[FIC] Baron de la Nuit [Terminée]

Suite au mariage qui eu lieu à la mairie de New Raccoon City, les heureux mariés se vont envolé tout droit vers un pays qui attire les foules en dépit des règles très stricts qui y régissent, sans que ça ne décourage ceux que l'on suit et que je vais vous décrire brièvement pour raviver les souvenirs.
S'appelait regrette sincèrement les saloperies qu'il a pu faire l'année passée avec Saryna Coleen quand il craignait énormément pour sa peau tant que les Avengers et leurs alliées étaient encore actif, ce qui était toutefois une peur justifié compte tenu des sévices qu'il a subi auparavant de la part d'Ailein Bartley.
Curie n'aurait pas cru pouvoir tomber sous le charme de cette boule de poil sur patte, mais son cœur a bien décidé que ce sera avec lui qu'elle pourra être heureuse le restant de ses jours, en priant pour que des vilains pas beaux tels jadis Fabuleux ou bien la Famille Grey ne vont pas le détruire par leur puissance.
Tous les deux sont actuellement dans leur hôtel avec tout plein d'étoiles en train de profiter de leur vacances ici, même si l'un des deux est pas content d'être ici que l'autre, et je vous laisse en profiter d'un instant de leurs moments pour découvrir de qui il s'agit, chose qui ne devrait pas être surprenante compte tenu de son caractère.

S'appelait : On ne peut ni manger du porc, ni se beurrer la gueule... C'est bien parce que c'est toi qui a voulu cet endroit pour notre lune de miel que j'ai accepté.

Curie : Je suis sûr que tu vas t'y plaire, si tu lui laisse sa chance.

S'appelait : J'peux pas saquer les islamistes donc c'est mal parti. Lina avait raison sur tout quand elle a voulu me dissuader de prendre cette décision.

Curie : Promis, la prochaine fois qu'on ira voyager quelque part entre amoureux, je ne choisirai pas un pays qui applique la charia.

S'appelait : Ta bouille toute douce me donne envie de moins râler, alors c'est ce que je vais essayer de faire.

Curie : Merci bien.

S'appelait : La pire des choses serait que je gâche ton bon moment avec ma mauvaise humeur.

Curie : Ne t'en fais pas, il me faudra plus pour me gâcher cette semaine à tes côtés dans ce lieu majestueux.

S'appelait : Fait un peu chaud d'un coup, ou c'est juste parce que je suis entièrement poilu dans un coin où le soleil tape aussi fort que Chuck Norris ?

Curie : La situation s'est peut être réchauffé entre nous deux.

La délicate femme tend ses bras pour prendre dans son emprise son mari qu'elle adore trop, afin de l'enlacer tendrement tout en déposant ses lèvres sur les siennes bien plus velues, chose qui lui fait très plaisir, ce qui fait qu'il l'accepte grandement en renforçant le mouvement.
C'est à ce moment là que la porte d'entrée de cette chambre d'hôtel s'ouvre, révélant un groom du nom de Ibrahim Salesh dont le nom s'affiche sur une pancarte de couleur à la Detective Conan car il va être un suspect pour une affaire qui va suivre, mais j'en dirai pas plus pour l'instant.

Ibrahim : Bonjour.

Curie : Bonjour.

S'appelait : Ouais bonjour.

Ibrahim : Je suis venu voir si tout allait bien pour vous deux, et pour vous demander quelque chose.

Curie : Quelque chose ?

S'appelait : Pas un pourboire j'espère.

Ibrahim : Non, c'est...

Curie : C'est... ?

Il sort un morceau de papier de son dos puis le tend vers l'heureux couple qui comprend immédiatement de quoi il s'agit, mais il lui laisse quand même l'initiative de dire ce dont il est question, car autant en avoir le preuve en main propre plutôt que de se planter royalement.
C'est donc avec une voix quelque peu fébrile que le garçon s'exprime, face contre terre, n'osant pas les regarder.

Ibrahim : Puis je avoir un autographe de vous deux !

S'appelait : Un autographe !?

Curie : Je ne savais pas que nous étions aussi connu.

Ibrahim : Je vous suis depuis longtemps, S'appelait le PDG de Sega et Curie la guérisseuse qui surpasse Ange.

S'appelait : J'ai plus l'habitude d'inspirer la peur plutôt que la joie.

Curie : On va signer votre autographe.

Tout content, dés que l'autographe est signé, il prend la fuite en sautillant tout en le tenant proche de son corps.
En profite pour rentrer dans notre histoire une certaine Mauce Suba, vieille femme de ménage qui est à moitié sourde et comprend tout de travers, bien qu'elle ne se soit pas fait encore virée alors qu'elle est sur la liste noire, donc ne soyez pas étonné si on finit par ne plus la revoir.

Mauce : Alors les jeunes, ça baise !?

S'appelait : Yep !

Mauce : Parlé plus fort, je n'entends rien !

S'appelait : YEP !!!

Mauce : Pas aussi fort !

S'appelait : Ayez, elle m'énerve déjà celle là

Mauce : Non, je ne porte pas de minerves, petit garçon.

S'appelait : En plus, elle est sourde, c'est génial.

Mauce : Aucune idée d'où peut se trouver le G-Man, je sais juste que ça va faire longtemps qu'on ne l'a pas vu faire un caméo.

S'appelait : Je laisse tomber.

Avec son aspirateur dernier cri, elle aspire les dernières saletés qu'elle a vu avant de s'en aller elle aussi.
Viens aussi soudainement que les autres avant lui, Kyle Edward, le directeur de cet établissement qui n'est pas originaire du coin, étant né en Afrique du Sud, mais comme il fait mauvais aux blancs d'être là bas, il s'est barré pour fonder son hôtel sur cet archipel aux règles restrictives.

Kyle : Voici donc les stars que notre humble auberge accueille.

Curie : On est vraiment super connues.

S'appelait : Ce que les gens connaissent moins, c'est mon rôle au sein de UNIT ou des Illuminatis.

Curie : C'est normal, de part leur nature plus secrètes.

Kyle : Dans tous les cas, vous êtes les bien venus ici, et vous aurez le droit à des privilèges.

S'appelait : De l'alcool et du porc.

Kyle : Il ne faut pas pousser le bouchon trop loin non plus.

S'appelait : J'aurais essayé au moins.

Curie : Tu n'as pas chance.

S'appelait : C'est tellement vrai.

Souriant à pleine dents, il s'éclipse alors, laissant la porte grande ouverte pour que quelqu'un d'autre puisse entrer.
Sarah Petrick, sœur d'Henri et elle aussi cliente de ce palace, elle en profite pour saluer ses nouveaux voisins qu'elle connait de réputation et qu'elle sait être proche des Avengers qui ont aidé par le passé son défunt frère lors de ses enquêtes auxquelles il se donnait à fond pour les résoudre comme à chaque fois.

Sarah : Bonjour, je suis la sœur de feu Henri Petrick. Je ne sais pas si vous avez pu le rencontrer au cours des dernières années de sa vie à filer un coup de pouce aux Avengers.

S'appelait : Oui j'ai pu le rencontrer quelques mois avant qu'il ne soit froidement assassiner par un tueur à gage de seconde zone, Ritchi Partout.

Sarah : En quelle occasion avez vous pu le rencontrer.

S'appelait : C'est une longue histoire, mais globalement on m'a demandé de lui demander de cesser d'enquêter sur le leader de UNIT de l'époque.

Sarah : J'espère que vous n'avez pas été trop dur avec lui.

