[FIC] Président Modèle [Terminée]

La porte de l'équivalant du bureau ovale pour les français est gardée par les deux seuls membres du Groupe de Sécurité de la Présidence de la République, Thierry et Patrick, un gendarme et un policier, qui se lancent des regards inquiets en entendant le vacarme qui provient de l'intérieur de la pièce qu'ils surveillent.
Gilbert Montagné râle pas mal dans cette salle en tournant autour de son bureau tout en lançant quelques regards à travers de la fenêtre qui y est présente, sans que l'on sache exactement quelle mouche a pu bien le piquer aujourd'hui, lui qui respire la joie de vivre en général.
Shiho Miyano-Montagné est assise sur le meuble mentionné plus tôt, à regarder son mari tournoyer autour d'elle, en essayant de le rassurer comme la bonne épouse qu'elle est, et c'est vrai que si il y a bien une personne qui peut le calmer, c'est bien elle puisqu'il l'écoute beaucoup et prend soin de ses conseils.
Akemi Montagné imite son père grognon, ce qui l'a fait beaucoup se marrer, tout autant que sa partenaire de jeu, et on peut dire que l'imitation est réussite, bien que ce n'est pas ça qui l'empêcher de continuer à déborder de colère, que l'on pourra comprendre quand on l'explorera plus en profondeur.
Kenzie Dodgera-Sarkissian est là pour copier la mère de sa meilleure amie, avec moins de ressemblance que l'autre imitation que l'on a pu voir, mais ce n'est pas facile de réussite à jouer correctement l'ancienne Esmaraldine Montagné qui a une personnalité bien plus complexe que ce que l'on pourrait croire.
Finalement, le président de la république française arrête de tapoter des pieds contre l'innocent parquet et finit par se tourner vers sa compagne, son enfant et l'amie de celle ci, afin de leur adresser à toutes la parole pour espérer avoir une réponse aux questions qui le tourmentent.

Gilbert : J'ai retrouvé le plein emploi, nettoyé les banlieues, et détruit la bourgeoisie financière. J'ai tout renationalisé. J'ai quitté l'Union Européenne et l'Otan. J'ai appelé à la paix durant le conflit Russo-Ukrainien. Que demander de plus ?

Shiho : Pour beaucoup de pays, tu es un horrible dictateur, mais pour moi, tu es l'homme proche des français.

Akemi : Tu es un super papa !

Kenzie : Oui !

Touché par les mots de sa propre fille et l'approbation de celle d'Ophelia Sarkissian et Naru, ayant Lucy Dodgera comme seconde mère, l'aveugle d'habitude si chantonnant gratouille les cheveux des deux enfants avec le sourire, ce qui fait aussi plaisir à sa femme de le voir retrouver le sourire après une matinée plutôt grognonne.
Comme quoi, il y a de quoi rassurer par la même occasion ses gardes du corps de l'autre côté de la porte.

Gilbert : Heureusement que vous ai toutes les trois, sinon je ne saurai pas où me mettre sans vous.

Akemi : Arrête, tu vas me gêner !

Kenzie : Vous êtes mignons tous les deux.

Akemi : Tu trouves !? Tant mieux alors !

Kenzie : J'ai même envie de vous prendre en photo.

Akemi : Si c'est toi qui demande, je ne serai pas gêné.

Gilbert : Tu es gêné par très peu de choses ma petite Akemi.

Akemi : Comme quoi !?

Shiho : La fois où ton institutrice nous a convoqué car tu t'étais déshabillée devant tes camarades de classes.

Akemi : Je voulais juste me changer, alors je ne vois pas pourquoi on en fait tout un fromage !

Kenzie : J'aurais voulu être là pour te voir sans tes vêtements.

Akemi : Tu me dragues !?

Kenzie : Un peu.

Shiho : Une drague à la Haruhi Suzumiya.

Gilbert : Les jeunes sont précoces de nos jours.

Tout ce beau petit monde se marre bien comme il le faut, et on en vient même à regretter la non présence des trois noms cités plus tôt dans cette histoire car il n'y a aucun doute dans le fait que cela aurait été rigolo d'avoir leur réaction, surtout celle du dieu dragon qui est en général plutôt sérieux.
Néanmoins, il a déjà prouvé par le passé qu'il était capable d'humour donc ça se tenterait presque.

Gilbert : Vous voulez que je vous conte une histoire mes petites anges ?

Akemi : Bien sûr !

Kenzie : Chouette, une histoire !

Shiho : Je me demande quelle histoire tu as en tête.

Gilbert : Vous connaissez Dylan Blake ?

Kenzie : C'est pas un chanteur célèbre ?

Akemi : Non, je connais pas !

Gilbert : C'est un bioterroriste qui s'est fait voler vedette par Glenn Arias...

Akemi : Lui, je le connais !

Shiho : Akemi...

Akemi : Pardon de t'avoir interrompu papa !

Gilbert : Ce type visait une bonne cause, à savoir se venger des organisations corrompues par le bioterrorisme puisqu'il était un survivant de Raccoon City, et moi et ta mère, nous nous sommes retrouvé à bosser pour lui deux ans avant avant ta naissance en ce mois d'Avril 2015...

Le Père Castoi est prête à dérouler son récit pendant de passionnantes heures, même si c'est moi qui vais prendre le relais en terme de narration puisque ça me connait de vous conter des histoires divertissantes, ce qui risque d'être intéressant alors préparez vous bien pour la suite, ou plutôt l'avant tout ce qu'on a pu suivre jusqu'à présent.
Revenons à une période où notre couple favori était loin d'être ce qu'il est aujourd'hui, et amusez vous bien.

Le rythme répété d'une canne frappant le sol se met à faire vibrer le sol dans tout le domicile d'un ancien membre de l'Umbrella Security Service qui en veut beaucoup à Umbrella pour la mort de son meilleur ami dont il a encore le sang sur les mains, sans que ça ne s'en aille jamais.
Cette haine envers l'entreprise pour laquelle il a jadis bossé n'anime jour et nuit, même bien des années après qu'elle ait été fermé officiellement, même si on ne compte pas les Blue/Green/Red/Néo Umbrella qui ont existé après coup, et qui existent encore au moment où j'écris ces lignes.
Pour l'occasion, le rebelle de la société a décidé de faire appel à un ami de longue date, en l'honneur de Gilbert Montagné, accompagné de sa nouvelle femme avec qui il s'est récemment uni par les lois sacrées du mariage, et qui n'a ni le nom, ni le visage, que vous lui connaissait habituellement à cette Esmaraldine Montagné.
Ce duo de casse cou a déjà fait ses preuves par le passé en sortant leur ami Barbus de la prison dans laquelle il se situait, ou bien encore quand ils sont intervenus pour sauver la mise à Henri Petrick, ce qui n'est qu'un élément parmi d'autres à citer, et là nous allons voir ce qu'il ont à se dire ces différents personnages que l'on aime suivre.

Gilbert : C'est cette année que t'es censé crevé mais comme on ne savait pas du tout en quelle année se déroulait Vendetta quand il est sorti, on l'a fait se passer en 2017 au lieu de 2014, ce qui fait que tu vas crever en 2018 à cause de notre erreur dû aux scénaristes des films qui n'ont pas été clair.

Dylan : Toujours à dire de belles et longues phrases qui n'ont aucun sens.

Gilbert : Elles ont un sens, baka !

Esma : Dis, je peux le tuer ?

Gilbert : Non, le monsieur va nous aider à renverser le monde pourri dans lequel on vit.

Esma : Dommage.

Gilbert : J'espère juste qu'on évitera une pandémie similaire à celle de 2010 à San Francisco.

