[RP] Rien à Voir avec les Hommes en Noirs

Sasaki : Je sais que je peux manipuler la réalité comme Haruhi le fait inconsciemment, et en théorie je dois faire extrêmement attention à ne pas m'emporter émotionnellement afin de ne pas risquer provoquer de faire s'effondrer cette réalité et la remplacer par une nouvelle car cela pourrait causer une forte instabilité spatio-temporelle qui finirait par détruire l'univers en lui même.

Kuyō : Les voyageurs temporels comme Fujiwara créent une nouvelle ligne temporelle quand ils traversent le continuum espace temps donc cela ne perturbe nullement la stabilité des univers, mais Sasaki a des pouvoirs divins donc les changements qu'elle apporte modifient les données de cette ligne temporelle précise, ce qui est très dangereux pour nous tous sur le long terme.

Sasaki : Je suis capable de créer des Espaces Clos où tout est blanc, vide et rien ne peut changer.

Kyōko : Nous Espers pouvons utiliser nos pouvoirs dedans, et permettre à des humains normaux d'y accéder. Par contre nous ne pouvons pas accéder à ceux créés par Suzumiya-san.

Fujiwara : Aucun Célestes n'y a été observés.

Naru : Je suis impressioné par vos déductions cependant je dois vous contredire sur certaines de vos théories qui sont erronées.

Il fait une petite pause et reprend.

Naru : Tout d'abord, les lignes et les embranchement sont une représentation plutôt simpliste du temps et des voyages temporels. Je ne vais pas entrer trop dans les détails mais pour faire simple, il existe pour un univers donné, une infinité de "Dimensions", bien que ce terme soit plutôt incorrect et on préfèrera parler de Réalité Alternative. En effet, comme vous le savez peut-être, l'espace-temps se compose de 4 dimensions, l'espace en compte trois et le temps est la quatrième. Pour se déplacer à travers l'espace-temps, il faut donc connaître les coordonnées du lieu et du temps où on veut se rendre. Voyager dans l'espace-temps revient en fait à voyager d'un point de l'univers à un autre.

Sasaki : Oui, le professeur de physique nous en a parlé l'autre fois, il disait que le temps peut être considéré comme une dimension et si on part de se postulat, se déplacer dans le temps reviendrait en fait à se déplacer à travers la quatrième dimension.

Naru : Exactement Sasaki, mais ce modèle est encore incomplet, pour bien se représenter l'univers, il faut imaginer une ligne, le temps. Sur cette ligne, il y a une infinité d'espaces en 3 dimensions qui se déplacent le long de la ligne.

Sasaki : Si je suis ce raisonnement, cela signifie que pour chaque point du temps il y a une réalité différente qui se déplace sur la ligne du temps. Et cela veut donc dire qu'au début de la ligne du temps, une nouvelle réalité apparaît constamment et commence depuis le début ?

Naru : Tout à fait, et donc voyager à travers le temps signifie en fait changer d'espace sur la ligne. Ces espaces sont identiques à l'origine car ils sont définis par les mêmes paramètres de l'univers et donc partagent les mêmes coordonnées, le temps étant la seule différence. Et comme ce sont des espaces distincts, il n'est pas illogique qu'on puisse retrouver une même personne deux fois dans la même réalité si l'une d'elle a voyager à travers le temps.

Il fait une pause pour leur laisser le temps de réagir et voir si chacun d'eux comprend bien ce qu'il essaie d'expliiquer.

Fujiwara : C'est très logique maintenant que j'y pense, Cela explique beaucoup de concepts sur les voyage temporels dont nous n'avons encore qu'une faible connaissance.

Naru : Concernant les pouvoirs de Sasaki et d'Haruhi, ils n'agissent que dans leur propre réalité et ne peuvent donc pas affecter les autres réalités de l'univers, bien que leurs homologues dans les différentes réalités puissent le faire pour la leur également. Cependant, si l'une ou l'autre venait à predre le contrôle sur ses pouvoirs et détruisait la réalité dans laquelle vous vous trouvez, il se produirait une instabilité majeure dans la ligne du temps puisque celle-ci serait brisée et plus continue. Cette instabilité provoquerait l'effondrement de l'univers sur lui-même et le ferait disparaître.

Kyōko : Et comment expliquer les Espace Clos dans ce cas, ils sont présent dans l'espace mais en même temps, tout le monde ne peut pas y accéder et pour autant l'espace est occupé par les humains également.

Naru : Je crains que l'explication de ce phénomène ne soit encore trop au-dessus de votre compréhension sans vous offenser, disons simplement que lorsqu'un espace clos se crée, il en résulte un espace en trois dimensions distinct mais sur le même point de la ligne du temps et arrêtons nous-là sur ce point pour le moment.

Kuyö : Bien, ça suffira pour le moment.

Sasaki : Je n'ai pas grand chose à dire de plus là dessus, alors je vais passer à ta seconde question.

Elle prend une inspiration et commence à raconter ce qu'elle sait.

