[RP] On a perdu le Mystérieux Etranger [Terminé]

Après le départ de Lucy, Emily se retrouva seule face au dangereux Alain Verger.
La scène qui suit est censurée, pour les plus jeunes qui nous regardent.
Entre temps, les deux amis de la Homeland security engagèrent une petit discutions pour faire passer le temps.

Dinah : Et ta femme ?

Sam : Oh son nouveau boulot lui plaît bien.

Dinah : C'est quoi ?

Sam : Elle est éplucheuse de patate en menuiserie.

Dinah : Ça consiste à quoi ?

Sam : Visser des pneus de tracteur.

Dinah : Ah d'accord, c'est logique en effet.

Si vous voulez du scénario, faudra attendre le prochain post de Lucy.

Paul arriva enfin au Massachusetts General Hospital apparrtenant à la Harvard Medical School, donc pas des abrutis qui savent pas se servir de leur outil, et il entra dans le hall d’accueil où visiblement, tout le monde était surpris de voir un type débarquer avec un blessé sur son dos.
Très vite, plusieurs infirmiers et infirmières se remuèrent pour s'occuper de de ce cas qui était plus important que les autres qui étaient juste là pour trois fois rien. L'un des membres du personnel, qui était visiblement celui chargé de l'accueil, alla donc voir Monsieur Duquart.

Agent d'Accueil : Qu'est ce qui lui est arrivé ?

Paul : Il s'est cogné le crane contre le trottoir.

Ce qu'il avait dit était techniquement vrai, il esquivait juste la vérité pour ne pas que la police intervienne, car ils ont déjà assez perdu d'hommes aujourd'hui, faudrait pas ne rajouter non plus.

Agent d'Accueil : Très bien. Brancardiers !

Brancardière : Ouais ouais j'arrive !

Holt fut donc transporté aux urgences car ça blessure était quand même pas mal grande et surtout il avait déjà perdu pas mal de sang et était dans les pommes. Si on avait attendu plus, il aurait surement pu en mourir.
Maintenant, qu'est ce qu'il advient de Gill Poitou ?

Dinah et son partenaire furent surpris d'entendre des sirènes s'approcher du lieu où ils se trouvaient. Bien vite, el garde près d'eux crut à une trahison de la part des fédéraux, braqua son AEK-971 sur eux puis leur cracha quelques mots à la gueule.

Garde : Vous nous avez roulé dans la farine !

Sam : Croyez moi que si on vous avait tendu un coup fourré, on serait pas venu au rendez vous, et vous seriez déjà mort.

Dinah : Pourquoi les flics sont là ? Qui les a prévenu ?

Elle reçut alors un appel radio, elle y répondit pour savoir ce qui se tramait.

Chef FBI (R) : Agent Madani, vous êtes là ?

Dinah : Qu'est ce qui se passe ?

Chef FBI (R) : A priori, la BPD avait un de leurs inspecteurs sous couverture pour choper l'Etranger, et là ils encerclent la zone où vous êtes.

Dinah : Mince, pourquoi les choses ne peuvent jamais être simples ?

Sam : Je me suis levé du pied gauche ce matin, ça doit jouer.

Chef FBI (R) : J'attends vos instructions pour donner les ordres à mes hommes.

Dinah : Demandez leur de faire diversion, on va tenter de faire sortir le VIP de là.

Sam : Ce sera plus facile à dire qu'à faire.

Chef FBI (R) : Je vais voir ce que nous pouvons faire, bonne chance de votre coté, terminé.

Voyant que c'était pas leur faute, le garde à la solde de Poitou baissa son arme et les invita à rentrer pour se mettre à l'abri. Très vite plusieurs voitures entourèrent le lieu, et une seconde équipe du SWAT fut envoyé sur les lieues, tandis qu'une première s'avait plus donné de nouvelles au Golden Bar.
Après plusieurs minutes de marche dans ce grand entrepôt plutôt abandonné, les deux représentants du Président Wesker arrivèrent dans la salle où se trouvaient Gill Poitou, le gars qu'il appelait Trouffion, l'Inspecteur Andrew Ryan de la BPD qui risquait d'être le troisième type des services d'enquête à mourir aujourd'hui, et plusieurs gardes du corps sans nom qui pouvaient disparaître suivant les plans car quelqu'un ne faisait pas son boulot au niveau du raccord.
Le duo arriva en plein milieu d’une conversation dont il avait raté l'essentiel, et ils ne se firent pas remarquer le coup.

Andrew : ...ne tentez rien de stupide, l'entrepôt est cerné et nous avons l'ordre d'ouvrir le feu, c'est fini pour vous, rendez vous !

