[FIC] Plus on est fou... [Terminée]

Une affiche, une seule, sert d'unique décoration pour cet immense espace où la vie s'y était éteinte depuis de l'entreprise qui l'occupait avait licencié tous ses employés juste pour voir plus de pognon rien que pour eux.
Sur l'image, nous pouvons y voir une cité merveilleuse ne plein milieu d'un désert avec l'ombre d'une mystérieuse personne tant redouté par le BSAA qu'on avait jamais entendu parlé avant que Holt Valentine n'en parle te dont l'identité y est autant inconnue que la ville derrière lui. La phrase en gras et gro qui suit vous aide à savoir de qui il s'agit.


En plus petit, il y a autre chose de marqué.


Cependant, ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit, il y a quand même autre chose que ce prospectus dans cette large zone, je voulais juste m'y centrer pour le début de cette histoire afin que vous puissiez noter les choses que l'on connait desquelles cela renvoie. Ce n'est pas tout, le plus grand rapport avec ce que l'on va suivre ensuite, c'est un personnage qui pour beaucoup n'est qu'un mythe.
Son nom est Gill Poitou, ou devrais dire le Mystérieux Étranger.
Ce dernier est habillé actuellement de façon old school comme le dirait ceux qui emploient des anglicismes avec son imper démodé et le chapeau qui va avec.Personne ne sait pourquoi il est vêtu ainsi mais une chose est certaine, cela lui donne un style reconnaissable, surtout que ces vêtements d'antan vont très bien avec sa silhouette ni trop fine ni trop large.
Ceux qui bossent pour lui en revanche vêtus de façon classique, typiques pour des gardes du corps, avec le costard cravate en noir et blancs, lunettes de soleil et oreillettes comprises. La seule différence qui permet de savoir que eux ne rigolent encore moins que des sbires habituels, c'est l'attirail ultra futuriste qu'ils portent et qui pourrait faire voir rouge à UNIT ou Armacham.
D'ailleurs le célèbre tueur en série plus vieux que ta grand mère est en train de déballer d'une grosse caisse une arme du même gabarie qui ressemble en apparence au PGM Hécate II, hormis le fait qu'il a été trafiqué pour permettre de tirer des rayons laser énormément plus mortels que ceux inoffensifs utilisés dans des laboratoires.
Autour de lui, seulement deux de ses hommes les plus reconnaissable par le nom qui leur a été donné sont là, et cela tombe bien puisque vous les connaissait si vous avez suivi les précédentes apparitions ud bonhomme. Nous avons Troufion qui tient entre ses mains le Fusil Gauss font vous ne préférez pas connaître ses effets. Granola quand à lui porte à bout de bras un énorme lance roquette qui pèse une tonne il faut dire.
Leur patron à quand à lui son simple Smith & Wesson Model 29 de toujours.
Étant donné la situation que je vous ai présenté, vous vous doutez qu'il est en pleine affaire en ce moment même puisque pour nos amis ermites qui ne suivent pas, ce meurtrier est à présent un trafiquant d'arme de renom, rivalisant avec les plus grands tels Glenn Arias ou Ling. Deux individus eux aussi recherchés à l’international par le BSAA et bien d'autres organismes prônant la paix.
Les acheteurs sont de la Néo Crisis et ils essayent d'en imposer malgré leur fringues de ringards pour deux d'entre eux, à savoir un tee-shirt mal lavé accompagné de poils de chat blanc pour Maxime Moulin, et un anorak orange malodorant pour Kenny McCormick. En revanche leur chef de toujours, qui n'est pas le fondateur du groupe, présente quand à lui une veste en cuir soignée et un sourire digne de l'homme que l'on surnomme Del Soluce depuis la Cobratoile.
Phil Grisou si on doit l'exprimer par son vrai nom arborait à sa ceinture d'un très beau Desert Eagle tellement noir qu'on pourrait le croire venu du Cameroun, mais pourtant il ne faut pas se fier à son apparence car comme le dirait un youtuber à près de 200 000 abonnées, c'est de la merde. Il pourrait être pote avec le futur regretté Jean-Pierre Coffe lui.
La négociation se passe plutôt bien, et celle ci consister à échanger des milliers de dollars américains contre un matas dernier cri qui permettrait enfin au groupe rebelle de dominer leur ennemi de toujours, perché tout en haut de sa forteresse en poil de chatte. Cette guerre demeure interminable, occasionnant tant de victimes qu'elle rentre en concurrence avec ses ainées, même si pour le moment aucune des batailles présentées ne vaut celle de Verdun en terme de victime ou de durée.
Une affaire qui vaille vraiment le coup, de quoi espérer que rien ne dérape au final, écoutons alors ce qui se dit.