Sasaki : Disons que plutôt que de les découvrir par moi même, on me les a appris en l'An 0 comme mes amies l'appellent. C'est à dire il y a trois ans de ça quand Kuyō a été créée, Kyōko a reçu ses pouvoirs, et que la ligne temporelle de Fujiwara a eu des problèmes.

Fujiwara : Les pouvoirs de Suzumiya ont émergé en Avril 2011 et c'est ce même moi que tout ça s'est produit, avant même les évènement de Tanabata de cette année là.

Kuyō : Nous avons déterminés que Sasaki est l'être original possédant ces pouvoirs, et que ses pouvoirs ont été transmis involontairement à Haruhi Suzumiya. Notre objectif est de fixer ce problème en retirant les pouvoirs de Haurhi afin que seule Sasaki en possède.

Kyōko : Contrairement aux alliés imprudents de Suzumiya-san, nous avons choisi de révéler à Sasaki-chan ses propres pouvoirs afin qu'elle puisse se familiariser avec et éviter de causer autant de soucis à la stabilité temporelle de vous savez qui.

Sasaki : J'espère que cela a répondu à tes questions Naru-san.

Naru : Oui cela y répond certainement et je dois dire que je suis impressionné par ta maîtrise de toi, Sasaki, apprendre qu'on a des pouvoirs divins pourrait inciter beaucoup de personnes a en abuser. De plus, je ne m'attendais pas à ce que vous ayez, Haruhi et toi, un tel niveau de capacité, c'est impressionnant.

Il se tourne ensuite vers les autres et principalement vers Kyôko qui prèche Sasaki comme le vrai Dieu plus que quiconque.

Naru : Néanmoins, je dois vous le dire, votre théorie sur l'origine des pouvoirs de Sasaki et d'Haruhi est fausse et leurs pouvoirs sont bien plus élevés que ce que vous croyez.

La plus grande fan XD Sasaki ne semble pas aimer ce que sous entend le petit bonhomme.

Kyôko : Cela me plairait beaucoup que Sasaki-chan soit encore plus puissante qu'elle ne l'est déjà, mais je ne veux pas croire que cette idiote de Suzumiya soit aussi forte qu'elle !

Sasaki : Calme toi Kyôko, ce n'est pas grave.

Kyôko : Mais Sasaki-chan...

Sasaki : Écoutons ce que Naru-san a à nous dire sur nos pouvoirs, puis nous aviserons ensuite.

Des paroles censées de la part de la chef.

Naru fait un signe de tête approbateur à Sasaki et continue son explication de manière beaucoup plus concise cette fois.

Naru : Comme tu l'as dit Sasaki, tes pouvoirs ainsi que ceux de Haruhi sont la manipulation de la réalité, plus précisément la création et la modification de la réalité dans laquelle vous vivez. Vous avez toutes les deux le même potentiel en terme de capacité, la seule chose qui peut vous différencier est le contrôle que vous avez sur vos capacités, il semblerait qu'actuellement, tu ais un bien meilleur contrôle qu'Haruhi, et cela vient probablement de ton caractère plus calme et réfléchi.

Il prend une petite pause histoire de les laisser réagir avant d'ajouter.

Naru : Quant à l'origine de vos pouvoirs à toutes les deux, elles sont héritées par le sang, plus précisément du côté de votre père.

Il la regarde pour voir sa réaction avant de poursuivre.

D'une vive voix, la fervente défenseur de Sasaki la soutient de tout son coeur.

Kyôko : Encore heureux qu'elle soit plus calme et réfléchie !

Naru : Quant à l'origine de vos pouvoirs à toutes les deux, elles sont héritées par le sang, plus précisément du côté de votre père.

Sasaki : Et est ce que tu es mon père ?

L'esper écarquille les yeux en attendant cette question et en se doutant de la réponse, ce qui l'oblige à crier tel un apprenti Jedi.

Kyôko :

Ses réactions exagérées sont assez marrantes à observer.

Naru : Sacrément perspicace de ta part, Sasaki, c'es exact, je suis bien ton père, même si mon apparence ne le laisse pas penser.

Il rigole doucement, puis la regarde sérieusement.

Naru : Je suis bien conscient que je débarque de nulle part et que je ne suis rien pou toi. Je ne vais pas non plus te demander de me pardonner pour mon absence dans ta vie, mais il fallait cependant que toi et Haruhi connaissiez votre origine, Je suis parti pour tenter de vous protéger mais je crois bien qu'au final vous aurez un grand rôle à jouer dans le futur et je veux que vous soyez prêtes à l'affronter.

Sasaki n'est ni heureuse, ni mécontente des dires de son père qu'elle n'a jamais connu et qui a été une grande absence dans sa vie puisque sa mère n'a jamais pu se remettre avec quelqu'un au cours de sa vie, causant de ce fait de n'avoir aucune figure paternelle pour accompagner cette fille douée dans plein de domaines, mais qui actuellement déprime énormément.
On peut sentir notamment qu'elle a tiqué sur ce "grand rôle à jouer dans le futur".