Esma : En partie causée par Barbus.

Gilbert : Chut, faut pas le dire !

Dylan : Notre cible sera Natalya Vipèra.

Gilbert : Qui ?

Dylan : C'est ce que nous allons voir.

Le chef donnant la mission s'approche de nombreux écrans en hauteur qui affichent des informations sur une certaine Natalya Vipèra, comprenant notamment une photo d'elle qui montre qu'elle est loin d'être aussi belle qu'elle veut nous le faire croire, et qu'elle a un énorme complexe à ce sujet.
Sans que l'on sache comment, elle réussit tout de même à envouter les hommes qu'elle croise, de manière quasiment surnaturelle qui nous fait nous poser beaucoup de question sur elle, ainsi que sur sa passion des serpents qu'elle a développé au cours de sa jeunesse, mais ça on en reparlera peut être un jour.

Dylan : L'une des anciennes personnes de confiance de Oswell Earl Spencer, avec Alex Wesker et Sergei Vladimir, elle s'est faite discrète depuis la mort de son mentor, mais ceci cachait de plus sombres dessins puisqu'elle a créé une organisation bioterroriste connu sous le nom de Green Umbrella qui de la même manière que la Crisis, cherche à concevoir un monde où ses créations vivent en harmonie avec les êtres humains qu'elle apprécie moins que les créatures qu'elle a engendré.

Gilbert : Même si je comprends ses intentions, je ne les partage pas.

Dylan : Bien, nous sommes donc sur la même longueur d'onde.

Esma : Faudra la buter ?

Dylan : Oui.

Esma : Cool, qu'est ce qu'on attend !? Vive la castagne !

La garçon manquée tape du poing dans sa main d'un air victorieuse en sachant qu'elle va pouvoir défoncer des gueules en compagnie de l'homme qu'elle a choisi comme époux et dont elle aurait voulu officialiser cette union depuis environs dix ans de cela quand ils se sont rencontrés pour la première fois sur l'Île Renmen.
Zarick Himaslinam, son père adoptif est vraiment très fier d'elle, et le mec qui les emploie actuellement risque de l'être aussi si ils font correctement le boulot pour lequel il les a embauché, bien qu'il ait de sérieux doutes à ce sujet, mais il préfère ne pas trop y penser pour éviter d'être en proie à ceux ci.
D'un dernier coup de canne sur le sol, il les garde du regard avant de prendre la parole avec un petit sourire gentil.

Dylan : Bon courage.

Gilbert : Merci, on en aura bien besoin.

Le couple s'en va alors, laissant l'autre gus tout seul dans son repaire sophistiqué et digne de ces connards d'Umbrella pour qui il voir une animosité sans nom comme déjà dit, et il attend la bonne nouvelle probant de ceux qui l'aident et qui se demande avec quels sois il a pu se construire pareil base.
Alors ça reste une question sans réponse.
Sans doute une facilité scénaristique.

La piste qu'a suivi notre duo incontournable après avoir laissé tout seul Dylan Blake les a mené à un club échangiste au nom quelque peu osé pour peu que l'on comprenne un minimum le français et c'est le cas de nous tourtereaux du jour vu qu'ils ont tous les deux cette origine, bien que l'un d'entre eux ne connaisse pas sa première vie, sans que je vous dise qui c'est exactement, bien que vous pouvez le trouver aisément.
Gilbert Montagné adore le titre de l'établissement, mais lui il faut peu pour le faire marrer, puisqu'il a un humour très enfantin qui en font exaspérer certains, tel son nouveau meilleur ami Leon Scott Kennedy, même si au finir ils se sont rapprochés récemment, et bien leur en face.
Esmaraldine Montagné, contrairement à son mari, n'a jamais vraiment visiter un tel endroit, et pour elle c'est donc une première fois qui on l'espère saura lui être agréable, et on peut sentir toute l'excitation qui déborde d'elle où c'est limite elle saute sur place en ayant les mains liées entre elles.
Seul problème, et comment pour beaucoup d'autres avant eux, il faut passer le videur qui se trouve à l'entrée du lieu de convoitise et tend la paume de se main devant le non voyant pour l'empêcher d'entrer.

Videur : Oh là Stevie Wonder, tu ne passes pas avec les fringues moches que tu portes.

L'aveugle est outré par cette remarque déplacée concernant son accoutrement qui faisait jazzer en 1980.

Gilbert : C'est Ottoman II, le Pape.

Esma : T'es sûr de ton coup là Gilbert ?

Gilbert : J'ai dit le premier nom me faisant rire qui me venait à la tête, pour paraître cultivé.

Esma : C'est ce que je redoutais.

Gilbert : J'ai une histoire à te raconter.

Tel un orateur, il utilise une pincée de magie pour rendre son futur récit qu'il va conter à ces oreilles très fines.

Gilbert : Tu te rappelles la fois dans l'émission "Nus et effrayés" ?

Shiho : Ouais, c'était trop cool !

Videur : Cela me dit quelque chose.

Gilbert : Écoute moi bien...

Le voilà qui souffle dans le sable qu'il avait ramassé dans sa main, ce qui aveugle celui qui est censé écouter.



Sur la chaîne Discovery, les téléspectateurs américains et québécois ont pu assister à une formidable émission où nous retrouvons le vieil aveugle joyeux en compagnie de sa canne épée préférée qui a dû se mettre à poil au niveau de sa lame pour l'occasion, comme lui, et ensemble, on peut dire qu'ils ont su se faire remarquer.
Je vous laisse découvrir en avant première le moment le plus marquant de cette occasion rêvée de faire le buzz.

Gilbert : Agougou agougou !

Esma : Je l'ai eu ! J'ai touché le caméraman !

Gilbert : Au moins, on sait ce qu'on va manger ce soir ! C'est funky !

Esma : On est de retour à l'instinct primaire !

L'équipe TV qui les accompagnait a été entièrement décimée dans la joie et la bonne humeur dans ce pays africain déjà peu recommandable, sans vouloir être raciste, et personne ne viendra les chercher au bout de 21 jours comme punition pour leur crimes, même si ils ont su se débrouiller tout seul pour rentrer au bercail.
Au final, ce fut une expérience plutôt agréable qu'ils ont vécu tous les deux, renforçant leur relation amoureuse.



Voilà que l'histoire est terminée, et que le gros gorille à fini d'enlever le sable de ses yeux afin de mieux voir.

Videur : Ah oui, je me rappelle de vous, vous m'aviez bien fait marrer vous les deux français.

Gilbert : Comme toujours !

Esma : Plus lui que moi.

Videur : Allez, je vous laisse passer, mais tachez de revenir plus propre la prochaine fois.

Gilbert : Merci beaucoup !

Esma : Cela fera un de moins à ajouter à notre liste de cibles à buter.

Sans faire plus de remarques susceptible de leur attirer des ennuis, et maintenant qu'ils ont l'autorisation, ils pénètrent dans ce domaine de la débauche où le sexe bat son plein, avec à leur tête une tentatrice du nom de Natalya Vipèra qui telle une vipère peut mordre et faire très mal sur la longueur.
Nous la découvrirons une prochaine fois, et en attendant faites attention aux serpents venimeux de votre côté.
Ssssss...

