[RP] Rien à Voir avec les Hommes en Noirs

Une Ford E-Series V noire est garée sur le trottoir d'en face du portail gardé par un agent de sécurité de ce lycée prestigieux uniquement réservé aux filles, dont la plupart de celles qui sortent diplômées de cet établissement finissent par suivre des études universitaires, comme par exemple à l'Université Kwansei Gakuin qui est localisé dans la même ville ayant une assez mauvaise réputation.
En effet, des choses bizarres ont tendance à se passer dans le coin depuis quelques années, attirant notamment l'attention du gouvernement japonais et de l'Unified Intelligence Taskforce. Les locaux ne seraient pas non plus surpris de voir un jour le White Turttle des Avengers débarquer dans les environs sous une musique tonitruante pour accompagner cette épique entrée en scène.
Quoiqu'il en soit, à l'intérieur du van se trouvent deux qui ne sont pas réputés pour amuser la gallery à la manière d'un Gilbert Montagné, d'un TH5, de n'importe lequel des persos de Holt Valentine, ou du roi du caca répondant au sinistre nom d'Albert Wesker.
Frank Castle à qui appartient ce véhicule ainsi que tout le matériel militaire se trouvant dedans qui ne représente même pas un quart de tout le matos qu'il a en sa possession. Faut dire que ce vétéran de guerre se prépare toujours à tout type de situations et d'ennemies à affronter, en mode Batman, quitte à aussi prévoir une potentielle trahison de ses alliées.
Léa Irving donne un petit coup de polish à ses trois armes cyberfantaisistes qu'elle a en permanence sur elle, et dont elle est heureuse d'avoir pu y remettre la main dessus en s'échappant de la prison de l'Organisation Noire alors que celle ci était assiégée par les forces à la botte de Gurbanguly Berdimuhamedow, juste après la téléportation du Naru blessé.
En parlant de lui, le chasseur de corbeaux n'est pas là actuelle car il est sorti rejoindre sa troisième fille sur on ne sait pas combien au total, laissant les deux autres en arrière pour couvrir le terrain et s'assurer qu'aucun événement d'infortune ne vienne saboter cette rencontre.
Vous devez vous demander comment ces trois personnes préférant bosser en solo en règle générale ont fait pour faire abstraction de ça et s'associer pour la suite des aventures.
Hé bien c'est très simple !
...
...
Ayant du temps à perdre en attendit que tout ça soit fini et qu'on se reconcentre sur leurs ennemies de l'ombre, la femme qui ne prend de ride malgré ses 37 ans décide de causer avec celui qui est déjà mort une fois et qui est en train de penser qu'il leur aurait fallu quelqu'un comme Micro pour pouvoir gérer une surveillance électronique du secteur.

Léa : Tu en penses quoi de la chasse à courre ?

Frank : Pourquoi cette question ?

Léa : Quand j'étais avec Holt l'autre jour, on a croisé des bourgeois chasseurs en train de pourchasser une biche et ses enfants à travers le village où on était, avec une meute de chiens affamés en laisse qu'ils avaient du mal à tenir, et en foutant un bordel monstre dans le patelin.
Je suis intervenue en première pour leur demander d'arrêter de se croire chez eux à faire n'important, et là t'as l'un d'eux qui me fout en coup de fouet en sortant des noms d'oiseaux que même mes grands parents ne sortaient pas tellement c'est vieux.
Holt a réagi au quart de tour et a décroché la selle de l'enfoiré qui m'a eu, et la fait tomber du cheval. On l'à alors rouer de coup pendant que ses copains fuyaient pour prévenir la maréchaussée qui a clairement attendu que le préfet vienne les faire chier pour intervenir alors nous on était déjà loin.
Ils auraient tous mérité de crever.

Frank : Je lui aurais retourné son fouet contre lui. Dans le visage.

Léa : Pas d'étranglement ?

Frank : Trop long. Si je dois faire ça, c'est sur le dernier qui reste et qui est déjà bien affaibli.

Léa : Pas con.

Pour le coup, celle qu'il prenait pour une simple criminelle dû à son passé chez Crisis et d'autres liées à elle se révèle vachement moins odieuse qu'il aurait imaginé, et on pourrait presque dire qu'il commence à l'apprécier.
Bien qu'il ne puisse pas le savoir avec certitude, c'est réciproque.