Phil : Tu es sûr que les Fédéraux ne seront au courant de rien à propos de ça ?

Gill : Mon stock est intraçable te je m'assurer toujours que mes clients ne se fassent pas avoir en douce.

Phil : Juste de la précaution de de ma part, je ne voudrais pas que ça arrive jusqu'aux oreilles des Clean.

Gill : Ils sont redoutables ces derniers n'est ce pas ?

Phil : Ce n'est pas peu dire.

Gill : J'ai entendu parler du conflit qui les a opposé à Singapour, un vrai massacre.

Granola : C'est vrai que si l'ONU n'était pas intervenu, ils auraient surement pu coloniser ce nouveau territoire pour eux.

Trouffion : Je crois que surtout que c'est d'avoir les USA sur la balance qui les déroutait.

Maxime : C'était qui le Président à l'époque ?

Kenny : Adam Benford.

Maxime : Connais pas.

Kenny : Le meilleur que ce pays ait connu depuis plusieurs décennies.

Phil : En tout cas, maintenant que nous avons ce qu'il nous fallait, je crois que nous n'allons pas trop trainer ici.

Gill : Ça marche, de mon côté je vais...

Silver : Holà misérables !

Gill : Oh putain non pas lui !

Une autre légende des fanfictions pointe le bout de son pif, par l'une des nombreuses portes de cette salle de stockage qui ne semblent pas si bien gardée que ça comme vont le prouver toutes les prochaines apparitions. Silver Shroud s'avance sans craindre les nombreuses armes pointées sur sa gueule car après tout il n'a besoin que de sa Auto Ordnance M1927 Thompson, voir même uniquement ses poings, pour défaire l'ennemi se tenant face à lui. Sa dégaine à lui vient aussi d'un ancien temps où les mœurs étaient différentes, avec sa couleur grise qui le caractérise grandement.
Pour encore plus de classe, il s'allume une clope sans briquet, juste en frottant une allumette dessus.

Silver : Les criminels ne payent pas de mine face à Silver Shroud !

Phil : C'est qui ce guignol !?

Gill : Le membre le plus jeune d'une famille de détectives privés qui me cassent les noises depuis près d'un siècle.

Phil : Hé gamin, tu ne veux pas nous aider à vaincre Crisis qui pète plus les burnes qu'une diva sous cocaïne ?

Silver : Non, vils brigands, je vous casserai les deux œufs sans faire d'omelettes !

Phil : Ouais bon je crois qu'il est trop con on peut rien faire pour lui.

Maxime : Je peux lui pisser dessus ?

Phil : Ah ouais c'est vrai qu'on en a un dans le même genre de notre côté.

Alors que la situation passe d'un calme jovial à du n'importe quoi saupoudré de tension digne des westerns de John Wayne, nous allons bien plus passer dans du Clint Eastwood avec ce qui va venir puisqu'un bruit singulier d'avion à réaction se fait entendre de plus en plus lourdement, se rapprochant de leur position.
Un Dassault Mystère 20 casse un carreau pour rentrer avec sa grosse masse blanche visible à des kilomètres, et je suis sûr que certains d'entre vous sont actuellement surpris par le nom de l'appareil. Celui ci se met en vol stationnaire afin de permettre à sa passagère de descendre en chute libre, atterrissant sans dommage pour son corps seulement grâce au pouvoir des couettes blondes.
Il s'agit d'une mercenaire de renommée internationale, et d'origine française, cocorico !
Lucy Dodgera s'ajoute à la partie, sans avoir de tête décapitée de petit copain accroché à la ceinture, mais par contre elle a bien une tronçonneuse positionnée dans son dos pour venir en cas de besoin. Un Heckler & Koch UMP45 est blotti entre ses mains toutes fines, prêt à massacrer tous les connards sur son chemin, alors qu'elle est épaulée par son pilote préférée aux commandes de l'engin juste derrière elle.