Dans ce club libertin du sud des USA, l'ambiance est folle tellement il y a de monde et que la fête est reine, ce qui nous donnerait presque envie de nous amuser, mais il y a quelque chose de plus important en jeu donc ça attendra plus tard, au détriment de nos personnages.
Gilbert Montagné aurait bien voulu s'éclater un peu mais il va devoir le faire plus tard car pour l'instant il cherche leur cible du regard, en regardant notamment dans les carrés VIP, ce qui lui rappelle la fois où il s'était allié à des russes pour foutre le bronx à New York, et qui date d'il n'y a même pas quelques mois de ça.
Esmaraldine Montagné n'était pas là cette fois là car c'était une période où son mari était contre la Famille Millione qui ont massacrés ses proches il y a onze ans de ça sur l'île de Marawarzaza, où il a finalement pu venger leur morts, y compris à son ex femme Suzanne Cordasi.
Là, au bout du compte, il finit par retrouver la trace de Natalya Vipèra parmi la foule ambiante, où elle est dans un coin avec un autre type, sans aucune protection clairement visible, pour cette femme qui a côtoyé l'au delà jadis, et comme d'habitude elle est entouré également de ses amies serpents qu'elle affectionne au plus haut point.


Le couple se réunit en secret pour discuter des données qu'ils ont pu glaner et définir les objectifs actuels.

Gilbert : Le gars avec qui elle cause me dit quelque chose, mais ça me revient pas.

Esma : J'ai repéré les portes menant aux coulisses.

Gilbert : D'accord, on se sépare alors.

Esma : Je vais faire un tour en douce pour voir ce qu'ils nous cachent.

Gilbert : Moi je vais glaner des informations directement à la source.

Esma : Tâche de l'éliminer à la fin.

Gilbert : Je ne suis pas un amateur.

Esma : Je sais, mais tu as parfois tendance à te perdre quand tu parles trop.

Gilbert : Même pas vrai !

Esma : Allez, à toute !

La canne épée à l'apparence de femme s'absente en entrant discrètement dans la zone privée de l'établissement.
Frederic Downing finit de causer à celle qui l'a libéré de prison en remarquant du coin du regard l'aveugle qui convoite la place qu'il a, et nous savons qu'il va finir par devenir par la suite un antagoniste beaucoup plus important, plus que ce qu'il a fait au pauvre Curtis Miller qui était proche de Dylan Blake au niveau des motivations.

Frederic : Encore merci pour l'aide que vous m'avez offert, je vous tiendrai au courant du reste.

Natalya : Excellent.

Le voilà qu'il se lève puis s'en va en poussant notre héros qui appartenait à l'époque au BSAA, même si il faisait n'importe quoi quand il faisait soit disant son boulot, mais on commence à bien connaître le personne après toutes ces années passées à ses côtés.
Immédiatement, il endosse le rôle du gros dragueur relou en jouant à la fois sur des vérités et des mensonges.

Gilbert : Salut poupée, je viens ici pour te conter une fable.

Natalya : Oh, laquelle ?

Gilbert : Le Pain et le Jambon de la Fontaine.

Il prend un temps de pause pour voir si la personne à ses côtés trouve la réponse la réponse à celle ci.

Gilbert : La morale de l'histoire, c'est qu'il vaut mieux avoir une baguette pas trop cuite.

Il tape sa main droite sur sa cuisse en se marrant, ce qui marche un peu puisque la méchante rigole aussi.

Natalya : Vous êtes un marrant vous, monsieur... ?

Gilbert : Gilbert Montagné, vous ne me connaissez pas ?

Natalya : Non, du tout.

Gilbert : Il y a un dossier à mon nom, long comme mon bras, dans les archives de UNIT.

Natalya : Je ne connais pas assez UNIT, mwa ah ah !

Gilbert : Vous venez vraiment de faire "Mwa ah ah" ?

Natalya : Oui, car je suis la plus belle et la meilleure, mwa ah ah ah !

Gilbert : Oh mon dieu !

La tête de Gilbert grossit puis explose en morceau comme par magie, alors que la vilaine continue à rire.




La récit de Gilbert s'arrêter là pour le moment, car il a été reprise par sa fille Akemi qui ne connait bien évidemment pas les détails de cette histoire, et donc a raconté n'importe quoi sur la fin, au plus grand plaisir de Kenzie qui a dû mal à se retenir de se rigoler un bon coup.
Shiho se montre un peu plus autoritaire car il faut bien que quelqu'un le soit pour le bien du récit, et sa continuité.

Shiho : Akemi, laisse ton père finir de raconter son histoire.

Gilbert : C'était drôle tout de même.

Kenzie : Oui.

Akemi : Bon c'est bon papa, je te laisse continuer.

Alors que les deux gardes du corps à l'extérieur ont les oreilles contre la porte pour écouter ce qu'il y a à se dire, le récit va pouvoir reprendre, même si il y aura d'abord une petite pause, histoire que vous puissiez alors pisser un coup si vous avez des envies urinaires.
Je vous promet que la suite risque d'être aussi timbrée que ce que la naine a pu raconter, et aussi rigolote.

Un garde armé d'un 9 millimètre dans son étui est posté devant une porte en l'apparence toute ordinaire mais qui renfermer son petit secret que l'on découvrira bien assez tôt, et il remarque que ça fait un moment qu'il n'a pas vu un de ses collègues passer devant lui pour aller soit dans la zone publique, soit en dans celle réservé au staff.
C'est alors qu'il voit une jeune femme qui ne bosse pas ici se montrer à lui en provenant du chemin qui donne dans le secteur où tout le monde peut y être, et elle s'approche de lui avec de l'ombre sur son visage qui nous empêche de lire ses émotions.
Le gaillard, assez bien bâti, a un grand sourire qui vient se dessiner sur son visage, suivant d'un sifflotement qui le range direct dans la catégorie des pervers relou sortis tout droit d'un dessin animé de Tex Avery, avec une qualité d'écriture bien moindre.
Il ouvre grand ses bras à la madame avant de prendre la parole en diffusant un air beauf à elle, sans s'en douter.

Garde : Hé salut ma pépé, qu'est ce que tu fais dans cet endroit qui n'est pas fait pour toi ?

Esma : Meurs.

Soudainement, d'un geste vif du poignet, la femme fatale tranche la gorge du bonhomme avec l'aide d'un petit canif qu'elle avait sur depuis le début, et qui sert à attaquer quand elle ne peut pas se changer en canne épée suivant ce que le scénario demande.
Le bougre tombe d'abord à genou, en se tenant là où se trouve la blessure, étouffant comme si il n'y avait plus d'air du tout qui entrait par l'orifice normal, puis il s'étale sur le sol en souhaitant adresser ses derniers mots à celle qui l'a bien eu par surprise, ça on peut le dire.

Garde : Pourquoi... ?

Esma : Parce que tu n'étais pas intéressant, comme ta maîtresse.

Ceci étant dit, elle le laisse crever dans sa souffrance, pour ouvrir la porte qui se trouvait derrière lui, et ainsi entrer dans une nouvelle place, à savoir un petit lieu où ils amènent en général ceux que la propriétaire de cet établissement souhaite garder captif pour les torturer ou bien pour une simple rançon.
Au vu des instruments qui s'y trouvent, on peut considérer la première option comme étant la bonne, puisqu'en plus il y a un pauvre bougre qui se trouve ligoter sur une chaise tout en étant bâillonné avec de la peur sur le visage en la voyant débarquer comme ça sans avoir dit bonjour en premier lieu.
La garçon manqué reconnait l'individu comme étant Ninco Mouah, le Sous Directeur Européen du Bioterrorism Security Assessment Alliance, qui a disparu il y a quelques jours de ça sans qu'on ne sache trop ce qui était advenu de lui, et c'est pas chez BFM TV qu'on aura une réponse à cela.
Sans perdre plus de temps, elle lui tranche ses liens et lui enlève l'obstacle de la bouche, permettant de parler.

