[FIC] It's Deja Vu ? [Terminé]

18 Janvier 2015; je me rappel de ce jour comme si c'était hier, c'était hier.
J'étais tranquillement chez le Turc, entrain d'attendre qu'on me serve mon Kebab, j'avais tout prit :
- Salade
- Harissa
- Piment Rouge
- Soja
- Mais
- Choux
- Ketchup
- Mayonnaise
- PIment en Poudre
- Piment en Sauce
- Tomate
- Oignon
- Tête de Nègre (Whippet)
- Un bras humain.
- Des déchets toxiques.
- Et Ebola ^^

Hum, j'allais me régaler ! ^^
Mais c'est à ce moment là que la clochette à la porte sonna et que je vis entrer, la canne parlante de Gilbert, Qu'est ce qu'elle fout là ?

"Merhaba nasılsın ? Demanda la canne.
- Peki, eşim 3 aylık hamile. Répondit le Turc.

Je comprenais rien à ce qu'ils disaient donc me demandez pas la traduction, heureusement après ça ils reparlèrent français.

"Ne vous en faites pas, me rassura le Turc, ça surprend tout le monde la première fois qu'on la voit.
- Oh ne vous en faites pas, j'ai déjà rencontré Gilbert Montagné et j'étais au courant pour sa canne.
- Ah oui ! Fit la canne. Ouais je me rappel c'est quand  il était passé à la radio ,j'écoutais ce jour là, c'est vous donc Maxime Moulin ?
- Ouais, je connais aussi Holt Valentine si vous le savez.
- Je l'aime pas, par contre sa sœur...
- Et sinon vous faites quoi là ?
- Hé bien comme Gilbert ne s'occupe pas de moi en ce moment, donc je fais le tour d'Europe, hier j'étais à Milan en Italie, demain je serais à Cardiff au Royaume Unis.
- OK, cool pour vous."

Et là le Turc vint à la caisse, je fis de même mais de l'autre coté.

"Et ça vous fera 50 euros s'il vous plait.
- Attendez je crois qu'il me reste un billet quelque part dans ma poche."

Et là je sortis un gros fuck de ma poche et je sortis en courant du petit magasin, fier de mon coup, pendant que le proprio crié en fond sonore :

"Kahretsin ! Vous avez même pas prit votre kebab, abruti !"

J'avoue que j'étais un peu moins fier de mon coup à ce moment là mais je continuais ma fuite au cas où il appelait les flics, mais ce que je ne savais pas, c'est que j'allais faire une rencontre incroyable.

Alors que je continuais à courir comme un fous, oui j'ai beau être gros, je sais me servir de mes jambes. Mais au détour d'un trottoir, je heurta violemment une jeune femme qui passait par là sans l'avoir vu. Elle tomba au sol, faisant tomber par la même occasion ses courses qui se renversèrent sur la chaussée.

"Oh pardon, je ne vous avez pas vu !"

Je l'aida alors à se relever puis en bon gentleman puis je ramassa les divers produits tombés au sol pour les remettre dans les sachets. Hum je sentais l'odeur du Nutella à plein nez, j'avais envie de me barrer avec mais bon pas deux fois en une même journée. Une fois tout ramassé, je me mis à regarder plus attentivement bein la jolie jeune dame.
Que vous dire, elle avait de jolies cheveux noirs, habillait en noir avec un Tee Shirt sur lequel était marqué "Fuck la Peaulisse", des bottes, une mini jupe par dessus le pantalon noir. Je pris la parole en premier.

"Ahpllllllfffff"

Ouais bon j'avais grave postillonné sur son visage tellement je bandais des lèvres mais bon, face à une telle beauté, que faite d'autre ?

"Hé bien dis donc, vous êtes un sacré numéro vous, c'est quoi votre nom ?
- Maxime Moulin.
- Sandra Bullot."

A ce nom je sursauta, c'est pas vrais, étais je entrain de rêver. Mais c'est le personnage que j'ai créé hier ! Je me disais que ce devait être une coïncidence mais je commençais à poser des questions par précaution.

"Êtes vous la petite amie de Stive ?
- Eu non pas que je sache, c'est qui Stive ?
- Connaissez vous l'Oncle Raoul André Simon Bernard qui n'est pas mon oncle dans ce monde, ça c'est sur.
- C'est quoi ces questions !? Bien sur que oui ! C'est mon oncle !
- Je sais que tu bosse pour Albert Wesker !"

