[FIC] Intouchable [Terminée]

Un meurtre hors du commun a eu lieu dans cette puissante citée européenne et française, avec une agent canadienne intervenue qui est souvent maitrisé, mais celle qui s'appelle Sulfura Westher avait une fois juste car c'est bien l'une des différentes factions portant le nom d'Umbrella qui était responsable d'une partie du bordel qui a lieu en ville, y compris pour cet assassinat.
Il ne faut pas oublier qu'il y a aussi l'enlèvement du président des Etats Unis qui a attiré beaucoup d'attention dans cette métropole czar même si il n'a pas été capturé ici, on sait qu'Hydra aurait une certaine présence dans ce bourg, et ils sont loin d'avoir tort, bien qu'on pourra aussi souligné que c'est un membre de la police nationale basée au Neudorf qui va sauver ce Peter Welson, de son blase, avec l'aide d'une grand rousse assez mignonne.
Pour une fois, Jérôme Colonel n'est pas le seul handicapé présent dans l'immense pièce où il se trouve, accompagné de trois autres personnes, dont une qui ne voudrait pas être là, mais cela n'a pas dissuadé le troupe de venir à sa rencontre dans ce mystérieux repaire qui lui change de l'usine de traitement des eaux usées de New Raccoon City.
Il s'appelait Ahah Merde, il était aveugle, a moitié sourd, givré, nécrophile, zoophile, homosexuel, nudiste et aimait gueuler sur les gens. Pour l'apparence il était roux avec une coupe afro. Il avait une barbe blanche qui lui allait jusqu'aux chaussures. Il n'avait pas de bras et était en fauteuil roulant car il n'avait jamais osé marcher. Autant dire sa description est assez inédite, et il n'est pas le seul dans ce cas là.
Son bras droit souvent à sa gauche, s'appelant Connard, était un mec de 2000 kilos avec des longues jambes et un long cou. Il était vraiment très très gros et il était avec des cheveux de métalleux ainsi qu'une grosse moustache grise et un bouc rose. Sa fidélité à son patron n'est pas discutable tellement elle est sincère, tout en étant plus bavarde que celle d'Oddjob dont on ne peut pas non plus discuter de sa relation avec Goldfinger.
Prince Rogers Nelson est menacé par par cette colonne de muscle, et c'est ainsi que lui aussi s'est fait chopé par des vilains méchants pas beaux, excepté que lui on s'en fout un peu plus du fait qu'il soit entre leurs mains car après tout il a fait son temps, et donc rejoindre son rival, Michael Jackson, dans la mort, n'est pas une si mauvaise idée que ça.

Prince : J'ai très peur de découvrir dans quelle galère vous allez me conduire vous trois.

Ahah : J'suis maboule Raoul !

Connard : Totalement, chef.

Ahah : Savais tu que Napoléon avait chassé les juifs d'Austerlitz à bord de son célèbre scooter blanc à crinière !?

Connard : Vous me l'avez déjà dit cinquante fois.

Jérôme : Ne nous éparpillons pas car nous avons prévu de nous amuser avec notre otage.

Prince : Pourquoi moi ?

Jérôme : Michael était trop dur à choper.

Prince : Normal, il est mort.

Jérôme : C'est ce que tu crois.

Les méchant encerclent le prince de la pop en ayant de mauvaises intensions en tête, ce qui lui vaut de tenter une fuite in extrémis qu'il foire quand le gros molosse l'attrape par ses deux bras avant de les claquer dans le dos du bonhomme, lui valant une double fracture qui fait bien mal.
Des rires mégalomaniaques se font alors entendre dans toute la salle, piégeant dans celle ci l'homme que l'on ne peut que plaindre tellement qu'il ne méritait pas ce genre de coup bas, même dans les rêves les plus chers du fan de son rival que l'on connaît sous le pseudo de TH5.
Nul ne sait à par eux ce qu'il ont prévu de faire à la victime de leur machination, et c'est ce qu'on verra la prochaine fois normalement, quoiqu'il faille encore introduire les héros aussi nombreux que les méchants présents, afin que tout ce petit monde soit réuni pour mieux s'affronter.
Vous devinez déjà qui il y aura parmi eux, mais il y aura peut être aussi quelques surprises, alors restez en place pour écouter la suite de ce récit qui risque de promettre si tout se passe comme prévu, surtout qu'il n'y aura pas Gilbert Montagné pour changer miraculeusement l'écriture de ces écrits que je vous lis.