Ninco : Je suis...

Esma : Je sais qui vous êtes.

Ninco : Mais moi je ne sais pas qui vous êtes vous.

Esma : Je m'appelle Esmaraldine, et je suis la femme de Gilbert Montagné.

Ninco : Vous êtes les secours venus du BSAA pour me secourir ?

Esma : Non, on est juste venu pour tuer Natalya Vipèra à la demande d'un ami.

Ninco : Si vous arrivez à nous en débarrasser, j'en serai le premier content.

Esma : Chut ! J'entends du bruit dehors...

Prenant toutes les précautions qu'elle a à sa disposition, prend de la main gauche le type avec elle puis se rend vers le côté droit de la voie de sortie tout en tenant son couteau fermement de ce même côté, avant d'observer des multiples ombres se rapprocher depuis l'extérieur.
Juste au moment où une personne se met à apparaître, elle bondit dessus et prend un de gars en otage tout en continuant à tenir le VIP, ce qui est sacrément balaise à faire, avant de menacer la lame sous le gorge de tuer l'individu qu'elle menace devant ses collègues.
C'est alors qu'elle remarque plusieurs détails sur les uniformes des bonhommes qui lui font comprendre qu'elle a fauté sur ce coup là, et que ceux qu'elle pensait être des ennemies s'avèrent en réalité de précieux alliées qu'elle doit épargner si elle veut qu'ils lui prêtent main forte.
Leur chef se présente alors à faisant baisser les armes de ses hommes, reconnaissant la femme qui est là.

Capitaine : Esma, cela fait longtemps.

Esma : Dalcimor, t'as pas tort.

Dalcimor : Nous sommes là pour sauver la même personne à ce que je vois.

Ninco : Vous êtes là pour moi ?

Esma : À la base, je devais tuer Natalya Vipèra, mais c'est Gillou qui s'en charge.

Dalcimor : Forcément, lui aussi est là.

Esma : Il n'avait pas fait exprès de mettre au four un de tes hommes, et de littéralement le cuisiner.

Dalcimor : Je veux bien te croire.

Esma : D'ailleurs, je me demande où il en est à présent.

Dalcimor : J'espère qu'il fait du bon boulot pour une fois.

Du côté du loup, ce dernier est en train de se faire plaisir au niveau de cacahuètes enfilés, et c'est pas le pire.
L'aveugle qui ne l'est plus vraiment, au lieu de buter la cible comme il se doit, est en train de papoter tranquillement avec cette dernière comme si de rien n'était, devant presque un ami pour elle qui pense généralement que tout le monde lui est inférieur.
En effet, pour une fois, la vilaine pas belle rit d'un rire qui ne se veut pas maléfique, ce qui est une prouesse légendaire de sa part, et ça montre bien qu'avec Gilbert tout est possible, comme avoir une femme qui peut changer d'apparence entre deux gueules différentes, et une forme de canne épée.
Reposant le verre de whisky qu'il s'est enfilé, le joyeux luron terminer l'histoire qu'il était en train de conter.

Gilbert : ...et donc tout ça pour dire qu'il ne valait pas mieux être dans l'archipel de Preosimitier en 1984.

Natalya : On baise ?

Avant de pouvoir avoir une réponse positive à cette question, des membres du BSAA pointent le bout de leur nez dans cette boite de nuit échangiste, faisant fuir les civils et les videurs qui ne veulent pas crever pour leur cheffe, avant d'encercler le duo que l'on suit.
Immédiatement, le méchante riposte en sortant du poison de ses veines après les avoir tranchées avec un morceau de verre qu'elle vient tout juste de casser du côté de Gillou qui reçoit alors une substance toxique dans les yeux, et le voilà qui commence à faire son comique de situation.

Gilbert : Empoisonné ! Empoisonné ! Empoisonné ! Empoisonné ! Empoisonné ! Empoisonné ! Empoisonné ! Empoisonné ! Empoisonné ! Empoisonné !

D'un coup, Esma arrive sous sa forme d'objet et envoie valdinguer Natalya à travers le plafond en un seul coup.

Natalya : La Team Vipèra s'envole vers d'autres ciiiiiiiiieeeeeeeuuuuux !

Une fois l'ennemie disparu, la femme objet termine entre les bras de son bon à rien de mari, heureuse pour lui.

Esma : On baise ?

Alors qu'il semble plutôt d'accord avec ça, il se tourne vers la caméra pour dire un dernier truc avant la fin.

Gilbert : Mamamamadoooooooouuuuuuu !

Ceci se termine par un clin d'œil au public qui doit bien se demander à ce qu'il vient bien d'assister.

*se rassois dans le fauteuil du bureau ou elle etait apres avoir etait reremplit sa boite a Pop-Corn*

LA SUITE LA SUITE LA SUITE!!!

Je ne me lasse jamais d'entre une histoire raconter par Gilbert sa me rappelle quand il me garde des quand j'etait plus petit, il trouvait toujours le moyen de rendre importe quel histoire intéressante meme si il la raconter pour la dixième fois^^

Un peu de musique pour vous ambiancer en attendant la suite. ^^

Chantez avec moi !

Le Père Castor qui croise avec virulence ses jambes contre l'entrejambe s'arrête momentanément dans la fin de son récit car il était pourtant sûr d'avoir entendu des voix familières s'adresser à lui, alors que pourtant l'une d'elle est morte mais pas enterré, et l'autre se trouve à Strasbourg, lieu de nombreux cas de bioterrorisme.
Pour détailler ce que il a peut être halluciné, il le dit à voix haute pour que sa fille et son amie puissent entendre.

Gilbert : C'est bizarre... J'ai comme eu l'impression que Holt et Lucy étaient là pour écouter cette histoire.

Il se tape le haut du crane de manière plutôt douce, avant de revenir au cœur même du sujet du jour.

Gilbert : Bref ! Natalya a survécu à l'attaque de Shiho et Dylan nous a rouspété à ce sujet, et il n'a plus jamais fait appel à nos services jusqu'à sa mort en 2018.

Il prend un bouquin, l'ouvre puis le referme immédiatement après, pour faire genre qu'il venait de le lire.

Gilbert : La suite, Baptiste pourra vous la conter.

Kenzie : La fin semble un peu expédié.

Akemi : Je suis sûr que ce sont des conneries !

Shiho : Langage.

Akemi : Désolée M'man.

Shiho : Malgré tout, tu as raison.

Gilbert : Désolé, c'est juste qu'il faut que j'aille vite au petit coin avant que ma vessie ne lâche !

Akemi : Cours papa, cours !

