[RP] Le Scéna... Quoi ?

Si Albert Wesker a réuni quelques personnes de confiance dans ces décors rappelant énormément l'ancien de lieu de recherche d'un de ses défunts amis, c'est pour pouvoir avoir une petite discutions privée avec un minimum de tranquillité en fin de soirée, après la fermeture des lieux pour les horaires du tourisme
Parmi les noms que nous aurons à souligner en cette calme nuit, nous n'aurons ni Leon Kenneddy, ni Haruhi Suzumiya, puisque le premier est affreusement malade et est cloué au lit dans le but de se remettre du mal qui l'afflige, tandis que le seconde est à son chevet et puis à autre chose à foutre d'essayer de sauver cette femme qui leur a causé tant de soucis par le passé, bien que la police secrète qui s'est occupée d'elle lui pose quelques problèmes car ils se mettent en travers du chemin des Avengers et sortent un peu de nul part, ce qui est assez contraignant pour la stabilité du monde.
En dépit de ces deux absents, nous aurons quand même trois individus de présent, et pas n'importe qui.
Maxime Moulin qui a décidé de lui même d'être là, malgré les réserves de toutes ses petites amies qui auraient voulues venir avec lui pour le coup, mais il a jugé que ce serait plus amusé d'aller en solo rendre visite à son vieux pote qui était autrefois son ennemi.
S'appelait quant à lui est là pour représenter non pas Sega ou UNIT, mais bel & bien les Illuminatis, ce qui est un rôle dans lequel ça fait longtemps qu'on l'avait pas vu, ce qui est explique pourquoi il porte des vêtements civils pour une fois, et ceux ci sont ajustés à sa morphologie de marmotte humanoïde.
Nick Fury Junior est le plus sérieux de tout ce lot et il est venu à ce rendez vous en tant que Directeur et Général en Chef de l'Unified Intelligence Taskforce, la société paramilitaire crée officiellement par l'ONU pour se charger de protéger l'humanité des forces paranormales qui pourraient la menacer, que ça soit des humains avec des supers pouvoirs, des extra-terrestres, ou une revenante comme une certaine damoiselle qui va nous intéresser.
Sans perdre plus de temps, passons au cœur du sujet du jour qui n'est un secret pour personne.

Albert : Si je vous ais fait réunir ici, c'est pour une seule chose.

Maxime : T'aider à trouver Saryna ?

Albert : Bravo ! Tu as la bonne réponse ! Bzzzttt ! Un point pour Maxence !

Maxime : Maxime.

Albert : Qui ?

S'appelait : Je sais que Marion était son amie, mais j'en ai personnellement rien à foutre de Saryna Coleen.

Nick : En tant que revenante, elle entre dans notre domaine d'activité et nous pouvons en effet t'accorder une faveur en t'aidant à la récupérer des mains de cette étrange police qui ne nous dit rien.

S'appelait : Pareil. Jamais entendu parlé de ces gars avant aujourd'hui.

Maxime : À croire qu'ils sont apparus dans notre monde comme par magie, et pour nous faire chier.

S'appelait : Possible. Je ne viens pas de ce monde alors qui sait ? Rien est impossible ! Mes métiers me l'ont appris.

Maxime : Moi les miens m'ont appris que le scénario pouvait facilement ne pas avoir de sens.

Albert : Le scéna... Quoi ?

Nick : En tout cas, UNIT fera son enquête pour retrouver Saryna Coleen. Je vous tiendrai au courant du résultat de ces recherches.

S'appelait : Compte pas sur moi ou sur mes potes sur ce coup là. Tu devrais abandonner cette Saryna là car elle porte la poisse et fait chier tout le monde.

Maxime : Il n'a pas tort.

Albert : Je fais ce que je veux, et c'est souvent dans la gueule !

Devant ce repompage foireux d'une grande ligne de dialogue d'un maître en bottage de cul, notre Albert propose à ses invités un petit resto pour ne pas les avoir fait venir juste pour si peu de dialogues, et puis comme ça il renforce le fait qu'ils leur doit une, même si une seule personne a accepté de l'aider en fait.
Or, cette personne est en position de lui fournir une grande aide et il faudra sûrement très peu de temps pour que Nick puisse localiser exactement où se trouve Saryna Coleen, et ce en très peu le temps, le tout sans se faire remarquer de leur ennemies du jour.

est les jours passe et ont peut entendre aux info que cette police ont réussi a debusquer des groupe de résistant par tout a travers le monde , pour le moment cette police garde sont nom secret .