Sasaki : Je ne sais pas si je serais vraiment prête à l'affronter, si je ne suis même pas capable de protéger les élèves de ce lycée que je représente.

Kyôko : Sasaki-chan... Ne dis pas ça.

Fujiwara : Nous résoudrons ce mystère.

Ses soutiens essayent de remplir ce rôle du mieux qu'ils peuvent, bien que cela devienne de plus en plus dur de jour en jour.

Naru : Que veux-tu dire par protéger les élèves ? S'est-il passé quelque chose ?

Il demande à la fois intrigué et compatissant pour sa fille qui a visiblement l'air déprimé.

Naru : Peut-être que je pourrais vous aider avec ça.

Sasaki tapote des doigts sur son bureau en regardant le sol à sa droite, évitant le regard de Naru le temps nécessaire pour trouver les bons mots pour résumer la situation sans céder à la panique, ou du moins faire trop parler son désespoir au point de ne pas être clair du tout.

Sasaki : Treize lycéennes étudiant à Kouyouen ont disparu au cours des quatre derniers mois alors qu'elles étaient soit en route pour les cours, soit ne train de rentrer chez elles après la fi nde ceux ci. Rajoutons à cela trente-cinq autres personnes qui ont disparu durant cette période de temps, y compris deux professeurs de ce lycée.

Fujiwara : Tout le monde est à cran dans ce quartier, et donc cet établissement.

Sasaki : Tout le monde nous met la pression pour essayer de résoudre ce mystère car on a est un peu le dernier espoir des élèves et du personnel ici. La police n'ayant pas été capable de faire quoi que ce soit de leur côté.

Fujiwara : Il y en a qui voudraient que les Avengers interviennent, mais ils délirent. Qu'est ce qu'un groupe de super héros américains aurait quelque chose à foutre d'une menace qui pour l'instant ne concerne qu'une petite ville japonaise même pas située à proximité de la capitale ?

Kyôko : Au point où on en est, ça me fait mal de le dire car j'aimerais tellement que Sasaki-chan éclaircisse ce mystère, mais vraiment une aide de leur niveau nous serait la bienvenue.

Naru : Peut-être que je pourrais vous aider avec ça.

La chef réoriente enfin son attention sur le halfelin aux cheveux teints en bruns, toujours aussi désespérée.

Sasaki : Au point où on en est, on ne peut pas refuser ton offre Naru-san.

Nul doute que le dieu dragon saura se montrer utile sur ce coup là.

Naru : Je ne suis pas venu seul non plus et je pense qu'avec les deux autres qui sont venus, on pourra largement s'en sortir avec cette affaire. Quoi qu'il en soit, commencez par me dire si vous avez déjà des pistes ensuite nous tenterons de tendre un piège à ces kidnappeurs.

L'heure d'investiguer à sonner, et il est temps d'éplucher les pistes qu'ils ont, ce qui tombe puisqu'il en ont une par subordonné pour la chef de cette mauvaise troupe qui se met en route vocale.

Sasaki : Nous avons essayé de trianguler une position plus précise pour les disparitions, et cela nous a mené à trois lieux situés à proximité du lycée qui pourraient être liés avec ces kidnappings.

Fujiwara : Les Yakuzas tiennent une boîte de nuit, et sachant que les enlèvements ont eu lieu principalement la nuit justement, et qu'ils font dans le trafic d'être humain, on ne peut exclure la possibilité qu'ils soient impliqués là dedans.

Kuyō : La Main, une société secrète mystique vieille de 853 ans possède une planque dans ce secteur. Il y a 41% de chance qu'ils soient impliqués dans ces disparitions.

Kyōko : Sinon il y aussi l'entrepôt de la Cablebox dans le même coin, mais j'ai dû mal à voir ce qu'une entreprise faisant dans la création et l'import/export de trombones aurait à voir là dedans.

Sasaki : Voici tout ce qu'on a. Tu en penses quoi ?

Au moins, l'une de ces pistes est la bonne.

Ce petit air latino d'un artiste de la variété française en chanson n'est pour une fois pas issu de Danny Brillant, mais donc bel et bien de Gilbert Montagné qui débarque dans la bibliothèque de cet immense manoir afin d'y retrouver sa douce tranquillement assise sur une chaise avec un casque à ses oreilles qui permet d'entendre les guitares vibrer comme dit.
Dans ses mains vernis de rouges cerises se trouve un ouvrage de philosophie politique intitulé "La Société ouverte et ses ennemis" écrit par le philosophe des sciences Karl Popper.
Absorbée par cette lecture, elle est surprise quand elle sent la main familière de son mari lui toucher l'épaule, la faisant retirer ses gros écouteurs tout en tournant sa tête vers lui avec un aimable sourire afin de lui poser une question simple et ordinaire.

Shiho : Je peux faire quelque chose pour toi Gigi ?