Le vieil homme se lève en vitesse pour ensuite se diriger vers l'unique porte de la pièce, en passant ultra rapidement devant sa femme qui doit se recoiffer après son passage pour ne pas avoir un look trop naze avec la nouvelle coupe qu'il vient de lui tailler sans le vouloir.
De ses deux mains, il ouvre en grand la porte qui lui barrait le passage, se retrouvant dans un couloir où il surprend ses deux gardes du corps en train d'écouter ce qui se disait et qui font genre un poil trop tard qu'en fait ils ne faisaient pas ça, sauf qu'ils ont de la chance que le grand patron ait autre chose à foutre actuellement.
Le président modèle parcourt tout un long chemin dans les dédalles de ce labyrinthe en croisant au hasard différentes bossant pour le gouvernement, que ça soit ses secrétaires, les hommes de ménages, des gardes républicains ou même quelques uns de ses ministres qui voudraient s'entretenir à lui en privé.
Sur une porte où l'on peut lire "Chambre d'Albert Wesker/Toilettes pour Président", l'écriteau manque de tomber quand Gillou l'ouvre puis la referme avec fracas afin de bien faire comprendre à tout le monde que le Numéro 1 est de sortie, et on a de la chance que ça ne soit pas un niveau bien plus élevé.
En baissant la braguette de son pantalon, notre héros s'approche des toilettes en émeraudes, puis s'arrête et se concentre au fond de lui même pour réussir à faire le jet parfait, et tel son vieux maître sensei dont le nom est mentionné sur la porte, "Quand ça glisse, ça pisse", ce qui prouve qu'il sait parler autre chose que de la merde.
L'urine fait sa petite randonnée mortelle en venant asperger la cuvette qui vaut des milliards avant de mieux calibrer sa sortie et finir à terminer sa chute au fond de l'eau qui y est présente, soulageant beaucoup celui qui vit cette épreuve au fond de lui à bras le corps car ce n'est pas facile d'être un sérial pisseur.
À la fin de son périple, ce dernier secoue un peu son pénis pour que les dernières gouttes tombent bien au fond du trou, puis il prend un bout de papier toilette qui n'est pas fait en papier mais bien en peau de vison car c'est plus chic comme ça, faut croire, surtout que c'est hyper doux au toucher.
Ceci fait, il remet son engin au chaud et remonte la braguette, avant de presser le bouton de la chasse d'eau, emportant le papier et le pipi vers d'autres aventures qu'on pourrait détailler si ce moment n'était déjà pas si long que ça à décrire et que je vous sens pas trop passionner par ceci, à moins de me tromper.
Tout ceci étant fait, le vieux monsieur se rend vers le lavabo où il appuie sur le récipient à savon afin d'en recevoir un peu et se laver ainsi les mains pour éviter de souiller celles des autres ne les contaminant avec son urine, ce qui pourrait être marrant à faire, même si on peut la ranger dans le groupe des mauvaises idées.
Un petit coup d'eau et les revoilà propre comme un sous neuf, et il peut donc quitter ce repaire à pisseurs pour se retrouver à nouveau dans le couloir y menant, et c'est là qu'il bouscule un trio qui passait par là au même moment, sans le vouloir, sans non plus que ça fasse tomber l'un des quatre personnages sur le sol.




Cela faisait neuf ans qu'on avait pas vu ces têtes là, même si je crois bien que j'aurais d'autres histoires à vous conter les impliquant, mais pour le moment il faut profiter de revoir ceux qui étaient des gamins de l'école primaire et qui sont maintenant de beaux adolescents de 17 ans, bien qu'il nous soit inconnu quel lycée ils fréquentent.
Ayumi Yoshida est toujours aussi radieuse, voir même encore plus que jadis où seul quelques pédophiles auraient trouvé leur compte, mais là bien plus de monde pourrait baver sur elle pour espérer qu'elle sorte avec eux, ce qui est naturel provenant d'une bande de gros dégueulasses comme ceux qui nous suivent.
Genta Kojima est toujours un gros bouffeur qui ne pense qu'à ça, et son poids est bien au dessus de la norme de sa taille, bien qu'il s'en fiche totalement donc il sera le premier à être triste quand il devra baisser son alimentation à cause du diabète qui s'en fiche de son avis et s'invitera quand même alors qu'on en veut pas de lui.
Mitsuhiko Tsuburaya est toujours la tête de la bande, rivalisant avec sa chérie de jadis, Ai Haibara, qu'il espère revoir car c'est un peu pour elle qu'ils sont tous là à s'inviter dans le palais que peu peuvent visiter en temps normal, mais ils ont été autorisé par on ne sait qui à venir ici aujourd'hui, peut être par la principale concernée.
Il faudra lui demande, même si en attendant on peut entendre la remarque que fait le faux aveugle à leur sujet.

Gilbert : Hé, vous êtes les Detective Boys ! Ca faisait longtemps que l'on vous avait pas vu !

Les Detective Boys posent fièrement devant lui sans lui livrer de réponses pour le moment, et c'est bien normal, car on va les quitter pour l'instant afin de mieux se recentrer sur celle qui les a fait venir, qui se nomme Shiho Miyano/Montagné et qui est resté dans l'autre pièce avec les deux enfants.
Ce sera sera pour la prochaine fois, et vous allez voir qu'il y a du lourd qui s'annonce, alors j'en dis pas plus.

Une affaire de meurtre a pointé le bout de son nez dans cette région montagneuse de ce beau pays qu'on prend toujours du plaisir à montrer régulièrement dans les histoire que je vous conte, même si la France sera toujours la grande gagnante, suivi aussi de près par les Etats Unis.
Misao Yamamura est le détective en charge de cette enquête, bien qu'il soit de la bleusaille et que c'est la première fois de sa vie qu'il voit un cadavre, ce qui l'a beaucoup terrifié quand il est arrivé, et ça l'a même fait vomir dans une poubelle, c'est pour dire le niveau qu'il a le pauvre bougre.
Yamamoto Danslegarage est la victime et c'est dans sa demeure que nous nous trouvons, et ce type était un Infirmier plutôt compétent qu'il a été brutalement assassiné au marteau dans le crane à huit reprises, ce qui a laissé plusieurs morceaux de cervelles se répandre sur les meubles avoisinant, tachant aussi le tapis par la même occasion.
El Moustachios, Dieu Mexicain de la Pilosité, est le principal suspect dans l'affaire et il s'agit d'une divinité de bas étage venant d'un univers parallèle et trainant dans le monde des êtres humains pour faire pousser les barbes des gens qu'il croise car ce petit jeu l'amuse beaucoup, même si on a du mal à comprendre son utilité, mais il ne faut pas baisser sa vigilance puisqu'il est le possible coupable de ce crime.
Zarick Himaslinam est un vieux sorcier vaudou très puissant magicalement parlant et qui est le témoin de l'affaire, ayant vu une ombre criminelle asséner des coups sur ce pauvre monsieur qui leur avait offert l'hospitalité, sans avoir pour autant vu nettement qui était l'assassin.
Ai Haibara est sa fille adoptive, tout en étant la chef des Detective Boys dont on reparlera juste après, et elle sait faire preuve d'autorité et d'un raisonnement avec fondement, ce qui impressionne les flics qui la côtoie habituellement étant donné qu'il ne se passe pas un jour sans qu'il y ait un meurtre auquel ils sont impliqués.
Ayumi Yoshida, Genta Kojima, Mitsuhiko Tsuburaya font partis de ce groupe un peu particulier d'enfants détectives bien plus jeunes que le Scooby-Gang puisqu'ils ont seulement huit ans, bien que ça ne les empêche de résoudre pas mal de cas, aidés grandement par leur chef aux cheveux auburn déjà mentionnée.
La résolution de l'enquête arrive quand la rajeunie a trouver qui était le vilain qui a fait le cou, et en se faisant bien remarquer, elle s'avance pour ensuite pointer du doigt le cadavre dont la tête a été couverte pour ne pas choqué les plus jeunes, avant de prendre un ton accusateur tout en prenant une haute voix afin de se faire entendre.

Ai : Yamamoto Danslegarage-san, vous êtes le coupable !

Yamamoto : Bon OK, vous avez gagné.

D'un coup, le corps du défunt se redresse pour ensuite se lever comme si de rien était, devant un public médusé.

Misao : Oh mon dieu, un zombie !

Zarick : Ça, c'est ma spécialité.

Ai : Non, Yamamoto-san est bel et bien vivant.

Moustachios : Par les poils de ma barbe !

Misao : Comment est ce possible !?

Ai : C'est très simple.