Gill : Ah oui vous croyez ça ? Vous croyez que c'est fini pour moi ? Grave erreur, Troufion ?

Troufion : Oui ?

Gill : Dis moi quels modèles avons nous ici de nos chères guerrières ?

Troufion: Heu on n'a des protectrons, des robots sentinelles et quelques laserotrons.

Gill : Hé bien c'est parfait, active les tous tu veux.

Troufion : Oui patron

Gill : Vous voyez inspecteur, c'est maintenant que la situation s'inverse.

Sam : On aura peut être pas besoin du FBI pour faire diversion finalement.

L'Inspecteur qui venait de révéler son vrai visage se retourna, surpris de voir deux personnages habillés comme des fédéraux, pointer le bout de leur nez ici. Il leva un sourcil et garda une main prêt de l'endroit où il gardait son flingue.

Andrew : Qu'est ce que ce bordel ?

Dinah : Cette affaire n'a pas besoin de s'ébruiter, donc vous pouvez toujours demander à vos hommes de partir, ça concerne l'Etat maintenant tout ça.

Andrew : Et puis quoi encore !? Ce connard cause plein de morts que ça soit directement ou indirectement. Mes hommes m'ont prévenu à travers mon oreillette que le Raid au Golden Bar avait causé la mort d'une dizaine de membres du SWAT ainsi de deux de mes amies du boulot, l’Inspecteur Dino Vanduras et la Détective Mina Yamagura.

Sam : C'est ces hommes à lui qui ont fait ça ?

Andrew : Je sais pas, mais les témoins disent qu'ils cherchaient le Mystérieux Etranger.

Troufion : Ça doit être des hommes à Ling, il en a beaucoup, pas autant que vous chef, mais il compense avec un don pour le piratage informatique.

Ling (Haut-Parleur) : Effectivement.

La voix du grand rival de Gill Poitou résonna dans tout l’entrepôt, étant un peu narcissique.

Ling (HP) : Vous pourrez remercier de Capitaine Valentine et ses amis de m'avoir appris que vous étiez ici. Malheureusement je n'ai pas eu le temps de vous préparer une surprise aujourd'hui, mais ne vous en faites, ce n'est qu'une question de jour. En attendant je vais laisser la Police et le Gouvernement jouer avec vous. Amusez vous bien !

Plus aucun son, il était tant de changer de point de vue.

Immédiatement après avoir balancé le corps par la fenêtre avec le message suivant :


Des tirs résonnèrent et une pluie de balle se fit entendre un peu partout dans l’entrepôt, c'est alors que des lacrymos furent balancés depuis la fenêtre maintenant brisé, bravo andouille. Ça sentait l'arrivé des gros moyens.
Juste avant qu'elles n'explosent, on put entendre une petite voix reconnaissable tellement elle était nasillarde s'exprimer.

Troufion : Mince, j'ai oublié d'activer les défenses.

Boom, bam, bim !
Une porte explosa à coup de bottes, des yeux pleurèrent et un défilé de bottes de fusils débarquèrent dans la pièce. Les gars du corps de l'Etranger, malgré la souffrance qu'ils avaient au niveau des yeux, tentèrent de tirer mais touchèrent sans le faire exprès Troufion dont le vrai nom était qui mourut sur le coup.
Sam, qui eut le bon réflexe de se protéger les yeux, prit le VIP par le bras sans attendre et l'entraîna dans un couloir pour se barrer d'ici avant de se faire choper par le SWAT qui venait de débarquer. Visiblement le FBI n'avaitp as pu leur faire gagner plus de temps.
Bon après l'idée de cadavre balancé par la fenêtre était une mauvaise idée aussi. Tout ça mêlé par l'incompétence du meilleur sbire de l'Etranger. Quand on est con, faut l'assumer.
Dinah, quand à elle, usa la technique de montrer son badge de la Sécurité Intérieur pour essayer de montrer qui avait la meilleure autorité ici. Et aussi pour ne pas se faire casser la gueule, ça aide aussi.
Ça marcha, tous les individus armés furent neutralisés à coup de plombs et seule elle survécut à l'assaut, hormis les deux en fuite. Quand ses yeux arrêtèrent de la piquer, elle fut heureuse de voir qu'ils étaient partis.
Elle murmura donc à voix basse car la pensée c'était pour les tapettes.

Dinah : Sam, fais pas le con.

La suite, du coté de Gill Poitou !