du coter de saryna elle et en prison et commence a donne des signe de réveille

Un jeu du chat et la souris a lieu entre les Avengers et la police des polices qui empêche des groupes de résistance à travers le monde de prendre le pouvoir, bien que ça soit surtout ceux anti-vax qui sont ciblés, plutôt que ceux intégristes religieux qui sévissent aussi, comme le célèbre conflit entre la Palestine et Israël.
Au cours de cette chasse, différentes organisations à travers le monde et gouvernements ont pris leur position vis à vis de tout ça.
D'un côté, une grande partie de l'Europe et le Japon, ainsi que de nombreuses sociétés pharmaceutiques ont pris partis de cette police secrète.
De l'autre côté, la France et les États Unis, ainsi que le BSAA et UNIT ont soutenu sans sourciller les Avengers dans cette histoire car après tout, ils leur doivent énormément de choses.
Sans eux, les Dieux Dragons auraient certainement gagné contre l'humanité, et ils ne sont pas les seuls gros méchants qui auraient fait de même par le passé.
On peut citer Hydra ou les Daleks par exemple.
Néanmoins nous n'allons pas trop nous attarder sur ce duel mondial qui vient se mêler à d'autres conflits du même gabarit, eux aussi à l'international.
Nous, ce qui nous intéresse, c'est Saryna Coleen.
Pour en savoir plus sur elle, il va nous falloir retrouver un débile à lunettes du nom de Maxime Moulin qui est tranquillement en train de siroter son Lipton Ice Tea dans un Café quand d'un coup son portable se met à vibrer dans sa poche, le faisant soupirer et le forçant à vérifier de qui il s'agit.
Sans grande surprise, le nom d'Albert Wesker y apparaît et il décroche sans vraiment d'enthousiasme dans son geste.

Maxime : Laisse moi deviner. Tu as besoin de moi au sujet de Saryna Coleen alors que j'ai déjà refusé plusieurs fois ?

Albert : Oui mais là c'est différent !

Maxime : Différent en quoi ?

Albert : On a localisé Saryna.

Maxime : Quand tu dis "On", tu veux dire UNIT ?

Albert : C'est pareil ! Alors, tu viens avec moi s'il te plaît !?

Maxime : Mais tu sais que moi je ne comprends rien à l'anglais donc bon...

Albert : Oh tu sais ils parlent en français là bas.

Maxime : Sérieusement ?

Albert : C'est pas la première fois que tu aurais ce gros coup de bol. Tu l'as déjà eu à mainte reprises par le passé, y compris durant ton temps en tant que notre chef chez les Avengers.

Maxime : Depuis quand tu dis des choses aussi intelligentes ?

Albert : Je suis un peu constipé en ce moment, ça doit jouer.

Maxime : Bon... Tu viendras me chercher peu importe mon refus n'est ce pas ?

Albert : Merci beaucoup ! Tu verras que tu ne le regretteras pas !

Maxime : Tu veux pas que Gilbert vienne aussi ? Quitte à aller à fond dans le n'importe quoi, autant y aller à fond.

Albert : Bonne idée ! Pourquoi je n'y ai pas pensé plus tôt !?

Maxime : Bon bah au moins, Gilbert sera là. C'est toujours mon idole, alors on va se marrer ensemble.

Albert : Je viens te chercher d'abord toi avec l'Air Force One. Let's go !

Le pire est à venir si ce trio de la mort débarque dans la prison retenant la chef des F.A.I. dans le coma.
Bien que ensemble, ils pourront certainement la faire sortir de là sans souci.

pendant se temps notre saryna et toujours en prison et je dirais même menotte a sont lit a l infirmerie sous surveillance , quand a nos amie les voila a sa recherche

Sans prévenir, un trio de la mort débarque dans l'entrée de l'ADX Florence qui était la prison super sécurisé où Saryna Coleen s'était déjà retrouvée auparavant et où les Avengers avaient réussi à légalement l'en faire sortir, et c'est presque déroutant d'avoir cette sale impression de refaire les mêmes choses en boucle.
Cette fois ci, Leon ne sera pas là pour jouer les négociateurs.
Albert Wesker est là à la place en tant que président des États-Unis, excepté que contrairement à la dernière fois où il est intervenu pour essayer de choper la cible, il était accompagné de toute escorte personnelle de protecteurs, mais là il a jugé qu'il n'en aurait pas besoin pour faire ce qu'il a à faire.
Gilbert Montagné est quant à lui présent en temps que chef d'État français, et il a fait la même chose, à savoir ne pas amené avec lui de gardes du corps, car si vraiment les choses tournent mal il compte sur ses pouvoirs pour désamorcer la situation, en veillant à ne tuer personne parce que aujourd'hui il est sage.
Maxime Moulin reste plus en retrait, couvrant leurs arrières, et lui il est coincé au plein milieu d'un dilemme mental puisque d'un côté il n'a pas envie que les choses partent en sucette étant donné qu'il n'a aucun moyen de se défendre de lui, et de l'autre il aimerait vraiment voir ses amies dans le feu de l'action.
Reste plus qu'à présent à voir comment ils vont procéder pour la libération de la comateuse.