Naru était parti pour le Japon le lendemain au soir du jour où il était arrivé à la planque avec ses alliés qui sont restés là-bas. Il était venu seul à la base, n'ayant dit à personne où il allait exactement pour éviter d'être suivi mais pour une raison quelconque, il avait comme par hasard croisé Frack Castle Léa Irving dans l'avion qui étaient dedans pour des raisons scénaristiques parce qu'il faut bien expliquer leur présence avec Naru qui ne fait pas vraiment de sens.

Quoi qu'il en soit, les deux autres ont décidé de l'accompagner pour une raison ou une autre et puisqu'ils étaient deux alliés de choix, il ne refusa pas leur aide pour sécuriser le quartier car il faut le dire, à chaque fois qu'il tente de rencontrer quelqu'un sans que rien ne se passe, eh bien quelque chose se passait justement.

Cette fois au moins, il ne serait pas seul présent pour combattre, au cas où.

Il était maintenant devant les portes du lycée, décidant de garder son apparence juvénile pour le moment afin de paraître moins menaçant et moins suspect pour les adultes qu'il pourrait rencontrer. Il s'approche des portes du lieu alors que le gardien attend que les quelques élèves sans club sortent après la fin des cours et le début des heures dédiées aux club et activités extra-scolaire.

Il profite de la sortie du flot des élèves sortant pour se faufiler gra^ce à la petite taille de son corps, rentrant dans l'école afin de rejoindre le bâtiment principal.

Sasaki Nijishin est très connue au sein de son lycée puisqu'elle est tout de même la Présidente du Conseil des Élèves de celui ci, et elle excelle tout autant dans son travail à ce poste que dans ses notes dans la majorité des matières, ce qui provoque la fierté de sa mère, de ses camarades, de ses profs, et évidemment du proviseur.
Cela lui permet d'avoir un certain nombre d'avantages que les autres n'ont pas, comme pouvoir sécher certains cours ou encore faire venir une personne étrangère à l'établissement afin d'apporter officiellement son aide aux élèves en apportant la paperasse et le café durant les réunions après la fin des cours, quand c'est l'heure des clubs et autres activités extra-scolaire du soir à la manière de Persona 5.

D'ailleurs si on veut aller la retrouver c'est justement dans la grande pièce assez bien meublée et organisée qui est réservée aux membres de son conseil qui ne sont que trois, sans compter elle.
Kuyō Suō est une interface humanoïde extra-terrestre créée par une entité de données nommée Sky Canopy Dominion qui n'est donc pas la même que celle qui a créé entre autre Yuki Nagato, et comme pour celle ci, on en sait pas grand chose à vrai dire.
Kyōko Tachibana est une Esper bossant pour une agence rivale à celle employant Itsuki Koizumi, et soupçonnée d'être limite à sa tête en plus, qui est sûrement celle sur le trio qui affiche expressivement le plus de joie de soutenir celle qui est leur "Dieu" à eux, et ferait tout pour qu'elle soit la seule à avoir de tels pouvoirs.
"Fujiwara" est le garçon chanceux qui a le droit que tant d'homologues masculins rêveraient d'avoir de pouvoir traîner dans cette école pour filles, et dont on ne sait pas non plus grand chose, même pas son véritable nom, hormis le fait que sa principale motivation soit d'être à nouveau réunie avec sa grand sœur Mikuru Asahina, ce qui parait bizarre puisque cette dernière ne semble pas avoir de petit frère.

Là le quatuor opposé en opinions à la Brigade SOS, bien qu'ils aient fait la paix avec ces derniers, sont en train de se creuser la tête sur le phénomène qui frappe cette petite ville de Nishinomiya depuis quelques mois et celle ci n'avait vraiment pas besoin de rajouter cela à son CV des choses paranormales qui s'y passent.
En effet, de mystérieuses disparitions ont eu lieu aux abords du Lycée Kouyouen, touchant forcément les lycéens qui y vont, mais pas que, car des passants n'ayant rien avoir avec ce lieu sont aussi portés disparus, ce qui voudrait dire que les élèves ne sont pas les cibles principales, et que c'est juste un hasard que l'endroit ciblé par les kidnappeurs de l'ombre inclus cet établissement.

Dans tous les cas, avec plus de dix jeunes manquants à l'appel, il n'est guère surprenant de constater que les clubs se vident et que plus aucun mineur ne traîne dans le bahut en fi nde journée, rentrant désormais à plusieurs afin d'éviter au maximum les risques d'être le prochain sur la liste.
La police locale fait chou blanc donc cela ne va pas facilité le bouclage de l'enquête.
Peut être que quelqu'un va pouvoir venir à leur rescousse sur ce coup là.
Un autre volatilisé qui refait enfin son apparition depuis le temps.
Le père que Sasaki ne pensait plus jamais revoir, jusqu'à ce que Kyon lui aborde ce qu'il s'est passé à Tokyo le mois dernier, et que ses amies découvrent des informations intéressantes sur ce fameux Naru qui intrigue tant de gens dans dark web.
Des retrouvailles s'imposent comme une évidence.