Quatre Bell UH-1Y Venom survolent la ville toujours en deuil des attentats bioterroristes islamiques qu'ils ont subi en 2014, et on a toujours pas mis au clair les éléments les plus fous de ceux ci, donc on pourrait avoir tort en vérité, ce qui me fait penser que j'ai toujours cela à vous conter un jour.
Leon Kennedy est à bord d'un des appareils, et il n'est pas seul mais y reviendra ça ça plus tard car pour l'instant on noter qu'il a troquer son Heckler & Koch VP70M contre son Silver Ghost, ainsi qu'un SIG-Sauer P226 E2 qu'il partage avec la prochaine personne dont on va parler, même si lui c'est en pistolet de rechange.
Sherry Birkin l'a au contraire comme son arme de service pour son rôle dans la Division of Security Operations, où elle répond aux ordres du grand chef de leur service, Diarco Rammaz, dont elle n'est pas très apprécié par ce dernier, bien qu'il affiche plus d'animosité contre son ainée mentionné juste avant que contre elle.
Maxime Moulin ne sait pas trop ce qu'il fout là, mais ça fait bien longtemps qu'il n'a plus cherché à savoir quand est ce qu'il serait mêlé à des emmerdes, en dépit d'avoir réussi à éviter le gros bordel qu'a été l'enterrement de Jill Valentine, alors qu'il regrette un peu de ne pas y avoir été à cause de leur relation amoureuse qu'il a vite remplacée par celle de Sandra Bullot, une autre membre du BSAA.
Parker Luciani fait lui aussi partie du Bioterrorism Security Assessment Alliance, où il a tout d'abord été un agent SOA avant de devenir le capitaine de l'équipe India européenne SOU qu'il a pris la tête fin de l'année précédente après avoir été en tête d'équipe sud américaine.
Hendrick est le second de ce chef et il utilise un fusil sniper qui n'est pas anti-char contrairement au célèbre Piers Nivans, une légende de cette organisation qui a péri il y a deux ans de ça en étant encore plutôt jeune, contrairement à son supérieur hiérarchique qu'était Chris Redfield.
Mehdi Kimour dirige l'autre équipe envoyé sur le terrain par le QG de cette organisation non gouvernementale, et il a déjà eu des affaires de sexismes dans son boulot, mais tout ça a été classifié sans suite car son papa est un puissant procureur qui ne tient pas à ce que la réputation de son fiston n'entache son boulot, quitte à blesser des innocents, et c'est ça qui en énervent beaucoup, et on peut les comprendre.
Pour l'instant tous ces personnages surplombent la vieille ville où seul un seul d'entre eux ne vit aux alentours, et ils comptent sur lui pour essayer de comprendre quelle va être la prochaine cible de Jérôme Colonel qui devrait traîner dans le coin, si ça n'avait pas été une fausse piste.

Maxime : Je peux savoir quel est mon rôle dans tout.

Parker : Erza Josse et Holt Valentine qui ne pouvaient pas être là nous ont conseillé toi pour nous servir de guide de cette ville

Maxime : Toujours à l'attirer des emmerdes ces deux.

Parker : Je serai aussi ton interprète comme tu ne sais pas parler un mot d'anglais.

Maxime : Merci, ça m'enlève une épine du pied.

Mehdi : Fallait qu'on se tape un con d'athée pour notre mission !

Leon : We need to find out where Jérôme Colonel will attack.

Parker : Il nous faut trouver quel sera le lieu d'attaque de Jérôme Colonel.

Maxime : Cela aurait été l'année dernière, j'aurais dit que c'était le marché de Noël qui aurait visé, mais là j'ai aucune idée de ce qui pourrait être sa cible.

Hendrick : Shit ! (Merde !)

Mehdi : Tu nous sers à rien.

Parker : Arrête d'être dur avec lui, veux tu ?

Mehdi : Bon après, la blondinette non voilée est pire que lui.

Sherry : It is not won. (C'est pas gagné.)

Leon : Gilbert would have been there, he would certainly have found the solution. (Gilbert aurait été là, il aurait certainement trouvé la solution.)