Albert : En tant que président des États-Unis, je gracie Saryna Coleen de tous ses crimes et j'exige sa libération !

Maxime : T'es vraiment sûr que ça va marcher ?

Albert : Bah c'est comme qu'on fait non ?

Gilbert : C'est comme ça que j'ai toujours fait moi.

Maintenant, ils attendent que quelqu'un vienne à leur rencontre.
Que ça soit la directrice de l'établissement pénitentier, un médecin, un policier secret, ou n'importe qui d'autre.

-la directrice : président ou pas il faut un manda sinon rien

et le regard de la directrice deviens glacial tout comme sont visage

-la directrice : sache monsieur que je ne rigole pas ici ses moi qui commande et pas vous saryna restera ici que sa vous plaise ou non

Wesker tape du pied sans en avoir rien à foutre des désaccords de la directrice.

Albert : Je suis le putain de Président de ce pays ! Je suis pas un flic à la con ! J'ai pas besoin d'un putain de mandat ! Et je suis la plus haute figure d'autorité sur ce territoire où ce trouve cette putain de prison ! Prison que je peux faire démolir si je veux ! Ou vous faire arrêter pour haute trahison !

Agacé, il pousse la femme hors de son chemin avec sa force améliorée, puis part fouiller cette prison de fond en comble en compagnie de ses deux amis qui le suivent de près en restant discret pour l'instant, pour enfin chercher celle qui n'a plus rien à faire ici puisque Monsieur le Président des Armerloques a gracié collectivement tous les membres des Forces Américaines de l'Intérieur de leur crimes commis durant la révolte, y compris Saryna Coleen.
Il avait hésité avec une amnistie, mais étant en faveur du devoir de mémoire, il ne pouvait pas le faire ça.

États Unis; Colorado; Florence;ADX

Dans cette prison hautement super sécurisé a l'intérieur de celle-ci en plus de ce joyeux trio, ce trouvait également quelqu'un d'autre cette personne n'etait autre que Silver Shroud, homme d'argent ce baladent tranquillement dans la prison sans attirer l'attention de qui que sois du personnel de l'établissement ni de qui que ce sois, t'el un fantôme errant dans les couloir il pouvais alors ce concentrer sur ce qu'il etait venu chercher ici et qui expliquer également sa présence ici "Saryna Coleen", contrairement a notre trio lui savais exactement ou il fallait aller et fouiller pour trouver notre jouvencelle, grâce au précieux renseignement de ces nombreux contact récolter en si peux de temps et au plan qui avait de la prison en tete et pas que.

Consultant le plan et ses note notre ami continue sa route en direction de l'infirmerie du Bloc D de cette prisons ainsi mettre son plan a l'œuvre ou tout deja prevu

Maxime essaye de se gratter les couilles ni vu ni connu car il faut dire que ça le démange depuis tout à l'heure et que il a beau tenter en vain de dissiper la désagréable sensation, elle ne part pas, au point où il en vient à se demander si il n'a pas des morpions, ou si c'est juste une irritation de la peau bénigne.
Quoiqu'il en soit, il n'a pas vraiment fait attention à ce qu'il se passait autour de lui en ce moment même.
Donc c'est comme nous, qu'il s'incruste avec ses oreilles en plein milieu d'une conversation de ses deux compères alors que tous les trois navigues dans les longs couloirs vides de vie de ce trou qui ne semble pas si bien garder ça, comme le pourrait aussi le témoigner la présence de Silver Shroud dans le coin, bien ça ils ne le savent pas.
Tout ça pour en venir à une question qui fait sens et qu'ils auraient dû se poser plus tôt.

Albert : Tu crois qu'ils la retiennent où notre Saryna Nationale ?

Gilbert : À l'infirmerie.

Albert : Tu en es sûr ?