Et là je vis son regard changer en rogue et elle me planta contre le mur du bâtiment à coté avec une rage débordant des lèvres.

"Comment tu sais ça !? Qui te l'as dis !?
- C'est moi qui l'ais inventé, j'ai tout écrit hier.
- C'est pas ce que je voulais entendre !"

Et là elle me foutu un féroce coup de poing qui m’assomma, elle avait de la force celle là. Après je sentis qu'on me déplaçait mais je ne pouvais rien faire, à ce moment là j'avais vraiment l’impression de rêver... Mais c'était vrais.

Jaime le passage ou tu te barre en oubliant ton kebab^^

Ouais, je me demande qui le mangera, surtout avec ce qui a dedans ^^

Bon après la précédent chapitre, vous avez pu comprendre que j'étais dans la merde mais heureusement vous devez bien vous en douter que j'ai survécu, quoique, je pourrais écrire en étant mort. Enfin bref j'ouvris les yeux, j'étais non pas sur mon lit entrain de caresser mon chat Pinou, de son vrais nom Salème, mais assit à une chaise, les mains attachés dans le dos et dans une salle sombre et humide avec une lampe.... Merde j'avais pourtant évité ce cliché quand j'avais écris ma fiction, pourquoi dans la vrais vie c'est le cas, je préférais le casino.
Bon en tout cas cliché ou pas, les liens je les sentais vraiment.
Par contre étrangement je ne vis personne du premier coup.
Mais c'est alors que le célèbre Albert Wesker apparut d'un coup par magie sous mes yeux ébahies.
Oh mon dieu c'est Wesker !

"Vous pouvez me signer un autographe !?
- Oui bien sur mais je... QUOI !?
- Non rien oubliez."

Bon je l'ai surpris, je vais le laisser parler

"Alors c'est toi le minable qui en connait trop sur moi ?
- Où ça un minable ?
- Toi !
- Non moi, je suis un Dieu, j'ai réussis à inventer des persos qui existent en vrais et des événements qui vont vraiment se passer.
- Ouais ouais c'est ça et ma bite c'est ta grand mère, allez dis moi ce que tu sais sur moi sinon je vais utiliser la manière forte."

Bon il n'a pas l'air de croire la vérité

"Ji suis musulman, ji comprend pas votre question monsieur Bebère.
- OK, tu te fous de ma gueule."

Wesker en avait marre, je le sentais et là il s'approcha de moi et commença à me faire des chatouilles sous les bras, j'explosais de rire comme un con et lui racontais tout.

"Mais je te jure que j'ai inventé tout ce qui se passe, je suis le maître du jeu !
- On va bien voir si c'est le cas."

C'est alors qu'il m'injecta un truc dans le cou, je le vis alors se déformer sous mes yeux.

"Avec ça, tu vas tout me dévoiler"

Et je sombrai dans l'inconscience, complètement mort de l’intérieur.

Je ne savais pas ce qu'il m'avait fait mais ça faisait un mal de chien, j'aimerais pas que vous le subissiez ne vrais. Finalement je me réveilla à une table de poker, complètement paumé au premier abord, c'est ensuite que je reconnu la scène.
C'était le jour de ma première rencontre avec Holt Valentine, le 3 Février 2013, il y a deux ans.
Et bizarrement je n'étais pas mettre des mes mouvements et paroles, je faisais que suivre la scène comme vous.
Ce jour là j'étais donc entrain jouer à Poker Texas hold'em contre 3 mecs, c'étaient des espèces de soldats bizarres.
Ils ne portaient ni casques, ni béret.
Portaient un badge avec un logo style tête de mort mais avec des M16 en forme de croix et le mot Deux écrit en grand.
Ils se disaient être de la Crisis, encore un truc top secret me disais je à l'époque.
Mais finalement deux d'entre eux furent dépouiller et la finale se jouait entre moi et le dernier et je lui mettais une branlée, il n'avait presque plus de jeton ce con.

"Quinte flush !"

Je lui chipa alors tous ses jetons en ricanant, tout le blé que je venais de ramasser.
Mais bon de leurs cotés, les soldats n'étaient pas très content et celui qui venait juste de perdre sorti son couteau de combat.