Tout en gardant un regard accusateur contre celui qui a toujours la tête couverte, elle explique simplement le fait.

Ai : C'est un suicide au troisième degrés !

Ayumi : Incroyable Ai-chan !

Genta : J'ai faim ! Où sont mes anguilles !?

Mitsuhiko : Tais toi ! Espèce de crétin !

Yamamoto : Comment avez vous vu le pot au rose ?

Ai : J'ai tout simplement déduit cette conclusion quand Zarick-san avait insisté sur le détail des huit coups.

Yamamoto : Je vois.

Ai : Pour atteindre les huit coups, il faut diviser le résultat par deux et prier pour que le chance soit de son côté.

Misao : Je crois que je commence à comprendre.

Ai : Sauf qu'en réalité le chiffre obtenu était cinq fois supérieurs à huit, ce qui pouvait dire qu'une seule chose.

Misao : Hé bien non en fait.

Ai : Que vous vous étiez tué vous même, avec le marteau en vous dédoublant pour que Zarick croit à un meurtre.

Zarick : Impressionnant que tu ais trouvé tout ça ma petite canne d'orge.

Yamamoto : Vous avez gagné, je m'en remet à la Justice pour la suite.

Misao : Vous ne craigniez rien car vous n'avez risqué la vie de personnes d'autres que vous même.

Yamamoto : Tant mieux alors.

Fière d'elle, la naine aux cheveux brun-roux laisse faire le sale boulot à la police, tandis que ses associées la félicitent comme à leur habitude, de même que pour l'adulte qui les accompagner, même si tout n'a pas été clair au cours de cette résolution de cas, mais j'en suis sûr que vous saurez vous en contenter
En attendant nous allons rebasculer dans le temps présent car ce que je voulais que vous voyez a été fait.

Pendant que Gilbert est parti se soulager aux chiottes, sa compagne qu'on a connu sous les noms d'Esmaraldine Montagné et Ai Haibara, attend patiemment son retour au étant en compagnie des deux gamines, dont sa propre fille, et elle les observe jouer en silence car contrairement à son soi même passé, elle n'aime pas trop être en avant.
Son regard alterne de temps en temps vers fenêtre où on aurait une bonne vue pour les tuer si on le voulait.


Soudainement, son portable à la sonnerie ici présente se met à sonner et elle regarde qui c'est, sauf que c'est un numéro inconnu, dont elle espère que ce n'est pas des démarcheurs voulant lui refourguer quelque chose en parlant à peine français, ce qui est cliché mais est en même temps vrai.
Sans perdre de temps, elle décroche en poussant un petit soupire, puis elle met le haut parleur d'activé, histoire de faire profiter la galerie de ce spectacle, ce qui fait que Akemi et Kenzie arrêtent de s'amuser ensemble afin de suivre la conversation qui va suivre, et que je vais vous détailler.

Shiho : Oui allo ?

Frederic : Bonjour Shiho Miyano.

Shiho : Qui est ce ?

Frederic : Frederic Downing.

Ce patronyme frappe comme un éclair l'ancienne femme en noir qui affiche maintenant un regard inquiet.

Frederic : Ce nom doit vous évoquer quelque chose.

Shiho : Que me voulez vous ?

Frederic : Votre mort, à vous et tous les autres Avengers.

Shiho : C'est beaucoup demander.

Frederic : Beaucoup vous ont sous estimé par le passé, que ça soit Natalya, Gin, Killgrave, Élise Clean, ou des êtres venus d'ailleurs. Ce ne sera pas mon cas.

Shiho : Essayez donc pour voir. Je saurai vous accueillir bien comme il faut.

Un vil rire masculin se fait entendre depuis l'autre côté du fils, montrant la certitude du méchant dans son action.

Shiho : Vous êtes un peu trop sûr de vous je trouve.

Frederic : C'est juste que je me dit que se serait tellement facile d'ôter la vie des petites Akemi et Kenzie.

Shiho : La Main a bien essayer de s'emparer d'eux, et ça n'a pas marché.

Frederic : Je saurai rester à bonne distance pour m'en prendre à elles.

Shiho : Vous allez envoyer vos larbins faire le sale boulot ?

Frederic : Presque.

Shiho : Vous êtes du genre à rester vague pour faire mystérieux.

Frederic : C'est juste que je ne suis pas assez débile pour vous dévoiler mes cartes.

Shiho : Vous avez quand même passé un coup de fils pour me prévenir de vos intentions.

Frederic : Certes, mais c'est ainsi que nous allons quitter pour le moment.

Sans attendre une réponse de la chimiste de renom, le vilain monsieur raccroche à sa gueule, laissant la tonalité résonner dans ce bureau où l'inquiétude est maîtresse dans ce bureau où un silence significatif est de rigueur, sans personne pour oser le rompre.
Finalement, c'est celle qui a reçu l'appel qui tape sur sa jambe droite en grimaçant car tout ça ne lui plaît pas.

Shiho : Merde...

Akemi : Qu'est ce que tu vas faire m'man !?

Shiho : Prévenir ton père déjà, de la menace qui plane sur nous.

Kenzie : Le méchant ne s'en sortira pas !

Akemi : Bouh le vilain !

Kenzie : Il est amoureux !

Akemi : Bien dit Kenzie !

Kenzie : Merci.

Shiho : J'entends quelqu'un arriver, c'est peut être lui.

Kenzie : Sûrement.

En effet, il ne faut pas attendre longtemps pour que la porte ne s'ouvre sur le beau parleur accompagné de ses invitées avec qui il cause entre autre d'une certaine June Lovejoy qui fait dans le X au Japon, terre natale des trois ados qui ont bien grandi depuis qu'on les connait.
Nul d'entre eux, n'est capable de percevoir que la situation va mal pour tous car tous sont en danger, complètement, et même des capacités de détectives ne serviront à pas grand chose si un groupe militaire armé jusqu'aux dents venait à outrepasser la sécurité pourtant soit disant élevé de ce lieu qui sent quand même le tiers monde.

Gilbert : T'as vu ma canne en sucre, tes vieux amies sont venus te voir.

Ayumi : Salut Shiho.

Mitsuhiko : T'as pas l'air en forme, ça va ?

Genta : Peut être qu'elle a mal digéré son repas du midi.

Shiho : Frederic Downing a appelé.

Gilbert : Cette enflure de Green Umbrella !

Gill fait valser sa chaise personnelle d'un coup de pied qui est là pour dire qu'il est plutôt sérieux dans ses propos.

Gilbert : Il rigolera moins ce fumier quand il aura à faire à mes mercenaires d'Armacham que j'enverrai sur sa tronche !

Genta : J'espère qu'il y a de bonnes anguilles par ici.

Mitsuhiko : Genta-kun, tu ne pourrais pas penser à autre chose qu'à ça.

Genta : Non, les anguilles sont essentielles pour...

Tout à coup, un coup de feu retentit dans le lointain, puis une balle traverse la seule fenêtre de la pièce à la vitesse de l'éclair, frappant de plein fouet par la même occasion le gros mangeur d'anguilles dans son dos, perçant son estomac en passant par des organes vitaux avant vu l'angle du tir.
Immédiatement après cette attaque, les deux gardiens de la porte la défoncent pour entrer en trombe dans le bureau où le pire se produit, et ils voient alors le jeune homme s'effondrer sous leurs yeux, les forçant à être prudent, se cachant pour éviter d'autres coups du tireur embusqué.

Thierry : Qu'est ce qui se passe ici !?

Patrick : On a un homme à terre !

Gilbert : Oh non, Kojima est mort ! On aura pas le droit à Death Stranding 2 !