Gilbert : Pas à cent pourcent, mais si elle était dans le coma comme Masumi l'avait dit, je ne vois que cet endroit où ils pourraient avoir le matériel médicale pour traiter son cas. Je les vois difficilement créer une cellule avec tout ce matos rien que pour elle.

Maxime : Je ne parierai pas mes couilles dessus. Ils sont capables de tout. Comme nous d'ailleurs. C'est ça le pire.

Albert : Au pire, on retournera toute cette prison de fond en comble pour mettre la main dessus, mais d'abord...

D'un coup, un paquet de gardes armés jusqu'aux dents par du matériel qui ferait des jaloux, leur tombe dessus, les encerclant complètement, et étant prêt à en découdre pour venger l'honneur de leur directrice qui s'est quand même fait jeter comme une canette dans une poubelle un peu plus tôt.
Albert lève les mains vers le haut en signe d'exaspération.

Albert : Je ne comprends pas, tout aurait dû marcher comme sur des roulettes de trottinettes !

Gilbert : Normal, d'autres forces qui vous dépassent sont en présence.

Albert : Dans ce cas, je compte sur toi Bébert !

Gilbert : T'inquiète Bébert !

Albert : Je branche la sono mon pote !

Gilbert : Ouh yeah, passons au Plan B !

Wesker sort son portable dernier cri afin de mettre du métal qui fait plaisir aux oreilles, tandis que son précieux ami Gilbert prend une radio qu'il a sur lui avant de sortir une citation en latin qui ne veut absolument rien dire mais qui sonne classe dans le feu de l'action, tout en étant le message codé nécessaire pour lancer la prochaine opération.


Plusieurs Aérospatiale AS532 Cougar de l'Armée de Terre Française apparaissent dans le ciel, suivant un convoi de plusieurs véhicules terrestre, foncent tout droit l'établissement pénitencier où se trouve notre trio de la mort afin de leur venir en aide de manière magistrale, au point d'en faire peut être un peu trop de caisse, mais chacun est bon de juger cette situation comme il le souhaite.
Une fois que le hélicos se posent à terre pour faire débarquer ses troupes, nous pouvons constater que celles ci portent des bérets verts qui ont une signification certaine pour ceux qui s'y connaissance un minium militairement parlant car il s'agit pas que de simples bleu bites à qui nous avons affaire.
Ces légionnaires sortent aussi des Masstech T4 et Peugeot P4 qui viennent se garer à l'avant de la prison, tandis que l'unique Griffon, quant à lui, ne déploie qu'un autre typo de soldats, habillés plus en style commando des forces spéciales, qui font partis d'une toute autre branche de la grande armée que possède la France, et qui sont encore moins des tendres que ceux décrits juste avant qui ne l'étalaient déjà pas.
Il ne reste plus qu'à décrire celle et celui qui sont à la tête de tous ces hommes et femmes sur place.
Chéckina Gougnacier, Major de la Légion Etrangère d'origine congolaise qui est là pour représenter l'opération de manière officielle avant tout, mais n'en demeure pas moins compétente, et ne se laissera pas marcher sur les pieds par les gardes de cette foutue prison ou une quelconque police secrète à la con.
Jean-Louis Dubeauchamp, Sergent du Service Action au service de la Direction générale de la Sécurité extérieure, qui est là pour exfiltrer clandestinement, avec le soutien des services secrets américains, Saryna Coleen de cet endroit pour la ramener à une planque française où elle se sera soigné comme il le faut jusqu'à son réveil.
Pendant que tout ce beau monde pénètre dans cette forteresse en neutralisant de manière pacifique tout ce qui s'y trouve, excepté notre trio, nous allons revenir de leur côté pour les suivre en train de patienter jusqu'à ce que les renforts atteignent leur position, de quoi les écouter encore sortir des énormités.

Maxime : Ta Ministre des Armées, c'est toujours Erza ?

Gilbert : Oui, même si elle ne fait ce job qu'à mi temps.

Maxime : J'aimerais bien la revoir un de ces quatre, et si possible avec ses beaux pieds.

Gilbert : Tu sais qu'elle risque de te les foutre dans la tronche ?

Maxime : Oui.

Gilbert : Et t'aimes ça ?

Maxime : Oui.

Gilbert : Et t'as pas peur que tes copines prennent ta défense et que ça parte en baston générale ?

Maxime : Non.

Gilbert : C'est vrai que maintenant que je l'ai dit, ça sonne comme une bonne idée de match à se mater.