Gilbert : J'ai rêvé de Naru cette nuit.

Shiho : De manière érotique ?

Gilbert : Non pas ça... Je voudrais parler sérieusement s'il te plaît ma Canne en Sucre.

Shiho : Je vois. Pas de problème.

Gilbert : Merci.

Prenant un siège de libre, le vieillard à la mine triste s'installé aux côtés de sa bien aimée qui pose ensuite sa main droite sur sa jambe gauche afin d'avoir un contact physique avec lui durant cette conversion un peu intime entre eux deux, bien que une paire d'oreilles en plus qui écoute aux portes.

Gilbert : J'ai encore fait un cauchemar où on finissait par s'entre tuer moi, lui, et Mary, ce qui faisait que tu te retrouver sans défense face à Gin qui sortait des ténèbres pour t'y entraîner alors que tu hurlait de toutes tes forces pour quelqu'un puisse venir t'aider.

Shiho : Je vois. Tu t'inquiètes sur les répercutions que votre relation désastreuse aurait sur moi.

Gilbert : J'aimerais qu'ils me voient autrement que comme un boulet que l'on traîne au pied incapable de réfléchir, juste bon à tirer dans le tas. Je ne suis pas Chris Redfield ou un personnage de Sarah Kyrine non plus.

Shiho : Non, bien sûr que non. Je suis sûr qu'ils finiront un jour par comprendre qui tu es vraiment, comme Leon et moi nous l'avons compris.

Gilbert : Tu crois qu'il y a des efforts que je puisse faire de mon côté ?

Shiho : Commence déjà par éviter de briser le quatrième mur devant eux. Tu sais qu'il sont très rares ceux qui savent que nous sommes dans une oeuvre de fiction, et même ceux qui le savent comme Naru n'apprécient par vraiment qu'on remette tout le temps ce fait sur la table.

Gilbert : Desolé, ça fait des mois que j'en avais plus fait, alors j'étais en manque. Mais promis je vais me calmer.

Shiho : En tout cas le fait de savoir qu'on est dans la Matrice ne change pas le fait que ce que j'ai vécu était... Désagréable pour minimiser les chose. Et je ne préfère pas savoir quel esprit sordide aurait pu concevoir ça. Dans tous les cas, je compte reprendre la stylo moi même pour écrire la suite de mon parcours.

Gilbert : Bien dit Shishi !

Shiho : Autre chose.

Gilbert : Non c'est bon. J'espère juste que ça marchera comme sur des roulettes et qu'on évitera de refaire la scène de la dernière fois dans la ferme de Chiara.

Shiho : Ne t'en fais pas, j'ai eu une conversation houleuse avec ma tante à ce sujet, en lui faisait remarquer qu'elle n'aurait pas dû partir toute seule dans son coin en me laissant seulement avec ta protection alors que tu étais clairement dépassé par les événements sous le coup du stress.

Mary : Les erreurs arrivent à tout le monde, même au "grand" Leon Kennedy.

La matriarche de la Famille Akai/Sera sort de l'ombre où elle est tapis depuis tout à l'heure afin d'aller rejoindre le couple qui se lève pour se retourner vers elle avec réactions un peu étonnées car aucun de nos deux amoureux n'avaient remarqué sa présence.
Le ton de celle qui fait quatorze ans se sent un sèche et rude, surtout à l'encontre de l'aveugle.

Mary : J'ai vraiment dû mal à croire que tu ais pu veiller sur elle tout ce temps au vu des erreurs que tu accumules Gilbert. Tu as même failli la mener à sa perte plus d'une fois par tes conneries.

Gilbert : Franchement, je n'ai rien de mieux à dire que "C'est celle qui dit qui est" car c'est vrai.

Mary : Tu te bases sur quoi pour me rétorquer mes reproches envers toi ?

Gilbert : Durant la première vie de Shiho, j'avais l'excuse de ne pas la connaître pour ne pas pouvoir la protéger comme il se doit. Et vous Madame Sera, quel était votre excuse pour ne vous être jamais intéressé à votre nièce durant son vivant ? Ne me dites pas que vous ne vous doutiez absolument de rien sur les trucs louches dans lesquels trempait votre soeur puis ses filles ? Vous vouliez surtout protéger votre famille à cette époque là.

Mary : Même si c'était vrai, c'est le passé et on ne peut pas le changer. Il faut aller de l'avant.

Gilbert : Exactement ! Alors si vous pouviez arrêter de m'éviter comme si j'étais la peste, car si veut accorder ensemble un avenir radieux à Shiho, il va falloir bosser de paire au lieu de se marcher dans les pieds.

Mary : Tu as raison.

Gilbert : Je... Oh...

Gilbert bafouille pas mal, ne s'attendant pas à réussir à la raisonner aussi facilement.

Mary : Nous prendre la tête la moitié du temps et s'ignorer durant l'autre moitié, ce n'est vraiment bon pour personne. En plus, je me demande toujours ce que ma nièce a pu trouver de bien chez toi au point de vouloir t'épouser.