Maxime : J'aurais aimé revoir Gilbert, c'est mon héros préféré.

Mehdi : Tu parles d'un héros !

Maxime : Déjà plus que toi, connard.

Parker : Calmez vous, vous deux

Leon : I have this bad feeling that the right answer slips through our fingers, and my sixth sense never fails. (J'ai cette mauvaise impression que la bonne reponse nous file entre les doigts, et mon sixième sens ne se foire jamais.)

Sans s'en rendre compte, ils passent devant une affiche qui dit que Prince sera ce soir à 20:30 en concert au Zénith de Strasbourg, et qui leur aurait bien indiqué quelle zone il fallait investiguer en premier pour mieux protéger la population locale qui ne se doute de rien, et qui pensent passer un excellent moment entre amies.
Est ce qu'il arriveront à intervenir à temps quand le pire sera passé ?
Ou seront ils arrivés bien trop tard pour cela ?

Il y a du monde dans ce qu'est le Zénith de Strasbourg qui n'est pas vraiment situé dans cette ville mais plutôt dans l'une des bourgades situées aux alentours, et on peut comprendre qu'il y ait chaque année dans cette géante structure que connait un peu Maxime Moulin qui ne se doute pas de ce qui se prépare ici.
Non, il y a juste le concert de Prince qui y a lieu, ce qui est le principal facteur à toute cette foule hétérogène qui l'aiment autant ou le préfèrent à son ancien rival, Michael Jackson, même si il n'est pas au courant de la théorie du complot qui est loin d'être fausse à son sujet.
Le chanteur toujours officiellement vivant essaye de faire ses scènes sans s'inquiéter pour son public qui ne se doute pas de ce qui se trame en coulisse, mais avec deux bras emplâtrés, il ne peut pas faire de la gestuelle pour leur faire signe de partir en quatrième vitesse, et il n'aurait que la voix pour s'en servir.
Parmi les fans sur terrain, nous avons l'americanofrancais Patrice Mouligeot qui est là, à poil comme d'habitude, avec sa fille aussi peu vêtu que lui pour cette occasion qui est surtout là pour se faire draguer et peut être se taper un coup d'un soir car on est dans l'ambiance années 80 donc autant s'éclater à fond.

Patrice : On est pas bien avec les jeunes là ?

Fille : Je crois que mon petit cul attire bien des regards.

Le show est à son paroxysme avec le chanteur américain qui arrive à bien tenir la balance comme si il était encore tout jeune, dans les couches de sa mère, à gerber à chaque fois qu'il mangeait un peu trop de nourriture comme tout bébé ferait il faut dire pour ne pas lui jeter la faute qu'à lui.
Sauf que les bonnes choses ont souvent une fin, et c'est ce qui arrive quand alors qu'il terminer d'interpréter son titre que je vous ai mis plus tôt, qu'une boule de fumée explose en plein milieu de la scène alors que la stars est sur sa gauche, lui faisant lâcher le micro qu'il tenait déjà fébrilement avec ses bras cassés.
Quand la dite fumée s'évapore, nous avons un certain Jérôme Colonel qui fait son apparition sur le devant de l'écran des téléphones portables en train de filmer le spectacle, puis des gens veulent se barrer de là en comprenant que ça craint pour eux, sauf qu'il y a des types lourdement armés qui bloquent les voies de sorties.
Ce sont des partisans d'Hydra vêtus chacun d'un masque à gaz pour se protéger de l'éventualité où les choses dégénèrent et que ce qu'ils attendent n'ait pas lieu, mais le fou à lier qui les dirige se lève fébrilement de son fauteuil roulant pour aller ramasser le micro sur le sol et ainsi s'exprimer aux personnes qui sont interditent de sortir.

Jérôme : Ne partez pas, le show ne fait que commencer !

Patrice : Je le reconnais, c'est le dingue qui avait gâché le mariage de Ada Wong et Leon Kennedy !

Jérôme : Silence car sinon je vais m'énerver si vous ne me laissez pas faire mon plan de génie !

Patrice : Mais je...

Le naturiste se prend un coup de crosse dans le bidou de la part d'un des fanatiques présents dans cette immense salle, le clouant le bec, et les images qui étaient prises de cet attentat et prise d'otages allait faire le tour du monde entier, ainsi que alerter les forces du BSAA déjà en présence.
Les choses allaient bouger très vite, et sans plus tarder nous allons rejoindre les héros opposés aux méchants.