S'appelait : Non ça allait, même si je n'ai pas pu de dissuader de quoi que ce soit.

Sarah : Tant mieux alors.

S'appelait : Ça avait l'air d'être un homme bien

Sarah : Il l'était.

S'appelait : On ne va pas plus vous déranger, mais c'était sympa de vous avoir parler, la sœur du French Détective.

Sans aucune animosité, il la raccompagne vers la sortie de la chambre où ils se saluent peut être pour la dernière fois, sans que personne d'autre n'intervienne à nouveau pour faire son intéressant, ce qui permet aux deux amoureux de se poser tranquille pour souffler un peu avant de profiter de leurs vacances.
Sans le savoir, un vil sourire se dessine dans la pénombre, à leur intention.

Les évènements qui ont mené à l'incarcération de la marmotte des glaces nommée S'appelait reste pour l'instant un mystère, mais bientôt je vous aurai conté ce qu'il s'est passé pour en venir ça, bien qu'en attendant il faudra être patient, comme l'a été la plus haute d'affiche présente sur les lieux.
Rob Dealer a reçu un petit coup de pouce il y a à peu près trois mois de ça, et depuis il a gravi les échelons d'une des organisations les plus puissantes de cet univers connu, prenant la place du défunt Nick Fury Senior qui aurait péri d'un infarctus suite à son âge véritable qui a pris le dessus sur la jeunesse physique qu'il arborait.
Augustus Oduya, Colonel en charge du Royaume Uni, a été convié ici par le nouveau venu qui est son supérieur hiérarchique, et on peut sentir à sa manière de marcher au côté de l'autre gaillard de plutôt petite taille, ainsi que de regarder son visage, qu'il ne l'apprécie pas vraiment, et cela va bientôt se ressentir, juste pour moi le temps de présenter la dernière personne présente avec eux..
Richard Blake, un Major basé à Londres en tant normal est aussi de la partie, sauf qu'il se montre bien plus cordiale envers son très haut supérieur, peut importe les ordres donnés car il obéira quoi qu'il arrive comme un gentil petit chien chien fier d'être devant son maître, au point de marcher en trois quart devant lui, afin de pouvoir assurer ses devant tout en suivant le bon chemin qu'aucun des trois ne connaissaient sans carte.

Augustus : Je ne comprends pas pourquoi vous avez fait appel à nous deux et pas au Colonel Mace.

Rob : C'est parce que j'ai plus confiance en vous, et je sais que vous saurez garder tout ce qui va suivre, secret.

Richard : Je saurai être silencieux sur vos actions.

Augustus : Cela dépend de ce que vous voulez faire.

Rob : Je compte faire libérer le détenu JP 123, dit S'appelait, et l'intégrer à nos unités.

Augustus : Des raisons pour cela ?

Rob : Oui, mais je les garde pour moi.

Augustus : Je ne peux pas vous promettre mon silence face au Colonel Mace quand il me posera des questions sur ça.

Rob : Heureusement que j'ai le Major Blake de mon côté pour le coup.

Richard : Merci Général Dealer.

Augustus : Si je devais vous donner mon avis, c'est une mauvaise idée de l'engager dans nos rangs.

Rob : Je n'ai pas demandé votre avis.

Augustus : Je le donne tout de même car je ne suis pas venu ici pour me tourner les pouces, même si je sais que je ne pourrai pas vous empêcher de faire ce que vous voulez faire.

Rob : Vous pouvez tout de même assister à sa libération si l'envie vous prend.

Augustus : C'est ce que je ferai, mais ne comptez pas sur moi pour vous appeler "Mon général".

Rob : Je continue à croire que vous avoir fait venir ici était une meilleure idée que de faire venir le Colonel Mace ou le Lieutenant-Général Sanchez.

Augustus : Ils auraient tenté de vous empêchez de faire ça.

Rob : Sauf que c'est moi votre chef suprême à présent, et vous pouvez toujours vainement tenté de me faire virer.

Augustus : Je n'arrive toujours pas à croire que le Général Fury ait pu périr lors de ses fonctions comme ça a été fait, alors qu'il était toujours au top de sa forme pour nous gouverner.

Richard : L'ex détenu vous attend mon Général.

Enfin, ils parviennent à la bonne cellule où des gardes en rouge et noir patrouillent en ronde devant elle notamment, et le suce boule tend sa main vers son maître pour lui permettre d'y avancer, désactivant temporairement le système de sécurité sous la forme de flammes pour ce détenu craignant le feu, étant personnalisé en fonction de qui est dans la cage blanche, afin de s'assurer qu'ils ne prendront pas la poudre d'escampette.
Le prisonnier, S'appelait pour ceux qui ne suivent pas, jette un regard intrigué vers cette soudaine visite matinale, lui qui n'a pas fermé l'œil de la nuit, et il a un putain de mal de crane donc il n'est pas trop prêt pour une conversation.

S'appelait : Qu'est ce que vous me voulez ?

Rob : Tu es libre. Tes amies aussi.

S'appelait : J'ai dû mal à croire que UNIT ait si soudainement gagné un cœur après toutes ces années passé derrière cas barreaux enflammés.

Rob : Pourtant je dis vrai, tu peux sortir à présent.

S'appelait : Qu'est ce que t'y gagnes ?

Rob : Je pourrai t'offrir une place d'or au sein de UNIT, rien que pour toi.

S'appelait : Si c'est ça, autant aller à fond et devenir membre des Illuminatis... Ou bien PDG de Sega.

Rob : Ma proposition est très sérieuse.

S'appelait : Après il y a pire comme job, et si je peux procrastiner devant mon ordinateur sans rien branler, pourquoi pas. J'accepte.

Rob : Bien, tu as été plutôt facile à convaincre.

S'appelait : Je refuse jamais un job facile, surtout si c'est bien payé.... C'est bien payé ?

Rob : Oh que oui.

Augustus : Je me demande quelle idée saugrenue vous avez eu derrière la tête pour le faire sortir lui.

Rob : J'ai mes motivations que je ne te dirai toujours pas. En revanche je suis disposé à les révéler à cette marmotte en entretien privée si elle le souhaite.

S'appelait : J'ai un nom vous le savez ? Et c'est pas "cette marmotte".

Rob : Pardonne mon manque de tact, je n'ai pas encore l'habitude du rôle que j'endosse.

Augustus : Je ne vais pas perdre une seconde de plus de mon temps ici, au revoir.

Richard : Je vous accompagne vers la sortie ?

Augustus : Si vous le voulez bien.

S'appelait : Quel rabat joie. Tout ça parce qu'il n'a pas le rôle central ici.

Sans trop savoir sur quoi il va mettre ses pattes, l'être venu d'une autre dimension va faire partie d'une immense conspiration tenue en secret par des créatures naviguant entre les mondes, et qui veulent les détruire si possible, dans le but de se venger de leur créateur suprême.
Sauf que ceci est une autre histoire, et nous allons d'abord voyager plus loin en avant dans le temps pour la suite.