Sam arriva à une autre sortie, différente de l'endroit d'où ils étaient venus, et qui semblait bien caché puisqu'aucun flics n'était là. Au passage, Gill Poitou commençait à délirer bizarrement et à chanter un drôle d'air qui ne disait rien à l'agent qui le guidait.
Profitant du manque d'opposition à cet endroit, il décida de charger le VIP dans une vieille Renault 5 qui était garé là et qui devait appartenir au susnommé. Ceci fait, il prit la volant alors quel 'autre était sur la banquette arrière.
Sauf qu'il n'y avait pas les clés sur le contact, ce qui était logique en un sens. Sam vérifia à l'arrière en se tournant et remarqua justement un lot de clés sortir du jeans du type qui semblait être maintenant dans un monde plus amusant que le réel.
Il le lui prit et commença à toutes les essayer pour voir laquelle correspondait, mais il y en avait beaucoup, et il n'avait clairement pas de temps à perdre.

Sam : Bordel de merde, il a combien de clés ce type !?

Heureusement il trouva la bonne, juste au moment où deux mecs du SWAT quittèrent le bâtiment juste en face et braquèrent le véhicule avec leur MP5, hurlant au conducteur de se rendre. Sauf que celui ci démarra le voiture française au quart de tour et fit une grande marche arrière.
Les flics ne prirent pas ça de bon cœur et commencèrent à tirer sur le tas de carrosserie en espérant déglinguer ses pneus ou son moteur pour la mettre à l'arrêt. Sauf qu'ils avaient le niveau de précision d'un Stormtropper et donc l'agent fédéral put s'en aller sans problème avec son protégé.
Gill Poitou 1, la BPD 0.

Holt fut don très vite et en un éclaire en mener au urgence puis directement au bloc opératoire pour être opérer sous anesthésie générale, opération dura au moi une bonne heure, puis il fu emmener en salle de réveille, ou il se réveillai, 40 minute plus tard, puis aussitôt transfère dans une chambre double spécialement préparer rien que pour lui et pas n'importe la quelle une réserver au genre célèbre ou fortune qui venait se faire soigner ici, bref dans l'étage vip de hôpital quoi peut 20 minute après, la porte de sa chambre s'ouvrit, et entra Lucy et Paul

Paul fut rejoint à l'hosto par Lucy qu'il fut surpris de voir débarque mais elle lui expliqua tout, il comprit son choix.
Ensemble ils entendirent plus d'une heure que tout se passe bien pour Holt, en guettant qu'aucun individus louches ne traînent dans le coin, mais pour le moment c'était bon. Finalement quelqu'un vint les avertir que Holt était réveillé et qu'ils pouvaient aller le voir.
Ils arrivèrent dans la chambre en plein milieu d'une discutions importance.

Paul : À votre avis. C'est qui le plus fort, l'hippopotame ou l'éléphant ? Non parce que, l'hippopotame c'est quand même très très fort.

Ils s'arrêtèrent devant Holt qui à sa tête ,devait avoir compris une référence bien caché, ou pas.
En tout, la conversation se tourna plutôt vers lui.

Paul : Rien de grave pour votre crane ?

Il attendit la réponse de l'hospitalisé puis laissa le tour à Lucy de lui poser une question.

Lucy posa sa question

Lucy: Holt ?

Holt: Oui c'est moi qui a t'il

Lucy es ce que tu baise ?

Holt: Oui mais pas après minuit, car il ne faut jamais baiser un Valentine apres cette heurre, autre chose ?

Lucy: Oui plus sérieusement, comment tu vas faire pour, retrouver le Mysterieux Etenager, maitenat que Ling c'est barrer apres mon intervention et vu qu'il avait savait ou il etait ?
?

Holt: En conctactant certaine personne qui doivent me rendre plusieur service,, amais vu mon etat, sa serai difficle a moin que quelqu'un me renplace

Lucy: Mais qui ?

Holt: je ne vois qu'une personne toi

Lucy: Moi pourquoi moi, tu pourai demander a pulieurs autre personne que tu connais, voir transmettre cette affaire a un autre menbre du BSAA

Holt: Inpossible, jamais ne ne transmettrai cette afairre un quelqu'n d'autre du BSAA, j'en n'e tellment galere pour pouvoir avaore cette affaire , que jamais je ne la transmetterais personne don je n'ai pas cofian et surorut pas a un autre menbre du BSAA, je prefere que sa soit quelequ'un en qui j'ai une confiance aveugele, qui me renplace, une personne comme toi

Lucy: Je suis flater, mais comment tu peut etre sur que tu peut avaoir cxonfiance en moi

