[FIC] Raccoon City 2025 [Terminé]

Tout le monde avait maintenant un Beretta 92 et un Benelli M3 Super 90, un équipement sympathique quand on veut chasser du zombie.

Jewel : Ça ira pour le moment, allons y.

Jewel entra par une petite porte, les autres suivirent et elle referma la porte avant de la barricader en poussant un meuble contre elle. L'immeuble en lui même était poussiéreux et certaine parties étaient en rénovations, il y avait même des outils de peintures et des murs à moitié repeint.

Burt : On dirait que les ouvriers sont parties en hâte, restez sur vos garde, peut être qu'il y en a encore ici et qu'ils sont dut genre mordant.

Le trio resta sur ses gardes.
Entre temps dans une ruelle à l’arrière d'un bar, se trouvait Alain et Norman, qui s'étaient réveillé après avoir été assommé par les deux gugusses du STARS qui les avaient accompagnés, l'un d'eux étaient justement Alexander. Malheureusement ils ne savaient pas encore qu'il y avait une infection en ville et ils ne se doutaient de rien et attendait simplement l'arrivé de leur collègues.

Norman : Bon qu'est ce qu’ils foutent ?

Alain : Hé j'ai appris que ce Burt Wilson, avait été engagé au BSAA grâce à Chris Redfield et notamment Maxime Moulin, hé oui notre Maxime à nous.

Norman : A croire que le monde tourne autour de Maxime Moulin. Sans lui on serait mort à l'heure qu'il est.

Norman vit alors l'agent Torrens McKarner arriver, mais cette dernièrement se déplaçait bizarrement, boitait d'une jambe et ses cheveux cachés son visage.

Norman : Oh non déconne pas !

Alain : Un zonzon, un zonzon, un zombie !!!!!!

Torrens zombie commença à tituber vers eux et d'un coup, elle sauta sur Norman qui réussit à l'esquiver. Le duo prit leur pistolet et vida leur chargeur sur la zombinette qui finit en chair à pâtée. Ils virent alors d'autres zombies arriver d'un peu partout, parmi eux se trouvaient des membres du STARS et les soldats de l'équipe Kilo.

Norman : Alain, on est dans la merde.

Alain : J'ai chié dans mon froc.

Les deux agents se firent encercler par les zombis et ils étaient un petit peu dans la merde.

Burt était tendu dans l'hélico, il avait très peur de perdre son équipe, il prit un dossier sur sa tablette numérique, c'était celui de Zyona Carlya. L'arme la plus dangereuse jamais créer par Umbrella, en même temps elle fut créer par Wesker après son échec de contrôler Sarah Kyrine. Une voix fit alors sortir Burt des pensées.

Jock : Qu'est ce qui vous dit qu'elle sera là ?

Burt : Généralement quand Umbrella fait des attaques aussi risqué, ils demandent son aide. Et j'ai peur, elle a quand même réussit une fois à tuer une équipe du BSAA bien armé, alors qu’elle n'avait pas d'arme, et elle a mit 1 minutes pour tuer ces 14 personnes. On a retrouvé le corps en charpie.

Jock : Ah ouais quand même !

Burt : Je ne l'ai encore jamais rencontré mais j'ai déjà très peur d'elle.

Jock : OK, au faites, on arrive à destination.

Burt : Laisse moi voir.

Burt regarda et vit une maison abandonné en pleine campagne, et il semblait y avoir du grabuge là-bas.

Burt dépose moi ici, et puis couvre moi de là où t'ai.

Jock : D'accord Burt.

Jock se posa sur la vaste étendu d'herbe et Burt en sortit avec son équipement traditionnelle. L'hélico redécolla ensuite pour prendre de la hauteur et aider Burt si besoin.. Ce dernier s'avança alors prudemment vers la maison en passant à coter d'une moto au passage, c'était celle de Léon.

Léa regardait le paysage de là où elle était, elle pouvait voir l'île se dessinait au loin, l'île de Yamijima semblait paradisiaque vue d'ici mais Léa n'était pas temps rassuré que ça. Son récent petit ami, Matthew Cobben, vint la voir, l'air souriant et épanouit. C'est lui qui avait une l'idée de cette semaine de vacance dans cette île japonaise. Il sentait qu'elle n'était pas dans son assiette et donc il prit la parole.