Ayumi : Ce n'est pas le moment pour de l'humour.

Gilbert : Leon m'a appris l'inverse.

Mitsuhiko : Genta-kun... Pas lui...

Gilbert : Bon bah si même lui est sous le choc, je vais fermer ma gueule.

Thierry : On va vous accompagner jusqu'au bunker de sécurité.

Patrick : Suivez nous vite !

Shiho : Non...

Le mari aimant comprend alors qu'il doit se montrer plus sérieux sur cette occasion là, et qu'il va la laisser faire.

Gilbert : Shiho...

Shiho : Je reviens tout de suite Gilbert.

Sans perdre ne serait ce qu'une minute, elle se change en canne épée dans sa transformation digne d'un Transformer, puis elle casse ce qui reste de la fenêtre en volant tout droit vers la position du sniper grâce à ses estimations qui ont sorti de ce cerveau de génie.
Reste plus qu'à voir ce qu'il va se passer ensuite, mais quelque chose nous dit que ça va rester dans les annales.

Un petit appartenant parisien de trois pièces accueille un couple avec leur enfant à charge qui sont à priori tout ce qu'il y a de plus normal dans ce que leur offre ce pays qui était étranger pour l'une d'entre eux jusqu'à il y a environs dix ans de ça quand elle était encore perdue dans le Moyen-Orient.
Aissa provient du Liban qui est sa terre natale, mais comme ça devient de plus en plus chaud pour les Chrétiens qui s'y trouvent, elle a décidé de migrer vers une contrée plus lointaine où elle serait en sécurité, et d'où est originaire celui avec qui elle est entrée en relation à cette époque là.
Tania est le fruit de leur union et elle est entrée depuis peu en maternelle où il n'y a pas eu trop de problèmes d'adaptation, ce qui fait qu'ils sont fiers de l'avoir eu, ne regrettant pas le moins du monde cette fois là où ils ont fait l'amour sans capote afin d'être plus ou moins sûr d'avoir un enfant.
Pour lui trouver un prénom, il a fallu réfléchir un moment car il fallait que ça sonne un minimum français pour honorer ce pays d'accueil, mais en même temps ne pas ignorer toutes ces années que madame a passé chez son ancien chez elle, ce dont ils ne peuvent pas ignorer totalement non plus.
Là la mère se trouve en conversation téléphonique avec son conjoint qui profite d'une pause dans son boulot de garde du corps qui paye bien pour pouvoir converser avec sa bien aimée, eux qui s'aiment d'un amour datant d'une décennie au moins, et le formidable époux garde un sourire joyeux sur son visage.
Kévin, c'est son prénom, discute d'un peu de tout et et de rien tout en remettant droit ses gants qu'il possède, jusqu'au moment où une musique toute particulière vient résonner dans les oreilles du couple que la nostalgie vient frapper en pleine tête, leur donnant presque envie de danser l'un et l'autre comme au bon vieux temps.


Kévin : Notre chanson de mariage.

Aissa : Dommage que l'on ait pas pu avoir le vrai.

Kévin : Cela dépasserait largement l'argent de je touche à la fin de chaque mois, même si l'on vit aisément.

Aissa : Je sais, c'est pour te charrier un peu.

Kévin : Comment va notre petit ange à nous ?

Aissa : Elle va bien, elle est juste là en train de dessiner une maison et de la colorier.

Kévin : Oh bien !

Aissa : Ma puce, tu dis bonjour à papa ?

Tania : Salut papa !

Kévin : Tu me le montreras quand je serai rentré du boulot, et si tu ne dort pas encore.

Tania : D'accord !

Kévin : Repasse moi ta mère si tu le veux bien.

Tania : Tiens maman !

Aissa : Le temps passe vite quand on discute ensemble au téléphone.

Kévin : Normalement, j'ai juste une tache à finir et je devrai être rentré à l'heure pour le dîner.

Aissa : Je t'ai préparé des koussa mehchi comme tu les aimes.

Kévin : Miam, j'en ai déjà l'eau à la bouche.

Aissa : Je ne vais pas t'embêter plus longtemps, sinon tu vas te faire taper sur les doigts.

Kévin : On se dit à ce soir chérie.

Aissa : À ce soir chéri.

Cela raccroche à l'autre bout du fils, alors que nous restons du côté masculin pour la suite des aventures, alors que le bougre à un sourire un peu rêveur, tandis qu'il termine de remettre son dernier gant noir en place tout en regardant droit devant lui, alors que nous découvrons qu'il se trouve au sommet d'un immeuble parisien.
Une belle vue sur le Palais de l'Elysée est disponible d'ici, mais ce n'est pas ça qui attire son regard pour l'instant.

Kévin : Vous ne pouvez pas savoir ce que ça fait d'avoir une épouse en or comme celle là.

Adresse t-il a deux gendarmes couchés sur le sol, tous les deux morts la gorge tranché par un couteau que l'assassin a rangée dans son étuis, alors qu'il hésite à savoir si il va prendre le fusil sniper d'un des deux mecs ou si il se contentera d'utiliser les jumelles avant d'utiliser son propre fusil de précision, le FR-F2.
N'étant pas préoccupé par la scène morbide, il se met totalement couché au sol, pour ensuite guetter le cible.

Kévin : Merci pour les jumelles, c'est gentil de votre part.

Grâce à cet outil, il peut voir ce qui se passe dans le bureau du président de la république française, et il découvre ce dernier en compagnie de sa femme, leur fille, la fille de leurs amies, et un trio assez inutile pour le moment, car à part mourir pour l'un d'entre eux, ils ne servent pas à grand chose dans l'intrigue.
Le vilain bonhomme prépare son fusil et il vise là où il regardait, afin d'avoir en vue la personne qu'il va abattre.

Kévin : Je vais commencer par le gros tas.

Un coup part de son engin et vient frapper le dos de celui qu'il a mentionné, réussissant à l'éliminer en un coup vu qu'il s'écroule immédiatement après l'impact, laissant les autres spectateurs dans le désarrois, alors que deux gardes du corps font leur entrée dans la pièce pour essayer d'assurer un peu la sécurité.
Cela fait un peu rire l'homme qui contrôle entièrement la situation selon son point de vue, mais on y reviendra.

Kévin : Qui vais je éliminer ensuite ?

Son viseur passe en revu toutes les cibles potentielles qui essayent de se cacher pour ne pas être visible par lui, ce qui ne marche qu'à moitié car il peut encore en zigouiller quelques uns si il le veut, même si son attention se porter sur le vieillard qui trouve toujours le bon moment pour plaisanter, même dans la pire des situations.
Son doigt frôle la gâchette, mais c'est alors que quelque chose passe devant le viseur, l'empêchant de faire feu.

Kévin : Hein ?

Tout à coup, le voilà propulser en arrière par une attaque ennemie, le faisant lâcher son arme, et le faisant se tortiller de douleur suite à ce coup décisif qu'il s'est mangé, et c'est alors qu'il sent une lame froide toucher sa gorge si fragile, sans qu'il ne puisse rien y faire puisque son adversaire le domine clairement sur ce moment là.
Le combattant adversaire s'avère être une canne épée volante et violente, qui sait parler même sans bouche.

Shiho : Tu bosses pour Frederic, n'est ce pas ?

Kévin : On dirait que tu as tout compris.

Shiho : Saleté de Green Umbrella.

Kévin : Tu comptes venger ton ami en me butant ?

Shiho : Ce serait trop simple.

Kévin : Que compte tu faire de moi ?

Shiho : Tu vas retourner voir ton boss et lui dire que je le trouverai, et le tuerai de manière sale quand je le verrai.