Au troisième sous sol de cet établissement hospitalier, une figure escortée par quelques gars au treillis militaires noirs et au bérets rouges se trouve dans l'ascenseur menant à l'étage donnée, s'agissant en réalité de celui qu'on surnomme le French Detective, dont ce n'est pas la première fois qu'il visite le coin.
Henri Petrick, est toutefois mieux traité qu'à l'époque, et il va pouvoir rencontrer les nouveaux venus qui n'étaient pas là à ce moment là quand c'était encore la Capitaine Marion Price qui tenait les rênes de cet endroit, et d'ailleurs les portes de l'élévateur s'ouvrent sur un visage inconnu qui attendait son arrivée.
Axan 'Ulgara, un Sangheili étant Sergent Major chez UNIT, ne cache pas son animosité envers le détective privé qui a été convié sur son lieu de travail, bien qu'il réagisse pas toujours comme ça avec les étrangers de passage dans le coin, donc il n'y a rien à craindre puisqu'il ne vous mordra pas.
Le français s'approche de lui avec la ferme attention de lui demandé son chemin, et c'est ce que l'on va écouter là.

Henri : Bonjour, est ce que vous pourriez me conduire jusqu'à votre chef, S'appelait.

Axan : Je me demande ce qu'il vous veut.

Henri : Je pense savoir pourquoi.

Axan : Tant que vous ne faites pas de grabuge ici, tout ira bien.

Henri : Ne vous en faites, je ne suis pas du genre à faire du remue ménage.

Axan : C'est ce que j'ai cru comprendre, mais j'aime pas votre tête alors je me méfie un peu.

Henri : Il ne faut pas juger quelqu'un uniquement sur son visage.

Axan : Je dois vous croire, vous qui passez votre temps à scruter les moindres détails des personnes que vous voyez pour en savoir plus sur celles ci.

Henri : Je pense que l'on part du mauvais pied, mais je tiens vraiment à vous assurer que je ne cherche pas les ennuis, et que je dois juste discuter avec votre patron d'une affaire en cours.

Axan : Bon suivez moi alors, qu'on n'y passe pas quinze ans.

Sans perdre plus de temps, l'invité suit l'extra-terrestre dans les couloirs de ce complexe militaire dont on peut se demander comment il a pu être construit sans attiré l'attention des curieux, un peu comme les nombreuses bases d'Umbrella Corporation jadis.
Ensemble ils arrivent au bureau de S'appelait comme c'est indiqué sur la porte qui y mène, et on peut entendre une conversation sourde provenir de l'intérieur de celui ci, montrant qu'il est déjà occupé à parler à un interlocuteur inconnu dont le mystère n'en restera pas longtemps un.
Axan toque trois fois puis attend qu'on l'invite à entrer pour ouvrir la porte, et une fois ceci fait, on peut apercevoir la personne qui se trouve assise devant le bureau où se trouve la marmotte humanoïde, à savoir le Colonel Alan Mace en charge des Etats Unis d'Amérique.
Ce dernier se lève en remettant son couvre chef qu'il avait enlevé, puis il se tourne vers les nouveaux venus tout en s'adressant toujours à son hôte d'un grade inférieur à lui, usant des politesses pour se montrer courtois, ce qu'il n'a pas toujours été avant d'arriver à son haut poste.

Alan : Nous continuerons notre conversation une autre fois.

S'appelait : Axan, accompagne le Colonel Mace jusqu'à la sortie.

Axan : Bien reçu.

S'appelait : Quant à toi Henri, assis toi.

L'alien sort de la pièce avec l'humain sacrément bien gradé tout en fermant la porte derrière lui, laissant Henri s'asseoir à la place où était le colonel juste avant, se montrant plutôt bienveillant envers celui qui l'a fait amener ici, n'ayant aucune raison de montrer de l'animosité face à lui.
Ceci semble être réciproque, même si la bestiole sur deux pattes semble montrer une certaine gêne envers lui.

S'appelait : Je vais être familier envers toi Henri, comme je le suis avec tout le monde, donc ne le prends pas pour toi.

Henri : Je n'ai aucun problème à ça, même si j'aime bien les discutions plus courtoises où on cause en français tout en vouvoyant.

S'appelait : Je sais bien causer français donc ce n'est pas un problème pour moi.

Henri : Tant mieux alors.

S'appelait : Par contre, est ce que tu devines la raison de ta venue ici ?

Henri : Je pense oui.

L'animal bipède et poilu se redresse sur sa chaise, montrant un intérêt face aux déductions du bonhomme.

S'appelait : Ah oui ? Dis moi laquelle.

Henri : Je devine que c'est Rob Dealer qui t'as fait pression pour interférer dans mon enquête sur lui. Ai je juste ?

La marmotte anthropomorphe s'avachie sur son siège, en démontrant une certaine gêne qui montre qu'il a eu juste.

S'appelait : Bingo, tu as touché le gros lot !

Henri : Je n'arrêterai pas mon enquête, peu importe les menaces qu'il me profère.

S'appelait : Tu as de solides amitiés qui peuvent te protéger, mais fais quand même attention à où tu mets les pieds.

Henri : Je m'attendais à que tu sois plus agressifs envers moi.

S'appelait : J'aurais pu l'être, car sans Rob, je ne serai pas à la place où je suis aujourd'hui, mais j'aime pas qu'on me dicte des trucs sans me demander mon avis là dessus.

Henri : Je pense être proche de la vérité concernant l'accession au pouvoir de UNIT de ce cher Rob Dealer, et d'ici quelques mois je réussirai à la faire tomber.

S'appelait : J'espère que tu t'en prendras pas à moi au passage.

Henri : Non. Je me suis renseigner à ton sujet avant de venir, et je juge que tu mérites pas de tomber avec lui.

S'appelait : Tant mieux alors. Je te souhaites bon courage pour ton enquête alors.

Henri : Merci. Est ce que tu peux me filer des infos sur Rob ou tu as peur de risquer trop ta place en le faisant.

S'appelait : Je ne peux pas le trahir car je lui dois beaucoup de choses comme tu le sais. Donc je dirai rien.

Henri : Au moins j'aurais essayer.

S'appelait : Tu as besoin qu'on te raccompagne à la sortie, ou c'est bon ?

Henri : Non c'est bon, je saurai me débrouiller.

S'appelait : Fais gaffe à toi dans ton investigation.

Henri : Encore merci d'avoir été sympa avec moi.

S'appelait : On se retrouve après que tu ai réussi à le coffrer.

Henri : Cela marche.

Le French Détective se lève puis salut d'un mouvement de sa tête, ainsi que de son chapeau au passage, l'hôte qui a bien voulu lui parler de manière très franche même si il n'a pas trahi celui qui lui a sauvé la mise auparavant, ayant encore le code de l'honneur qui coule dans son sang.
C'est ainsi que se termine l'entrevu entre ces personnages qu'on avait encore jadis vu ensemble jusqu'à présent.

L'enterrement de vie de garçon de S'appelait se passe de la manière la plus festive qui soit, avec de l'alcool qui coule à  foison, et des confettis qui sont lancés à un intervalle régulier, avec plusieurs inconnus qui se joignent à la fête sans savoir à quoi ils participent, mais c'est là qu'on sent la convivialité qui règne dans ce bar.
Léa Irving est une vieille amie de la marmotte joyeuse, bien que leur relation a très mal commencé quand elle a contribué à son arrestation initiale qui a enchaîne plusieurs évènements dont on a été spectateurs avant d'en arriver à là, comme quand Rob Dealer l'a libéré de prison et la visite d'Henri Petrick qui a suivi.
Thomas est le petit copain de la belle femme aux cheveux roses, et il aime bien se faire remarquer par des remarques soit sarcastiques, soit très connes où il faudrait mieux qu'il se la ferme pour ne pas dire de telles conneries, tout comme ses amies Maxime Moulin et Stive People, bien que ce dernier n'ait pas d'ironie dans ses dialogues.
Marco, le gérant de cet endroit magique est occupé à déambuler entre les différents clients, aidé par ses serveuses, afin que chacun ait le droit à son verre sans leur faire perdre du temps, et entre chaque commande, il a le temps d'écouter un peu le trio de tête dont on va suivre la conversation à présent.

