déposée par Max sur l'épaule de Stive qui renifle un bref grand coup, tel un cheval qui n'apprécie pas trop que l'on caresse sa crinière et qui veut gentiment nous le faire savoir.

Stive : Hé, je le dis déjà, mais je ne suis pas pédé.

Maxime : Pas même tes tétons magiques ?

Stive : Je commence à comprendre pourq...

Maxime : OK j'arrête ! 

La mimine retourne se planquer dans une poche où elle restera bien sage.

Maxime : On a assez parlé de moi. Parlons de toi.

Stive : Moi ?

Maxime : Non l'autre.

Stive : Aaaahhhh...

Maxime : Oui toi.

Stive : Ah moi !

Maxime : Pourquoi tu ne joues pas avec les autres ?  Moi c'est car je suis involontairement dangereux pour les autres élèves, mais toi ?

Stive : Problèmes intestinaux que j'ai depuis petit. Je ne préfère pas entrer dans les détails. 

Maxime : Ah mince... J'espère ne jamais avoir ça.

Si seulement il savait que la vie est d'une cruelle ironie.

Maxime : C'est quoi tes passions dans la vie ?

Stive : Le catch.... Enfin ça c'était surtout avant. Et les jeux vidéos. J'attends énormément le WWE '13 qui sort en fin d'année ! Ce sera sûrement mon coup de coeur de 2012.

Maxime : Moi aussi je suis un geek joueur passionné. J'ai même une chaîne Dailymotion où je fais des soluces de jeux de tout genre.

Stive : Tu as fait Gear of War ? 

Maxime : Non.

Stive : God of War.

Maxime : Non.

Stive : Resident Evil ? 

Maxime : N... Oui ! C'est mon jeu préféré ! 

Stive : Moi aussi !

Maxime : Tu joues Chris où Jill toi habituellement ? 

Stive : Chris. Sa tête de singe me fait toujours autant rire. Et toi ?

Maxime : Jill. Depuis que j'ai découvert la branlette il y a peu, elle me plaît encore plus !

Un opéra de crickets et de grillons viennent souligner que tout le monde a entendu ce qu'il vient de dire, et les parties en cours toit autour se sont temporairement arrêtées pour ensuite reprendre comme si de rien était. 
Le moulinex ravale sa salive après avoir lâcher une phrase qui aurait rester sagement au chaud dans sa tête.

Maxime : La honte...

Stive : Ne pas ça, c'est... Normal ?

Maxime : On ne me sauvera pas.

Stive : Ça va, t'es pas un zombie non plus.

Maxime : Qui sait ?

Pris par sa propre folie qui surmonte ses angoisses, le marginal se met à gémir tel l'un de ces cadavres putrides qui ont déjà autrefois fouler la terre des vivants, et le continuent encore de temps en temps, bien que aucun des deux garçons n'en ait vu en vrai étant donné que la CUS a été épargnée de ce type de fléau jusqu'à présent, de ce qui est publiquement connu.
Le faux mort tend ses bras vers le gothique pour faire semblant de le mordre au cou, tandis que ce dernier tente de repousser l'attaque soudaine de cette goule en carton-pâte.

Stive : Hé j'te l'ai déjà dit ! J'suis pas pédé !

Choupignax : Poubelle, t'es convoqué chez le proviseur !

Stive : Mais pourquoi !?

Choupignax : Pour ta remarque homophobe !

Stive : Je peux pas être homophobe ! J'ai un ami homophile !

Choupignax : Oh putain le con...

Pendant que son prof se facepalm, Stive échappe de peu au croque monsieur et peut ainsi se marrer avec ce dernier, tellement fort que cela perturbe les équipes qui jouent sérieusement au basket en parallèle je vous rappelle. À croire que ils font exprès tout pour se faire virer de ce cours, et de l'établissement au passage.

Maxime : T'aurais dû voir ta tête ! 

Stive : J'aurais dû voir ma tête ! 

