[FIC] Une Journée dans la Peau de Shiho Miyano [Terminée]

Une pluie battante inonde les rues de la capitale, nous rappelons l'époque où elle avait été inondé au début du 20ème siècle, même si c'est un peu de l'exagération quand on compare sérieusement les deux phénomènes, mais il me fallait détailler ce que ressent un certain personnage.
Des bruits de pas éclaboussant ses propres vêtements en courant à travers les rues nocturnes où il ne fait bon traîner à cette heure aussi tardive, et pas moyen de trouver quelqu'un pouvant lui venir en aide, alors c'est entre deux kebabs fermés, non pas pour mauvais goût comme l'on aurait pu le penser.
Shiho Miyano, future Montagné, essaye d'échapper à un ennemi inconnu en étant sous l'apparence d'Ai Haibara, une enfant métissée de huit ans dont le rôle a déjà été joué par Naru, le marié de sa tante qui lui a sauvé la mise quand ça a été le temps d'enchaîner le grand requin blanc dans les tréfonds de la baie de Tokyo.
Pourtant, l'ombre d'un majestueux corbeau plane au dessus d'elle qu'elle plonge dans une ruelle dont elle ne peut apercevoir le bout, en répétant à chaque fois son ancien nom de code du temps où elle bossait pour l'une des pires entreprises pharmaceutiques ayant existé, se mettant au même niveau qu'Umbrella Corporation.

Gin : Sherry...

Shiho : Non, pas toi !

Gin : Viens à moi...

Shiho : Même pas en rêve !

Gin : Tu es mienne...

Shiho : C'est faux !

Gin : Tu ne peux pas m'échapper...

Shiho : Va t'en !

Gin : Je serai toujours là...

Shiho : Pitié, laisse moi !

Son insoluble trajectoire à travers ce labyrinthe de chemins où elle ne sait plus en donner la tête, ne parvient pas à stopper l'ombre criminelle de la poursuivre, et elle commence à s'essouffler avec ces conneries, notre petite âme fuyante qui est bien seule, bien trop seule.
Nixe question d'un Gilbert Montagné ou d'un Leon Kennedy pour venir lui sauver la peau, car là elle est toute seule comme elle le croyait énormément que ça allait venir un jour, mais les prudences dont elle a fait preuve n'auront servi à que dalle pour cette occasion.
Comble du malheur, le pire devait arriver, au détour d'un chemin, voilà qu'elle tombe sur une impasse, à savoir un muret inescalable de sa hauteur, et qui lui fait ravaler sa salive, tout en manquant de la cracher sur le sol, alors que le pire est à venir dans les les secondes qui suivent.
Des bruits de bottes résonnent vers sa direction, qui sont l'équivalant des chaussures nazis en terme de trauma que ça a pu faire à celle qui est dos au mur à présent, et qui se recroqueville sur elle même, totalement tremblante, à la limite de pleurer même si elle ne voudra pas faire ce plaisir là à son Arch Némésis.
Du regard, elle cherche un autre moyen de s'enfuir, excepté le fait que toutes les fenêtres sont barrées, donc entre ça et la portion du mur trop haute, on peut dire que la malchance lui tombe dessus, déjà qu'elle a assez souffert par le passé, alors ce n'est pas le moment pour la traumatisme.
La créature qui l'a pourchassé, se dévoile avec ses longs cheveux argenté à la Sephiroth, tenant un Berretta dans la main gauche, tout en ricanant avec son sourire carnassier qui a de quoi faire flipper, et c'est avec son arme qu'il braque sa "Sherry" qu'il continue de hanter jusqu'à la fin de sa vie.

Gin : Je te tiens.

Shiho : Tue moi, qu'on en finisse !

Gin : Ce serait mal me connaître.

Shiho : Congèle mon cadavre pour me taper quand tu veux !

Gin : Je n'ai aucune attirance sur les morts

Shiho : Pourtant, avec ma version androïde, tu t'es éclaté !

Gin : Jalouse ?

Shiho : Dans tes rêves !

Gin : Assez parlé.

Shiho : Pas assez à mon goût !