Kévin : Je prends note.

Shiho : Maintenant, tire toi de là avant que je ne change d'avis.

Kévin : Ça marche.

Sachant visiblement qu'il ne faut pas rigoler avec elle, le soldat de Green Umbrella se relève, puis ramasse son fusil pour se tirer avec, laissant les deux corps de gendarmes derrière lui, et cette canne parlante qui a su l'impressionner pour l'occasion, et il espère limite la revoir un jour sous un meilleur jour, pour échanger des anecdotes.
En attendant, il fera part du message qui lui a été confié, même si ce ne sera pas Shiho qui éliminera Frederic.

Kibō, une femelle Abyssin toute blanche aux yeux verrons, l'un étant doré et l'autre bleu, est en train de jouer avec de la ficelle qui trainait par là dans ce bunker ultra sécurisé, et on dirait presque un petit chaton trop mignon alors qu'en fait c'est une adulte de 5 ans qui en a déjà vécu des prouesses que je vous raconterai peut être un jour.
Ayumi Yoshida est encore sous le choc d'avoir assisté en direct à l'assassinat brutal de Genta Kojima dont elle porte encore le sang sur ses vêtements car la première chose qu'elle a fait en voyant con corps mort s'étaler contre le tapis rouge, c'était de le prendre dans ses bras pour une triste accolade.
Mitsuhiko Tsuburaya avait beau l'engueuler assez souvent, ça restait néanmoins un précieux ami cet avaleur d'anguilles, et là il se creuse les méninges pour savoir pourquoi Green Umbrella avait besoin d'éliminer lui, si il y a bien une raison qui se cache là derrière, et si ce n'est pas le fruit d'un mauvais hasard.
Akemi Miyano est terrifiée par ce qu'il vient de se passer, elle aussi à sa manière, car même si elle a déjà assisté à des meurtres avant dans sa vie, comme à l'enterrement d'Holt Valentine où le trépas avait failli avoir raison d'elle sur ce coup là, et elle a eu vraiment beaucoup de chance de s'en sortir vivant, grâce à Chris Redfield et Jill Valentine qui étaient eux aussi de la partie pour des questions de logique.
Kenzie Dodgera, contrairement à cette fois là où elle était absente, prend bien soin de son amie en essayant de lui faire penser à autre chose puisque ce qu'elle adore, c'est de voir ce ravissant sourire qui est capable de se graver à son visage et cela lui réchauffe le cœur à chaque fois qu'elle la voit.
Thierry & Patrick couvrent l'unique sortie de cette pièce bien équipée en fourniture capable de rivaliser avec la Umbrella Corporation des fils de Paul W. S. Anderson, comme le couloir à lasers tranchants qui rappelleraient aussi à Leon Kennedy, un autre couloir similaire construite sur l'île des Iluminados.
Gilbert Montagné est tendu et il fait les cents pas depuis qu'ils sont dans cet endroit, et on peut le comprendre car il attend très certainement le retour de sa femme qui a voulu jouer les héroïnes, étant donné qu'elle en est capable, rien qu'avec sa transformation spéciale en canne volante aussi rapide que Flash.
Pour le faire penser à autre chose, les deux fillettes ont décidé de mettre un peu la télévision étant donné qu'il y en a une et elles en profitent pour y mettre une chaîne, à savoir CNews, pour que si il doit concentrer de mauvaises ondes, autant que ça soit pour nourrir cette boite à images.

Gilbert : Merci les enfants de vous préoccuper du vieil homme que je suis.

Akemi : P'pa, tu restes mon père après tout !

Kenzie : Moi mon père, c'est Naru le roux !

Gilbert : Normalement, on ne devrait pas avoir à rappeler Naru pour s'occuper du responsable de tout ça.

Mitsuhiko : Ce serait être judicieux de faire appel à son aide.

Gilbert : Vous oubliez un peu ce qu'il vous avait fait tout de même.

Ayumi : Il ne nous a presque rien fait, c'est quelqu'un que gentil.

Gilbert : Et si ça se trouve, ça va finir en baston pour rechercher six cristaux sortis de mon cul, j'vous le dit moi !

Patrick : Attention, les portes s'ouvrent !

Thierry : Restez derrière nous !

Les doubles portes métalliques de ce bunker loin d'être le plus sécurisé s'ouvrent devant un public à la fois inquiet et intrigué, sauf pour une seule personne à l'ouïe fine dont un sourire se grave sur son visage, ainsi qu'à la chatte bien éduquée qui fait un petit bond pour aller se foutre entre les jambes de la personne qui apparaît alors.
Shiho Miyano fait son retour en scène après avoir laissé l'autre assassin s'enfuir, en affichant aucune émotion sur son visage dont on ne peut que durement percer à travers, mais il y a bien une personne dont la spécialité est d'être la seule personne à toujours deviner juste sur ce à quoi pense sa chérie.

Gilbert : Tu ne l'as pas tué, le sous fifre de Frederic Downing, n'est ce pas ?

Shiho : Non, sa mort ne m'aurait pas arrangé.

Patrick : Vous auriez pu au moins l'arrêter pour qu'on puisse prendre la relève.

Shiho : Désolée, mais il me le faut libre pour qu'il délivre mon message à son boss.

Thierry : Comme ça, on pourra peut être faire d'une pierre, deux coups.

Shiho : Je ne sais pas si ce sera nous ou les Avengers qui iront à la pêche au calamar.

Mitsuhiko : Tu encaisses bien la situation actuelle, ou pas ?

Shiho : Si il croit me faire peur en faisant un coup de fils surprise comme pour Gin en 2017, c'est raté.

Ayumi : Mais Genta-kun...

Shiho : Sa mort sera vengé, je te le promet.

La chimiste française pose une main douce sur l'épaule de son amie pour lui prouver qu'elle est là pour celle ci.

Shiho : Quoiqu'il arrive, j'espère que l'on participera à l'opération mettant fin à sa vie à ce salopards.

Gilbert : C'est vrai qu'il ne faut pas oublié que nous sommes tous les deux des Avengers.

Akemi : Bien dit p'pa !

Kenzie : Je suis de toute cœur avec vous !

Thierry : Cet attentat ne passera pas sous silence.

Patrick : Parfaitement !

Ayumi : Pour Genta !

Mitsuhiko : Ouais !

Shiho : Je sens de l'énergie émaner d'eux, n'est ce pas Gillou ?

Gilbert : Bien sûr ma canne en sucre !

Le vieillard touche les joues de la jeunette avec ses deux mains pour ensuite l'embrasser, enlacé contre elle.

Mitsuhiko : Ils sont beau ensemble.

Ayumi : Ils me feraient presque oublier la mort de Genta.

Patrick : C'est pour cela que c'est toujours une joie incommensurable de les servir.

Thierry : Même si c'était plus facile quand on était plus que deux.

Akemi : Les deux ploucs de second voir troisième plan se croient utiles.

Kenzie : T'es un peu méchante avec eux.

Akemi : Je suis la reine pour troller les gens !

Kenzie : La reine devrait regarder à ses pieds ce qu'il y a.

Akemi : Kibō demande des gratouilles, on dirait.

Kenzie : Qu'il est trop gnon comme ça !

Toutes les deux se baissent pour être au niveau du minou afin de lui faire tout plein de tendresses, contrairement à tous ces cons qui les mettent dans un sac pour pouvoir ensuite les encastrer dans un mur, ce qui prouve qu'il y a parmi les êtres humains des personnes qui ne méritent pas de vivre.
C'est ainsi que notre histoire se termine, et le futur du grand méchant s'annonce court, ne dépassant pas ce mois.