Lucy : Yves, tu les mitrailles si ils tentent de bouger !

Yves : Yep !

Silver : Ta mère est tellement grosse que j'ai dû l'enculer par cinq fois pour réussir à trouver le bon trou !

Lucy : Hé mais c'est qui cet enculé !?

Gill : Un con.

Phil : J'aurais pas mieux dit.

??? : Holà qui va là, Inspecteur Gadget ! 

Phil : Bon, c'est qui cette fois ci ?

Pour répondre à sa question, c'est Chikai Dōbutsu.
Ne cherchez, vous ne la connaissez très certainement pas puisqu'il s'agit de sa première apparition et même mention sur tous les nombreux récits que je vous ai conté jusqu'à présent. Cette femme japonaise aimant porter des yukatas noirs est la fondatrice et directrice de TerraSave qui malgré sa jeunesse apparente avoisine les 50 ans, ce qui n'est pas dans la fleur de l'âge il faut dire.
Il est loin d'être la première fois quel 'on encontre une personne ayant une différence nette entre l'âge physique et l'âge réel, en général dû à des expériences passées qui ont fait qu'ils en viennent à ce non vieillissement des cellules. Des fois, l’explication est plus technique, comme pour le cas de plusieurs races de vampires, mais ne commençons pas à parler de ces choses qui dépassent d'entendement.
Elle porte sur sa tenue légère d'été un holster avec un Arsenal Firearms Strike One qu'elle n'a pas encore sorti, préférant d'abord privilégier une solution pacifique avant de partir à l'américaine. En guise de preuve de sa bonne foi, ses mains se lèvent bien hautes, paumes vers les différents camps présents dans cette impasse mexicaine.

Chikai : Je suis sûr qu'il y a moyen de nous entendre nous tous.

Silver : Tout ce que tu entendras, c'est le son de ma bite qui se cogne contre sa joue gauche !

Maxime : Oh mais ferme ta gueule pédé !

Granola : Bien dit !

Nicky : Vous vous foutez de ma gueule !?

Gill : C'est n'importe quoi !

Une nouvelle ribambelle de messieurs débarquent par la seule porte qui n'avait pas encore été utilisé et cette fois ci ils sont une dizaine arborant un treillis militaire de combat urbain où se trouve d'ailleurs l'un des logos les plus pourris de l’univers, donnant l'impression d’avoir été fiat sous Paint par un attardé sous l'emprise de l'alcool et de la drogue.
Ils rivalisent grandement avec leur rivaux sur ce niveau là, d'ailleurs ces derniers reconnaissent deux deux têtes parmi celles venant d'arriver. Nous avons Nicky Packou qui ne craint personne et qui est le bras droit d’Élise Clean, comme son frère était auparavant celui de Samantha, quand les deux étaient encore de ce monde. Il y a aussi Jean-Postal, un type qui se débarque par sa tête de mongole qui nous fait comprendre instantanément pourquoi ces parents ont décidé de l’appeler comme ça, et il reverra la mercenaire aux cheveux jaunes à New York un an plus tard.
Aucun d'entre eux ne semblera se reconnaître, ce qui peut se comprendre vu le bordel ambiant de cette rencontre.
Plus personne ne sait où viser précisément, étant acculé de tous les côtés.

Lucy : C'est qui tous ces gens ?

Jean-Postal : Nous sommes de Crisis !

Silver : Youpins !