Faisant ce qu'il sait bien si faire, il utilise son pistolet, touchant en pleine ventre sa cible qui tombe à genou, se tortillant et grimaçant de douleur, et contrairement à ce qu'il fait d'habitude avec ses proies, il la laisse agoniser au lieu del 'achever immédiatement puisqu'une balle dans la tête, il aurait bien pu le faire.
Non, aujourd'hui il démontre une personnalité très sadique, comme un chat qui joue avec sa souris, la démembrant de part en part jusqu'à ce qu'il ne reste que la tête, laissant les autres membres bouger par reflexes musculaires avant que tout ne demeure inerte.
Il perce son armure à plusieurs reprises, en veillant bien à ne toucher que les points non vitaux, pour que le plaisir puisse durer encore plus longtemps, à l'encontre de la pauvre victime qui ne peut subir sans agir, et qui aimerait bien qu'une bonne âme dans ce monde vienne la délivrer de ce funeste spectacle.
C'est alors que dans son agonie, elle perçoit des silhouettes prendre le dessus sur celle du grand méchant, avec celle de Naru qui se précipite sur lui afin de lui faire un Wesker en l'empalant à une main, le faisant périr de manière magistrale, sans oublier la petite vanne qui va avec.

Naru : Il ne pourra plus nous embêter les tympans avec ses croassement.

Le sauveur de ses dames s'essuie un peu le sang qu'il a sur lui avec un mouchoir, avant de se précipiter sur celle pour qui il est venu jusqu'ici à l'origine et qui risque de clamser si il ne se préoccupe pas assez d'elle, mais ce serait mal connaître le bougre qui sait toujours se débrouiller de ce côté là.
Il utilise les notions de premiers secours qu'il a emmagasiné pour stopper l'hémorragie de ses blessures.

Naru : Tiens le coup, Gilbert ne tient pas à être à nouveau veuf.

Tout commence à devenir floue pour la mourante qui se met à cracher du sang, ce qui inquiète d'autant plus celui qui lui vient ne aide et qui lui parle sans s'arrêter pour la maintenir consciente, alors qu'elle plonge au plus profond de l'inconscience sans espoir dans ressortir.
Ce cauchemar semble se terminer de manière tragique, mais il reste à voir si tout espoir n'a pas été perdu.

Quand Shiho Miyano ouvre grand ses yeux, toute tremblante, elle constate très rapidement le fait que tout ce qu'elle avait vécu dans la scène précédente n'était qu'un horrible rêve très réaliste, comme tous ceux qu'elle peut fréquemment faire, et dont on en avait déjà détaillé certains jadis, sauf qu'il n'y avait pas Zebediah Killgrave cette fois ci.
Tout va bien pour elle, et elle est juste entièrement nue, enveloppée dans des draps où il fait plutôt chaud pour la saison, en y étant toute seule, voyant qu'à sa droite ils étaient défaits, ce qui veut dire que le vieux est déjà réveillé, et qu'il lui prépare déjà une surprise pour la matinée comme il aime bien le faire d'habitude.
En voyant la lumière traversant les fins rideaux au volets ouverts de leur chambre, elle en conclu que la matinée était bien avancé, et ceci est confirmé par le réveil à sa gauche qui est à sa gauche indique 10H21, ce qui signifie qu'elle se lève à peu prêt à la même heure que d'habitude, elle qui n'est pas de la matinée, veillant au contraire tard le soir, contrairement à son mari absent pour l'instant.
Kibō, la chatte blanche abyssin aux yeux verrons, saute sur le lit pour se mettre bien sur le torse de sa maîtresse afin de lui faire le bonjour matinale, et cette petite bestiole à le droit à des gratouilles en récompense, ce qui fait plaisir à voir il faut le dire quand même.
Il ne reste qu'à attendre que le pépère pointe le bout de son nez, sachant que des bruits pas se font entendre de l'autre côté de l'unique porte présente, et ça n'a pas l'air d'être l'un de leurs deux gardes du corps ou d'un des gardes républicains qui patrouillent aussi dans ce grand palais.
Une musique qui sent bon les années 80 se fait entendre de l'autre côté, et ça donne envie de danser sensuellement.


