[FIC] Hé je te l'ai déjà dit, je ne suis pas pédé ! [Terminée]

Cette image est caractéristique de la relation que partageait Maxime Moulin et Stive People par le passé avant d'être séparé par les manigances du Destin un peu trop joueur, et quand ils ont enfin pu se retrouver, ce ne fut que pour une très courte durée. Le bel homme aux cheveux noirs qui povrait rivaliser en beauté avec un Leon Kennedy et en connerie avec un Chris Redfield, a été froidement éliminé par un a bandit de l'espace qui massait une très mauvaise journée.
Toutefois nous pouvons rejeter ans trop de difficulté la faute sur celui qui était son meilleur ami et qui l'à trahi en servant de lui durant son plan machiavélique à deux sous qui s'est retourné contre lui. Résultat le voilà à l'hosto avec une surveillance policière 24 heures sur 24, sans possibilité de se tirer de là aussi facilement que ça en devient absurde qu'une Sulfura Westher.
En même temps, il n'a pas vraiment envie de s'enfuir, juste de payer l'énorme dette qu'il doit à beaucoup de monde.
Actuellement il tient son Samsung bugué qui fait planter toutes les applications et décharge sa batterie en un quart d'heure, duquel il observe un souvenir du passé en commun qu'il avait avec le bon gros raciste bien sympathique. On les voir tous les deux au bord de la mer à Cannes avec le produit de leur pèche fructueuse pendu et attaché par la pieds, en étant fier de l'avoir attrapé celui là.
C'est rare de choper un migrant d'une qualité exemplaire comme celui là, car même dans donc Final Fantasy XIV il faut passer des longues heures pour espérer réussir cet exploit.
Toutes ces péripéties que l'on a jamais pu vraiment connaître, mais que l'on peut facilement en supposer le contenu quand on voit ce que leur versions alternatives d'eux mêmes ont fait ailleurs, devaient être passionnantes.
Tant que l'on parle de l’univers des courts métrages, qui n'existent plus pour l'instant et ce n'est pas de la faute d'une Haruhi Suzumiya en colère, il faut remarque qu'il y a quelques différences notables au niveau des deux personnes concernées. Notamment le fait que Maxime avait très probablement de vrais sentiments amoureux pour Stive qui n'étaient pas réciproques, et que ce dernier était bien plus fluctuant dans son intelligence affichée.
Au fait, le mystère toujours irrésolu reste la rencontre entre ces deux bons amies qui reste flou peu importe le monde ou le média où on les suite.
Hé bien, pour vous répondre...


Le synthé populaire des années 80 s'annonce dans cette chambre vide de joie, où même le soleil n'ose pas se montrer aujourd'hui, car lui non plus ne s'est pas remis de la perte d'un des meilleurs éléments que cette planète ait connu, et qui aurait mérité d'être au centre de ce forum de rôle play.
La voix mélancolique du jeune homme à lunette résonne en écho dans toute la pièce.


N'ayant plus envie de voir cette photo qui lui fait tant mal, il éteint son portable.


Fébrilement, il se sert de sa perfusion pour se mettre à peu près droit debout.


Max s'approche à pas lent de la fenêtre, tel un vieillard en mauvaise santé.


Les nuages gris recouvrant entièrement le ciel se réfléchissent sur ses verres.


Ayant besoin d'un peu d'air frais en cette journée qui demeure quand même chaude, il ouvre en grand la fenêtre.


Le solo de guitare se déchaîne dans tout Strasbourg, symbolisant sa souffrance personnelle.