Nicky : On va vient pour ce crétin là bas !

Il pointe du doigt Maxime qui s'empresse de faire sa plus belle imitation d'un chien qui parle.

Maxime : Un crétin !? Où ça !?

Phil : Qu'est ce qu'il a encore fait ?

Nicky : Il a buté mon frère Packie, mon sang !

Phil : Hé mais c'était donc toi l'explosion du J's Bar !?

Kenny : Pourquoi tu nous as rien dit ?

Maxime : Je pourrais vous rétorquer que personne ne m'avait prévenu que la Crisis ce n'était pas juste une simple organisation apatride, et j'étais pas au courant de l'autre archipel de merde qui sortait de nul part !

Phil : C'est pas nous, c'est le Narrateur qui est à chier !

Maxime : Tu m'étonnes, je vais vous relire ce qu'il avait marqué à l'époque.

Lucy : Je suis la seule à être larguée là ?

La tête châtain sort un petit calepin où il a noté mes paroles de l'époque qu'il ne devrait pas savoir.

Maxime : "Il y avait du monde ce soir là, c'étaient les derniers rescapés de Crisis. Ceux qui ne s'étaient pas barrés ou n'avaient pas rejoint Néo Crisis après la mort de Samantha Clean." Vosu voyez !?

Gill : Ah ouais merde !

Nicky : Même mon frère pensait de même.

Jean-Postal : Rien ne va dans la cohérence.

Lucy : Et sinon, vous ça va ?

Troufion : Oh, j'ai une petite tête aujourd’hui, comme un lundi.

Nicky : On fait quoi alors ?

Chikai : On pourrait faire la paix et...

D'un coup, sans prévenir, une balle est tirée depuis une hauteur, touchant le blondinet vêtu d'orange qui s'écroule au sol immédiatement sans avoir le temps de réagir face à ce qui lui est arrivé en pleine gueule. Tout le monde, hormis la sociopathe sur pattes, est choquée par ce qui vient se passer, restant bouche bée pendant quelques instants.
Sur le toit de l’entrepôt, un petit malin a profité d'une brèche sur le morceau de tôle pour lâcher une petite douille depuis son Glock 18C qu'il a équipé d'un suppresseur afin de masquer sa position de tir à ceux d'en bas. Son action réussie, il se lève et commence à se barrer, révèlent son visage marqué d'un cicatrice à nous, celui de Glenn Arias.

Glenn : Maintenant, ils vont gentiment s'entre tuer.

Armé d'un sourire du plus bel effet, il disparaît de la scène sans avoir été vu par quiconque de présent.
Les spectateurs impuissants de ce qu'il a fait finissent enfin par réagir au quart de tour.

Phil :

Lucy : Bon bah je crois que c'est le moment où j'interviens !