La porte s'ouvre du coude et poussée du pied, révélant un Gilbert Montagné tout heureux, qui tient fermement avec ses mains un peu moites un plateau sur lequel se trouve des croissants aux amandes et café extra noir qui vont servir de petit dej pour celle qui autant attention à sa ligne qu'à celle de son époux.
La nourriture est posée sur le couverture, tandis qu'un baiser de bonjour a lieu, montrant leurs forts sentiments réciproques, et le vieux s'assoit aux côtés de celle qui fait bien plus jeune que lui, bien qu'elle ne fasse pas son âge, pendant qu'elle se main à grignoter sa viennoiserie tel un petit rongeur.

Gilbert : Tu vois, toujours aux petits soins rien que pour toi.

Shiho : Merci, c'est toujours qualitatif.

Gilbert : Je ne m'appelle pas Patrick Cohen moi, je fais correctement mon travail quand j'en ai un.

Shiho : Le petit tacle matinale.

Gilbert : Vu le sucre qu'il me casse dans le dos, en détournant la réalité, c'est bien mérité.

Shiho : Je ne vais pas réfuter tes propos car je partage ton avis.

Gilbert : Ce qui fait peur, c'est le nombre de gens comme lui dans les médias publics.

Shiho : Faudrait limite transformer notre régime en un régime autoritaire pour les contrôler.

Gilbert : Ils n'ont jamais été confronté au réel.

Shiho : La vie des blancs, elle vaut rien, selon ces personnes.

Sa dulcinée profite de l'occasion pour prendre un des croissants fait pour elle par son mari doué dans tant de domaines, puis elle trempe dans sa tasse de café afin d'y aspiré le jus et changer de goût Afin de se faire plaisir pour cette journée qui commence bien.
Quand à la pudeur, celle ci s'est allé se planquer dans un coin, puisque la madame lâche les draps qui masquaient sa poitrine de taille modeste, qui sont déjà plus gros que ceux quasiment absent de sa cousine Masumi Sera, mais on ne va pas y insister, pour ne pas brusquer cette dernière.

Gilbert : Mes croissants te plaisent.

Shiho : Totalement.

Gilbert : Cela permettra de te garder en forme pour cette journée qui s'annoncer chargé pour nous deux.

Shiho : De mon côté, je dois faire mes recherches scientifiques, chercher Akemi à l'école, tourner avec toi pour notre nouveau film, cuisiner pour ce soir, et après tout cela, dodo.

Gilbert : Le reboot de notre franchise plaît à grand nombre de monde, plus que "Bad Day For Gilbert Montagné", mais après ce sont des films qui se veulent plus émotionnelles.

Shiho : Par contre, pas forcément fidèle à la réalité.

Gilbert : En effet, mais dans le cas contraire, ça ferait des films de cinq heures.

Shiho : Pas faux.

Gilbert : Bon, je vais te laisser à ton travail, on se revoit plus tard.

Shiho : Merci, bon courage à toi aussi.

Le résumé de ce qui va suivre dans le reste de cette fiction vient d'être présenté par les personnages eux mêmes sans briser le quatrième mur, et on va pouvoir suivre l'aventure que va vivre la bonne femme au cours des heures qui vont suivre, et j'espère que cela vous plaira.
Restez confortablement assis dans votre siège, puis laissez vous conter tout ça avec écriture qui j'espère va vous ravir comme d'habitude.

Sous cet air modern déjà entendu dans le dernier Uncharted, et c'est à l'intérieur d'un laboratoire top secret se trouvant sous le Palais de l'Elysée, ce qui donnerait presque envie à tout le monde de danser si c'est votre genre de musique évidemment, ce qui 'e sera pas le cas à tout le monde.
Shiho Miyano est dans ce moud, ce qui est étonnant de sa part, mais on en apprend pas mal sur les personnages que l'on suit, ce qui est encore le cas, et c'est en gigotant sur cette chanson que nous la retrouvons, tout en la chantonnant carrément, quoi qu'avec des changements dans les paroles.

Shiho : Na na na, bec Bunsen !