Thomas : Tu sais, pour moi le serveur trans qui se fait passer pour une femme reste un homme !

S'appelait : Tu veux vraiment partir sur ce débat !?

Thomas : Oui, bien sûr !

S'appelait : Faut apprendre la tolérance mon p'tit gars !

Thomas : Tu vas me traiter de facho ou d'extrême droite !

S'appelait : Non, je ne suis pas assez con pour partir là dessus !

Thomas : Ah bon !?

S'appelait : Déjà il y a plusieurs wokes qui me traitent de la sorte, et je les emmerde !

Thomas : Bien dit !

S'appelait : En revanche j'estime que les trans ont le droit d'exister, et qu'ils ont le droit de choisir leur sexe !

Thomas : Leur sexe est déterminer à la naissance ! Homme ou femme !

S'appelait : Ils ont peut être pas eu le sexe qu'ils auraient voulu avoir !

Thomas : Il n'y a pas de choix ! Ils sont endoctrinés par leurs parents et l'État Français !

S'appelait : Mais bien sûr !

Thomas : Jordan Bardella a dit sur... !

S'appelait : On s'en fout de Bardella, ou de Marine Le Pen !

Thomas : Pour Marine, je suis d'accord !

Léa : C'est bien, vous avez fini par vous entendre sur quelque chose !

Thomas : En effet, c'est déjà ça de pris !

S'appelait : Passons sur autre chose, avant que ça m'énerve à m'hérisser le poil !

Celui pour qui cela devrait être demain le plus beau jour de sa vie semble faire la gueule, alors que normalement il devrait être tout sourire, mais bon il peut compter sur ses proches afin d'aller mieux, à l'instart de celle que l'on surnomme Lightning et celui que l'on appelle TH5.
La femme d'une quarantaine d'années pose sa pinte de bière juste à côté du verre de la marmotte, puis lui parle.

Léa : Ça va, t'es content de la fête que l'on a organisé en ton honneur !?

S'appelait : Ouais, l'ambiance est pas mal, malgré les dires de ton mec !

Thomas : Hé !

Léa : Il aime bien se faire remarquer, c'est tout !

S'appelait : Je suis content que vous soyez là pour moi, vous tous !

Léa : C'est normal, nous sommes tes amies !

S'appelait : La notion d'amitié doit faire bizarre pour toi !

Léa : Plus vraiment, car ça fait vingt ans que j'ai appris à m'habituer à ça !

S'appelait : Grâce à tes anciens compagnons de la Cobratoile !

Léa : Dommage qu'ils soient presque tous morts, si on ne compte pas Ange ou Erza !

S'appelait : Les magouilles sous Chirac étaient forts de ce que j'ai entendu dire !

Léa : La Crisis était pire !

S'appelait : Cela devait être bien merdique de grandir chez eux à l'époque !

Léa : Je ne te le fait pas dire !

S'appelait : Holt fait aussi parti de ceux qui ont changé ta vie !

Léa : Ce n'était pas un ange, loin de là, mais je ne regrette pas ma relation avec lui, contrairement à Erza !

S'appelait : Il y en a un qui doit être jaloux !

Thomas : Non ça va, pas spécialement !

Léa : J'attire les cas pathologiques.

Thomas : Mais eu... !

Léa : Je plaisante !

Thomas : Ouf !

S'appelait : On a tous un passé que l'on regrette !

Léa : Toi, tu dois regretter d'avoir tenté d'envahir notre dimension en deux mille huit !

S'appelait : Un peu !

Léa : Seulement un peu !?

S'appelait : Un peu beaucoup !

Léa : Si on avait pas été là avec Erza, vous auriez peut être gagné !

S'appelait : Je regrette beaucoup mes actions passés ! Vraiment beaucoup !

Léa : Comme nous tous ! Comme nous tous... !

C'est une note pas vraiment nostalgique que se termine ce passage haut en dialogues bien colorés, et j'espère que cela vous aura plus, tout en sachant que ce ne sera pas la dernière fois qu'on les verra ensemble, même si nous allons retrouver un autre couple plus central pour cette histoire.
Ceci, ce sera pour la prochaine fois, et je vous avertirai qu'il faille être patient avant d'avoir la suite.

Les festivités, ayant eu lieu plus tôt dans la journée avec pléthore de monde venus accueillir l'heureux couple lors de leur séjour à cet hôtel ont laissé place à un peu de calme alors que la nuit est tombée en fin de soirée, alors qu'ils peuvent profiter de ce moment rien qu'à eux pour peut être faire des galipettes, ou enfin presque.
Un appel téléphonique a lieu entre S'appelait et une récente connaissance, alors il a mis tout son attention sur la conversation qui suit, au détriment la femme qu'il a à ses côtés, mais il fait tout pour que ça ne traîne pas en longueur plus que ce qu'il faille.
En attendant, Curie est assis en tailleur sur le double lit, en train de pater une chaîne TV locale qui permet de mieux comprendre certaines coutumes du coin, et ça si il y a bien un truc que la dame adore au plus haut point, c'est le fait d'emmagasiner le plus d'informations que possible afin de mettre à jour régulièrement son esprit synthétique.
À l'autre bout du fils de la marmotte humanoïde se trouve Thomas Hubert, dit TH5, et pour une fois il se s'agit pas de sa compagne Léa Irving qui connait la bestiole toute poilue depuis bien plus longtemps que lui, mais ça nous permet de profiter de la fin de cet échange qui a durée tout de même une heure entière, ce qui est notable.

S'appelait : Tu passeras le bonjour à Lightning de notre part.

TH5 : Ça marche le castor.

Visiblement Thomas veut vraiment provoquer S'appelait, mais ce dernier sait comment ne pas se laisser faire.

S'appelait : Bon bah salut monsieur le nerd à lunettes.

TH5 : Salut.

Cela raccroche, ce qui permis à la boule de poil de ranger son portable dans son fut, puis de se jeter dans les bras de sa copine qui est très contente d'être avec lui, et de l'avoir choisi pour rester le restant de ses jours en sa compagnie sans qu'aucun discorde ne pointe encore sa dure lame très froide.
Néanmoins, n'ayant suivi que la moitié de l'entretien téléphonique, la scientifique en herbe tient à en savoir plus.

Curie : Alors, qu'est ce que voulait Thomas ?

S'appelait : Il voulait savoir ce que Victoria Justice voulait dire en lui proposant de le payer en nature

Curie : Il est malheureusement un peu long à la détente, sans vouloir être méchant avec lui.

S'appelait : Il n'est pas prêt de la baiser.

Curie : C'est un peu cru dit comme ça, mais c'est vrai.

S'appelait : Je me demande comment il a réussi à se faire Lightning vu son niveau.

Curie : C'est un mystère qu'il nous reste encore à élucider.

S'appelait : On est le Scooby-Gang.

Curie : Je fais Velma et toi Shaggy.

S'appelait :: Zoinks !

En riant de bon cœur, ils s'installent encore plus en profondeur sur le matelas sur lequel ils se trouvent.

S'appelait : Finalement, c'est pas si mal les Maldives.

Curie : Tu dis ça parce qu'on est traité comme des princes, contrairement aux autres touristes.

S'appelait : Complètement.

??? : Cela ne durera plus longtemps !