Les équipes India et Sierra du BSAA européen sont en train de patrouiller les alentours du Zénith, devant des centaines de caméras braqués sur eux, alors qu'ils déploient de l'équipement et que les hélicos sont tous posés à même le sol, ce qui a le don de stresser plus d'un car personne ne veut faire de bêtise lors de cette opération.
Parker Luciani se gratte le poil de la barbe en étant sous une tente aménagé rien que pour lui et son collègue officier, où ils essayent ensemble de savoir quoi faire au vu des informations qui leur sont donnés et qui sont loin d'être joyeuses, je dois vous le dire, je me demande même comment ils vont s'en sortir.
Mehdi Kimour fait les cent pas à côté de son camarade de bataille, et il en veut beaucoup à ce Jérôme Colonel qui les a pris par surprise alors que pourtant ils étaient au courant qu'il allait intervenir à Strasbourg, même si ils n'ont pas pu trouver le bon endroit avant qu'il ne soit trop tard.
C'est alors qu'Hendrick, le second du premier capitaine cité, revient avec une autre mauvaise nouvelle, et il essaye de voir comment formuler ceci pour ne pas paraître trop défaitiste, bien que cela soit dur de ne pas l'être, et je ne vais pas vous cacher l'information plus longtemps.

Hendrick : 1200 spectateurs sont tenus en otage, chef.

Mehdi : Bordel de merde !

Parker : C'est en même temps le plus grand zénith de France.

Mehdi : Je ne veux pas savoir ce qu'ils comptent faire d'eux !

Parker : Utiliser un virus pour tous les transformer en monstre, j'ai bien peur.

Mehdi : Je ne voulais pas savoir !

Parker : J'espère qu'il nous fera part de ses intentions bientôt.

Mehdi : Je vais sortir me rafraichir un peu, tu me diras si ça bouge ou pas de son côté.

Parker : Ca marche.

Mehdi : Quelle journée de merde.

Tandis que l'officier musulman sort de la tente, celui plus chrétien d'origine tire une chaise vers lui afin de s'y asseoir, alors que son subordonné prépare la télévision afin de visualiser quel fond de vérité se cache dans les dires des journalistes, même si on ne peut pas attendre grand chose de ceux qui ne méritent pas leur carte presse.
Dans sa tête, ses pensées s'inquiètent véritablement pour tous ces pauvres gens qui sont retenus prisonniers de ce colisée en otages par un cinglé qui a reçu plus qu'un coup de pousse dans cette affaire là bien que personne ne sache l'implication de Ahah Merde dans cette situation déplorable, ou bien ne savent même pas qui c'est.
C'est alors que Leon Kennedy et Sherry Birkin entrent dans la petite case après s'être entretenu avec leur supérieur hiérarchique qui attend beaucoup d'eux, voir de trop, même si on peut se l'avouer que c'est normal d'en mettre des tonnes sur les épaules de l'agent américain qui s'en est sortie de moments plus désastreux que ça.
Pour le coup, il se tracasse la cervelle afin de mettre au point le plan qu'il faut pour devenir encore une fois le héro de ces dame, et de ces mecs car tant qu'on est à foutre du woke partout, autant en ajouter encore, mais bon revenons à nos trois personnages qui vont causer ensemble de ça en priorité.

Parker : On est coincé.

Sherry : C'est vrai qu'il a un sacré avantage par rapport à nous.

Parker : En plus, on ne sait toujours pas ce qu'il veut.

Sherry : Il doit attendre quelque chose de nous, mais quoi ?

Parker : Sinon il aurait déjà tué toutes ces personnes, et on aurait déjà perdu.

Leon : J'ai l'impression d'avoir affaire à un Gilbert Montagné diabolique.

Sherry : À un Gilbert Montagné tout court.

Parker : Elle n'a pas tort.

Leon : Attends, il y a quelque chose avec la TV.

Parker : De quoi ?