Sans le savoir, tout ce bordel allait laisser l'occasion à Silver Shroud de sévir.

Silver atteignis le bloc D et entra, a l'interieur du lieux dit poursuivant toujours aussi tranquillement jusqu'a atteindre son bute, l'infirmerie,  farouchement bien garder par deux maton occuper a roupiller paisiblement adosser contre le mur, notre dective continua son chemin en fessant le moindre bruit possible pour ne pas les réveiller, récupérant au passage le trousseau de clé sur l'un des garde et ouvrit la porte, unefois dans la pièce il referma a cle derrier lui,

Silver(radio): Déesse Je suis dans la infirmerie,  

Déesse (radio): Bien recu Lingot, Je voue envoie la ficelle

Sauce soja(radio): Ici sauce soja ficelle envoyer,

Aussitôt dit quatre grand grappin accompagner de deux grand sac venue traverser les mus extérieur de la pièce pour s'arrimer a intérieur, du couloir

Déesse (radio): Lingont on attend votre signal on attend votre signal des que vous etre parer

Silver fini les dernier préparative dans la pièces puis donna le feu vert

Silver(radio): le noués et serer on peut faire voler la gueuse

Déesse (radio): Compris a vous de jouer sauce soja

Suace soja(radio):Bien recu He c'es partis que la démolition commence d

La pièces sous la tension des câble qui se tenders détacha du reste du bâtiment tout cela relier a hélico qui voler en attitude plus haut

Maxime Moulin contemple avec indignation le poster accroché sur le mur devant lui, qui est en fait le poster de l'adaptation live de Netflix du light novel japonais Mushoku Tensei avec Will Smith dans le rôle principal, peu importe l'âge que son personnage a dans l'histoire, et donc même quand il sort du vagin de sa mère.
Ne voulant pas perdre plus son temps avec ces conneries, il s'éloigne de cette image consternante afin de rejoindre ses deux amis qui sont en train de causer à côté des gardes et de molosses qui sont au sol, blessés non mortellement, alors que les militaires français s'occupent de les soigner du mieux qu'ils peuvent après les avoir mis dans cet état.

Gilbert : Alors, comment se passe la situation vaccinale de ton côté ?

Albert : Déjà on essaye en labo de vrais vaccins, au lieu de tester en réel ces substances géniques expérimentales que Pfizer ou Moderna utilisaient.

Gilbert : Donc c'est déjà plus respectueux du Code de Nuremberg.

Albert : Je ne prends pas mon peuple pour des rats de laboratoire.

Gilbert : Bon après, il faudra quand même tester sur de vrais êtres humains pour voir si ça marche le vaccin.

Albert : Ouais, mais ce seront eux qui auront choisi de le faire, et je n'impose à personne de le faire.

Gilbert : Comme moi.

Maxime : Pour un non vacciné comme moi qui navigue entre mon pays et les USA assez souvent, c'est plutôt une bonne nouvelle.

Albert : Bon sinon, on aurait dû suivre tes hommes jusqu'à l'infirmerie car on se fait un peu chier.

Gilbert : La patience est un plat qui se mange avec des couverts.

Une blague germe soudainement dans la tête du gros français à lunettes qui se marre alors intérieurement et décide de partager sa débilité autour de lui, comme si il n'y en avait pas déjà assez.

Maxime : Saryna Coleen a des yeux.

Albert : Hein ?

Gilbert :

Albert : J'ai pas compris moi.

Tout à coup, un boucan monstre se fait entendre, ce qui interloque tout notre groupe de héros que l'on suit et qui se demande ce qui peut bien se passer, jusqu'à ce que Max sente quelque chose vibrer dans sa poche, puis qu'il jette un œil à son Samsung qui s'y trouve bien loti.
Durant ce temps là, les deux seuls noms connus de l'armée française sur place pointent le bout de leurs nez, en gardant le contrôler de ses émotions pour ce qui est de l'homme, contrairement à la femme qui est plus ouvertement en proie à la stupeur et la colère.

Jean-Louis : L'infirmerie s'est envolée juste au moment où nous allions la rejoindre pour exfiltrer la cible. Les gardes présents étaient à peine réveillés et ne semblaient pas savoir ce qu'il se passait.

Chéckina : Nos Cougars ont repéré un hélicoptère inconnu au dessus de la prison ! Aussi improbable que cela puisse paraître, ceux dans l'hélico ont arraché l'infirmerie du reste du bâtiment et sont en train de se barrer avec !

Albert : What the fucking fuck man !?