Après avoir profité du flot d'étudiant anormalement important sortant pour rentrer chez eux malgré que ce soit l'heure des activités extraa-parascolaires qui sont généralement très encouragées voire obligatoires au japon peu importe le lycée, Naru se dirige vers la bâtiment où se trouve la salle du conseil des étudiant. Profitant que la plupart des élèves soit dans leurs salles de club, il parcourt rapidement les couloirs déserts pour se retrouver bientôt devant une porte en bois menant à la salle qu'il cherchait.

Il toqua doucement à la porte, attendant poliment la permission d'entrée dans la pièce où se trouve une autre de ses filles. En effet après avoir parlé à Haruhi, quelques semaines plus tôt, il avait décidé d'aller parler à son autre fille habitant la même ville. Celle-ci, contrairement à la première semblait déjà consciente de ses capacités, ce qui allait changer énormément son approche, peut-être qu'elle était assez mature pour apprendre certaines choses. Peut-être avait-elle une meilleure discipline qu'Haruhi et qu'il pourrait lui révéler certaines informations sans risque ? Le meilleur moyen de le savoir était de la rencontrer et d'obtenir des réponses à ses propres questions

Cependant, avant d'entrer dans l'école, il avait quand même pris la peine de se teindre les cheveux dans une nuance de brun pour être moins remarquable. Ainsi, il était maintenant devant la porte, attendant tranquilement.

Sasaki est surprise en entendant quequ'un frapper à la porte de la salle du conseil des élèves où elle se trouve avec ses trois adorateurs.
Non pas que le fait une personne qui vienne toquer ici sorte vraiment de l'ordinaire, mais c'est surtout le fait qu'on ait l'impression que qui que ça soit, il ou elle ait la taille d'un enfant de huit ans. Pourtant elle n'a encore rencontré personne dans ce lycée qui ne fasse cette taille, bien qu'elle n'ait rien contre les invididus atteints de nanisme attention.
Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit.
Quoi qu'il en soit, elle lève la voix d'un ton cordial afin d'afin de ne pas faire peur au toqueur.

Sasaki : C'est ouvert ! Vous pouvez entrer !

Reste plus qu'à voir à qui elle va avoir affaire.

Sans qu'on sache trop comment, mais probablement par l'utilisation d'une perception surdéveloppée induite par ses pouvoirs de "Dieu", Sasaki réussit à deviner précisément la taille de la personne frappant à la porte avant même que celle-ci ne soit ouverte en situant simplement l'endroit frappé sur la porte, un fait assez impresionant considérant qu'elle n'était pas du tout concentré sur écouter les bruits autour d'elle.

Elle annonce cependant à son interlocuteur derrière la porte que celle-ci est déverrouillée et lui accorde la permission d'entrer. Naru ne perd pas de temps et tourne la poignée afin d'ouvrir la porte et de pénétrer dans la salle.

Naru : Bonjour, je cherche une étudiante, son nom est Sasaki Nijishin.

Il tourne alors son regard vers la Présidente du Conseil des Etudiants.

Naru : Je suppose que je n'ai plus à chercher, n'est-ce pas ?

Un gosse de huit ans justement pénètre dans le bureau de Madame la Présidente, et il n'a absolument rien à foutre là dans ce décor, dû moins pas avant plusieurs années d'études intensives dans se planter, tout en changeant de sexe au passage.

Naru : Bonjour, je cherche une étudiante, son nom est Sasaki Nijishin.

Son attention se tourne la principale concernée qu'il reconnaît immédiatement.

Naru : Je suppose que je n'ai plus à chercher, n'est-ce pas ?