Quatre figures déjà connues du forum sont en train de manger leur déjeuner au Raspoutine, un lieu respirant la vie dans toute son amertume, avec toute la délinquance d'Ex URSS qui vient fourrer son nez ici, déjà que le patron du lieu à un nom à dormir dans le froid sibérien.
Nous avons Masumi Sera, la cousine détective privée de Shiho Miyano qui est une vraie planche à pain, plus garçon manqué, contrairement à Lina Inverse qui fait gamine de son côté.
Miku Hinasaki, la photographe folkloriste qui parcourt le japon pour exorciser de son mieux les lieux hanté de ce beau pays qui craint quand même quand tu penses où nombres de portes menant au monde des morts qui s'y trouvent.
Heather Mason, la journaliste indépendante qui a failli enfanté d'un dieu une fois quand elle n'avait même pas 18 ans, ce qui est quelque chose d'assez extraordinaire à sortir lors d'un dîner familial.
Et notre Kenzie Dodgera du Futur qu'on adore tous, qui secoue la tête dans tous les sens comme une folle en écoutant un tube qui date déjà d'une dizaine d'année d'une chanteuse japonaise.


Si ces quatre femmes qu'on a pas l'habitude de voir réunies comme ça, sont ici là aujourd'hui, c'est avant tout parce chacune d'entre elles a postulé dans l'agence d'enquête appartenant à Silver Shroud, afin d'y devenir soit un employé à plein temps, soit un associé, et elles ont reçu une réponse de sa part.
Elles vont devoir choisir chacune une affaire à résoudre pour prouver qu'elles sont dignes de mériter leur poste.
Classons ensemble si vous le voulez bien les choix qui ont été faits par ces madames, du plus facile au plus difficile.
Kenzie doit découvrir qui est le salopard qui a mangé la dernière mousse au chocolat dans le frigo que Nick Valentine aurait tant aimé pouvoirs avouer en paix.
Miku doit s’immiscer dans un adultère classique, en fournissant à une trompée les preuves que sont maris se tapent en douce la femme de ménage quand elle est au travail.
Heather doit résoudre le cas de la réapparition soudaine d'un type disparu il y a 50 ans à Silent Hill et qui n'a pas vieilli, tout en étant incapable de se rappeler ce qui lui arrivé entre sa disparition et le temps présent.
Masumi doit mettre le voile su le plus mystère du monde, en sachant qui venu en premier.
Giscard ou Le Pen ?
Personne n'a jamais eu de réponse sûre et certaine.
En vérité, l'une de ces apprenties détective a un peu la tête ailleurs en ce moment, et il s'agit de celle qui n'a aucune chance d’obtenir le job au vu de la difficulté abusée de ce qu'elle a choisi.
Dernièrement, c'est un peu rêveuse qu'elle repense à quelqu'un en particulier, qu'elle devrait détester pour ce qu'il lui à fait à elle et sa cousine chérie,sauf qu'il y a une sorte de syndrome de Stockholm qui s'est développé avec le temps qui passé depuis deux mois.
Quelques visites dans l'hôpital où il loge temporairement ont aidé à renforcer ce que son cœur ressent pour lui.
Pour montrer ses sentiments, des notes de piano se font entendre, monter très vite en crescendo pour exploser comme il se doit, alors que tous les clients de l'établissement décident de participer à la chanson qui va suivre.


D'un coup, sans prévenir, la pro du Jeet Kune Do renverse la table en un coup de pied.


Clin d’œil à la caméra.


D'un coup elle se met à balancer des coups de poings bien en rythme avec la musique, de droite à gauche.


La réincarnation de deux filles qui n'étaient qu'une s'amuse à jouer avec son couteau en suivant la même répétition elle aussi.


L'experte en photographie tend sa camera obscura d'un côté et de l'autre, sans se planter.


La visiteuse du futur sautille d'une jambe à une autre en s'éclatant comme une folle.


Les gens tout autour d'elles apprécient grandement le spectacle et n'en perdent pas une miette.


La dingue tourne autour des différents piliers de ce bar sans s'arrêter.


Maxim Melnitsa, le proprio, prépare déjà la facture que devra régler la tarée quand elle aura fini son numéro musical.