"Tu sais gamin, je suis très mauvais perdant."

Bon à ce moment là, je flippais grave, surtout que ses potes sortirent leurs pistolets quand à eux et moi j'avais pas d'arme et je savais pas me battre. J'étais une chenille entouré de corbeaux.

"Fais pas le con et rends nous notre fric.
- Hé je l'ai gagné légalement alors je le garde."

Ouais vous commencez à me connaitre, je suis barge quand je m'y met.
C'est alors que j'entendis un cri au loin.

"Gamin, baisse toi !"

C'est ce que je fis et c'est alors que les hurlements des tirs se firent entendre dans tout le casino.
Les simples civils se mirent à courir vers la sortie et la sécurité se planqua dans son coin, surmonté par un seul homme, Holt Valentine, équipé d'une M60.
Il avait dégommé les 3 soldats et quelques gars de la sécurité, puis il s'avança vers moi comme un héros en me tendant la main.

"Capitaine Holt Valentine du BSAA depuis l'age de 15 ans, hé oui quand on a le talent on commence tôt.
- Enfin je pense plutôt que vous branliez rien à l'école et que vous êtes sorti du collège directement sans orientation."

Il retira tout de suite sa main et se dirigea vers la sortie, un peu vexé.

"De nos jours, on sauve la vie des gens et ils osent nous critiquer.
- Moi c'est Maxime Moulin."

Il se retourna alors vers moi avec un grand sourire et prit la parole d'une voix élégante.

"Allez viens gamin, je te raccompagne chez toi.
- Je ne suis pas un gamin, et pourquoi vous vouliez la mort de ces types ?
- Ça, ça ne concerne que le Cobratoile.
- Un cobra avec une étoile ?
- Toi t'es con, je t'aime bien."

Et c'est ainsi qu'on est devenu ami, il m'a apprit plein de chose que je ne peux pas vous dévoiler, pas parce que c'est secret, juste pour vous emmerdez. En tout cas je me demandais bien pourquoi j'avais revécu cette scène mais c'était pas finit, c'était sur.

C'est mon préfère sur les 4 je c'est pas pourquoi^^

Surement parce qu'il y a Holt et pleins d'autres trucs en référence au passé d'Erza ^^

oui^^

Finalement après avoir revécu ce drôle de souvenir. Je me réveilla à nouveau dans l'autre pièce sombre de tout à l'heure sauf que Wesker n'était plus là cette fois ci, bizarre.
Étrangement je suis réussi à me libérer de mes liens plutôt facilement, trop facilement.
Je me releva alors de la chaise et je regardais les environs, je voyais rien, il faisait noir tout autour.
C'est ensuite que la lumière s’éteignit, j'essayait de chercher un moyen de la rallumer.
Je réussis à attraper le cordon et l'utilisa pour ramener la lumière mais c'est alors que je vis Wesker juste en face de moi. Il souffla sur l'ampoule et rebelote, je fus à nouveau dans le noir.
Finalement je me retrouva comme absorbé paru en force inconnu et me retrouva à nouveau à cette partie de poker.
Hé oui encore.
Pile au moment où les mecs voulaient me trucidé comme un cochon avec leur couteau mais Holt ne vint pas.
Non à la place, les lumières s’éteignirent et celles de secours s'enclenchèrent.

"Qu'est ce qui se passe ici !? Demanda l'un des soldats."

Et tout à coup, des lueurs rouges flamboyantes sortirent du plafond et commencèrent à tournoyer autours de nous avant d'entrer dans le corps des mecs de Crisis. OKAY !!!! Les Hommes se retrouvèrent comme possédé par ces choses tandis que moi je semblais à l'abri de leur possession. Ça ne s'était pas passé comme ça dans mes souvenirs. Cette fois ci je fus libre de mes mouvements et de ma parole.

"AAAAHHHH !!!!!"

On aurait dit des Djinns comme dans Uncharted 3 et les légendes sémitiques. L'un des possédés me regarda et planta son couteau dans la table.

"Tuons le !
- Vous pouvez pas juste me laisser partir ?"