Gilbert : Vous le découvrez sûrement un jour ou l'autre. En attendant je vais enfin pouvoir vous donner le cadeau qui poireaute dans ma veste depuis des jours.

Mary : Un cadeau ?

Gilbert : J'en avais pris un pour vous, et un différent pour Masumi, enfin de célébrer votre retour dans la vie de ma très tendre femme.

Mary : Elle ne m'en a pas parler. Je peux comprendre pourquoi.

Il sort de l'une des poches de sa veste, un collier fait de véritables diamants au bout duquel se trouve un pendentif contenant en son fort intérieur une photo de Shiho Miyano qu'il a pris peu de temps après qu'elle ait repris sa véritable apparence physique, dans l'avion en direction de Tokyo où un meurtre avait fini par avoir lieu.
Ce précieux objet finit dans les paumes de la maman louve qui protège énormément ses enfants et a les yeux pour une fois émerveillés de découvrir ce cadeau dont elle n'aurait pu croire avoir tel effet sur elle.

Gilbert : Comme ça, votre nièce pourra vous accompagner tous les jours, même quand vous serez physiquement très éloignés.

Contemplant toujours cette image qui lui parle fortement au fond de son coeur, elle pousse un mini soupire.

Mary : Si tu pouvais éviter ou au moins calmer un minimum tes délires insensés à l'avenir, ça aiderait à améliorer mon avis sur toi.

Gilbert : Un mafieux italien a flingué mon premier amour et tous nos convives le jour de notre mariage juste parce que j'ai refusé poliment de chanter à l'anniversaire de sa fille ce jour là. J'ai perdu toute notion de sens suite ça, en revenant à la vie des mains de Zarick.

Shiho : Gilbert...

Gilbert : Au moins mes délires insensés font plaisir à celle que j'aime et lui font oublier toutes les douleurs que ce monde délirant lui a fait subir.

Mary : Tu l'aimes vraiment.

Gilbert : J'aurais pu me flinguer le jour où ma vengeance a été assouvie, mais non. J'ai préféré me battre pour quelqu'un qui méritait qu'on se batte pour pour elle, et ce quelqu'un c'est Shiho.

Mary : Tu ne vis que pour elle... Je crois vraiment commencer à te cerner Gilbert.

Shiho : En bien ou en mal ?

Mary : En bien. Tu t'es trouvé un mari en or Shiho.

Pour une fois, Mary sourit, tout en attachant ce collier autour de son cou.
Faut croire qu'ils pourraient enfin finir par s'entendre un minimum les deux savent ce que c'est d'être veuf et avoir sa vie s'écrouler à cause de ça

Sasaki : Nous avons essayé de trianguler une position plus précise pour les disparitions, et cela nous a mené à trois lieux situés à proximité du lycée qui pourraient être liés avec ces kidnappings.

Fujiwara : Les Yakuzas tiennent une boîte de nuit, et sachant que les enlèvements ont eu lieu principalement la nuit justement, et qu'ils font dans le trafic d'être humain, on ne peut exclure la possibilité qu'ils soient impliqués là dedans.

Kuyō : La Main, une société secrète mystique vieille de 853 ans possède une planque dans ce secteur. Il y a 41% de chance qu'ils soient impliqués dans ces disparitions.

Kyōko : Sinon il y aussi l'entrepôt de la Cablebox dans le même coin, mais j'ai dû mal à voir ce qu'une entreprise faisant dans la création et l'import/export de trombones aurait à voir là dedans.

Sasaki : Voici tout ce qu'on a. Tu en penses quoi ?

Naru : Hmm, ces trois pistes sont intéressantes, avec le nombre de victime qu'il y a eu, il faudrait un endroit assez grand pour les garder enfermées, les Yakuza sont une possibilité mais puisque la police n'a vraiment rien trouvé, je n pense pas qu'ils soient impliqué, les personnes ordinaires laissent toujours au moins un indice parce qu'il ne peuvent pas penser à tout et même alors la police aurait au moins réussi à avoir des pistes. La Main est une possibilité mais si j'en crois certaines informations récentes ils sont plutôt occupé avec d'autres choses en ce moment-là. Cela laisse donc l'entrepôt de Cablebox et comme l'a dit un célèbre auteur à travers son tout aussi célèbre personnage : "Lorsque vous avez éliminé l’impossible, ce qui reste, si improbable soit-il, est nécessairement la vérité.". Bien que j'imagine que les deux premiers sont encore possible à un certain niveau, mais je commencerais plutôt par l'entrepôt de Cablebox.

Tous ces apprentis détectives font fonctionner leurs méninges pour le coup.

Naru : Hmm... Ces trois pistes sont intéressantes, avec le nombre de victimes qu'il y a eu, il faudrait un endroit assez grand pour les garder enfermées.

Sasaki : En effet.

Fujiwara : Si elles sont encore vivantes.