Pour finir en beauté, façon Suzumiya, elle fait un demi tour sur elle même et met sa main en signe de V devant son œil, paume vers le public qui applaudit alors la performance en balançant de la bière un peu partout, pendant que le barman essaye de trouver un sens à ce qu'il vient de se passer à l'instant.
Des fois, faut pas se creuser les méninges car c'est juste absurde, c'est tout.


La première dame des États Unis, et ancien président de ce pays, qu'est ce cher Albert Wesker, vit sa vie mouvementé avec brio sans avoir vraiment de moment où il est mis en valeur, ce qui fait qu'on ne sait pas trop ce qu'il devient, hormis le fait qu'il est toujours membre et père fondateur des Avengers, au même statut que son super pote Leon.
À l'instar d'Ophelia et Lucy, il cumule les boulots sans jamais vraiment réussir à rester à son poste à cause de ses grosses boulettes habituelles, ou de ses problèmes gastriques constants, ainsi que son humour loin d'être raffiné comme le prouve...

Albert : C'est une CACAstrophe ! 

Pas besoin d'argumenter, il l'a fait de lui même.
Actuellement occupé à trier des colis pour le compte d'une boîte allemande, le pro de la chiasse s'est déjà mis dans le collimateur et est à deux doigts de se faire virer, alors autant dire que cette nouvelle erreur de sa part ne va pas l'aider à éviter l'inévitable.
Il a fait la regrettable bourde d'intervertir les adresses de deux colis. L'un rempli de la substance neurotoxique Soman qui est destiné à être envoyé en "cadeau" au gouvernement malien, et un autre contenant l'Ombre des Merveilles, de l'eau de toilette d'Hermes, qui sera offert à la Reine d'Angleterre afin qu'elle de casser les pieds à critiquer tous ses voisins planquée son grand chapeau.
Imaginez un peu le scandale international que ça va être ce joyeux bordel.
Reste plus qu'à se tirer en douce avant quelqu'un, surtout l'opérateur, ne se rende compte de ce bintz et déchaîne les tempêtes sur le pauvre agent de tri qui voulait bien faire.
Le seul et unique fautif de cette histoire se dirige alors vers la sortie de secours à l'arrière mais trois collègues bloquent le passage, et deux autres se dirigent vers sa position depuis l'exact opposé. Par chance, leur vision est aussi mauvaise que celle des mongoles dans Ghost of Tsushima, ce qui lui laisse suffisamment de temps pour se glisser dans un conteneur laissé entre-ouvert juste à côté, par un gros coup de bol il faut dire.
Une fois dedans, il se fout dans le fond pour être sûr de ne pas être vu et attend que les gars passent pour ressortir et s'en aller.
Sauf la chance initiale qu'il avait était juste là pour le tromper, comme la voilà aussitôt volatilisée.
Quelqu'un ferme le container où il se trouve, et deux voix se font alors entendre pour annoncer qui vase passer.

Opérateur : Allez, c'est l'heure de le foutre le camion ! On pousse les gonzesses !

Agent 1 : Mes reins vont lâcher !

Agent 2 : Oh ça va, moi ça fait trente ans qu'ils sont morts, et on s'y fait. Bon après faut porter des couches, maisil y a pire.

Agent 1 : Je ne veux pas en savoir plus.

Toute l'équipe de travailleurs transporte le bousin jusqu'au semi remorque qui attend dehors avec son chauffeur, en train de bouffer son repos du soir qui est un simple jambon beurre, qui le protège en même temps des migrants qui pourraient venir s'incruster dans son gros bébé qu'il adore conduire.
Livré à lui même, ne voulant pas risquer qu'on l'entende et lui attire des problèmes, Wesker est obligé d'attendre d'arrivé à destination.
Sur le trajet routier qui mène à l'aéroport, une voix se met à résonner dans cet endroit sombre où aucune lumière ne passe, et elle ne provient pas de la seule personne censée s'y trouver.


Albert : Maman c'est toi !?


Albert : Stive !