A première vue, ils n'étaient pas d'accord, je me leva alors vite fait faisant tomber mon tabouret. Les mecs se levèrent aussi et je vis d'autres possédés s'approcher, à priori j'étais le seul gars que ces espèces d'entités n'avaient pas eu. Je commençais alors à fuir dans le casino, poursuivis par mes ennemis.
Holt, où es tu !?
Mais cet endroit était un vrais labyrinthe, je n'y voyais pas le bout et je continuais de déambuler entre les machines
Quand d'un coup je trébucha sur quelque chose et me retrouva face à terre.
Je me releva ensuite à nouveau et m'aperçu que j'avais changé de zone, j'étais maintenant dans une espèce d’asile.
Un couloir même plutôt glauque, c'était une impasse là où je me trouvais te l'autre coté se trouvait un cadavre.
Qui se releva à son tour, Mais c'est Stive !
Il était devenu un mort vivant avide de cerveau et il commença à s'avancer vers moi à pas lent.

"Non Stive, pas toi !"

Il était de plus en plus proche de moi et j'avais aucun moyen de m’enfuir ou de le contourner. Je ferma les yeux et attendit. J'attendis alors des voix familière, les paroles déjà entendu.

""Hé oh tu m'écoute !? De Clivan Herzog.
- Qu'est ce qu'il a l'autre débile à lunette de mes couilles à m'appeler la grosse, il s'est cru dans son bac à sable de mes deux !? De Erza Josse.
- Ta gueule... De Gilbert Montagné.
- Kahretsin ! Vous avez même pas prit votre kebab, abruti ! Du Turc.
- C'est pas ce que je voulais entendre ! De Sandra Bullot.
- Alors c'est toi le minable qui en connait trop sur moi ? De Albert Wesker.
- Toi t'es con, je t'aime bien. De Holt Valentine."

Puis plus rien, le silence total.

Je rouvris enfin les yeux et j'étais heureusement de nouveau dans la pièce glauque, attaché, pour de vrais cette fois ci.
Ce qui est sur c'est que ce qu'il m'avait injecté avait bien marché.
Allez savoir si il avait eu ce qu'il voulait.
Je l'entendis parler dans la pièce d'à coté avec un autre Homme.

"Freug, t'es vraiment sur que tu sais pas où t'as mis le café.
- C'était là la dernière fois patron, j'y ais pas touché depuis.
- Faudra réunir mes hommes après, là ça ne va pas.
- Vous allez en tuer ?
- Peut être. J'ai besoin de café pour mes forces.
- Ouais c'est vrais depuis vos aventures en Afrique.
- Maudit Chris et Maudit Volcan. A cause de ça j'ai perdu toute la super-résistance et superpuissance que j'avais avant.
- Oui je sais vous me l'avez déjà dis.
- Mais c'est vrais ! C'était marrant quand avant je pouvait empaler quelqu'un avec ma main ou quand quelqu'un se faisait mal en me frappant avec ses poings. Et puis faire à la Matrix et Max Payne aussi c'était cool. Birkin me manque, c'était mon vrais seul ami et celui qui m'avait donné cette puissance.
- C'était pas aussi à cause de Spencer.
- Oui c'était de lui l'idée avec son projet d'enfants Wesker, comment ça avance la recherche d'Alex Wesker d'ailleurs ?
- C'est en cours.
- Pensez aussi à chercher la fille de Birkin, Sherry, et mon fils, Jake, ils pourraient m'être utile avec leurs sangs pour retrouver mes pouvoirs ou d'autres pouvoirs cool.
- D'accord, je vais prévenir vos hommes.
- Ah, je me rappel encore quand je l'ai conçu Jake, je crois que j'ai gardé la sextape quelque part."

La conversation tournait bizarrement, c'est alors que j'attendis du bruit et je vis Holt Valentine sortir de l'ombre.
Holt !
Il me fit signe de ne pas faire de bruit et se mit derrière la chaise pour dénoué mes liens. Il sortit son couteau et coupa net, me libérant enfin, vraiment puis il me signe de le suivre et c'est ce que je fis.
On s'en alla dans les conduits en route pour la sortie, sans faire de bruits car les hommes de Wesker n'étaient pas loin.
Il faisait super chaud là dedans, Comment ils font Gordon Freeman et JC Denton pour ne pas suffoquer ?
Finalement je vis la lumière du jour, on put enfin sortir et on se retrouva en pleine cambrousse, seulement une petite partie du bâtiment était visible, comme la partie immergé de l'Iceberg. Je vis alors les 12 membres de l'équipe de Holt arriver en filature, ce dernier s'adressa à eux.