Hilares comme rarement ils n’ont été tous les deux, ils oublient l'espace d'un instant les problèmes qu'ils peuvent vivre au quotidien chacun de leur côté, afin de passer un bon moment dans leur bulle à eux, en parlant de toutes les choses qu'ils adorent, jusqu'à ce que la sonnerie viennent annoncer la fin de cette première rencontre.
Pourtant, sans le savoir, ceci marque le début d'une très forte amitié qui mériterait sa propre adaptation tout support confondu tellement il y aurait de choses à raconter sur ces cons là.
Toutefois, nous en avons pas encore fini avec cette journée.
Il reste encore quelques éléments à aborder.
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Message  Maxime Moulin Dim 30 Aoû - 2:37

Peu de gamins ont la chance d'habiter la porte à côté d'une école primaire, d'un collège et d'un lycée.
Stive People fait parti des heureux chanceux de cette liste contenant très peu de noms, bien qu'il n'ait exploité que seulement deux tiers du potentiel, étant donné qu'il n'est pas allé au Lycée Marc Bloch, contrairement à celui qu'il a rencontré ce jour là, Maxime Moulin. Ce qui explique entre autre le fait qu'il n'apparaîtra plus vraiment vers 2014-2015, quand le futur repompeur des Avengers finira par voir l'un de ses rêves les plus chéris s’exaucer quand sa vie passera d'ordinaire et dépressive à ébouriffante et amusante au plus haut point.
L'un deviendra une célébrité, l'autre restera dans l'ombre.
L'un deviendra une ordure, l'autre restera dans la la vertu.
Si vous un peu suivi le futur déjà raconté, vous savez qui est qui, sinon je ne vais pas vous divulgâcher le plaisir de lire tout ce que vous avez manquez.
Peu importe que vous ayez compris ça, les duo d'adolescents de leur côté se dirigent vers le grand HLM où vit le fan de catch avec ses parents, et où il conseillera quelques années plus tard à Ophelia Sarkissian et Lucy Dodgera d'y vivre, comme vous avez pu le lire ici
Les deux geeks s'étaient donné rendez vous à la fin des cours étant donné qu'ils finissaient aujourd'hui à la même heure, l'un avec de la musique bien chiante, et l'autre avec l'art plastique qui vibrait plus, sous fond de Led Zeppelin. Quelle chance ils ont tous les deux d'avoir Monsieur Bernard, même si c'est pas le même jour, en prof de cette matière, malgré le fait que ce grand type très maigre avec ses lunettes, tatouages au long du corps, et claquettes aux pieds, n'a pas sa langue dans sa poche quand il s'agit de rabaisser le clapet d'un petit chieur qui l'emmerder.
En tendant bien l'oreille, on peut entendre justement Max la menace causer de lui.

Maxime : Aujourd'hui, il m'a dit un compliment sur mon dessin.

Stive : Vraiment !?

Maxime : Oui, que même un enfant de 5 ans sans bras fait mieux.

Stive : D'où c'est un compliment !?

Maxime : Bah d'habitude il dit plutôt que même un fœtus mort ferait mieux. Il y a du progrès, c'est bien.

Stive : Si tu le dis...

Ensemble, ils arrivent et s'arrête devant le digicode de la porte d'entrée de l'immeuble encré dans une petite cité où les canapés enflammés pleuvent au nouvel an et où il les Stups sont sûrement déjà passés quelques fois pour s'occuper de jeunes malotrus qui fument un peu trop de beuh en cachette.
La censure médiatique passe même jusqu'à ma façon de décrire les délinquants.
Pas encore à noirceur l'image de la police plus que ce qu'elle n'est déjà.
L'heure est à la séparation aux deux pipelettes qui ont d'ailleurs extrêmement soif, une qu'ils aient passé la porte métallique pour se retrouver devant celle en bois qu'il les sépare de l'appartement où a grandi de petit People.

Stive : C'était amusant.

Maxime : Surtout le moment où t'as...

Stive : Ouais putain ouais ! Et aussi...

Maxime : Exact !

Stive : Bon sur ce, on se dit à demain !

Maxime : On est samedi demain.

Stive : Bon bah à lundi alors !

Maxime : Tu ne veux pas passer chez moi ce week end ?

Stive : Nan désolé, mes parents voudront sûrement pas comme on vient juste de se rencontrer. Mais si tout se passe bien, bientôt pit être.

Maxime : Cool alors !