Gilbert : Abattez tout de suite cet hélico !

Maxime : Non attendez !

Le blaireau de service fait de grands gestes pour empêcher ses alliées d'agir sur le feu de l'action et de faire une bêtise qui pourrait coûter la vie à un être cher.

Maxime : Masumi m'a envoyé un SMS ! Silver est derrière tout ça ! Une ancienne connaissance de Saryna du nom d'Opie l'aurait embauché pour la retrouver ! Donc butez pas Mazuzu comme elle est dans cet hélico justement, car sinon ça va chier pour vous !

Albert : Il aurait pu nous prévenir plus tôt ce con !

Gilbert : Au moins on a pu s'amuser un peu de notre côté, et étaler du fun à tous les étages, ouh yeah !

Maxime : Tu arrives toujours à trouver du positif dans chacune des situations, même les plus merdiques, et ça ta force, Gilbert.

En guise de réponse, l'aveugle pas vraiment aveugle applaudit avec vigueur pour signifier qu'il est tout content.
Ce qu'ils ne savent pas, c'est qu'en réalité Silver avait une toute autre idée en tête au sujet de Saryna Coleen.

quand a saryna recommençais a donne des signe de réveille et commença a bouger , chose qui aller surprendre se qui laver enlever de cette prison par hélico

-un soldat : chef dois ton lui effacer la mémoire

ses soldat attende les ordre pour faire leur sale travail

Un AgustaWestland AW139 vole au dessus des plaines désertiques du Colorado avec à son bord Déesse, aka Lily, qui le commande avec brio pour ce qui avait l'air d'être une simple secrétaire de prime à bord, ainsi que Sauce Soja, alias Masumi Sera qui est là pour l'assister dans les tâches qu'elle ne peut pas faire toute seule sans lâcher le volant et risque un crash aérien digne des plans grands films d'actions hollywoodiens ou français d'une époque où Jean-Paul Belmondo était encore au sommet de sa carrière, tout en étant pas mort.
Les deux femmes s'entendent bien, même si l'une a un complexe d'infériorité vis à vis d'une chose en particulier.

Masumi : J'aimerais bien avoir ne serait ce que la moitié des tiens. Au moins j'ai un petit ami qui m'aime telle que je suis malgré ce défaut qui me tracasse la tête.

Il faut dire que la japonaise est plutôt une planche à pain, tandis que l'autre à des gros melons plutôt bien fournis.
Si vous ne comprenez pas ces sous entendus graveleux, c'est que vous avez le QI d'une moule avariée.
Néanmoins tout allait pour le mieux, jusqu'à ce qu'une voix inconnue résonne au sein du cockpit en demandant à Silver si il fallait effacer la mémoire de Saryna Coleen, ce qui surprend beaucoup les deux assistantes à bord de l'hélico militaire pour plusieurs raisons, mais une principale quand même.

Masumi : Attends, d'où ils sortent tous ces assistants là aux commandes de Silver qui n'étaient pas là précédemment ?

Lily hausse des épaules en guise de réponse, n'en ayant pas vraiment de cohérente à lui accorder.
Normalement Silver était seul avec la cible dans cette infirmerie volante, mais bon on va faire avec, et voilà que la détective privée prend la radio afin de s'adresser à l'autre "soldat" afin de lui faire rappeler ce pour quoi ils sont là et c'est une chose qui n'était pas clair pour nous et qui diffère du message que Maxime avait reçu précédemment.

Masumi : On doit lui poser tout un tas de questions pour notre enquête. Ce sera difficile de le faire si on lui efface la mémoire.

Certes elle avait répondu à la place de son patron, mais on espère qu'il ne lui tiendra pas rigueur de ce côté là.

Petit retour dans le passé, un jour en arrière précisément, afin de retrouver celle qui est crainte des autres quand elle est surgit sous le surnom de Lightning, mais qui peut paraître plus amical quand c'est sous son véritable nom, Léa Irving qu'elle faire surface, comme au moment donné de l'histoire où la retrouvions en train de préparer une séance pour un groupe de soutien aux vétérans victimes de PTST dont elle s'occupe non sans une certaine passion qui se dégage de son âme à chaque fois qu'elle anime le bousin.
Faut croire qu'elle se purifie elle même, à chaque fois qu'elle fait ça, pour toutes les mauvaises actions qu'elle s'en veut d'avoir fait jadis, et qu'elle continue parfois encore de commettre malgré qu'elle ait principalement rangé ses armes et ne les sort que si deux noms en particulier s'offrent à elle.
D'ailleurs, l'un d'entre eux s'affiche sur son portable alors que celui ci se met à sonner depuis son sac à main Louis Vuitton qui lui a été offert par son petit ami, TH5 ou Thomas pour les intimes, qui est un tueur à gage célèbre dans le milieu et l'un des noms dont je vous parlais juste avant, saut que là il ne s'agit pas de lui.
Il s'agit plutôt d'une marmotte de bon poil au nom tellement original qu'on ne se lasse jamais jamais de le prononcer.