Notre chimiste préférée est en train de travailler sur un gros projet qui pourrait lui avoir une plus grande renommée à l'international, et cela fait déjà deux ans qu'elle est là dessus, c'est pour dire, mais un jour elle le réussira, ce qui fera plaisir à son entourage et plus encore.
Il s'agit de créer un vaccin contre le vaccin du COVID-19 qui avait fait couler beaucoup d'encre à l'époque avec bon nombre de dirigeants dans ce monde qui ont vendu leur culs à des sociétés pharmaceutiques à la Pfizer qui se sont écoulés depuis grâce à l'intervention des Avengers et de Saryna Coleen.
Maintenant, il ne reste plus qu'à réparer cette merde et c'est sur les épaules de la femme aux cheveux auburn que reposent led attentes à ce niveau là, et on a mis à sa disposition tout ce qu'il fallait afin de lutter contre ce qui aurait dû lutter contre contre une maladie artificielle.
Là, elle n'a pas ses cobayes humains sous la main, et donc ce sera sur ses rats qui tester le nouveau produit, et on ne va pas d'entre prendre violemment contre elle pour ça, à cause du bien être animal, surtout qu'elle les traite assez bien dans la globalité, et je l'aime bien cette personne.
De bon cœur, elle s'approche de l'une des cages sur laquelle se trouve le nom Élric, et puis elle l'ouvrir pour ensuite faire sentir sa main à la bestiole qui n'a pas du tout peur de l'humaine car elle a toujours été gentille avec lui, ce dont il se rappelle très bien avec son intelligence hors norme.
Après il pourrait lui en vouloir de l'avoir inoculé le vaccin contre l'autre maladie qui a fait énormément parlée d'elle, et il se laisse chopé des des deux mains, suivis de caresses, avant d'être déposé sur une table où il se met à gambader comme si tout allait bien, ce qui fait sourire la scientifique qualifiée.

Shiho : Tu vas mieux, et tu n'as plus de plaques sur le corps, on progresse enfin là dessus.

Quelques tests supplémentaires plus tard, il est rangé dans sa petite maisonnette, en ayant le droit à une ration en plus de nourriture pour le remercier d'avoir été coopératif, ce qui confirme le bon traitement qu'elle a sur eux, malgré les injections qu'elle leur fait subir.
Avant de vérifier si les autres patients aient les mêmes progrès, elle décide de s'asseoir sur son siège, les jambes croisées, en face d'un ordinateur de dernier cri que lui a offert son mari lors de l'un de ses anniversaires pour montrer qu'il pense à son bien être à elle.
Dés que l'appareil est allumée, elle se rapproche du clavier pour y taper ses notes sur un rapport concernant les progrès qu'elle fait dans son boulot, et elle est contente qu'il y ait enfin de l'avancement là dessus, et il ne lui reste plus qu'à vérifier chez d'autres cobayes.
Ces rongeur vont donc être vérifié, mais pas tous parce qu'elle va devoir mettre ses recherches de côté dans une heure environs afin d'aller chercher la petite à l'école, et ça Gilbert est trop occupé de son côté cette fois ci pour pouvoir le faire comme il le fait d'habitude.

Il fait un peu frisquet en cette fin de matinée dans la capitale, avec de gros nuages qui assombrissent la luminosité ambiante, mais au moins il n'y a point de pluie à l'horizon, ce qui fait plaisirs aux différents parents vénus chercher leur mômes après la sonnerie annonçant la fin des cours.
Cette coutume est observable devant l'Ecole Primaire François Fillion où les gosses sautent presque dans les bras de leur papas et de leur maman ou papa, montrant la joie familiale qui entoure ce lieu en particulier, même si une certaine Shiho Miyano, également présente, ne semble pas en faire partie.
Seulement vêtue d'une douce veste bien chaude et d'une minijupe qui attire bien des regards qui ne sont pas masculins, car vous serez surpris de la jalousie que peuvent avoir d'autres femmes à son encontre, qu'elles soient athées, chrétiennes, musulmanes, ou n'importe quelle autre croyance, il n'y a pas photo.
Étonnamment, celle qui est toujours remplie de vivacité parmi les petites filles, Akemi Montagné, tient ses mains dans son dos en fuyant le regard de sa mère, fait que cette dernière comprend sans effort que cela cache bien quelque chose et elle va essayer d'avoir le fin mot de cette histoire.