Sans gêne, elle lâche sa sauce sur tous les sbires inconnus du bataillon, ne tuant que ceux ci et aucune figure que l'on peut identifier dans le lot. Ces dernières se planquent là où elles peuvent pour éviter la fureur de la fleur épineuse qui comme à son habitude, ne perd pas de temps avec les conneries car ça fait bobo la tête.
Les différentes colonies de fourmis se dispersent pour prendre refuge aux quatre coin de ce lieu de travail à l'abandon, et nous allons suivre ceux sur qui nous avons commencé. Non, pas le Mystérieux Étranger, plutôt les trois... deux gars de Néo Crisis qui prennent la fuite par la porte de derrière pour se retrouver dans une cour où se retrouveront deux agents de la Sécurité Intérieur bien plus tard.
Seul problème, il n'y aucun véhicule de secours avec lequel se tirer, et une machine à tuer assoiffée de sang arrive dans leur direction, inarrêtable. Si ils ne font rien, ils sont cuits, heureusement l'homme à la veste de cuir a appuyé sur le bouton de son portable qui émet en secret un signal prévenant les renforts de venir les chercher pour fuir loin, loin d'ici.
Le miracle vient alors leur sauver les miches, sous l'apparence d'une vieille Citroën 2 CV en rouge et noir, la voiture voiture au monde quand il s'agit de détaler à toute berzingue. Celui qui la conduit est Human, c'est son nom, et il est épaulé par un certain Mike qui couvre nos héros avec une salve de son Maschinenpistole 40, dont la qualité germanique n'est plus approuvé tant elle a été apprécié par un grand homme dont tout le monde s'en rappelle.
Les deux zigotos couvrent leur collègues qui parviennent à sauter sur la banquette arrière de manière assez violente, juste quand la tête blonde sort du bâtiment pour tirer sans réfléchir sur eux avec le nouveau chargeur de sa mitraillette, déferlant une pluie de balles sur la bagnole. Les portières sont trouées, les vitres se brisent, les projectiles sifflent, et l'épaule du tireur du camp que l'on suit se fait toucher, lui faisant lâcher sa vieille arme.
Un pied pressé appuie la pédale à pleine force, décollant la porte pour la faire rebondir sur la route droit devant sans qu'un seul pneu ne soit touché. Bientôt hors du champ de visé de la menace féminine, ils peuvent souffler un bon coup, bien que le prince de Preosimitier, Michael Clean souffre la martyr à cause de la blessure qu'il a subi durant la très courte bataille.

Mike : Le sang coule beaucoup là non, c'est pas bon signe ?

Phil : Il risque de se vider si on ne fait rien.

Human : Oh merde, on va où alors ?

Maxime : Je sais chez qui aller !

Tout le monde proposerait naturellement l'hôpital le plus proche, mais pas lui puisqu'il est plus bête que ses pieds.


Une maison ordinaire se mêlant avec toutes les autres situées au sud est de cette banlieue tranquille, où un blessé a été amené dans l'urgence, alors qu'il a pu avoir la joie de pisser le sang pendant plusieurs heures de routes. Autant dire que ce sacré détour valait le coup, il faut bien le dire.
En fait non, mais chuuuuuuttttt...
L'homme pale, au vu de sa gueule a été placé le plus rapidement possible dans le lit de Sienna Valentine où cette dernière prend soin de lui, avec notamment Human qui apporte tout le matériel qui faut pour nettoyer et rafistoler la blessure. Son état est stable et il devrait s'en tirer, ce qui nous prouve que cette adolescente a de quoi devenir une infirmière resplendissante si elle le veut plus tard.
Au salon, un duel a lieu entre les regards des deux anciens partenaires de la guerre dont l'un s'est senti trahi par l'autre, quelque soit les raisons louables du traître, et il est clair qu'ils n'ont toujours pas fait la paix malgré le carnage que pourrait faire une alliance des deux. On dirait presque un repas de famille avec deux pères de familles différentes qui ne peuvent pas se piffer du tout.

Holt : Fouille merde.

Phil : Pute au rabais.

Deux personnes observent cet échange flamboyant accompagné d'éclairs, Erza et Maxime sont silencieux car en place une ne ferait que rajouter de la poudre sur le volcan. Cela agace très fortement la première qui pourrait buter les gêneurs là maintenant, ce qui ébranlerait fortement la Néo Crisis, mais en terme de stratégie ce n'est peut être pas la meilleure chose à faire. Le second en revanche est très calme, sûr que grâce à son action il va permettre une belle alliance qui se fera, c'est certain.

Erza : Maxime, viens dans la cuisine.

Maxime : Oh chouette, on va "discuter" !

Ne se doutant de rien, il va la suivre dans le lieu de prédiction de n'importe quelle femme, puis les secondes passent et la prochaine fois qu'on le voit, c'est quand il traverse une fenêtre de cette pièce se retrouver la tête la première sur le gazon, complètement sonné.
Une affiche se colle à son visage après avoir été portée par le vent, on y voit le très célèbre Captain NordVPN.
Au fait, cette fic était sponsorisée par NordVPN justement.
Il faut bien que je touche un peu d'argent moi aussi, c'est pas facile de gagner sa croute.