Sasaki regarde aux alentours pour chercher la caméra cachée, sauf que Jean-Yves Lafesse ne se trouve caché nul part à guetter le bon moment pour faire la révélation de la supercherie. Cette situation semble réelle et elle ne sait pas trop comment réagir face à ce gamin qui la connaît sans quez ça soit réciproque.
Kuyō reste dans son coin à épier sans bouger un sourcil, nous empêchant de savoir ce qu'elle mijote.
Kyōko se marre un peu car il faut dire que c'est la première fois qu'elle assiste à une scène de ce genre.
Fujiwara est le plus méfiant d'entre eux car cet enfant ne lui inspire clairement pas confiance.
Attendez, on me fait signe à l'oreillette d'aller un peu plsu vite, plkus droit au but.
Les lecteurs se plaignent que je fais souvent de long paragraphes descriptifs qui durent trop long en longueur si vous voyez ce que je veux dire, car j'en perds un peu mes mots, je n'ai pas le temps pour réfléchir et si je m'arrête une seule seconde de raconter quelque chose chose, je risque de mourir très vite dans un très long agoni, donc c'est parti pour essentiellement du dialogue.

Sasaki : Qu'est ce que tu fais là petit ? Quelqu'un je connais t'a envoyé ici pour me chercher ?

Kyōko : Faut espérer, sinon c'est ce que tu es tellement jolie que même les garçons de l'école primaire d'à côté sont tombés sous ton charme Sasaki-chan !

Fujiwara : Ce n'est pas un garçon ordinaire.

Kuyō : Exact.

Attendons la réponse.

Naru les regarde avec un amusement dans les yeux et intérieurement il jubile à la réaction qu'il va avoir avec ses prochains mots.

Naru : Je suis sûr que je ne suis pas le seul à être "anormal" ici, n'est ce pas ?

Il mime les guillemets en l'air avec ses doigts puis attends leur réaction qui seront sûrement amusante.
Il regarde chacun d'eux en souriant comme pour leur dire qu'il sait parfaitement ce qu'ils sont.

Autant y aller par un seul chemin au lieu de quatre.

Fujiwara : Tu dois être une connaissance à ce Naru qui a rencontré Haruhi Suzumiya le mois dernier.

Kyōko : C'est l'histoire dont Kyon t'a parlé Sasaki-chan ?

Sasaki : Oui c'est bien ça.

Kyōko : Depuis qu'on a appris ça, on attendait sa visite à ce grand type aux cheveux rouges mais il ne s'est pas encore montré. Je ne sais pas ce qu'il attend.

Ouais c'est vrai ça, qu'est ce qu'il attend ?

Il ne savait pas que Kyon en avait parlé, ni même qu'il connaissait Sasaki mais cela ne l'empêche pas de faire un petit rire à leurs commentaire.

Naru : Je reconnais que vous y êtes presque mais pas encore bien deviné, je peux pas vous en vouloir cela dit car suite à un petit incident j'ai comme rétréci au lavage et j'ai du me teindre les cheveux pour éviter certaines personnes.

Tous les quatre se penchent un peu à leur façon respective vers l'adulte qui a rétréci à la machine mais n'est tout de même pas devenu caucasien par la même occasion ,car sinon ça aurait été un petit peu raciste il faut bien se l'avouer un tout petit peu.

Kyōko : C'est lui Naru !? On dirait que tu as été victime d'un drôle sortilège petit bonhomme, ah ah !

Sasaki : Ce n'est pas vraiment marrant Kyōko.

Kyōko : Désolée Sasaki-chan....

Sasaki : Dis moi Naru-san si ce n'est pas trop indiscret. Qui t'a fait ça ? Ce n'est pas Suzumiya-chan tout de même ? Je sais qu'elle est capable de ce genre de chose alors je préfère demander.

C'est que connaissant la déesse susceptible, ce n'est pas si farfelu que ça comme idée, bien qu'elle soit fausse.

Naru lui porte un regard évaluateur et répond.

Naru : Comme je le pensais, tu sais pour tes capacités et celle de Haruhi. Pour répondre à ta question, non ce n'est pas elle. Il se trouve qu'en ce moment, je suis occupé à essayer d'en finir avec une organisation de criminel qui utilisent la science pour jouer avec la vie et la mort, l'un de leurs produits a eu pour effet de me faire rajeunir, ou du moins mon corps.

Il jette un regard aux autres membres de l'équipe de Sasaki. Ses yeux les parcourant tous vite fit pour évaluer leur potentiel puis reviennent sur sa fille.

Naru : Dis-moi Sasaki, que sais-tu exactement de tes capacités ? Et comment l'as-tu découvert ?

Celle qui est le plus gaie dans le tas tape dans son poing pour montrer que cette organisation criminelle lui dit quelque chose grâce au réseau d'informations dont elle a accès avec son organisation.

Kyōko : Je crois avoir entendu en effet parlé d'une certaine Organisation Noire qui correspond à ta description, mais je n'en sais pas grand chose, je dois bien l'avouer.