Matthew : Fais pas la gueule Léa, tout va bien se passait.

Léa : Je ne sais pas, je ne la sens pas cette île, elle a quelque chose de bizarre.

Matthew : Moi je trouve que c'est une île comme une autre.

Léa : Ouais mais avec un lot d’événements étranges survenus dans le passé, tu m'aurais emmené au village d'Hanuda, ça aurait été pareil.

Matthew : Oui je sais qu'il y a bien longtemps, les habitants de cette île ont mystérieusement disparus, mais depuis l'île a été repeuplé donc sourit et détend toi un peu. C'est un ami qui m'a conseillé cette île, il y vit avec sa femme, on leur rendra visite et ils te diront que tout est niquel.

Léa fit un effort et sourit à son petit ami avant de l'embrasser, elle sentit alors le regard d'un vieil homme japonais qui les regardaient avec froideur, ce dernier prit alors la parole, mais Léa ne comprit rien.

Vieil Homme : Anata wa shinda ! Anata wa subete shindeshimau !

Léa : Hé le vieux, ferme là un peu, on t'as rien demandé.

L'homme parla alors d'une voix plus basse et en anglais, langue que Léa comprit nettement mieux.

Vieil Homme : Vous ne savez même pas où vous mettez les pieds.

Léa : Je mets les pieds où je veux et c'est souvent dans la gu...

Matthew : Laisse tombé Léa, allons y, laissons le vieillard tout seul.

Le couple alla dans un autre coin du ferry qui s’apprêtait à accoster.

Le ferry arriva à bon port, devant eux étendait la seule ville de l'île, Nura-Yamashima, qui englobait environs 1/4 de l'île, le reste étaient juste une immense forêt et quelques logements se trouvaient dans diverses coins perdues de la forêt. Matthew avait justement loué une des ses maisons à un promoteur immobilier, Rei Surima San (San étant un suffixe neutre pour dire Monsieur, madame ou mademoiselle), et ils devaient le retrouver dans le port pour qu'il les conduisent dans leur demeurent de la semaine. Mais quand Léa et Matthew descendirent du bateau avec leur véhicule, ils virent l'ami de ce dernier l'attendre avec sa petite amie. L'ami s'appelait Raymond Decker, et sa copine quand à elle s'appelait Suzuki Yoshiro, il avait emménagé sur l'île pour pouvoir vivre avec elle. Matthew fut heureux de le voir et il alla lui serrer la main tandis que Léa lui fit la bise, à la française.

Matthew : Alors mon vieux, qu'est ce que tu fais de beau, ça fait longtemps qu'on ne s'est pas vue en vrais, et merci de m’avoir conseillé cette île pour nos vacances. Faut dire que moi et Léa avons eut des ennuis dernièrement et nous avons un peu envie de nous reposer.

Raymond : Temps fais pas pour ça, vous allez vous éclater ici, c'est un véritable coin de rêve.

Matthew : Bon sinon à part ça, on doit voir un promoteur immobilier, je viendrais te voir demain matin à la première heure, en plus il va bientôt faire nuit. A plus.

Raymond : Ouais passez une bonne nuit !

Ce fut une vrais conversation de mecs, et chacun parti avec sa compagne de son coté. Léa et Matthew retournèrent à leur véhicule et trouvèrent Rei qui les attendaient, sa jeep se trouvait non loin de là. Il les accueillit chaleureusement avec un accent bien prononcé.

Rei : Vous êtes le couple qui avait demandé le chalet N°G, prenez votre voiture et suivez moi.

Rei alla dans sa jeep et le couple dans leur voiture, ils le suivirent alors à travers la ville jusque dans la forêt tandis que le soleil était bas dans le ciel et laissait une lueur rouge dominait l'île.

C'était la panique dans rues, plusieurs agents de la CIA et du SWAT étaient dispersés et tentaient de survivre contre la horde mort vivant mais ils se faisaient rapidement acculés. Alain et Norman, eux avaient miraculeusement réussit à s'en tiré pour le moment, ils se planquèrent dans une cour derrière un immeuble assez délabré vue de l'extérieur. Alain prit alors son téléphone et appela Dennis Abbot, son supérieur.

