[RP] Week of the Dead [Terminé]

je regarda chris avec peine car j avais du mal a le reconnaitre avec tout cette graise

-saryna : je suis contente de te revoir chirs mais tu devrais faire du sport pour te remettre en forme car on a du mal a te reconnaitre

ma voie na pas changer elle et normal , je voie bien qu'il et gene de se que j avais dit

-saryna : désoler chris si je tes blesse par mes parole pardonne moi

je le regarde et je continu a sourire puis je vie la personne qui était parti me chercher de l eau revenir

Une petite larme coule sur la joue de Chris suite à ce commentaire sur son poids qui a foutu le malaise dans la pièce.
Si Nelson des Simpsons avait été là, il en aurait profité pour en rire de façon très méchante.

Saryna : Désolée Chris si je tes blesse par mes paroles pardonne moi.

Chris : Pas grave. L'essentiel est que tu sembles ravoir des souvenirs qui reviennent comme tu me reconnais.

Albert : Mon idée aurait donc marché !? Youpi !

Pour fêter ça, ils vont tous pouvoir se servir car Marion revient avec des boissons prisent dans une machine qui en distribuait, avec donc de l'eau pour Saryna comme promis, et aussi un café bien noir pour Wesker. Tandis que Chris encore une fois n'a le droit à rien car il était pas prévu au programme, et celle qui est allé chercher à boire ne l'a pas vu arriver sur son chemin.

Marion : Je suis navrée, j'ai loupée votre venue.

Chris : Ce n'est pas grave, je n'ai pas soif de toute façon.

Maintenant que tout est réglé niveau breuvage, on peut revenir aux choses sérieuses.

Chris : De quoi tu as pu te rappeler jusqu'à présent Kyomi ?

L'utilisation du surnom de Saryna souligne que elle et Chris avait dû former un forte amitié par le passé.

-saryna ; je me rappelle de tous maintenant

je me tu quelque seconde

-saryna : je me raplle de kit et de mon rentre chez les stars puis du manoir et de tout le reste chris

je me tu de nouveau pour en suite regarde albert

-saryna : oui pourquoi tu nous a tous convoquer albert

Tout le monde est heureux et exprime son soulagement de voir que Saryna Coleen a enfin retrouvé la mémoire.
Néanmoins, quelques questions se posent encore, et elle se dirigent droit vers celui sans qui ça n'aurait pas été possible puisqu'il s'agit de l'organisateur de cette réunion hors du commun où normalement plus de personnes auraient dû être présentes si il n'y avait pas eu l'imprévu de l'évanouissement.

Saryna : Oui, pourquoi tu nous a tous convoqué Albert ?

Albert : Je te l'ai déjà dit je crois... Dommage que Barbus ne soit plus là pour confirmer si je dis des conneries ou non.

Marion : Tu peux reprendre depuis le début si tu le veux bien.

Albert : Hé bien si je vous ai tous fait venir c'était pour aider Saryna à retrouver la mémoire afin de la remercier de toute l'aide qu'elle a pu apporter aux Avengers, que ça soit avant ou après son retour de l'au-delà.

Chris : Pourquoi San Francisco et ce qui s'est passé là bas en 2010 ?

Albert : Parce que je sais qu'elle a grandi là bas et qu'elle a subi l'incident de plein fouet à ce moment là alors qu'elle y bossait en tant que flic avec un certain Kite Daemonfate. J'ai voulu partir de cet incident en faisant notamment venir une personne l'avait vécu aussi, afin de déclencher ses souvenirs et qu'elle recouvre la mémoire.

Chris : Ne me fais pas croire que c'était juste pour ça.

Marion : Il y aurait une autre raison ?

Albert : Bah... Ouais.

D'un coup, l'ambiance devient un peu plus tendue, et on peut sentir de la gêne provenir de Wesker qui sue du front.

Chris : Je pense savoir laquelle.

Marion : Moi aussi, de ce que j'ai lu là dessus.

Albert est hésitant à vouloir tout balancer, mais peut être qu'un coup de pouce pourrait l'aider.

je regarde tout le monde en me posant des question , puis je porte mon intention sur albert qui sembleme gene ont dirait .

-saryna : dis nous albert

Craquant sous la pression, le bougre aux lunettes de soleil balance la vraie explication sur tout ça.

Albert : Ma femme qui est présidente de ce beau pays, au cas où vous ne sauriez pas...

Chris : On se rappelle même que tu as été toi même président, et ça c'est le plus douloureux.

Albert : Hé bien, elle tient à dévoiler lors de son prochain discours la vérité derrière l'incident de San Francisco, que le Gouvernement Obama a caché à l'époque en étouffant l'affaire.