Fujiwara : C'est l'Association des Corbeaux. Dans la temporalité d'où je viens, ils ont été exposés en 2025 après un puissant affrontement face aux Avengers.

Kyōko : Mince ! Moi qui pensait avoir plus d'infos que toi sur ce coup là ! Mais attends... Est ce que tu avais compris pour cette organisation avant même qu'il ne la mentionne ?

Fujiwara : Oui, mais j'ai préféré qu'il confirme ma supposition plutôt que de dire une bêtise.

Ne voulant pas trop s'immiscer dans ce débat là, le nabot va droit au but avec ses questions.

Naru : Dis-moi Sasaki, que sais-tu exactement de tes capacités ? Et comment l'as-tu découvert ?

Sasaki : Je vais déjà répondre à la première question qui va demander une bonne minute de consécration pour être sûre de ne rien oublier.

Autant dire que cela promet une suite un peu plus longue que la normale.

Sasaki : Je sais que je peux manipuler la réalité comme Haruhi le fait inconsciemment, et en théorie je dois faire extrêmement attention à ne pas m'emporter émotionnellement afin de ne pas risquer provoquer de faire s'effondrer cette réalité et la remplacer par une nouvelle car cela pourrait causer une forte instabilité spatio-temporelle qui finirait par détruire l'univers en lui même.

Kuyō : Les voyageurs temporels comme Fujiwara créent une nouvelle ligne temporelle quand ils traversent le continuum espace temps donc cela ne perturbe nullement la stabilité des univers, mais Sasaki a des pouvoirs divins donc les changements qu'elle apporte modifient les données de cette ligne temporelle précise, ce qui est très dangereux pour nous tous sur le long terme.

Sasaki : Je suis capable de créer des Espaces Clos où tout est blanc, vide et rien ne peut changer.

Kyōko : Nous Espers pouvons utiliser nos pouvoirs dedans, et permettre à des humains normaux d'y accéder. Par contre nous ne pouvons pas accéder à ceux créés par Suzumiya-san.

Fujiwara : Aucun Célestes n'y a été observés.

Sasaki : Je n'ai pas grand chose à dire de plus là dessus, alors je vais passer à ta seconde question.

Rassurez vous, nous n'allons pas partir sur un énième gros flash-back, aussi intéressant soit il, car parfois il n'y a pas besoin de tirer en longueur l'explication d'évènements passés, et juste un bref résumé de quelques lignes peut suffire, comme va nous le prouver notre Dieu N°1 ou 2, ou encore 3 si on compte le grand barbu qui branle rien là haut.

Sasaki : Disons que plutôt que de les découvrir par moi même, on me les a appris en l'An 0 comme mes amies l'appellent. C'est à dire il y a trois ans de ça quand Kuyō a été créée, Kyōko a reçu ses pouvoirs, et que la ligne temporelle de Fujiwara a eu des problèmes.

Fujiwara : Les pouvoirs de Suzumiya ont émergé en Avril 2011 et c'est ce même moi que tout ça s'est produit, avant même les évènement de Tanabata de cette année là.

Kuyō : Nous avons déterminés que Sasaki est l'être original possédant ces pouvoirs, et que ses pouvoirs ont été transmis involontairement à Haruhi Suzumiya. Notre objectif est de fixé ce problème en retirant les pouvoirs de Haurhi afin que seule Sasaki en possède.

Kyōko : Contrairement aux alliés imprudent de Suzumiya-san, nous avons choisi de révéler à Sasaki-chan ses propres pouvoirs afin qu'elle puisse se familiariser avec et éviter de causer autant de souci à la stabilité temporelle de vous savez qui.

Sasaki : J'espère que cela a répondu à tes questions Naru-san.

Ce fut assez fourni en détail en effet comme on peut le constater.