Shiho : Salut ma petite Akemi, qu'est ce que tu me cache.

Akemi : Ma prof m'a engueulé car j'ai pas fait mes devoirs !

Shiho : Si tu continues sur cette pente là, elle ne sera pas là seule à te réprimander.

Akemi : Mais m'man.. !

Shiho : La prochaine fois, tu seras privé d'ordi si tu recommences.

Akemi : Désolée...

Shiho : N'hésite pas à venir me voir, moi ou ton père si t'as des soucis pour tes devoirs.

Akemi : Mais vous n'êtes jamais là quand j'ai besoin de vous !

Les mots durs frappent de plein fouet la pauvre maman, devant un public qui a pu être entendu la dernière phrase de cette discussion pour le moment, et ça commence déjà à la critiquer à voir, basse, car il faut dire qu'elles ne passent déjà pas inaperçues avec leurs cheveux auburn.
Ces messes basses atteignent l'enfant qui regretté déjà ce qu'elle cachait au fond de son cœur et qui vient d'exploser, puisque bien malgré ce défaut qu'elle a souligné à voix haute, elle aime bien sa m'man, se disant qu'elle aurait pu avoir vachement pire à la place.

Shiho : Désolée Akemi...

Akemi : Non, ce n'est pas ce que je voulais dire !

Shiho : Non, c'est toi qui a raison.

Akemi : M'man...

Shiho : Ta maman chérie tâchera d'être plus à ton service dorénavant.

Akemi : Merci M'man...

La gamine se blottit dans les bras de celle qui l'a enfanté il y a déjà près de huit ans déjà, et l'étreinte est accepté par cette dernière, tandis que la première pleure à chaudes larmes dans ce froid glacial, ce qui donne une bonne image à cette scène, observée par une foule.
Des applaudissements sont entendus avant de se calmer et de revenir à une routine comme si rien ne venait de se passer, mais c'est pas grave car rien de pourra séparer cette mère de sa fille, malgré les maladresse qu'elle peut avoir la grande qui n'avait presque pas connu ses parents.

Shiho : Rentrons maintenant.

Akemi : Tu en parleras à papa ?

Shiho : Je lui en toucherai deux mots au sujet du soin qu'on t'apporte.

Akemi : Vous êtes les plus cool !

Shiho : Plus d'excuses pour les devoirs à présent.

Akemi : Oui, plus d'excuse.

Les deux femelles humaines s'en vont donc rejoindre la vieille Peugeot 205 GTI que la mère a obtenu de sa tante Mary qui hormis son caractère un peu dur vis à vis de sa descendance, a su être une grand mère sympathique pour la naine, ainsi que pour Kenzie Dodgera-Sarkissian, mais ça c'est un autre sujet que je vous garde pour une autre fois, donc soyez patients.
Après un tour de clé pour enclencher le contact avec le moteurs, elles s'en vont à bord de la belle bagnole, disparaissant dans l'horizon parisien, avec la Tour Eiffel de vigne pour terminer ce chapitre avec des clichés.

Des bruits de pas pressés résonnent dans les couloirs du quartier général de la police de Tokyo, faisant bousculer les quelques figurants qui tentent de se foutre sur le mystérieux personnage dont nous allons faire la connaissance, et que vous allez reconnaître, surtout si vous trouvez que cette scène n'est pas inédite, malgré quelques changements que les plus pointilleux sauront mettre le doigt dessus.
Une porte avec marquée dessus "Surintendant Général Makumba" cache ce dernier qui boit un thé tranquille sans s'attendre à ce qui va suivre, tapotant sur son ordinateur, et étant assis devant son bureau, là où on s'attendrait à le trouver quand il ne complote pas en secret pour un tiers.
Un coup de pied bien placée défonce la porte tout juste mentionné, et fait sursauter la personne qui ne s'attendait pas à avoir ce genre de visites aujourd'hui, et surtout pas d'un célèbre chanteur français qui n'a rien à fabriquer dans ce paysage si l'on est ignorant comme bon nombre des flics ici.
Gilbert Montagné est colère et il prépare ses mains en craquant ses doigts avant de choper l'apparente innocente âme qui se laisse faire, n'ayant pas spécialement les capacités physiques pour le confronter, mais on peut sentit la rage qui bouillonne au fond de l'aveugle pro de la vendetta, bien qu'un petit au coin des lèvres du gradé qui sans aucun doute va dévoiler les cartes dans son dos dès qu'il en aura l'occasion.