Stive salut son nouveau pote de la main gauche, tout en tournant la poignée de l'autre main, seulement pour être accueilli par une boule de poil de la couleur d'une Prim'Holstein qui pose ses deux paluches avant sur son maître afin d'essayer de lui faire de grosses léchouilles.Les connaisseurs de races canines qui nous suivent reconnaîtront sans trop de problème que nous avons affaire à un Border Collie.

Stive : Non Choupette, pas maintenant ! Pas devant mon nouvel ami !

Maxime : Allez, salut à tous les deux !

N'étant pas fan des chiens, l'humain du camp des chats prend la poudre d'escampette sans perdre de temps.
Il faudra attendre la semaine prochaine pour les deux réunis au même endroit pour d'autres moments marquants.
Mettons un peu de Phil Collins par ci, et une compilation de leurs instants par là, puis en avant Guingamp !
Nous retrouvons au zoo se situé dans le grand parc du quartier de l'Orangerie où ils sont mêlés parmi les nombreux visiteurs, en matant les différents enclos présents, sans entendre la chanson extradiégétique.

Peu importe ce que tu fais !

Maxime pointe du doigt la cage contenant les magnifiques Lynx de Sibérie.

Je le ferai aussi !

L'amoureux des félins s'approche au plus près de leur prison pour tendre la main à travers les barreaux.

Montre moi tout et dis moi comment !

L'un des matous s'approche de cet intrus sur son territoire avec un certain regard malicieux.

Tout veut dire quelque chose !

L'animal décide de ne ni sentir la main, ni la mordre, mais plus plutôt de lui faire un check.

Et pourtant rien pour moi !

Maxime retire sa main, extrêmement surpris, mais en même temps ravi de vivre une telle expérience.
Passons à un cours de chimie où notre nullard à lunettes est en train de disséquer une souris albinos tout seul car personne ne voulait être en duo avec lui.

Je vois qu'il y a tant à apprendre !

D'un coup il fait un faux mouvement, se cogne le coude contre la tape et ça fait effet catapulte pour le cadavre du rongeur au ventre ouvert.

Tout est si près mais encore si loin !

La petite bête atterrit sur la tête du prof barbu de physique chimie, Monsieur Goetch, reconnaissable avec son énorme ventre en forme de frisbee.

Je me vois comme les gens me voit !

L’enseignant grince des dents alors que tous les élèves se retournent vers Max pour se moquer de lui, et de l'adulte aussi au passage.

Oh, je sais juste qu'il y a quelque chose de plus gros là bas !

Moulinex sourit de façon honteuse en se cachant derrière son bureau de travail, juste quand une main touche son épaule et qu'il se retourne pour voir le visage amicale de Stive.

Je veux savooooiiirrrr !!

Ce dernier l'emmène à la fête foraine locale, nommé le Messti, qui est situé devant l'école primaire où a été notre reclus de la société.

Peux-tu me mooooonnnnntrer !!

Max est émerveillé par tous les couleurs qui défilent des attractions autour de lui.

Je veux en savoir sur ces étrangers comme moi !!

Son regard s'arrête de celui qui a changé sa vie en mieux et qu'il aurait déjà embrassé si ils étaient pédés.

Dis moi s'en pluuuuusssss !!

Mister People s'écarte pour montrer son groupe d'amies qui est venu avec lui, comprenant Jeremy le clown grande et élancé, Méréva la voyante qui peut prédire ton orientation sexuel, Lulu la petite belette qui sait faire des claquettes avec ses mains, et Océane qui a déjà terminé le tout nouveau Diablo III en Tourment X avec les yeux bandés et en jouant avec le nez.

Pitié mooooonnnnntre moi !!!

Maxime sert les mains ces différentes personnes qui deviendront peut être ses amies à l'avenir.

Quelque chose de familier au sujet de ces étrangers comme moi !!

Ensemble, ils courent faire diverses attractions, y compris la maison hantée où il y a de vrai macchabées qu'ils ont déterré au cimetière juif le plus proche.

Je veux savoir....

Le garçon amusé se tourne vers vous pour vous faire un clin d’œil avant de se retourner à ses activités plaisantes.
Maxime Moulin
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