Les Yakuza sont une possibilité mais puisque la police n'a vraiment rien trouvé. Je ne pense pas qu'ils soient impliqué, les personnes ordinaires laissent toujours au moins un indice parce qu'il ne peuvent pas penser à tout et même alors la police aurait au moins réussi à avoir des pistes.

Fujiwara : La police sur les trois possibilités et rien n'en est sorti, alors ça ne veut rien dire. En plus ils pourraient être corrompus.

Naru : La Main est une possibilité mais si j'en crois certaines informations récentes ils sont plutôt occupé avec d'autres choses en ce moment-là.

Kuyō : Les Avengers, et d'autres informations qu'il ne nous est pas utile de connaître pour le moment.

Naru : Cela laisse donc l'entrepôt de Cablebox et comme l'a dit un célèbre auteur à travers son tout aussi célèbre personnage : "Lorsque vous avez éliminé l’impossible, ce qui reste, si improbable soit-il, est nécessairement la vérité.".

Kyōko : Je trouve la citation vraiment mal placé car on a pas encore vraiment éliminé l'impossible, ou alors c'est que j'ai raté un épisode.

Naru : Bien que j'imagine que les deux premiers sont encore possible à un certain niveau, mais je commencerais plutôt par l'entrepôt de Cablebox.

Sasaki : On peut toujours explorer toutes les pistes au cas où. Avec seulement mon équipe, on aurait été obligé de faire des équipes de un, ce qui n'aurait pas été vraiment judicieux. Avec tes deux alliées Naru-san, nous pourrons faire deux groupes de deux, et un groupe de trois qui je pense se concentrera sur l'entrepôt qui est la piste que ut privilégies.

Fujiwara :On peut aussi juste explorer une piste après l'autre ?

Kuyō : Idiot ! On ne peut pas se permettre de perdre plus de temps de risquer la vie de plus de lycéennes ! On a pas d'autres choix que de couvrir le plsu de terrains possibles ! N'ai je pas raison ?

Sasaki : Je crois, en effet.

Le doyen du groupe n'a plus qu'à formuler son verdict.

Dernièrement c'est la panade chez notre groupe de super héros international, version Leader Price de ceux des comics et films, qui ont leur commandant en chef qui joue les morts, et le second aux manettes qui a passé ces derniers mois à jouer ailleurs avant d'être puni pour ses bêtises, l'obligeant à reconsacrer bien plus de temps à son vrai travail qui lui casse bien les roubignoles.
Résultat, la lutte contre Sandra Kylian et Zebediah Killgrave est hyper galère à gérer, malgré toute l'aide fournie par le gentil officier de l'US Air Force qui les autorise à squatter sa base pour leur servir de quartier général.
Pour ne pas trop déprimer, les membres de ce troupe extravagante essaye de s'amuser le plus que possible durant leur temps libre, notamment les huit personnages qui vont nous intéresser et qui se trouvent actuellement dans la salle de jeu qui porte très bien son nom puisque c'est là bas que se trouvent diverses activités disponibles habituellement dans des bars, ainsi que des bornes d'arcades nous replongeant dans les années 80.
Espionnons les afin de découvrir ce qu'ils sont actuellement en train de faire chacun, et qui il y a exactement dans cette pièce.
Carton Man, de son vrai nom, Luc Lamandier tape la discute avec l'ancienne Capitaine de la Delta Force, Martin Walker, en étant en retrait par rapport à leurs collègues car en vérité ils ont une petite discutions sérieuse au sujet de leur boulot de bénévoles. En effet, ils sont respectivement les troisième et quatrième plus haut placé dans la liste des combattants planétaires, après les deux grands absents un peu plus tôt, donc hiérarchie oblige, ils ne peuvent pas autant se la couler douceur que le reste de leurs camarades.
Capitaine France, Jean-Jean Jean. écouté du bon rock bien de chez lui en exerçant un jeu d'adresse lui aussi de la maison, le tout en ayant sa queue bien entre les deux jambes, tenue à deux mains, avant de la poser sur la table afin d'aller percuter les boules qui sont les siennes afin de les faire rentrer dans l'un des trous qui l'entourent. Evidemment il a en adversaire le redoutable Hugues Keo qui est sous sa forme humaine est bien moins incroyable que celle rikiki, en dépit de ses 2m10 qui surpassent largement la moyenne du Cambodge qui est son pays natal dont il n'a actuellement aucun souvenir.
Après cette description graveleuse et volontairement à double sens du billard, nous passons du côté de Ravalé Jambon, l'avocat qui a toujours tort et c'est pour cela qui se surnomme lui même Tort devant la presse. Pour la première fois sur vos écrans, nous avons son fidèle sidekick, Contradiction, qui comme son pseudo l'indique passe tout temps à se contredire, y compris sur sa chaîne YouTube officielle qu'il présent sous un autre alias, et que je conseille d'aller voir pour constater par vous même à quel point c'est lamentable :


Là le jeune grassouillet est en train de se faire former par son mentor attitré au tape taupe avec son marteau personnel piqué à Thor, et pas Tort qui a une énorme faucille à la place. Rien de vraiment intéressant, mais ça valait la peine de souligner leur présence néanmoins car on ne les reverra sûrement pas de sitôt, surtout pour le gros lard bien plus insensé que Gilbert Montagné.
Je pèse mes mots.
Lui au moins quand il dit un truc, il ne va pas affirmer le contraire cinq seconde plus tard en insultant ceux qui partagent le point de vue qu'il avait avant cinq secondes auparavant, quand il insultait déjà ceux qui avaient le point de vue qu'il aura cinq secondes plus tard.