Alain : Chef, on a une invasion de zombies dans la ville souterraine et avons besoins de renforts.

Dennis (R) : Oui nous le savons et les renforts sont en route. Mais nous avons apprit que le Colonel Beverly Gradler de la NRPD était entrain de se rendre dans la ville souterraine et nous pensons qu'elle est de mèche avec Burt Wilson et le STARS. Nous avons mit alors un mandat d'arrestation sur sa tête. Si vous la voyez, vous devez l'arrêter.

Alain : Enfin si les zombies ne nous auront pas tués d'ici là.

Dennis (R) : Tenez bon et n'oubliez pas vos objectifs, à plus tard.

Alain souffla un peu et regarda l'immeuble.

Alain : On devrait se réfugier là-dedans.

Norman : Bonne idée.

Les deux agents entrèrent dans le bâtiment délabré.
Au même moment, à l'intérieur de celui ci. Burt, Amanda et Jewel continuaient de progresser dans ce lieu même si Burt continuer d'être méfiant car les zombies sont imprévisibles donc il pensait qu'il pourrait quand même y en avoir et il ne baissa pas sa garde.

Burt : Au faites, c'est quoi la bibliothèque des S.T.A.R.S. ? Parce que franchement j'ai pas envie de bouquiner en attendant que les zombies viennent me bouffer.

Burt attendit une réponse de Jewel.

Darrick était soulevé dans les airs, il assista alors à la scène devant lui.

Léon : Capitaine, vous êtes là, j'ai crains que vous n'aviez pas reçu mon message.

Burt : T'inquiète Léon.

Burt se tourna vers Sarah et lui serra la main.

Burt : Madame Kennedy, enchanté de faire votre connaissance.

Darrick : Léon....Kennedy ? Vous arrivez....trop tard....mon armée est déjà....en route pour.... la Maison Blanche....Hé hé hé hé...

Darrick ricana cruellement.
Entre temps Léa et le caporal se trouvait toujours à bord de l'Humvee, quand elle reçut un appel radio.

Matthew (R) : Léa Moulin, ici Matthew Cobben, US Marshall. Où êtes vous bon sang, on m'a chargé de vous protéger.

Léa : Je n'ai pas besoin de protection.

Matthew (R) : Je ne veux pas prendre de risque, retrouvez moi devant le Washington Monument, et ne vous faites pas tuer en route.

Léa : Je vais essayer de ne pas mourir. Bon conduisez moi là-bas, caporal...

Caporal : Meunier.

Léa : Meunier ? Ce nom me dit quelque chose.

Caporal : Oh c'est pas un nom commun, je ne sais pas où vous auriez pu l'entendre.

Léa : Ça me reviendra.

Le Caporal Meunier continua alors de conduire la voiture jusqu'à destination.

Burt n'avait prit que des munitions car son attirail lui suffisait pour survivre. Il remarqua alors que Jewel l'observa, étonné.

Burt : J'ai pas besoin d'armes cheater pour survivre. Bon où se trouvent ces souterrains dont vous avez parlé ?

Burt attendit alors du bruit et vit deux personnes entrer dans la pièce, ceux ci braquèrent le armes sur le trio, c'était Alain et Norman.

Norman : Hé bien c'est un comble, nous vous cherchions justement.

Alain baissa alors son arme et celle de Norman.

Norman : Qu'est ce que tu fais ?

Alain : Je sais que notre mission est de les capturer mais avec les zombies et autres bestioles qui traînent dans le coin, il serait plus prudent de faire équipe.

Norman : Ouais t'as raison. Bon moi c'est Norman et lui Alain. Et vous deux du STARS, c'est quoi votre nom ?

Norman attendit une réponse.

Jewel : Quand pense tu ?

Burt : Tu as raison, mais restons sur nos gardes, quel que soit cette chose. Elle est habile et sournoise. En route !

Ils reprirent alors la route.
Entre temps à l'extérieur, Crunnigan vit plusieurs Humvee et une Jeep arriver. Des Marines en sortir, accompagné par le Sergent Mackinley qui alla voit Agrid.