Léa : Que me veux tu S'appelait ?

S'appelait : Que tu me rendes un service.

Léa : La routine en sommes.

S'appelait : Oui. Je t'aide pour quelque chose, et en retour tu me files un coup de patte.

Léa : Que veux tu que je fasse cette fois ci ?

S'appelait : Quelque chose que j'aurais pu demander à ton petit copain le tueur à gage passionné des jeux de courses et suceur de bite de Microsoft, mais ça tête me revient moins que la tienne donc je le garde pour une autre fois.

Léa : Quoi comme chose ?

S'appelait : Buter Saryna Coleen.

Ce nom rappelle à la femme aux cheveux roses la fois où elle avait été embauchée pour protéger le célèbre Capitaine Chris Redfield du BSAA de cette dangereuse terroriste qui était à ses trousses alors qu'une prime de plusieurs millions pesait au dessus de sa tête.
Cette fois, elle entend bien sûr réussir sa tâche, mais encore reste il a mieux comprendre une chose en particulier.

Léa : Je pensais que les Illuminatis étaient de son côté. Et donc toi aussi.

S'appelait : Peuh ! Même pas en rêve ! J'ai jamais pu saquer sa tronche, au point de l'éviter à chaque fois qu'elle visitait mon ancienne base ! Elle est aux antipodes d'un Leon Kennedy, et j'ai toujours dû mal à croire qu'il soient amies, car il n'y aucune logique là dedans !

Léa : Tu vas te faire un tas d'ennemis en commanditant sa mort. Tes alliées ne sont pas idiots et sauront découvrir la vérité.

S'appelait : Oh ça va, j'ai déjà pensé à un baratin pour m'en sortir et qu'ils se la ferme tous !

Léa : Lequel ?

S'appelait : Qu'il nous fallait un martyr afin de renverser une bonne fois pour toutes les francs-maçons qui marchent sur nos plates bandes.

Léa : Je vois.

S'appelait : Donc, tu es prêtes à m'aider ? Sachant que comme pour d'autres fois, je serai aussi de la partie.

Léa : TH5 peut venir ?

S'appelait : Ggrrrrhhhhmmm... Allez, oui, plus on est fou plus on va rire ! Surtout qu'il va y avoir sûrement des gens qui vont chercher à la protéger sur notre chemin.

Léa : Comme qui ?

S'appelait : Il y a cette mystérieuse police secrète qui la détient, les gardes de la prison où elle se trouve, et Albert Wesker qui cherche à savoir où ils la planquent afin de pouvoir venir à sa rescousse alors qu'elle est dans le coma.

Léa : Dans le coma donc... Ce seront les autres dont il faudra le plus se méfier comme elle sera sans défense pour sa part.

S'appelait : Faudra en profiter tant qu'elle l'est, et veiller à ce qu'elle ne se réveille jamais.

Léa : Tu sais qu'il y aura comme toujours une certaine probabilité que je rende les armes suivant qui se trouve en face et les arguments qu'ils auront pour me convaincre de me rallier à eux.

S'appelait : Je sais, je sais. On est loin d'être des amies qui plus est alors je ne t'en voudrais pas pour ça.

Léa : Je fais ma séance et je serai ensuite dispo pour que tu passes.

S'appelait : Pas de souci, j'irai plus vite d'un taxi.

D'une intonation plus enthousiaste qu'un Donald Trump avec son nouveau réseau social, la Marmotte de Milka ne vous donnera pas de sous Nutella pour le petit déjeuner mais bien des tartes dans la figures qui vous en décrocheront la mâchoire, tellement elle généreuse et toujours prête à la baston, même si en face d'elle se trouveraient une vieille mémé de plsu de 80 balais ou un gosse d'à peine 1 an.
Si je vous ai montré tout ça, c'est que cela aura une importance pour plus tard, mais en attendant, soyez patient.