Titouan Antoine, ou Œil de Bigleux pour tous ceux qui veulent se rappeler que sa principale compétence est son incompétence au tir, joue aux fléchettes et a loupé tous ses lancés jusqu'à présent, ayant même réussir à toucher l'une des fesses d'un aviateur de passage qui va devoir faire un petit tour à l'infirmerie pour se la faire retirer, ce qui ne sera pas une partie de plaisir.
Fenêtre Noire, ou Black Windows si on traduit en anglais afin de mieux comprendre la blague faite par rapport à la rousse russe très connue de chez Marcel, est en train de léviter dans les airs avec une canette de 8.6 qu'elle tient on ne sait comment exactement puisqu'elle n'est que littéralement une fenêtre noire après tout.
John Lugo, qui au moins à le mérite d'utiliser son vrai nom dans sa lutte contre le Mal et pas un pseudonyme à la con, est en train de masturber le joystick devant lui tout en fixant avec hargne l'écran affichant le jeu auquel il joue et qui est un vieux dinosaure méconnu que même les plus de vingt ans n'ont sûrement pas connu tellement il a bidé en dépit de sa qualité indéniable.
Il s'agit de "Char Tattaque III", jamais sorti sur console de salon, où l'on y incarne un FCM F1 de l'Armée Française qui doit passer la Ligne Siedfried en roulant complètement sur la Wehrmacht impuissante.
Alphonse Adams encourage son coéquipier durant sa partie car ne pouvant partager la manette avec lui, il n'a que ça à faire à vrai dire, sans multi de disponible.
Cette grande petite présentation de faite, nous pouvons retourner auprès de l'ancien supérieur des deux derniers lulus, ce bon pas si vieux que ça Capitaine Walker, afin de prêter attention aux soucis qu'il partage avec l'homme de science.

Martin : Vraiment ça me gonfle tous ces petits secrets qu'il y a en ce moment.

Luc : Chose qu'il n'y avait pas avant ton arrivé, même quand Maxime Moulin qui était très loin d'être le chef idéal était encore aux commandes.

Martin : Entre Baptiste qui sort de sa tombe pour faire une déclaration qui a fait polémique pour ensuite s'enterrer à nouveau sans être joignable, et le fait que plusieurs de nos membres ont failli finir au trou dans une prison impénétrable jusqu'à la fin de leur vie. Trois de nos gars quand même...

Luc : Cela fait à peine six mois que notre groupe existe et il est déjà en péril.

Martin : En plus, autant que l'ONU que l'UNIT nous ont contacté pour arrêter une bande de terroristes internationaux comprenant encore fois nos propres hommes.

Luc : Il faudrait trouver le moyen que Ada, Leon ou Lucy nous disent enfin ce qui se passe avec Gilbert et Shiho.

Martin : Et aussi qui sont les autres têtes qui se trouvent dans le même lot qu'eux.

Luc : Excepté Holt et Lightning, je n'ai pas reconnu les autres.

Sur leur portables à ces deux figures de proue des Avengers se trouvent les photos de huit personnes, y compris celles de Chiara Vertilucchi, Frank Castle, Mary Sera, et Masumi Sera, qui sont justement les individus qui n'ont pas été reconnus par nos héros.
D'un coup, celui du type aimant se vêtir d'une armure en carton se met à vibrer dans sa poche arrière à répétition, indiquant que ce n'est pas juste un message qu'il est en train de recevoir, mais un appel qu'il s'empresse de décrocher après avoir vu le nom de l'appelant.

Luc : Allô ?

Martin : Qui est ce ?

Luc : Ichigo.

Ichigo : J'ai réussi à localiser la planque du Cyberman Solitaire, mais j'ai brièvement aperçu quatre futures victimes de conversion être amenées de force à l'intérieur.

Luc : Nous nous dépêchons de venir. Prépare le terrain en attendant que nous arrivons.

Ichigo : Ça marche.

Le puissant sabreur qui rivalise avec Zoro et Zorro, raccroche, laissant l'inventeur de génie lancer la mission, direction le Whiteturtle où un briefing sera fait sur le trajet qui ne devrait pas être si long que ça au vu de la vitesse que l'engin peut atteindre.
Néanmoins ce sera peut trop tard pour sauver le quatuor de lycéennes si personne n'intervient avant pour faire diversion sur place.