Mackinley : Vous êtes qui vous ?

Agrid sortit sa carte te la montra aux Marines.

Agrid : Agent Agrid Crunnigan de la NSA, nous avons des survivants à l'intérieur qui doivent être évacués, les renforts sont déjà à l'intérieur pour les faire sortir. Donc vous allez attendre que tout le monde soit sorti avant de tout faire sauter. Me suis je bien fait comprendre ?

Mackinley : Mouais....Les gars, repos !

Les Marines attendirent alors le retour des secours avec les survivants.

Léon : Cela te va l'ami ?

Franklin : Oui, j'ai tellement envie de savoir qui je suis.

Léa baissa son arme et la rangea à son étui. Soudain le soldat Ron se fit attraper par derrière par un zombi qui planta ses crocs dans son cou. Ron tenta de se débattre mais il sentit la mâchoire de l'arme biologique s'enfoncer encore plus dans la chair et finalement il lui arracha un énorme morceau de cou. Ce fut le Capitaine Gibrond qui tua le zombi d'une balle en pleine tête. Léa alla le voir le corps du zombi, le macchabée avait tous les symptômes d’infection au Virus T. Yann était à genoux sur Ron qui perdait beaucoup trop de sang et qui devenait pale, très pale.

Yann : Ron, tiens le coup, il nous faut du "Daylight" et de quoi boucher ta blessure, mais tu t'en sortira.

Ron avait les yeux fixe et il ne répondit point, c'était déjà trop tard, il avait rendu l’âme. Yann se releva en pleur, il venait de perdre un proche.

Yann : Finissons notre mission et cassons nous d'ici.

Franklin : Problème à l'horizon.

En effet, plusieurs zombies venaient des 4 coins de la pièces pour encercler les 4 personnages.

Léa : Super des zombies, j'en avais marre des étripeurs.

Le groupe allait devoir lutter pour survivre, heureusement Sarah était en route vers leur position.

Léa avait comprit en écoutant la conversation de Léon, qu'il était trop tard pour sauver son petit ami, il ne restait plus qu'à ce débarrasser du monstre qu'il était devenu. Ils tentèrent alors d'échapper au G qui avait muté. Sa tête était devenu celle d'un monstre hideux, son visage était donc méconnaissable. Son autre bras avait lui aussi muté et possédé lui aussi une belle paire de griffe. Pour finir ses jambes avaient aussi muté et prit de l'ampleur ce qui amélioré sa rapidité. Sur le chemin, Léa vit un signe en hauteur qui indiquait la sortie. De là où elle était, elle voyait déjà le Metropolitan Police Service entrain de retenir une immense foule de gens, d'entrer dans le centre commercial devenu trop dangereux. Un policier vit le duo arriver en courant, il en conclut qu'il y allait avoir des ennuis et leur parla.

Policier : Que ce passe t-il ?

Léa : Une arme biologique est à nos trousses, il faut faire partir ses civils tout de suite et prévenir le BSAA !

Policier : Pour le BSAA c'est déjà fait mais pour les civils ça va être...au mon dieu, attention derrière vous !

Léa se retourna et vit le G sprinter vers avant de faire un saut, elle poussa alors Léon sur le coté, tandis que le policier se fit propulser par un coups de griffes du monstre sur ses collègues et quelques civils qui furent horrifier d'avoir reçut du sang et des lambeaux de chair en pleine figure. Ce fut la panique totale.

Burt et son équipe se trouvait toujours dans l'hélico qui était entrain de traverser l'océan atlantique. Il se faisant du mouron pour Léon, mais Susuky alla le voir pour le rassurer.

Susuky : Capitaine, je suis sur que Léon va s'en tirer.

Burt : Oui mais je me demande quand même ce qu'il sep asse là-bas à cette heure ci et quand est ce qu'on y arrivera.

Susuky : Je suis sur que la branche européenne arrivera déjà avant nous et que quand nous arriverons, tout sera rentrer dans l'ordre.

Burt : Comme si les choses étaient aussi faciles.

Susuky soupira.