Une voix modifiée électroniquement, à la manière d'un Ghostface, se fait entendre provenant de la fenêtre qu'ils ont laissé ouverte pour que l'air frais rentre un peu, et en se retournant pour y faire face, ils découvrent avec stupeur qu'un type se trouve accroupis sur l'espace qui sépare l'intérieur de l'extérieur.
Le Baron de la Nuit tel qu'on va le surnommer, arbore un chapeau haut de forme du style Layton, sauf en bleu foncé, et ce qui le caractérise le plus c'est ce masque gris clair qu'il porte sur son visage, masquant sa véritable identité, qui dépeint un sourire limite plus glaçant que Mister Chuckle Teeth, en ajoutant à ça ses yeux aussi lumineux que deux faisceaux de lampes torches.
De son imperméable, il sort une épée qui a pour originalité le fait d'être enflammé, ce qui en jette beaucoup au niveau des couleurs, mais qui se montre aussi redoutable quand le voilà qu'il se jette sur Curie, bien que S'appelait s'interpose avec son plumage devenant d'un coup aussi blancs que de la neige, ce qui le l'empêche pas d'être blessé par cette attaque qu'il subit, le faisant finir à terre en souffrant le martyre.
L'humaine tente de s'approcher de son mari pour s'assurer qu'il aille bien, et le soigner si besoin, sauf que la silhouette élégante se rue sur elle pour l'assommer d'un coup de pommeau contre l'arrière du crane, avant l'embarquer sur son dos à la manière d'un sac qu'il porterait, avec plusieurs kilos en trop.

S'appelait : Curie !

Baron : Il te faudra te surpasser pour la mériter !

Un rire machiavélique émane de ce dernier alors qu'il s'éclipse par la même fenêtre par la quelle il a pénétré en ce lieu, tout en emportant au passage la mariée, devant l'impuissance du compagnon de pouvoir faire quelque chose, rappelant quelques défaites qu'il a déjà eu par le passé face à des Gilbert Montagné ou des Saryna Coleen.
Les armes finissent par surgir, en même temps que des toquements sur la porte car les voisins, ainsi que la personnel de l'établissement se demande ce que c'était que petit boucan qu'il y a eu lieu, sans savoir la gravité de la situation telle qu'elle est vécue par la marmotte.
Celle ci jure au fond d'elle qu'elle retrouvera sa femme, quoi qu'il en coûte, oh ça oui il peut se le dire.
Reste plus qu'à ce qu'il va faire quand ses blessures seront pensées.

Les services sont saturés, tellement il y a de patients qui circulent, mais cela n'empêche pas le service hospitalier de se montrer efficace, contrairement à ce qui a pu se passer en France avant que Gilbert Montagné ne monte au pouvoir pour améliorer es choses avec son gouvernement bien choisi.
S'appelait est admis ici à cause de la blessure que le Baron de la Nuit lui a infligé, et qui aurait pu lui couter la vie tellement elle a failli toucher d'important organes vitaux, mais finalement il y a eu plus de peur que de mal, grâce encore une fois au professionnalisme des soignants.
Léa Irving a fait tout un voyage pour rendre visite à la dernière minute à son ami qui a failli y passer, ce qui montre que malgré la froideur dont elle peut parfois faire preuve, elle se montre soucieuse de son entourage, et elle n'est pas la seule à avoir fait le déplacement pour l'occasion.
Thomas Hubert a beau charrier énormément la marmotte dés qu'il le peut, il montre aujourd'hui qu'il tient quand même à lui d'une certaine manière, et il regretterait beaucoup son éventuelle disparition si un truc grave comme celui là se passerait à nouveau sans que l'on réussisse à le sauver cette fois ci.
Masumi Sera est étonnamment présente dans la chambre d'hôpital du marié car Lightning l'a invité à venir ici pour une raison qui pourrait évidente et qui n'a pas besoin d'être dit à l'oral, puisqu'il s'agit d'enquêter sur ce nouveau mystère qui s'est montré en plein jour pour l'occasion.
Néanmoins une petite tension a lieu entre la boule de poil et la détective privée car la dernière fois fois qu'ils se sont rencontrés, ils n'étaient clairement pas dans le même camp, et ils ont failli s'entre tuer, c'est pour dire à quel point c'est gravissime, même si ils vont éventuellement passer outre pour l'instant.

S'appelait : Cela fait longtemps que l'on s'est pas vu.

Masumi : La dernière fois, ce fut assez tumultueuse comme rencontre.

S'appelait : À bord d'une infirmerie volante, quand j'essayais de buter Saryna Coleen à cause de ma peur profonde.

Masumi : J'ai failli crever de tes mains ce jour là, si Curie n'était pas intervenu pour stabiliser mon état à la dernière minute.

S'appelait : Tu m'avais mis une bonne rouste aussi, je dois bien l'avouer.

Masumi : On fait la paix ?

S'appelait : Ouais, pour le bien de Curie.

Masumi : Pour son bien.

S'appelait : Il faut la retrouver.

Masumi : Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour vous réunir tous les deux.

Elle lui prend la main pour se montrer chaleureuse, bien qu'il n'y ait rien de romantique dans ce geste car les deux amoureux restent fidèles à leur compagnons du cœur, bien qu'il y a en à un qui participe à un ménage à quatre, tandis que l'autre est un simple duo hétérosexuel comme on peut voir habituellement dans la vie de tous les jours.
TH5 pense d'ailleurs au grand absent qui avait autre chose de mieux à faire aujourd'hui pour se montrer.

TH5 : Dommage que Max était trop occupé à jouer au dernier Fable pour venir.

Masumi : Miaouxime est trop adorable quand il est concentré sur ses jeux !

Léa : Certes, mais le plus important, ce n'est pas lui, mais bien Curie.

Masumi : Je sais.

Léa : Je te laisse poser les questions vu que c'est toi la détective privée.

Masumi : Tu as pas vu un détail sur le "Baron de la Nuit" comme les médias le nomment déjà ?

TH5 : Ce que je sais, c'est qu'il était plutôt grand si j'ai bien vu, en tout cas plus que Curie et moi.

Masumi : Intéressant ? Autre chose ?

TH5 : Je ne crois pas avoir perçu des nibards quand il a sorti son épée de son imperméable.

Masumi : Donc ce serait un homme ou une femme aux seins plats comme les miens, qui est grand.

TH5 : Il était gaucher aussi.

Masumi : Voilà un détail qui a son importance.

Léa : L'enquête progresse.

TH5 : Bien que l'on ne va pas y participer toi et moi.

Léa : En effet, donc on ne va pas tarder à vous laisser.

TH5 : À la revoyure !

Léa fait un petit signe de la main pour dire au revoir, suivi par son compagnon sexuel qui n'est pas toujours très intelligent mais qui pour une fois n'a pas fait tâche en comprenant tout ce qui a été dit, ce qui autrement aurait pu donner à des quiproquos qui rajoutent de l'humour à une histoire qui n'en a pas vraiment pour l'instant.
Ils s'en vont ainsi, laissant l'enquêtrice plus en intimité avec son client du jour, qui a été accepté par le grand boss.

S'appelait : Tu as déjà des suspects pour cette enquête ?

Masumi : Oui, quatre, que tu as déjà rencontrer la veille.

S'appelait : J'aurais bien aimé t'accompagner, mais je ne suis en l'état de sortir d'ici.

Masumi : Pas de souci, je les interrogerai tous, puis je viendrai en tirer des conclusions avec toi.