Holt: Ecoute, qaund j'ai eau sol dans cette reuelle, et que l'autre a tire son misille, je ne mattendait pas ate voir et sans meme reflechir tu es venu m'aider, alors que personne d'autre l'aurai fait et se serai barrer, et tu ma sauver,et je sais que tu es plustot quelqu'un de solidaire avec tes amis

Lucy: C'est pas faux tu marque un point la j'avaoue,

Holt: Donc c'est pour sa que je veux que sa sois toi, je te damnde sa en tant que sinple ami

Lucy: bon , faut dire que tu ma plusieur fois aider et couvert pour certain truc voir meme sauver,alors c'es ok j'acpte avec plaisir

Holt: Tres bien,je te donnera tout eux qui faut, pour aue tu n'es aucun soucis avec le BSAA

Pluis au meme moment la porte de la chanbre s'ouvrit et une infermier eentrie

Infemiere: bonjour Mr valentine, je serai votre infermier, personelle pendant votre convalence,

Lucy et Holt reconnu aussitot qui etait cette infermiere et ce palerent tous bas

Lucy: Tu a vu qui c'est?

Holt: Oh que

Lucy: Tu en n'a de la chance toi,

Holt: Bah si tu veux tu peux rester, tu n'aurai qu'a dire que tu es ma peite ami comme sa tu pourra peut ere rester

Lucy: Serieux tu ferait sa pour moi ?

Holt: Bha oui vu ce que tu vas faire pour moi c'est le moinfdre des chose

Lucy: Merci Holt

Holt: De rien es peut etr qu elon fera un truc a trois qui c'est

Lucy: Je dit pas non

L'infermiere avait sortie entre temps tout un tas de pensement pour la blessure de holt

L'infermiere: Je suis desoler Mr Valentin les les iste son fini l'un de vos visiteur doit partir seul vote petit amie peut rester, les pourchain pourront revenir demain pourront revenir seulement a partir demain

Paul était surpris de voir Clara Morgane comme infirmière aux States,n c'était donc là qu’elle était passée. Bon après des fois les temps sont durs, Morgan Freeman est même devenu vendeur de tacos donc bon.
Finalement celle ci l'invita à partir, que que seul les deux femmes reste avec le brave guerrier qui avait bien mérité une petite pipe avant d'aller se coucher. Sentant Patrick Sébastien envahir son corps, il préféra écouter et partir.
Sauf qu'au moment d'ouvrir la porte, quelqu'un le devança de l'autre coté.
Il vit un homme avec une gueule de con et une femme avec une tête à mauvaises intentions faire leur apparition dans la chambre dont le deuxième patient n'était actuellement pas là.
Très rapidement, l'homme montra son badge en se présentant.

Gabe : Agent Spécial Gabe Mancini et Alexa Shultz du FBI, vous venons nous adresser à vous trois.

Alexa : Monsieur Holt Valentine, madame Lucy Dodgera et Monsieur Paul Duquart de la DGSE.

Paul : Vous n'êtes pas censé savoir ça.

Alexa : Vous n'avez pas été très prudent sur ce coup là Monsieur Duquart.

Gabe : C'est pour vous dire que le Mystérieux Etranger est sous la protection du Gouvernement Américain, donc le BSAA et les agences gouvernementales n’auront plus le droit de s'occuper de lui tant qu'il résidera sur notre territoire.

Alexa : Nous passerons sous silence le massacre dont tous les trois vous avez contribué aujourd'hui contre les forces de police locales, mais si vous nous cherchez, ça pourra vous retomber dessus. Vous avez tous un dossier déjà bien chargé, il sera bête de le faire déborder.

Gabe : Merci de votre attention.

Alexa : Au revoir.

Sans attendre de réponse, ils repartirent bien vite, laissant Paul de mauvaise humeur.

Paul : C'est la merde ça.

Un bruit de porte se fit alors entendre, c'était celle de la salle de bain dont sortit nul autre que Jacques Chirac, plutôt beau gosse avec son peignoir, et qui avait fait en sorte de rien entendre de la conversation qui ne le concernait pas.

Jacques : Infirmière, c'est l'heure de ma piqûre !

Chirac en 3D alla se mettre ne position sur son lit. Paul, ne voulant pas voir ça, se tourna vers Holt et Lucy pour leur adresser une dernière parole.

Paul : Si vous avais besoin d'aide, je suis prêt à perdre ma carrière si on se débarrasser de ce connard de Gill Poitou, donc vous pouvez me contacter, je vous enverrai un mail crypté pour ça. Bonne chance en tout cas.

Il s'en alla, fermant la porte derrière lui.