L'image de la télévision se brouille avant de finalement dévoiler le point de vu d'un des sbires du terroriste qui le filme avec un certain niveau professionnel, et on peut voir l'handicapé se tenir debout sur ses jambes, mais proche du fauteuil roulant au cas où ça lâcherait prise.
Commençant par un rire de fou dégénéré, celui qui en est clairement un, s'exprime auprès d'un sacré public.

Jérôme : Bon, je vais faire bref car vous mourrez d'impatience de savoir ce que je veux, et c'est très simple, j'ai envie... Hmmmm...

Il fait semblant d'hésiter à comment organiser les bons mots, mais la suite arrive bien bien vite, et durement.

Jérôme : D'une ogive nucléaire dans l'heure qui vient, sinon vous pouvez dire adieu à tout ce beau monde grâce à mon précieux Virus X.

La télé se rebrouille avant de repasser sur une chaîne de désinformation avec l'absurdité d'un soit disant reporter qui n'est qu'une journalope qui ne sait pas quoi faire des données qu'il a reçu, se contentant de dire que les musulmans n'ont rien à voir avec ça puisqu'il n'y a que ça à dévoiler selon eux.
Bref, oublions ça deux secondes étant donné que Leon a un plan qu'il dévoile à ses alliés sans prendre de pincettes.

Leon : Nous aurons besoin de quelqu'un pour se mettre dans l'ogive et attaquer dès qu'il en sort le moment venu..

Sherry : Une ogive de Troie.

Parker : Tu as une idée de qui pourrait faire l'affaire ?

Leon : Sans vouloir frimer, je pense être l'homme de la situation.

Sherry : Il nous faudrait une ogive vide dans ce cas là.

Parker : Il nous manque aussi une personne pour aller leur livrer le cadeau.

C'est à ce moment donné que Maxime Moulin pénètre dans la tente et voit tous les visages se tourner vers lui.

Maxime : Quoi, j'ai une tache sur la figure ?

Sherry : Je crois que notre plan pourra marcher.

Il va falloir que l'ogive vidé de son contenu leur soit livré et en ensuite ils pourront appliquer le plan de Mister Kennedy, et c'est Max qui se demande de quel pied il s'est levé aujourd'hui pour se retrouver impliqué dans tout ce délire qui risque mine de rien de fonctionner, au on a vu pire réussir.
Croisons les doigts pour espérer que ça se passe niquel, et on verra la prochaine fois de quoi on va en avoir à faire.

Une garde se trouve juste devant la porte menant à un petit couloir donnant sur le devant de la scène où Prince ne chante plus, et cette femme que l'on voit attend que les choses avancent pour qu'elle puisse suivre les instructions qui lui ont été donné plus tôt par ce joyeux luron qu'est Jérôme Colonel.
C'est alors qu'elle voit Maxime Moulin arrivant en transpalette malgré qu'il n'en est pas le permis, et il tient grâce à sa machine l'ogive nucléaire qui a été demandé par le vil méchant, mais ça ça reste un détail pour celle qui reconnait le chauffeur, ne pouvant pas s'empêcher de lever ses bras d'un air sympathique.

Femme : Maxime ! Qu'est ce que tu fous là !?

Maxime : Noémie ?

La damoiselle enlève son masque de vilaine pas belle afin de nous montrer son visage qui est à l'opposé de cette description, tellement la beauté émanant des Josse s'est montrée héréditaire par elle et ses sœurs, ainsi que les frères aussi soit disant parlant, car on ne va oublier personne, même pas les parents.
Noémie fait alors la bise à cet individu qu'elle connaît grâce à sa frangine Erza et son petit copain Holt Valentine, qui tous deux traînent beaucoup avec ce looser qui aime faire chier son monde en ayant un caractère de merde, qui nous fait demander pourquoi ses géniteurs ne l'ont pas étouffé au berceau pour éviter à se le coltiner.

Maxime : Je ne savais pas que tu serais impliquée dans cette prise d'otage.

Noémie : Tu sais, je ne fais que suivre mes ordres venant de ma hiérarchie d'Hydra.

Maxime : Tu cautionnes leurs actions ?

Noémie : Officiellement, oui, mais officieusement pas vraiment, je fais juste mon boulot et je ferme ma gueule.

Maxime : Tu me déçois beaucoup.

Noémie : Si tu étais à ma place, tu me comprendrais.

Maxime : Bref, j'ai un cadeau à faire à ton boss, alors laisse moi passer.