D'abord elle va tenir informer son supérieur, Silver Shroud, des informations que l'investigation a donné pour voir si il a de bonnes idées de son côté, puis elle ira réunir les quatre suspects que vous aurez sûrement reconnus si votre mémoire ne fait pas défaut, mais ça on verra ça la prochaine fois.
Aucun doute que cela risque d'être un grand spectacle amusant à observer, alors je vous dit à bientôt pour ça.

Masumi Sera a réuni les quatre principaux suspects dans l'affaire de l'agression de S'appelait te l'enlèvement de Curie, dans le hall de l'hôtel où ils se trouvent afin de se donner en spectacle comme elle n'a toujours fait et comme fait aussi son patron Silver Shroud quand il est là, en étant encore plus impitoyable.
Ibrahim Salesh est gaucher, de petite taille, et il ne comprend soit disant pas pourquoi il est là lui qui est un grand fan de la marmotte et de sa femme qui sont de véritables stars ayant de la chance de loger dans leur établissement, alors qu'on ne sait pas si il est honnête dans ses intentions.
Mauce Suba est droitière, de petite taille, à des seins plats et est toujours aussi sourde que d'habitude, ne comprenant pas non plus ce qu'elle fait là alors qu'elle a du boulot à faire avec sa serpillère, bien qu'on lui empêche de faire le nettoyage tant que le mystère n'est pas résolu.
Kyle Edward est droitier, de grande taille, et il essaye de garder le tête froide pour représenter l'hôtel qu'il gère, et il ne s'attendait à priori pas à ce qu'il y ait ce genre d'ennuis avec la simple présence des deux stars qu'ils ont hébergés ici avec une bonne hospitalité qui montre quand même leur professionnalisme.
Sarah Petrick est gauchère, de grande taille, possède une poitrine généreuse, et se montre distante vis à vis des accusations qui sont impliquées, à son encontre notamment, ce qui lui rappelle un peu quand son frère Henri était sur l'une de ses affaires, bien que lui faisait moins son chaud quand il accusait quelqu'un.
La détective privée métissée ne les a pas venir pour rien car elle a déjà résolu le cas en cours, grâce aux indices disséminées dans ce paragraphe que je vous ai présenté, et c'est avec son sourire de chat qu'elle hausse le ton de sa voix tout en se mettant au centre de la pièce et des des potentiels coupables.

Masumi : Le coupable, c'est cette personne !

Elle se retourne pour pointer du doigt la frangine du French Detective qui esquisse alors un sourire.

Sarah : Moi ? Pourquoi aurais je fait ça ?

Masumi : Pour venger votre défunt frère car vous pensez que c'est de la faute de S'appelait si il est mort.

D'un coup, elle perd le sourire qu'elle avait sur le visage, devenant bien plus grave face à cette accusation.

Masumi : Case Closed !

L'œil perçant, le sœur du défunt frangin ne tente même pas de mentir en niant la vérité, ou même de tenter de fuir.

Sarah : Vous m'avez percé à jour, donc je n'ai plus besoin de faire des faux semblant.

Masumi : Vous faites er...

Sarah : Ne tentez pas de me convaincre de l'innocence de S'appeler dans cette histoire car c'est faux.

Masumi : Pourtant c'est vrai.

Sarah : Ce salopard a laissé mon frère se faire chier sur cette affaire tout seul, et je suis sûr qu'il l'a condamné.

Masumi : Il ne l'a pas trahi.

Sarah : Si il ne l'avait pas fait, Henri serait encore vivant à l'heure actuelle.

Masumi : Celui auquel vous devriez en vouloir, c'est Rob Dealer.

Sarah : Rob Dealer est mort, il ne me ramènera pas mon frère.

Masumi : Vous semblez plutôt borné sur ce coup ci.

Voilà que Sarah se lève pour mieux faire face à son interlocutrice, tout en se mettant à dos les autres innocents.

Sarah : Je sais que je ne vous égalise pas au corps à corps, donc je ne vais même pas tenter de fuir.

Masumi : Choix plutôt judicieux.

Ibrahim : Il faut retrouver Curie car elle ne peut pas mourir, elle qui a tellement aidé de gens dans sa vie.

Sarah : Ne vous en faites pas, elle est en sécurité pour l'instant, mais si il ne se bouge pas, S'appelait la perdra.

Kyle : Vous ne vallez pas mieux que S'appelait à qui vous jeter tant de fautes.

Mauce : Pourquoi il lui jette autant de photos !?

Masumi : Nous retrouverons Curie, quoiqu'il arrive.

Sarah : Ce n'est pas votre épreuve, mais la sienne.

Masumi : Pour quelqu'un que vous avez l'air de détester, vous semblez être plutôt tolérante avec lui.

Sarah : Je le fait pour la mémoire d'Henri qui aurait voulu que je lui laisse au moins une chance de se rattraper.

Masumi : Vous vous trouvez des excuses.

Sarah : Je m'en fiche bien de ce que vous pouvez bien penser de moi.

Masumi : Vous ne voulez pas donner un indice sur la localisation de Curie ?

Sarah : Qu'il cherche au fond de son cœur, la réponse se trouvera là où il l'a abandonné.

Masumi : Bien énigmatique tout ça.

Sarah : C'est tout ce que j'aurais à dire pour l'aider, et je n'en dirai pas plus.

Elle tend ses mains jointes vers Masumi pour qu'elle l'arrête comme si elle était un policier, devant les regards médusés des trois autres bougres qui ne savent pas quoi rajouter pour l'occasion, ayant à peu près dit tout ce qu'ils avaient sur le cœur, bien que cela ne soit pas celui de S'appelait comme Sarah a pu le mentionner.
Il faudra vérifier ce qu'elle voulait dire par là, mais ça sera une autre fois qu'on verre ça, en visitant le bon gus.

L'heure est aux révélations que l'on a précédemment appris dans le chapitre précédent, sauf que cette fois il va falloir le dire à celui qui était absent lors de cette occasion, et qui n'attend que ça, que l'affaire soit simplifiée à ses oreilles, comme vous allez pouvoir le découvrir à présent.
S'appelait est sous le choc de découvrir qui a fait le coup, bien qu'il puisse comprendre pourquoi elle lui en veut, même si il n'aurait jamais cru qu'elle aille à ce point là dans la direction qu'elle a emprunté, mais il faut dire que les humains sont forts pour exagérer, même si les marmottes peuvent les battre à ce jeu là.
Masumi Sera est celle qui lui a détaillée toute l'histoire vu qu'elle a eu le mérite de découvrir qui était la coupable dans ce sordide mystère qui n'aurait jamais dû avoir lieu si les gens s'étaient parlé tranquillement autour de la situation afin de trouver des arrangements au lieu d'aller à l'excessif.
La détective privée se trouve assise sur une chaise posée à côté du lit d'hôpital où se trouve son interlocuteur, et elle est prête a engager une conversation plus ou moins longue sur le sujet, avec pour but de localiser l'endroit où Curie est retenue prisonnière.

S'appelait : J'ai dû mal à croire que Sarah Petrick ait osé touché à ma Curie pour m'atteindre moi.

Masumi : Pourtant, c'est bel et bien le cas.

S'appelait : Elle n'a en revanche pas tort de m'en vouloir de n'avoir rien fait pour protéger son frère.

Masumi : Des regrets ?

S'appelait : Beaucoup.

Masumi : Je m'en doutais.

S'appelait : Ce type, Rob Dealer a fait énormément de mal à autrui, mais comme il m'a sorti de taule, je lui étais fidèle.