Un Airbus Helicopters H160 noir furtif, surnommé "Guépard", survole les montagnes du Colorado avec son logo pas très discret de l'Unified Intelligence Taskforce pour se rendre vers le lieu de convoitise de tant de personnes, à savoir l'Alcatraz des Rocheuses, ou l'United States Penitentiary, Administrative Maximum Facility de son vrai nom que l'on abrège généralement en ADX Florence pour faire plus simple.
À son bord se trouvent quatre individus peu ordinaire que je vais m'empresser de vous décrire de ce pas.
S'appelait, la marmotte des neiges qui est le commanditaire de la mission consistant à abattre Saryna Coleen tant qu'elle se trouve encore dans le coma, sans savoir comment ça a évolué de son coté, et dans le cas où elle se serait réveillée, il prévoit d'utiliser ses pouvoirs contre elle, en évitant de créer un Dany Boon mode Comic Relief au passage.
Léa Irving qui s'est vêtue de sa tenue la plus mythique, tellement qu'elle est visible sur la couverture du boîtier de Final Fantasy XIII, et qui s'est équipée de ses plus belles lames pour la baston qu'il risque d'y avoir, car elle le sent que les choses ne vont pas du tout se passer comme prévu contrairement à ce que son boss veut croire.
TH5, ou Thomas pour les intimes, étant un tueur à gage et ayant une solide amitié avec la bête poilue humanoïde, ainsi qu'une relation spéciale avec Lightning, a toutes les raisons du monde d'être ici, sans savoir que son pote et ancien nemesis Maxime Moulin est dans le coup lui aussi, bien que se trouvant dans un autre camp.
Zazane, une rate de taille humaine, se trouve entraînée encore une fois dans les combines du membre le plus important et populaire de leur groupe d'amies animaux anthropomorphiques, même si elle n'a rien à y gagner de le faire, mais en même temps elle se fait chier à la maison donc bon...
Voilà quoi.
Les présentations étant terminées, repassons aux choses sérieuses, aussi dingues soient elles.
Au moment où tout ce bon monde atteint la prison fédérale, qu'il ne faut pas confondre avec le Pénitencier d’Allenwood qui avait accueilli Carmine Millione et Ophelia Sarkissian, notre quatuor assiste à un drôle de spectacle assez magique qui a lieu sous leurs yeux.
Des légionnaires français essayent de résister contre un méga Godzilla apparu de nul part dans la cour principal, tandis que quelques nigauds de gardes tentent de résister aux envahisseurs depuis l'ancien emplacement l'infirmerie du Bloc D, et que en guise de bouquet final nous avons des placards qui se matérialisent comme par magie au dessus de cet établissement carcéral, avec son lot d'hommes qui se mettent à pleuvoir sans avoir aucune chance d'échapper à une mort certaine en s'écrasant sur le sol désertique en dessous d'eux.
La prison la plus sécurisée des States n'aura pas tenu longtemps en voulant s'opposer à des forces qui la dépassaient largement, et j'ai dû mal à imaginer comment elle pourrait se relever après tout ça, mais une chose est sûr en cet hiver plutôt chaud...


Devant ce joyeux bordel, les quatre occupants de l'hélicoptère appartenant à UNIT ont chacun leur propres réactions plus ou moins atypiques en réponse à situation qui l'est complètement, et nous allons voir chacun leur tour comment ils réagissent exactement.
Pour ce qui est du chef de cette opération s'annonçant très mal, il reste sous le choc pendant plus d'une dizaines de secondes avant de finalement se mettre à hurler de manière humaine, et ce plusieurs fois, en laissant à chaque fois une pause entre chacun de ses cris.


Du côté du timide tueur à gage très mince, celui ci demande une chose très claire, et qui est vraiment très cash.

Thomas : Hey Léa, tu veux baiser ?

Léa : Allons y.

Aussi cash est le pain dans la figure qu'elle lui balance, avant de lui sauter dessus pour répondre oui à sa question.


Terminons sur la pilote de l'appareil dans lequel ils se trouvent, qui met justement le pilotage en mode automatique avant de foutre ses pattes arrières sur les commandes devant elle, tout en sortant un paquet de Lucky Strike de la poche de son blouson en cuir pour ensuite s'en griller une tranquillement.

Zazane : Heureusement que mes quinze ratons ne sont pas là pour voir ça. On va tous crever.

Son comportement à de quoi rappeler quelque peu la vieille dans le film Atlantide de Disney.
Il faut juste espérer que la suite ne partira pas autant en sucette que ce qu'ont vécu les persos de cette œuvre.