Noémie : D'accord, je me pousse.

Pour le bien du plan de Leon Scott Kennedy, elle laisse son pote passer avec son gros engin qui en soulève un autre assez gros pour y abriter une personne, puis Max entre avec tout ça dans la salle surprotégé par les antagonistes qui l'observent entrant ici, en même temps que les innocents spectateurs.
L'éternel rival de Gilbert Montagné se tient sur le devant de la scène, avec un micro pour être sûr que tout le monde l'entende bien, même le chanteur noir qui est en coulisse et qui regrette ses actions, puis le membre d'Hydra accueille avec générosité le jeune homme qu'il ne rencontre que pour la première fois et qu'il sent déjà le détester.

Jérôme : Vous en avez mis du temps !

Maxime : Ouais bah soit content qu'on t'ait livré connard.

Jérôme : Parle moi sur un autre ton, si tu ne veux pas y passer, comme toutes les autres personnes assises ici.

Maxime : Fais ce que tu veux, mais tu devrais déjà être content qu'on ait répondu favorablement à ta demande, au lieu de t'envoyer bouler.

Jérôme : Vous n'aviez pas le choix.

Maxime : On a toujours le choix.

Jérôme : Je voulais aussi avoir l'Arche d'Alliance et le Sacré Graal, mais on m'a dit que c'était une mauvaise idée, alors je vais me contenter de l'ogive.

Maxime : Bien que ça soit aussi une mauvaise idée.

Jérôme : Comment !?

Maxime : Tu vas très vite comprendre.

Sans perdre une seule seconde, il saute à plat ventre avant de se boucher les oreilles afin de ne pas entendre la cacophonie qu'il va y avoir, étant donné que l'immense capsule s'ouvre, révélant un agent de la DSO loin d'être sous estimé, et ça peut se comprendre quand on aperçoit la bravoure et la prouesse dont il fait part en mission.
Le professionnel s'éjecte avec deux pistolets à la main, son Silver Ghost et son Heckler & Koch VP70M pour faire feu sur les différents gardes masqués se trouvant vers les entrées de cette zone, réussissant à en démolir plus de la moitié avant que le reste ne se mette à couvert afin de se protégé de ce dangereux américain.
Leur boss tente bien de sortir un détonateur de sa poche pour l'activer, sauf qu'il se fait toucher au bras d'où se trouve la main qui le tenait, le faisant tomber sur le sol, en même temps que son ancien possesseur qui a perdu son équilibre et s'est donc manger le bitume à pleine dents, choses qui l'a sonné un petit peur.
Se dépêchant tout en esquivant les tirs sur lui, le héros de ces dames parvient à arriver sur son antagoniste, utilisant l'un de ses guns pour lui braquer la tête, comme Gilbert avec Tom la veille, sauf que cette fois ci, il n'y aura pas mort d'homme puisque l'agent va l'arrêter, et les sbires du méchant cessent aussi leur hostilité vu que leur chef est pris.

Leon : Rends toi Jérôme !

Jérôme : Ah, mon bras !

Leon : Tu ne pourras plus infecter les gens du public pour servir tes propres ambitions destructrices.

Jérôme : Vous avez peut être marqué un point cette fois ci, mais on a est à égalité, avec Gilbert blessé.

Leon : Si il y a une prochaine fois.

Jérôme : Maintenant, vous allez pouvoir vous concentrer sur les Millione, mais j'aurais ma revanche un jour.

Leon : Tout ce que tu sauras nous dire sur Carmine et sa grande famille nous sera utile.

Jérôme : Vous voyez, il y a moyen de se faire encore des points envers l'un et l'autre.

Leon : Pas de jambe, pas de point.

Jérôme : Trop cruel...

Le blagueur reprend son sérieux et soulève l'excentrique scientifique pour l'escorte loin de ces innocents, alors que les troupes du BSAA font eux aussi irruption sur la scène, et que avec ses bras cassés, Prince sort des coulisses pour vérifier si son public va bien, ce qui est le cas, donc il est heureux.
Tout est bien qui semble finir, même si on a réglé que l'un des problèmes qui s'opposait au trio d'aventuriers quand ils ont quitté l'usine de traitement des eaux usées à Raccoon City, et nous allons bientôt pouvoir voir ça.