Masumi : Ce n'était pas ta faute car d'autres gens auraient agis pareillement à ta place, car même si c'était un connard avec les autres, avec toi il a été doux.

S'appelait : Il s'est quand même allié à des êtres qui ont voulu détruire le monde.

Masumi : Les dieux dragons. Grand Rouge et Tenebris.

S'appelait : Moi qui avait peur des gens plus puissants que moi, ils me terrifiaient.

Masumi : Tu ne t'ai pas rangé lors de l'épisode du bunker ou de l'attaque sur les Avengers.

S'appelait :

Masumi : Tu t'es amélioré. C'est ça l'essentiel.

S'appelait : Ouais, on dire cela.

Masumi : Il nous fait encore trouver où est ce qu'elle a enfermé Curie.

S'appelait : J'ai peut être une idée là dessus.

Masumi : Ah oui ?

S'appelait : Je crois que l'endroit où j'ai laissé mon cœur, c'est l'ancienne prison de UNIT dont il m'a fait sortir.

Masumi : Je ne l'ai jamais exploré.

S'appelait : Cela fait déjà sept ans qu'une attaque terroriste l'a touché et que le Colonel Macé y a péri.

Masumi : Elle se trouve où cette ancienne prison ?

S'appelait : Au 31 Flunch Street, dans l'arrondissement de Staten Island à New York City.

Masumi : Très bien, je m'y rendrai vérifier si c'est bien par là qu'elle l'aurait emmené.

S'appelait : N'y va pas toute seule, au cas où il y aurait un piège.

Masumi : Je peux me débrouiller seule, mais je vais toutefois écouter ton conseil, pour le bien de Curie.

S'appelait : Bon courage à toi.

Masumi : Et toi remet toi bien de ta blessure.

Désormais, elle s'absente pour mettre un terme à cette enquête en espérant que cet endroit soit le bon, donc il faut croiser les doigts et regarder ce qui va advenir de la métissée qui se lance à l'aventure, avec la suite qui aura lieu en Amérique, tout en rappelant des souvenirs pour les plus vieux d'entre vous.
Ceux ci ont connu la raison pour laquelle la prison de UNIT a explosé en ce terrible jour de 2017.

Jadis, ce fut ici que furent envoyés les criminels ayant des pouvoirs ne les permettant pas d'être admis dans des prisons ordinaires et qui avaient quelque chose à voir le domaine de prédilection de UNIT qu'est le surnaturel, ainsi que les extra-terrestres, alors autant dire que c'était tenu secret du public.
Aujourd'hui, seules des ruines subsistent de cet autrefois imposant bâtiment, bien que cela n'empêche pas de vils gredins d'aller les murs, ou pire, d'y enfermer une personne à l'insu de son plein grès, obligeant ses proches à venir la chercher par ici, en se demandant où exactement elle est enfermée.
Masumi Sera est la première à s'être arrêtée en face de cette installation humaine, mais elle n'a pas prévu d'y pénétrer tant que les renforts ne sont pas là car elle n'est pas idiote puisque se jeter la tête la première là dedans serait dangereux si jamais il y a des pièges qui y ont été mis par Sarah Petrick.
Au bout de quelques minutes, des Chevrolet Impala de la New York Police Department font leur apparitions, se garant au beau milieu de la route, délimitant le périmètre contrôlé, tandis qu'un véhicule banalisé s'arrête entre toutes les autres voitures, révélant le Lieutenant de la Major Case, Molly von Richthofen.
Cette icone de la police de cette citée sait se faire remarquer avec son décolleté de la mort, et ses lunettes de soleil qui nous cache son regard qui toutefois on peut deviner qu'il se centre vers la seule civil présente sur la zone qu'ils quadrillent, et qui a la chance de ne pas être obligée de partir d'ici car elle bosse en consultant avec eux sur cette affaire loin d'être ordinaire si on peut le dire.
Sans perdre plus de temps elle s'approche de la métissée anglo-japonaise afin de lui adresser quelques mots tout en s'allumant une clope pour l'occasion car elle veut fumer un bon goût avant que l'opération ne commence vraiment.

Molly : Vous avez une solide réputation qui dépasse votre métier vu que certains de la circulation, ainsi que de mes hommes, ont entendu parlé de vous.

Masumi : Je ne pensais pas être connue jusqu'à New York.

Molly : Vous avez sauvé Saryna Coleen, celle qui s'est dressée contre notre ancien gouvernement qui était conspué par beaucoup, et vous avez failli y laissée la vie, donc ça marque les gens.

Masumi : On dirait que j'ai une meilleure réputation ici que Leon Kennedy.

Molly : Vous voulez un flingue pour l'occasion ?

Masumi : Non merci, je préfère combattre au corps à corps.

Molly : Vous avez sacrément confiance en vos capacités.

Masumi : Je veux honorer la mémoire de l'un de mes défunts grands frères qui maîtrisait le Jeet Kune Do.

Molly : Essayez tout de même de rester proche de moi ou d'un des autres officiers, au cas où.

Masumi : D'accord, ça marche.

La détective privée laisse les hommes de loi faire leur boulot en ouvrant la voie, ouvrant la première porte qui les mène jusqu'à un hall d'accueil laissé à l'abandon depuis des années, avec le plafond qui tombe en morceau, laissant passer les rayons du soleil, haut dans le ciel.
Là trois chemins s'offrent à eux, à savoir un couloir à droite qui va les amener jusqu'à ce qui reste des ascenseurs qui menaient aux étages supérieurs, en face un petit salon détente pour les employer derrière le guichet d'entrée, et pour finir à gauche une porte qui mène aux escaliers de secours où on peut accéder au sous sol de là.
La flic au fort tempérament fait des signes à ceux sous ses ordres de se déparer pour couvrir le plus de terrain que possible, alors que elle emprunte la troisième voie citée en étant collée de très près par la civil dont les poings et les pieds sont des armes, ainsi que par trois officiers en uniforme qui couvrent leurs arrières.
Ce chemin les emmène tout droit vers le groupe électrogène en s'arrêtant au dernier niveau, le -3,ene sachant qu'il n'a plus servi depuis que les lieux ont été laissé à priori tel quel ce jour là, tandis que leurs lampes torches à ceux que l'on suit leur serve à éclairer cet endroit où il ferait tout noir autrement.
Leur but ne sera pas de refaire fonctionner le bousin, alors autant dire que le reste de leur recherche risque de se faire toujours dans la pénombre, avec Molly qui s'approche de la seule autre porte de la pièce, faite celle ci d'un métal inconnu qui est probablement en acier ou en tout cas une matière très résistante.
En essayant de forcer celle ci, la madame tombe sur un hic, c'est qu'elle ne bouge pas, peu importe le force qu'elle y met devant, et l'autre truc qui est embêtant c'est ce petit rire modifié électroniquement qui survient juste après, venant d'on ne sait où dans cette pièce, les entourant comme si ils étaient au piège.

Baron : Vous croyez pouvoir sortir d'ici avec la personne que vous êtes venue chercher, sans effort ?

Molly : Montrez vous ,qui que vous soyez !

Baron : Essayez donc de m'arrêter pour voir !

Officier : Là !