Burt : Mais bon merci de me remonter le morale.

Susuky retourna s’asseoir tandis que le pilote prit la parole.

Pilote : Terre en vue, capitaine !

Burt regarda l'horizon et vit en effet le Royaume Unis se dessiner devant lui.

Léon : Il faut tout de suite aller à Washington. Nous n'avons plus une minute à perdre Capitaine.

Burt : Mon hélico est dehors, suivez moi !

Le trio quitta la maison. Une fois dehors, Burt fit signe à Jock d'atterrir, ils montèrent ensuite dans l'hélico.

Burt : A la Maison Blanche, c'est urgent.

Jock : OK, accrochez vous.

L'hélico décolla pour partir vers Washington avant qu'il ne soit trop tard.
Entre temps devant la grille d'entrée menant au jardin de la Maison Blanche. 3 soldats de l'armée de terre discutait tranquillement mais l'un d'eux vit des mouvements venir vers eux. Les silhouettes sortirent de la pénombre et se révélèrent être une troupe d'assaut d'Umbrella, celle dirigée par Zyona. Les coups de feux s'en suivirent mais Umbrella eut le bénéfice de l'effet de surprise. Dans le bureau ovale, Tim peiné à persuadé le Président de se rallier à leur cause. Ils entendirent alors les coups de feux et Tim prit sa radio avant de dire un message codé.

Tim : Les mouches sont dans la tanière du loup.

Tim regarda ensuite le président confus et s'adressa à lui.

Tim : L’endroit devient trop dangereux, nous allons devoir vous faire sortir d'ici et si vous tentez quoi que ce soit, nous nous en prendront à votre famille.

William : Espèce d'enfoiré !

Plusieurs soldats corrompus du BSAA entrèrent alors dans le bureau ovale, laissant transparaître derrière eux, les corps des gars des services secrets qu'ils avaient tués pour facilité la tache. Un des soldat poussa le président avec la pointe de son fusil et l’ordonna de marcher, il fut contraint alors des les suivre sans pouvoir rien y faire. Le chaos commença au sein de la "White House".

Norman : Très bien "Pearl" on vous suit.

Burt commença à entendre des gémissements de zombie de là où il était.

Burt : Mieux vaut se mettre en route très vite.

L'équipe sortit donc de la bibliothèque et ils traversèrent l'immeuble pour se rendre à l'endroit convenu.

Jewel : Qu'est ce qu'il y a dedans...?

Burt éclaira la pièce avec sa lampe et vit un spectacle effroyable, ils se trouvaient dans un labo avec plusieurs tubes contenant différentes choses, certains étaient cassés. Il y avait plusieurs membres de l'équipe Bravo mort sur le sol mais Amanda ne s'y trouvait pas. Ils semblaient avoir été déchiqueté et réduit en bouillit. Burt vit alors deux tubes contentant chacun 1 personnes, ces 2 personnes étaient Peter et Britney, Burt fut soulagé de voir qu'ils allaient bien, et qu'ils respiraient dans le formol où ils se trouvaient grâce à des tubes reliés à leur visages.

Burt : Il faut trouver un moyen de les faire sortir d'ici ! Regardez les machines aux alentours et voyez ce que vous pouvez trouver.

Tout le monde se mit alors à chercher un moyen de leur faire quitter leur tubes.

Léa se laissa entraîner par Léon dans l'hôtel tendit que les flics tentaient ce qu'ils pouvaient contre le monstre qui fut stopper par la foule qui courait dans tous les sens. Une fois dans la chambre d'hôtel, Léon se changea rapidement puis prit la parole.

Léon : Pourquoi as-tu tiré dans la tête ? Il ne fallait pas...

Et voila, papy Léon me fait la moral, les vieux sont tous pareils.

Léon : Ça te va ?

Léa : Oui bien sur.

J'ai rien suivit à ce qu'il ma dit mais bon, je le laisse passer en premier.

Léa entendit du bruit dans le couloir de l'hôtel puis une voix monstrueuse crier.

G : LEA !!!

Léa se tourna vers Léon.

Léa : On dirait que c'est moi qu'il cherche.

Léa attendit la réaction de Léon.