Entouré de quelques gardes du corps, le big boss de la société sophistiquée d'armement et de sécurité et militaire à louer connue sous le nom d'Armacham Technology Corporation, se trouve actuellement dans un lieu que les plus jeunes qui sont nés durant la lloooooooongue crise du Covid ne peuvent pas connaître.
Il s'agit d'un restaurant.
Vestige d'un passé révolu.
Pour l'occasion, notre cher Baptiste Sixte en a eu marre des plats hauts de gamme dans des lieux cinq étoiles où c'est en général très beau mais ça ne te remplie pas la panse, ce qui fait que quand tu ressors, tu as toujours faim.
Voilà pourquoi il a voulu aller dans ce resto moins chic, surtout que pour l'occasion ça lui permet de manger plus ou moins indien, ce qu'il n'avait plus mangé depuis des lustres.
Notamment avec ce poulet tikka masala somptueux qu'il fait profiter à ses papilles sensibles, afin de pouvoir profiter du goût unique le plus longtemps possible, à chaque cuillère de riz dont il mâche plus de sept fois dans sa bouche.
On est pas au niveau du Petit Chef, mais pas loin.
En parallèle à ce qui relève du quotidien d'un homme avec beaucoup de liquide sur son compte en banque, sans pour autant se laisser guider par la dépense abusive comme tant d'autres, nous avons quelque chose d'intriguant qui se passe du côté des informations circulant sur le journal télévisé qui passe à la télévision allumée dans cette salle, et que Bap mate discrètement depuis tout à l'heure.
Pourquoi donc ?
Parce qu'on y parle de ses amies sur WHiH World News, chaîne relatant les news du monde entier et disponible en une dizaine de langues différentes, bien que l'originale soit l'anglais comme à l'accoutumé.
Un présentateur dont on en a rien à faire de l'identité est en train de poser une question à son correspondant sur place, près du QG de la police de Tokyo, qui s'apprête alors à y répondre sans même nous avoir laissé le temps d'entendre l'interrogation.

Reporter : Oui tout fait, nous ne savons toujours pas pour l'instant quel sera le prochain pays touché par ces terroristes d'un nouveau genre.

Présentateur : Est ce que nous connaissons leur revendications ?

Reporter : À l'heure actuelle nous n'avons aucun élément d'information pouvant définir leur but précis. Nous pouvons juste conformer qu'il ne s'agit pas de terroristes islamistes comme ceux qui ont frappé paris le mois dernier.

Présentateur : Est ce que cela pourrait un être un éventuel retour du terrorisme anarchique des années 80.

Reporter : Cette hypothèse est celle qui est la plus envisagée par les enquêteurs qui sont sur cette affaire.

Présentateur : Nous allons tout de suite vous diffuser les photos des huit terroristes confirmés. Si jamais vous voyez l'un d'entre eux, surtout n'intervenez pas directement, et appelez plutôt la police. Nous savons qu'ils sont armés et dangereux, bien que leur nombre exact soit inconnu.

Remplaçant l'occidental au japon, les images des coupables défilent sur l'écran derrière l'animateur du JT.
Que des visages reconnaissable par celui qui fait mine de continuer son repas comme si de rien n'était tout en surveillant cette propagande du coin de l'œil.

Présentateur : Pour le moment ils sont reconnus coupable d'incendie criminel sur un vieux manoir situé à Tokyo, d'un attentat raté à la bombe au Resutoran, des meurtres involontaires de cinq gendarmes italiens et des blessures de treize autres, ainsi que d'assassinats volontaires d'un fermer italien dont nous tairons le nom pour ses proches, et de celui de Kenzō Masuyama , le président-directeur général de Subaru.

La scène se recentre sur l'envoyé sur le terrain qui réapparait derrière celui qui est tranquillement sur une chaise.

Présentateur : Nous allons tout de suite retourner auprès de notre correspondant qui va prendre le témoignage du Surintendant Général de la Police Métropolitaine de Tokyo qui à le mal...

Tout à coup, quelque chose traverse la vitre juste à côté du client VIP pour ensuite venir s'écraser raide mort sur la table où il était en train de manger, ce qui fait sursauter tout le monde, y compris les gardes du corps qui braque leur armes sur ce qui n'est simple oiseau, et pas une pierre ou unze grenade.
En vérité, il s'agit d'une pauvre Chouette Effraie qui a raté son dernier virage de manière violence.
L'essentiel, c'est que le message soit arrivé à bon port.
Nageant un peu dans la sauce, le morceau de papier reste encore assez lisible pour quelqu'un avec de bon yeux tel notre gentil patron puisse y lire ce qu'il y a dessus, non sans placer une petite blague que seuls les vrais comprendront.

Baptiste : Je me serai attendu à une corneille.


La suite, nous la découvrirons une autre fois, non pas pour finir sur un cliffanger, mais...
Quoique... ?