Gilbert : Personne ne viendra se mettre entre nous Rum, je m'en suis assuré.

Un rire machiavélique sort de la bouche de celui qui s'avère sans trop de suspense, un méchant, et qui enlève la perruque sur sa tête pour y révéler un crane chauve qui nous prouve que ceux qui n'ont plus un poil sur le caillou sont de dangereux assassins, bien que lui ne se salit pas les mains lui même.
Celui qui est surnommé Rum fait face au français remonté contre lui, et n'hésite pas à faire des menaces à son encontre alors que pourtant on pourrait croire que c'est le héros qui a le dessus, mais que nenni, car il se trouve dans la tanière du loup, et la sortie ne sera pas aussi simple que l'entrée.

Rum : Si les poulets à ma soldes ne s'arrêteront pas, les corbeaux sous mon aile, eux si.

Gilbert : Tu ne crois pas à mes paroles ?

Rum : Aucunement, et tu me fais pas peur.

Gilbert : Tu t'amuses déjà moins que chez ton pote Jeffrey Epstein.

Rum : Je... Hhmm... Pardon, j'ai oublié mon texte.

Shiho : Coupez !

La scène s'arrête alors, tandis que les accessoires et autres décorateurs remettent tout en place comme c'était le cas avant que l'un des acteurs oublie sa réplique, ce qui n'est pas si grave que ça, car ça montre que même les erreurs arrivent même aux professionnels.
En effet, celui qui joue le défunt second aux commandes de l'Organisation Noir s'avère être Bill Murray, un habitué de cette réalisation car il a déjà bossé à plusieurs reprises pour les Montagné Productions, presque autant que pour Wes Anderson pour qui il est aussi le chouchou.
Shiho Miyano est celle qui occupe l'une des deux places à la réalisation de son film, avec Gilbert en second, et elle déjà joué quelques scènes, contrairement à son mari qui joue toutes ses scènes, même avec les cascades, contrairement à Bad Day For Gilbert Montagné où c'était Charlie Sheen qui interprétait le rôle.
Là nous sommes au sommet d'une trilogie qui a commencé il y a deux ans avec "Gilbert Montagné et l'Extrême Vengeance", suivi par "Gilbert Montagné et le Rival Éternel"l'année dernière, pour finir avec "Gilbert Montagné et l'Ombre des Corbeaux"dont le tournage a lieu.
Celui qui joue aussi son propre rôle dans cet opus, malgré que la vieillesse ne lui réussit pas, et il a actuellement un gros problème avec Florian Philippot qui lui pique des soutiens et il le jalouse au point de refuser une quelconque alliance avec lui, ce qui le fait aussi radoter.
La chef secoue la tête de droite à gauche en constatant cela, car elle en vient même à regretter de l'avoir épargné, même si ce choix en revient à la fois à son époux et Naru qui avaient passé un pacte avec lui pour faire tomber les hommes en noirs dont il était le dirigeant pendant des décennies.
Une scène qui plaît déjà plus à la madame aux cheveux auburn, c'est de constater sa fille, Akemi, en train de s'amuser avec l'acteur inconnu qui joue le petit Naru, avec une certaine débrouillardise qu'on dirait même qu'il s'agit du dieu dragon en culotte courte, c'est pour dire.
Néanmoins, l'héroïne ne peut pas passer mille heures sur tous ces aspects du plateau de tournage, et elle va devoir continuer avec la casquette de réalisatrice qui lui va bien je trouve, et on peut profiter de tous ces aspects de sa vie qui s'annonce très mouvementé comme vous le voyez.

Shiho : Et action !

La scène reprend au début du dialogue, et c'est là que nous allons nous en aller puisque ça ne sert à rien de détailler ce passage que j'ai déjà pu décrire par le passé, et n'hésitez pas à aller jeter un œil pour ceux qui auraient loupé cela ou ne s'en souviennent pas pour une quelconque raison.
Voici le lien :
Vous verriez qu'il y a des différences entre la fiction et la réalité.