Reconnaissant à qui appartient ce timbre là, et l'air de la chanson, notre ancien grand vilain fait la moue, chose difficile à percevoir sans lumière.

Albert : Tu me quittes sans prévenir, et maintenant tu reviens pour que je chante "Into The Unknown" ! Tu ne manques de toupet ! Ah ah, pet ! Il y a pet dans toupet !


Albert : Non c'est non ! Je me suis pris un pain dans la gueule de la part d'Haruhi la dernière fois quand j'ai monté dans les aigus lors du refrain, à heures du mat sur le balcon du manoir de Leon !

Imaginez cette scène avec Wesker :


Ouais je sais, ça fait un choc.


Des trompettes sauvages sortent leur mélodie de nul part, puis celui qui s'improvise chanteur décide de se lâcher, en partant sur une reprise d’une chanson complètement différente, afin de troller le fantôme qui vient si soudainement le hanter.
Préparez vos bouchons pour les oreilles.


Utilisant un zippo qu'il a sur lui pour invoquer le feu, il peut enfin y voir clair.


Un coup bien placé de son super poing permet de créer une brèche où il s'y faufile afin de sortir du 38 tonnes de DHL, se retrouvant sur le tarmac de l'Aéroport de Nantes-Atlantique où il allé être entreposé au sein d'un gros Airbus pour un cheminement qui l'aurait emmené trop loin de son point de départ dans sa fugue tout de même.
Autant vous dire que les employés ont alentours sont tout autant surpris qu'inquiet de voir ce grand gaillard sortir comme ça de la cargaison, et pendant que ce dernier s'en fout de leurs réactions, ils préviennent la sécurité sur place afin d'avoir un peu d'assistance.


Des agents de sécu viennent trimbaler le lit de Maxime Moulin, avec ce dernier encore dedans, jusqu'ici sans qu'on sache trop bien pourquoi.


La police aéroportuaire ramène à leur tour Masumi Sera dans le scénario, car évidemment que bien sûr, pourquoi pas, allez y.


Tout le monde se met soudainement à danser en suivant le rythme de l’homme aux lunettes de soleil.


??? : On arrête tout !

Sur l'aile d'un Concorde qui n'a rien à foutre là, se trouve Stive People qui tient Stive People en otage avec une banane pas mûre pointé sur sa tête. Il s'agit de la version L.M.D. de celui qu'on aime tant, en piteux état, qui menace la vie de l'original qu'on croyait mort, ce qui surprend beaucoup le meilleur ami de celui ci.

Maxime : Stive, tu n'es pas mort !?

Faux Stive : Non, Barbus a eu pitié de lui au dernier moment, et j'en ai profité pour le chopper au passage avant que l'un de vous ne tombiez dessus !

Maxime : Et toi, t'es sa version robotique !? T'étais pas censé être détruit !?

Faux Stive : J'ai survécu.

Masumi : Que de rebondissements nuls ! C'est assez gênant...

Faux Stive : Maintenant, je vais l’exécuter dev...

Vrai Stive : Hé !

Faux Stive : Hein !?

Vrai Stive : Je te l'ai déjà dit !

Avant qu'il ne comprenne ce qui lui arrive, la pale copie se fait projeter en avant par une prise de judo qui l'envoie s'écraser quelques mètres plus bas, la tête la première, cassant un peu trop sa carcasse mécanique pour qu'il puisse s'en relever cette fois ci.
La seul et unique Stive termine alors sa phrase emblématique avec un certain panache.

Stive : Je ne suis pas pédé !

Des applaudissements viennent ponctuer ses paroles, alors que le blondinet qui aime avoir toute l'attention porter sur lui, remet correctement la monture sur son pif.


La chorégraphie reprend, pour la dernière fois rassurez vous.


La caméra s'éloigne de l’aéroport alors que les paroles atteignent un niveau pitoyable d'originalité avec "Yeah yeah" par exemple.
Au final, on est quand même content de retrouver l'autre con qu'on aime bien.