Marion : C'est ce que je pensais.

Chris : Moi aussi. Et ça me déçoit un peu de ta part Albert de nous avoir caché ça.

Albert : Désolé... Ma femme tenait tellement à avoir un témoignage d'un survivant de cette tragédie, et j'ai pensé à Saryna, car comme Bran Stark, ça aurait été la meilleure histoire à raconter.

Chris : Le voilà qui cite Game of Thrones maintenant...

Albert : Je crois que je suis encore une fois allé trop loin pour conforter mon idée, et je n'aurais pas dû, même si c'était pour faire plaisir à ma femme.

Chris : La prochainement, tu apprendras à le demander poliment.

Marion : En faisant plus simple et allant voir directement quelqu'un qui n'est pas amnésique, et qui tient à en parler.

Chris : Comme Budô Yami, qui aurait dû venir aujourd'hui d'ailleurs de ce que tu m'avais dit.

Albert : Oui, si j'avais su...

Voilà donc tout ce que Wesker avait à dire pour expliquer ses agissements.

je regarda albert avec des grand s'yeux surpris

-saryna : si je comprend bien tu compte sur moi c est bien sa

je le regarde sans plus rien avec plein de question qui me traverse la

Saryna Coleen écarquille grand les yeux dû à la surprise que génère les déclarations d'Albert Wesker.

Saryna : Si je comprend bien, tu comptes sur moi c'est bien sa ?

Albert : Oui. Tout ce qu'il faudra que tu fasses, c'est de répondre de ton mieux aux questions d'Heather, la journaliste, aura à te poser, car c'est sur elle que nous comptons pour mettre en ligne les témoignages de survivants de l'Incident de San Francisco qu'elle aura récolté.

Chris : Cela se fera en parallèle du discours de la Présidente Sakana Orenji ?

Albert : Ouais.

Chris : Pourquoi le choix de cette journaliste plutôt qu'une autre ? Elle est intègre ?

Albert : Oui, mais pas que ça.

Marion : Il s'agit d'Heather Mason, c'est bien ça ?

Albert : Oui. Vous la connaissez ?

Marion : J'ai lu des rapports la concernant chez UNIT. Je ne peux pas vous dévoiler grand chose, mais disons qu'elle sait ce c'est que de vivre un cauchemar dans la réalité.

Chris : Je vois.

Albert : Voilà c'est aussi pour ça que je l'ai pris. Parce que je sais qu'elle a survécu aussi à des trucs qui dépassent notre entendement.

Marion : Après Saryna, tu n'es pas obligée de participer à cette interview si tu ne veux pas.

Albert : Alors, t'en dis quoi ?

Il est impatient d'avoir la réponse officielle de la femme au passé revenu en mémoire.

je regarde tout le monde je suis totalement perdu que je ne ses pas quoi dire et je soupire

-saryna : d acore je veux bien bien répondre de tout a cette journaliste

je vie chris me regarde puis il regarda albert ,

-saryna : je verrai de mon mieux

Wesker sautille littéralement sur place quand il apprend la bonne nouvelle grâce à ses oreilles fonctionnelles.

Albert : Génial ! Je vais aller tout de suite l'appeler pour qu'elle rapplique !

Dit il juste avant de sortir en trombe de la pièce, laissant entendre ses bruits de pas s'éloigner dans le lointain, suivi d'un bruit d'ascenseur qui s'ouvre tout aussi loin, avant qu'un silence de vienne prendre la place du boucan qu'il faisait rien qu'en s'exprimant depuis tout à l'heure.
Restons auprès du trio dans la d'attente, avec Chris qui décide de meubler en attendant que la journaliste arrive.

Chris : Pour une fois, ma venue coïncide avec les bonnes nouvelles.

Marion : Je crois que nous n'avons pas encore été présentés.

Chris : C'est vrai. Capitaine Chris Redfield du Bioterrorism Security Assessment Alliance.

Marion : Colonel Marion Price de Unified Intelligence Taskforce. Votre légende vous précède Monsieur Redfield.

Chris : On me le dit souvent, sauf quand Leon est dans les parages.

Marion : Leon Kennedy.

Chris : Vous avez déjà pu le rencontrer ?

Marion : A quelques reprises seulement.

Chris : Et pour Saryna, vous vous êtes rencontrés comment ?

Marion : Grâce à l'apparition plus tôt dans l'année d'Albator et son équipage.

Chris : C'est pas anodin ça.