Sachant que la place de la femme est à la COUISINE, notre Shiho Miyano profite d'avoir terminé les tournages pour aujourd'hui afin de profiter de reste de sa soirée chez elle à préparer en compagnie de son mari qui contredit le début de ma phrase sexiste, un délicieux plat qui risque de plaire à leur fille.
Ensemble, le couple Montagné chantonne la prestation de Rie Kugimiya dans Rosario + Vampire qui nous spoile quel cuisine succulente ils nous préparent alors que Akemi attend dans la salle à manger leur venu, qui ne se tarde pas à faire alors les 20 heures viennent de passer après cette journée chargée.
Dans les mains de Gilbert se trouve alors un plateau rempli de curry à la japonaise, avec les patates et carottes qui se trouve le plat préféré de la petite chose déjà assise à sa place, et qui tape dans les mains avant de se servir de ses couverts pour pouvoir déguster tout ça avec du bon riz aussi fait maison.
Chacun se met à sa place si ce n'est pas déjà fait et commence à manger en ayant différentes boissons pour tous leur faire plaisir, que ça soit du Pepsi pour la mère, du Coca Cola pour le père, ou bien de l'Oasis pour l'enfant, et on peut sentir une certaine complicité entre le premier et la dernière.

Gilbert : Alors, tu kiffes notre préparation ?

Akemi : Che trouve cha bien !

Shiho : Ne parle pas la bouche pleine.

Gilbert : Oups désolé.

Shiho : Ce n'est pas à toi de t'excuser.

Akemi : Désolée m'man...

Même si elle peut se montrer parfois un peu froide et autoritaire, Shiho tient vraiment à sa fille, et elle ne sert qu'à l'éduquer comme si elle tenait le rôle masculin du couple, comme vous avez sûrement pu le remarquer dans cette histoire d'une journée qui s'approche tout doucement de sa fin.
Gilbert, quant à lui, il est vraiment un papa poule qui autorise n'importe quelle idée saugrenue provenant de sa descendante, et il n'est pas l'expert en punition quand elle fait des bêtises, mais ça beaucoup de couple sont dans leur situation, ce qui veut dire qu'il n'y a rien à craindre, surtout pas sévices faits à la gamine.
Hormis la fessée.
Mais chut, faut rien dire.

Shiho : Akemi n'a pas fait ses devoirs aujourd'hui.

Gilbert : Bien !

Shiho : Hum !

Gilbert : Pas bien !

Shiho : On pourrait l'aider la prochaine fois où elle galéra sur ses devoirs.

Gilbert : Je ferai du mieux que je peux pour toi Akemi, mais ne te cache pas qu'après un certain niveau, mon âge fera en sorte que je ne pourrais plus t'aider à continuer tes études car j'ai beaucoup oublié de cette époque, il faut le dire, ah ah !

Akemi : C'est mieux que rien.

Shiho : J'étais sûre que tu serais partant Gillou.

Akemi : Je pourrais aussi faire de temps en temps mes devoirs avec Kenzie ?

Shiho : Cela serait une bonne idée car ayant un an de plus que toi, elle pourrait t'aider à passer certaines épreuves.

Gilbert : Ophelia, Lucy, et Naru seraient sûrement d'accord.

Shiho : Par contre, ne te repose pads entièrement sur elle, car il faut que tu grandisses par toi même.

Gilbert : Darty Papa ?

Shiho : Ne l'influence pas dans ses délires Gilbert.

Gilbert : C'est marrant de les voir jouer ensemble.

Shiho : Je sais, mais on était sur un sujet très sérieux pour moi.

Gilbert : Ouais, tu veux qu'elle réussisse ses études coûte que coûte, et qu'elle vive ce que tu n'as pas pu vivre.

Shiho : Je suis désolée si j'ai le cul entre deux chaises, mais j'essaye d'être la meilleure maman que je puisse être.

Akemi : T'inquiète m'man, je t'aime beaucoup !

Shiho : Tu es adorable Akemi.