Tous les otages présents au zénith on t pu être évacués, et les seuls morts à compter sont dans le camp des méchants, donc on peut dire que c'est une histoire qui se termine agréablement bien, et les gentils vont pouvoir la fêter, avec ou plutôt sans alcool car il y en a un qui fait bien chier dans le lot.
Mehdi Kimour, le musulman plutôt intégriste, est pas content comme Greg car personne ne l'a tenu informé du plan qui s'est déroulé donc sans qu'il ne le sache, mais c'est aussi pour autre chose qu'il est furax, puisque son regard pointe vers la seule meuf sous la tente où ils se trouvent.
Sherry Birkin n'apprécie pas ce gros con sexiste, mais parce qu'elle a bien été élevée par ses parents, même si sa belle mère lui a enseigné pas mal de jurons, elle ne va pas s'en servir de suite car ça le ferait le débat, alors qu'elle n'est pour rien pour l'organisation de ce coup de génie.
Parker Luciani se gratte l'arrière de la tête, étant donné que tout ça lui dépasse, même si il n'hésitera pas à sauver l'orpheline si la situation vient à dégénérer, bien qu'il espère ne pas avoir à en arriver à là, mais ça on ne pourra que le suivre dans la discutions qui suit.

Parker : Une histoire qui finit bien, ça fait plaisir.

Sherry : Pourtant ça commençait mal.

Mehdi : C'est pas une femme comme toi qui aurait trouvé le plan pour vaincre le méchant.

Sherry : Va te tirer une pipe ailleurs monsieur le macho.

Parker : Mehdi, évite de créer des tensions qui vont gâcher ce beau moment à célébrer.

Mehdi : Allez tous vous faire foutre.

Aussi tôt dit ,le voilà qu'il se barre de la pièce où il se trouve, laissant enfin les deux autres avoir la paix qu'ils méritent, et ce sont des soupires qui sont entendu de leur part car il faut bien l'avouer qu'il faut se coltiner ce crétin de service, et en parlant d'imbécile à gérer, l'attention de la jeune blonde se tarde sur l'un des grands absents de ce moment là, mais on va y revenir sous peu.
L'italien est resté sur le départ de son collègue et il évite de faire une piètre imitation de Mario car trop cliché.

Parker : Il ne changera jamais.

Sherry : Au fait, où est passé Maxime ?

Parker : Il n'a pas perdu une seconde pour rentrer chez lui en taxi afin d'oublier le frisson qu'il a eu dans ce plan.

Sherry : J'imagine à quel point ce peut être éprouvant pour une personne ordinaire comme lui.

C'est alors que Leon Kennedy débarque dans ce centre de commandement, avec son téléphone portable chaud dans la main car il vient de terminer une conversation avec l'élue de son cœur, et il ferait n'importe quoi pour elle, quitte à se mettre tout le monde à dos comme quand il avait protégé sans le savoir son double machiavélique lors des attentats à Lanshiang face à un Chris Redfield difficile à berner.
La jolie blondinette anticipe déjà ce qu'il va dire, mais elle est polie alors elle le laisse annoncer la chose suivante.

Leon  : Désolé, Ada m'a appelé et je vais devoir vous fausser compagnie.

Sherry : Moi aussi il faut que je rentre au bercail pour retrouver mon copain.

Leon : Comment va Jake ?

Sherry : Il va bien, même si j'aimerais qu'il n'en fasse pas trop avec ses poings, quand il aide autrui.

Leon : Ma femme m'a déjà dit ça, sauf que ça parlait plus de mes talents aux pistolets que au poings.

Parker : Et Ada, elle fait quoi là ?

Leon : Elle protège Gilbert Montagné avec des amies à lui, et il s'est passé quelque chose là bas durant mon absence.

Parker : Ça explique pourquoi c'est urgent que t'y revienne, et on ne va pas plus te retarder que ça, et tu passeras le bonjour à elle de notre part.

Leon : Bien entendu.

Sherry : À plus Leon !

Le héros ayant belle gueule, et un plus charisme de l'autre barbu ici présent, file tout droit vers l'aéroport afin de rejoindre sa dulcinée qui l'attend à New Raccoon City avec l'aveugle qui a été le grand absent de cette opération et on espère qu'il va bien de ce côté là.
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