Un des policiers braque son faisceau de lumière vers une ombre mouvante qui l'attaque en le tranchant avec une lame enflammée, avant de s'en prendre aux deux autres gars les plus proche, décapitant le dernier qui a essayé en vain de lui tirer dessus avec son simple neuf millimètre, laissant sa tête rouler aux pieds de la chef.
L'attention du meurtrier se fond sur elle, et elle parvient de justesse d'éviter un coup mortel, mais pas à l'esquiver assez puisqu'elle se fait entailler le bras gauche alors qu'elle recule afin de mettre de la distance entre elle et le Baron de la Nuit dont les yeux éclairants ont de quoi faire vraiment flipper.
C'est alors que pour lutter contre cette figure obscure, apparaît Masumi Sera qui se met en elle et sa cible, en imitant Bruce Lee, le tout avec un sourire confiant sur son visage pour montrer qu'elle maîtrise la situation, et qu'elle ne va pas se laisser avoir une deuxième fois comme quand elle s'était confronté à S'appelait l'autre fois.
Le prochain coup porté par le méchant est évité avec brio par la femme à la dent de chat, qui répond en même temps que l'esquive par un coup de genou dans les couilles qui n'est pas du tout évité, et qui réussit l'exploit de vaincre en un seul coup son adversaire qui lâche aussi l'épée cheatée au passage pour qu'il ne fasse plus de mal à personne.

Masumi : Vous allez bien Molly ?

Molly : Mieux que ces types. Les pauvres...

Masumi : Je crois qu'il est temps de démasquer le méchant.

Molly : Je croyais que vous aviez déjà chopé la personne derrière tout ça. Vous avez dû vous planter.

Masumi : C'est vrai que c'est bizarre.

Baron : Vous avez arrêtez seulement ma partenaire et compagne dans la vie de tous les jours.

Le vilain se démasque lui même, se révélant être le Second Lieutenant de UNIT, Pitchoune Petrick, le mari de la sœur d'Henri qui jusqu'à présent n'avait fait que deux apparitions au total, une pendant le grande guerre qui a ravagé New York en 2018, et une autre fois récemment lors d'une opération menée par les Avengers.
Autant dire que si vous ne le reconnaissez pas, c'est normal, et vous rapprochez ainsi de la détective privée qui n'a aucune idée de qui il s'agit exactement, n'ayant pas fait des recherches sur le conjoint de Sarah, donc elle va poser des questions qui vont vous paraître évidemment maintenant que j'ai énoncé les réponses.

Masumi : Je n'aurai jamais pensé que vous vous étiez acoquiné avec elle pour son plan.

Pitchoune : C'était pour se venger de cette foutue marmotte qui a fait que du mal autour de lui.

Masumi : Il n'a pas toujours été un saint, mais il cherche à se racheter.

Pitchoune : Il aurait dû périr avec cette Saryna Coleen qu'il a essayé de flinguer.

Masumi : Mon petit copain a eu aussi sa phase sombre, mais aujourd'hui il est plus gentil.

Pitchoune : Vous ne me convaincrez de rien.

Molly : Vous croyez valoir mieux après avoir couper en morceau trois officiers innocents.

Pitchoune : Ils sont morts en faisant leur boulot.

Molly : Ordure !

Masumi : Récupérons Curie qui doit être derrière cette porte, et embarquons le pour une cellule rien qu'à lui.

La policière s'occupe du criminel contre qui elle a une dent parce qu'il a assassiné avec mépris ses collègues de boulot, et elle laisse seule la PI tenter de forcer la serrure de la porte qui lui fait face afin de venir en aide à celle pour qu'ils sont venus jusque dans ce lieu insalubre pour la sauver, étant sûre et certaine qu'elle se trouve là.
Un petit peu de curie est mis dans le plat, et il reste encore à voir si ça aura bon goût au bout du compte.

S'appelait reçoit encore de la visite aujourd'hui, déjà qu'ils en avait reçu au moins deux la veille avec la détective privée qu'il a embauché gratuitement pour retrouver la piste de sa femme, enlever par des méchants barons de la nuit dont les identités ont été percés à jour, même si c'était pas avec les bonnes règles qu'ils avaient abattus leurs cartes.
Léa Irving est très heureuse, bien qu'elle ne le montre pas tant que ça physiquement, hormis pour ce petit sourire au coin des lèvres qu'elle a, pour son vieil ami la marmotte qui va pouvoir retrouver sa moitié avec qui il a fait récemment le serment de passer le restant de ses jours à ses côtés
Thomas Hubert est toujours content d'être invité quelque part car c'est pas tout le monde qui veut trainer avec lui, bien que le seul bémol qui aurait trouvé à redire, c'est qu'on ne fête pas leur victoire au Meltdown à Strasbourg, mais il comprend très bien que la situation du blessé à l'arme blanche fait qu'ils ne peuvent pas se déplacer aussi loin pour l'occasion.
Masumi Sera est celle qui a apporté les bonnes nouvelles, en invitant tout ce beau monde à se retrouver ensemble le plus tôt que possible dans le but que le couple phare de cette fiction soit réuni sous les élans de joies et de bonnes humeurs, mais assez parlé de ceux qui ne nous importe que peu.
Curie, certes un peu sale à cause de la poussière dans laquelle elle avait dû patienter, ligotée et bâillonnée, en attendant qu'on la sorte de ce sous sol dont le sol était glaciale comme pas possible, et c'est fait, la voici au chaud à retrouver sa boule de poil préférée qu'elle s'en va rejoindre sur une chaise posée à côté du lit où il est.
Leurs doigts, de diamètres très opposés, s'entremêlent alors qu'ils rigolent au côté enfantin que ça peut avoir, mais ils s'en fichent car après tout c'est leur relation à eux que ça impacte et personne d'autre, donc ils ne doivent tenir rigueur de personne par ici, en dépit que leurs amies qui les entourent.

Curie : Je suis contente que tu ailles bien. Je craignais que la blessure t'ait été fatal.

S'appelait : Rien ne me sera plus fatal que ton absence, comme ce que j'ai dû subir pendant près d'un jour.

Curie : Oui, c'est vrai.

S'appelait : Néanmoins j'ai pu comprendre les motivations de Sarah et Pitchoune Petrick.

Curie : Ah ? Je ne suis pas la seule alors.

S'appelait : Ils me rappellent moi quand j'étais au service de Rob Dealer, ou quand j'étais motivé par ma peur des supers individus initié par Ailein Bartley.

Curie : Ils ont fait d'horrible choses, mais toi ou Maxime en avaient fait jadis, et tout ça est derrière vous à présent.

Masumi : Maximiou en a fait du progrès.

Thomas : Ouais je trouve aussi, même si parfois on dirait un gamin quand il boude alors qu'il veut quelque chose mais qu'i lest trop impatient pour attendre afin de l'avoir.

Léa : Un vrai gosse.

S'appelait : Je crois pas qu'on soit venu pour parler de l'autre blaireau à lunettes. Pas toi Thomas.

Thomas : Ouf, j'ai eu peur.

Masumi : Le blaireau est content de ton rétablissement.

Curie : Tu devrais être plus gentil ma moumoulle d'amour.

S'appelait : J'essayerai de l'être, mais pas aujourd'hui.

Curie : J'adore quand tu fais semblant d'être ronchon.

S'appelait : Tu commences à me connaître beaucoup, ça me ferait limite peur si t'étais pas aussi adorable.

Curie : Merci, c'est gentil.

S'appelait : Aussi gentil que toi.

Curie : Pour te récompenser...

Ses deux douces et délicates mains touchent le velu visage de l'animal en face d'elle, puis elle se penche afin de poser ses lèvres contre les siennes, sous les applaudissements de la détective privée, suivi de près par ceux de Lightning, ainsi que plus timidement de TH5.
Je crois qu'on ne peut pas rêver meilleur dénouement pour cette lune de miel qui peut enfin se terminer gaiment.