"Vous pouvez faire le ménage à l'intérieur maintenant.
- Bien capitaine !"

Et ils se rendirent vers l'entré du bunker tandis que je restai avec Holt à coté de la verdure.

"On est où ?
- En Normandie.
- Et comment vous avez su pour moi ?
- Grâce à Sandra Bullot.
- Je savais bien qu’elle était tombé sous mon charme et qu'elle ne pouvait pas laisser Wesker me faire du mal.
- PFFFF, rien de ça, c'est une SOA, elle bosse en filature chez Wesker. Elle nous file des infos précieuses à son sujet et on l'attend au tournant.
- Ah OK.
- Bon maintenant on attend qu'ils aient fini à l'intérieur et que Clint arrive, si il n'est pas encore bloqué aux toilettes."

Ça n'empêche rien au faites que les personnages que j'avais inventé étaient devenus réel.
Et ne me demandez pas est ce possible, je ne le sais pas.
Mais j'aimerais bien le savoir.

Ça fait plus classe de mettre le titre comme ça.
Bref je voulais revoir cette fille, Sandra, grâce à Holt, je pus avoir son adresse.
Elle logeait dans un petit immeuble du XXème arrondissement de Paris, Quartier du Père-Lachaise (Image), Rue de la Bidassoa (Image).
Je m'y rendis illico presto pour aller à sa rencontre, en emportant au passage mon oeuvre que j'avais écrit.
Après un trajet de train puis un trajet en bus, j'arrivai enfin à destination. Ce qui est bien c'est que le métro était juste en face, j'en avais jamais pris, juste des trams dans ma vie.
Mais j'avais pas de ticket et franchement pas envie de me faire chier.
Allez c'est le moment.
J'entrai dedans et je demandai au gardien à quel appart elle se trouvait.
L'appart du 3ème étage me répondit il chaleureusement car j'avais été poli et donc il fit de même.
Si seulement les jeunes de nos jours savaient l'être.
Une fois au seuil de la porte, je regardais mes pieds, un peu stressé. J'étais un peu, beaucoup, timide devant les filles. Allez la force d'Indila est en moi, je sonne à la porte J'attendis alors qu'elle m'ouvre.
Étonnamment elle ouvrit, en peignoir en plus, ses pieds bien en évidence.
Ils étaient sublimes, elle aussi.
Quoi !? Chacun son fantasme sexuel.
Vous c'est les culs et les seins, moi c'est les pieds, on est pareil.
Sa douce voix capable de faire bander un ange me réveilla intérieurement.

"Ah Maxime, je ne m'attendais pas à ta visite."

Me dit elle avec un sourire angélique, elle était vraiment belle, sa beauté rendrait jalouse Megan fox.

"J'ai ramené quelque chose pour toi, la preuve que mon récit est vrais.
- Alors tu crois toujours que tu m'as inventé ?
- Peut être. Même si je me demande comment j'ai fais pour créer une créature aussi magnifique que toi.
- Allez, rentre."

Et je m’exécutai, j'arrivai alors dans le salon où un très beau canapé en cuir noir se trouvait ainsi qu'une TV de tout dernier cri. Je m'installais alors sur ce divan confortable et elle fit de même avant de me chiper mes pages des mains pour les lire.
Et les fous rire qu'elle eut, on pouvait dire que ma fiction avait eu l'effet escompté, j'étais très content.
Elle me redonna ensuite les pages et me glissa un sourire tendre avec une douce brise venant de ses verts yeux.

"Toi, on peut dire que tu es bizarre, j'aime ça."

Elle se mordit les lèvres, elle devait avoir envie de baiser.

"En tout cas que tu crois ou non en mon histoire, peu d'importance, je viens pour toi.
- Allez dis le...
- Je t'aime ! Et merci pour m’avoir sauvé al vie.
- De rien."

Et elle posa ses douces lèvres sur les miennes, plus dégueulasse, j'avais encore des traces de nutella. Et on baisa farouchement sur le pauvre canapé, c'était extraordinaire, c'était ma première fois.
C'était un Love Story comme le dirait Indila.

bien^^

Alors tu en as pensé quoi exactement de la Fin ? ^^

Que c'est une belle love story