La réconciliation entre deux camps qu'on aurait mal cru être opposé fait plaisir à tout le monde, y compris le personnage tiers de cette conversation qui ne peut que adorer voir sa femme et sa fille d'entendre, bien que l'élève de primaire à plus pris sur lui que sur sa m'man au niveau du caractère.
C'est là dessus que nous arrêtons ce chapitre, et la prochaine fois on aura la fin de l'aventure intime de la chimiste réalisatrice cuisinière qui jongle entre ces différents métiers avec un certain brio il faut le lui reconnaître ça, et c'est pour ça d'autres trucs, qu'elle est l'un de mes personnages préférés de cet univers.

Une femme totalement mis à nue se balade dans les couloirs prestigieux du palais présidentiel avec une démarche féminine tout en saluant d'un geste de la tête tous les gardes qu'elle croise sur la route et qui ont l'habitude de la voir aussi peu vêtu à cette horaire très tard dans la soirée.
À peine eut elle le temps d'ouvrir une porte en particulier dans ce couloir très chic, qu'une mascotte démarque de l'intérieur de la pièce pour se frotter entre ses jambes, car j'espère que vous n'avez pas oublier la chatte dont la maîtresse est là et qui est très heureuse de la retrouver.
Kibō laisse finalement Shiho Miyano la prendre dans ses bras tout en pénétrant dans la chambre où elle a prévu de se coucher alors qu'il est près de minuit quand nous suivons là, et ensemble elles remarquent un petit détail tout en particulier qui attise leur curiosités.
Gilbert Montagné n'est pas endormi, mais à la place il est penché sur un journal papier qui s'avère provenir de Charlie Hebdo dont il a toujours un tee-shirt pour leur deuil dans un de ses placards à vêtements, et l'aveugle voit sa bonne femme revenir à ses bras après avoir posé la minette, avec un petit sourire au coin des lèvres..

Shiho : Toujours réveillé à ce que je vois ?

Gilbert : Le boulot me préoccupe un petit peu beaucoup qu'on va dire.

Shiho : Je vois ça.

Gilbert : J'en perds mon lapin, hé hé !

Shiho : C'est perdre son latin que l'on dit.

Gilbert : En tout cas, j'ai pu passer relativement une bonne journée grâce à toi.

Shiho : Tant mieux alors, tandis que moi tout a été bon.

Gilbert : Et ce, malgré un Asselineau qui perdait un peu la boule dû à la vieillesse.

Shiho : Pas d'excuse. Bill et Trump sont hyper vieux et ils ont encore toute leur tête.

Gilbert : Tu n'as pas tort.

Shiho : En effet.


Gilbert : Oh Shiho-chan...

Shiho : Gilbert...

Gilbert : Shiho-chan...

Shiho : Gilbert...

Gilbert : Shiho-chan...

Shiho : Kapuchu !

Un petit suçon est fait au cou du synthétique qui ne va pas se transformer en vampire pour si peu, surtout venant d'une compagnonne qui est tout aussi artificielle que lui, bien que leur amour à eux est authentique, et il faudrait être bigleux pour ne pas s'en rendre compte.
On sent aussi leur touche d'humour en parodiant un célèbre manga qui date de plus d'une décennie, mais qui marche toujours autant qu'il ne l'a été pas le passé, ce qui est un succès, et on peut sentir que la femme s'inquiète un peu à son mari auquel elle tient énormissivement, en dépit des phéromones de l'amour évaporés.

Shiho : Pas eu trop mal ?

Gilbert : Non, c'était parfait.

Shiho : Tant mieux alors.

Ils en rient un peu, même si c'est le bonhomme qui l'a lancé, et on peut voir ainsi l'impact qu'ils ont l'un envers l'autre, et j'espère alors qu'ils vont éteindre la lumière pour mieux essayer de dormir, que ça vous a plus de suivre la biochimiste aux multiples casquettes, et si vous en voudriez d'autres sur d'autres personnages.
Sur ce, on se quitte là, et je ne sais pas encore ce que l'avenir nous réserve, mais croyez moi que je vous raconterai tout en détail dés que je les aurais car comme vous ne savez peut être pas, je ne suis pas chorologiquement les évènements dont je suis la narratrice.