Les regards se tournent alors vers Saryna pour voir ce qu'elle a à dire de son côté à ce sujet.

je vie albert partir tendis que je reste avec chris et marion , je fini par m assoir en soupirant toujours avec tout ses question qui me traverse l espris . je me demande comment j aller me comporte devant cette journaliste car je n est jamais parler a des journaliste ,

ont peut voir que je suis comme perdu dans mes pense

Pendant que Saryna est perdue dans ses pensées, Wesker a eu le temps de revenir avec cette Heather Mason qui est une journaliste indépendante ultra connue sur la toile, presque autant qu'un Wikileaks à elle toute seule, et qui a sorti elle aussi beaucoup de dossiers compromettant sur divers personnes pourries existant en ce monde, incluant notamment beaucoup de politiques venant des quatre coins du monde.
Parmi ces innombrables noms on peut citer ceux de Graham ou Sarkozy, car au niveau des casseroles aux fesses, ils sont haut sur la liste.
Autant dire qu'il y a de quoi être impressionné ou terrifié d'être en sa compagnie, suivant de quel côté de la balance on penche le plus.
Néanmoins on peut tout de suite remarquer qu'elle est plutôt modeste en dépit de la réputation qui lui est associée, ne prenant personne de haut sur le lot, et étant peut être même celle qui se fait le plus discrète, renforcé par son look assez ordinaire mêlant cheveux noris teints en blonds, plus pull avec jupe assorti à la saison.
Rien ne vient nous sauter aux yeux pour nous crier son métier, ce qui est loin d'être le cas de ses collègues dans la profession, repérables à quatre kilomètres à la ronde avec leurs micros et leur air un peu supérieur en mode "Je sais tout mieux que toi petite fiotte".
Tout ça pour dire qu'heureusement que Wesker est là pour nous assurer qu'il s'agit bien d'Heather Mason.

Albert : La grande Heather Mason pour nous servir !

Heather : Bonjour à tous. Je vous connais déjà un peu tous car j'ai préféré prendre mes précautions en me renseignant sur ceux que je ne connaissais pas déjà, juste au cas où.

Marion : Saryna et moi je présume ?

Heather : Exactement. Je connaissais déjà Chris et Wesker de leur réputation.

Albert : En bien ou en mal pour moi ?

Heather : Les deux extrêmes opposés. Du pur machiavélisme à l'humble bonté.

Albert : Je suis trop fort !

Heather : Si je suis ici, ce n'est pas pour vous trois en revanche, mais interroger Madame Coleen si elle le veut bien.

Chris : Tu veux qu'on te laisse seule avec la journaliste ou tu préfères qu'on reste tous ensemble ?

Heather : Je tiens à prévenir que si vous restez ici, je tiendrai en compte votre présence dans mes notes.

Reste plus qu'à voir ce que décide la jeune femme anciennement amnésique qui est toujours assise sur le canapé où elle s'est réveillée plus tôt dans la journée.

je regarde cette femme assis sur le canapé , je suis un pet nerveuse et sa voie surement . je tente de ma calme en réspirant doucement

-saryna : vous pouvez me laisse seul

je regarde chirs marion et albert et je leur sourie mais il ont du surement voir que je suis nerveuse

Voyant que Saryna n'est pas tranquille et qu'elle aurait besoin de plus d'intimité, Chris Redfield fait le premier pas vers la sortie en lui souhaitant bonne chance d'un petit revers de la main en sa direction, avant d'être suivi par Marion qui traîne avec elle Wesker qui n'a pas compris que l'interview ne va se faire qu'à deux.
Désormais toutes les deux dans une scène plus restreinte située sur le canapé brulé, Heather sort son calepin et un stylo qui va lui servir à prendre en note ce qui va être dit durant la conversation qui va suivre, car elle préfère cette bonne vieille méthode que lui a appris son second père, plutôt que d'enregistrer simplement avec une cassette toute la discutions orale.
Ensuite, elle prend un petit temps nécessaire pour essayer de rassurer du mieux qu'elle peut la femme devant elle.

Heather : Je commencerai l'interview quand vous le voudrez. Si vous avez besoin de quelque chose pour vous déstresser, n'hésitez pas à demander. Je connais des vautours qui n'en auraient rien à faire de ça, mais pas moi.

La journaliste esquisse un sourire sincère en baissant un peu son attirail d'écriture pour montrer qu'elle est prête à attendre le temps qu'il faut pour que l'interrogée soit prête.

je regarde cette femme sorti sont bloc note et un stylo , elle me sourie pour me mettre en confiance .

-saryna : pose moi vos question

je respirais doucement pour faire tombe mon angoisse et mon stresse

( attention je risque d abreger )