Un groupe de quatre lycéennes sont en train de traverser les routes assez fréquentées de Nishinomiya qui comptent quand même quatre fois plus d'habitants que la Raccoon City originale, ce qui fait nous dire qu'on a eu de la chance que ça ne soit pas cette ville là qui fut le fruit du désastre engendré par la terrible Umbrella Corporation.
Quoi qu'il en soit, ces adolescentes sont en train de rentrer chez elles après avoir quitté le lycée de Kouyouen qu'elles fréquentent, et malgré la bonne humeur qui se dégage de leur discutions amicale, celle ci est avant tout là pour cacher l'angoisse que tous ceux qui passent dans ce quartier ont de finir par disparaître sans laisser de traces, comme tant d'autres personnes avant eux.
Chiharu est la timide fille aux lunettes rectangulaires qui passe le plus clair de son temps à lire des bouquins, et qui est absolument fan du genre policier.
Hana est la perverse aux lunettes ovales qui adore peindre des filles nues comme passe temps assez chelou qui intrigue la plupart de ses amies.
Machi est gentille et amicale, ce qui fait que personne ne la déteste, pas même les délinquants des précédents établissements qu'elle a fréquenté.
Raion est la fêtarde aux cheveux noirs en fouillis dont l'avant est teint en rouge brillant, et cela lui a déjà valu des soucis avec l'autorité de son établissement.
Si l'on s'approche assez d'elles pour empiéter sur leur terrain intime, on peut mieux cerner leur personnalité et leur hobbies suivant ce dont elles parlent ensemble.

Machi : Je pense plutôt qu'il faut respecter les croyances de tout le monde.

Raion : Je respecte, mais faudrait le dire à eux même ! L'islam n'est vraiment pas la plus tolérante des religions, et pas du tout une religion de paix comme le diraient certains car j'ai lu le Coran... C'était vraiment pourri ! Même en temps qu'œuvre littéraire, la Bible est bien mieux.

Machi : Tu sais, ce qui est dans la Bible et le Coran est sujet à l'interprétation des croyants.

Raion : Franchement, quand Dieu lui même te dit de tuer les mécréants ou de les forcer à se convertir, je ne vois pas quelle autre interprétation tu peux en faire car ça me paraît assez clair. Là où dans la Bible que j'ai aussi lu, je conçois que ça soit plus ambiguë.

Machi  : Tu sais que ce n'est pas vraiment Dieu qui a écrit le Coran ?

Rainon : Bah oui ! Mais eux non ! Réfléchis deux secondes ! En plus cela ne change en rien les ordres qui sont dictés dans ce bouqin !

Machi : Certes le Coran a beaucoup de croyances barbares mais les autres religions ont toutes leurs défauts.

Raion : Pas à ce niveau là ! Là on est plus proche d'une secte sanguinaire, faut arrêter de tout relativiser ! Car pour l'instant ça ne nous touche pas, mais à force de tout mettre dans le même bateau, celui ci va finir par couler ! Cela m'afflige vraiment que vous ne voyez pas ça !

Chiharu : Calmez vous s'il vous plaît...

Hana : Chiharu-chan a raison, car si on veut pouvoir s'amuser comme des folles, hé hé, il ne faut pas se prendre la tête si des sujets stupides.

Raion : Ouais c'est vrai qu'on a une teuf d'enfer à faire ce soir chez moi, et j'ai préparé de quoi être sûr de faire plaisir à Hana pour ses lubies perverses.

Hana : Ooohhhh ?

Fouillant dans son sac scolaire étrangement plus grand que celui de ses camarades, elle en sort une substance qui a réussi à passer les douanes du bahut, à savoir un pack de bière rouge pesant pas mal. Il s'agit de six bouteilles Slash Red provenant de la Brasserie Licorne en Alsace, dont on se demande comment elle a pu l'obtenir, mais bon vu son côté un peu rebelle de la société nageant en plein dans la fachosphère, mieux vaut pas trop se poser de questions.

Raion : Avec, les batailles d'oreillers seront encore plus marrantes !

Machi : En espérant qu'il n'y aura aucun blessé.

Chiharu : Oui...

Hana : Oublions tous nos soucis pour une fois, en préparant la nouvelle année qui ne peut pas être pire que celle qui vient de passer.

Toutes les quatre, elles continuent de discuter de la soirée à venir en s'approchant d'une ruelle menant à un entrepôt appartenant à la société française Cablebox faisant dans la fabrication et le commerce de trombones, les épingles et pas l'instruments, qui ont connu un scandale à Paris en tout début d'année impliquant des robots tueurs marchants dans les rues de la capitales, qui n'ont cependant pas fait la une des journaux puisque ceux ci ont tout misé sur ce qui s'est passé à Charlie Hebdo puis ses conséquences.
Ce chemin est un raccourci super pratique qui permet de mener plus facilement chez celle qui a la liqueur magique.
Elles sont loin de se douter que cette allée les mène droit à leur possible trépas, car des forces qui les dépassent attendent bien sagement dans l'ombre que des proies inconscientes comme elles s'approchent d'un peu trop près de leur base d'opération.
Faut espérer que Sasaki et son équipe puissent éviter le pire pour elles.

Le membre 'Léa Irving' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

---

'D100' : 15