[RP] Back In 2015 Marty !

Zarick : Le problème est que peut importe qu'on suive ou non leur directives, les conséquences ne desservent jamais la cause. Voilà pourquoi je les ai quitté, bien qu'ils me supplient toujours que je revienne parmi eux.

Il tends une canette de Pepsi à Leon.

Zarick : Vous en voulez ?

Leon prend la canette.

Leon : Merci beaucoup.

Leon est pas tout à fait à l'aise au fait de rencontrer les Illuminés. Ils savent retrouver n'importe qui, n'importe où. Ça ne le rassure pas trop.

Leon : Je vois et où je pourrais les trouver ?

Leon prend la canette qui lui permettra d'étancher sa soif.

Leon : Merci beaucoup.

Le sorcier sent que le gars aux cheveux bruns foncés n'est pas jouasse à l'idée de rencontrer cette troupe spectaculaire.

Leon : Je vois et où je pourrais les trouver ?

Zarick : A Disneyland Paris, au sein du Château de la Belle au bois dormant.

Encore une fois, la réponse est ultra surprenante, mais en même temps il y a une parfaite logique derrière ça.

Zarick : Personne ne penserait à les trouver dans un tel endroit, donc c'est la planque parfaite.

Il boit un coup à partir de son breuvage personnel pour se désaltérer à son tour.

Zarick : Normalement aujourd'hui c'est fermé mais demain ça devrait ouverte. vous voudrez y venir le matin ou l'après midi ? Et si voulez dormir ici pour la nuit, vous pouvez.

Il s'installe installe sur le canapé une fois sa demande terminé, puis attend la réponse.

Zarick : A Disneyland Paris, au sein du Château de la Belle au bois dormant.

Leon : Sérieusement ?

Zarick : Personne ne penserait à les trouver dans un tel endroit, donc c'est la planque parfaite.

Leon : C'est vrai... Plus c'est gros... Plus ça passe.

Il boit tranquillement son Pepsi.

Zarick : Normalement aujourd'hui c'est fermé mais demain ça devrait ouverte. vous voudrez y venir le matin ou l'après midi ? Et si voulez dormir ici pour la nuit, vous pouvez.

Leon : À vrai dire, je suis venu avec une amie, elle est restée sur l'île de Marawarzaza. Je ne voudrai pas la laisser là-bas trop longtemps seule.

Zarick n'est guère surpris d'apprendre la présence d'une amie de la bouche de Leon.

Zarick : Elle pourrait dormir ici aussi. Vous voulez que j'aille la chercher ?

Il attend de voir quel réponse sera donnée.

Zarick : Elle pourrait dormir ici aussi. Vous voulez que j'aille la chercher ?

Leon : Si vous voulez, je suis venu sur votre île avec un bateau à rame. Mais je doute que vous en ayez besoin. Je me trompe ?

Il se souvient de la "blague" qu'Esma, non Shiho, avait demandé de faire à Zarick. Donc ça ne l'étonnerai même pas s'il avait d'autres moyens de déplacement que ceux plus conventionnels.

L'autochtone rigole d'un voix assez grave face à la question de l'ignorant.

Zarick : Non, vous avez totalement raison. Je reviens dans dix minutes avec elle, en attendant vous pouvez vous installer un peu si vous le voulez et fouiner si les curiosité vous démange.

Jetant sa bière vidée de sa substance à la poubelle, il s'en va par la grande porte, disparaissant à l'extérieur comme par magie au cas où Leon y jetterait un œil juste après son départ. La puissance de sa sorcellerie dépasse son entendement et autant dire que ça peut foutre des frissons.
Surtout quand la voix de Squeezie de fait entendre en criant "Plus c'est gros, plus ça passe !", sortant de nul part.


Mieux vaut ne pas trop se poser de questions sur ces étrangetés.
Par contre, sil le veut, le quarantenaire peut faire un tour de la baraque comme suggéré par son hôte.

Zarick : Non, vous avez totalement raison. Je reviens dans dix minutes avec elle, en attendant vous pouvez vous installer un peu si vous le voulez et fouiner si les curiosité vous démange.

Leon observe la disparition de Zarick par la fenêtre et il s'installe juste dans un fauteuil en attendant son hôte. Il finit de boire sa canette de Pepsi en observant la décoration de la pièce.

Leon : Pourquoi ça ne m'étonne pas la puissance de Zarick ?

Se dit-il à lui-même.

Personne n'entend la phrase provenant du gars de la DSO avec sa canette de Pepsi.
Les minutes s'écoulent quand prévus, le laissant ne rien faire à part observer la décoration de la pièce étant assez simple et décoré de divers objets rappelant beaucoup la culture local. Seules quelques photos et tableaux sont accrochées aux différents murs, représentant principalement des paysages paradisiaques d'autres îles, y compris celle voisine bien avant la tragédie qui l'a frappé.
Seul un moment immortalisé contient une présence physique, celle d'une jeune fille ressemblant beaucoup au proprio de ces terres et qui sourit à celui à l'homme derrière l'appareil ayant pris cet instant précis. Il est assez évident de deviner le lien qu'elle a avec lui, et qui est la personne mystère.
Il pourra lui poser la question ultérieurement si il le faut.
D'ailleurs le concerné finit par revenir en compagnie de la Sœur de Chris qui a fini de faire ses petites affaires de son côté, bien qu'on en sache pas plus sur ça pour l'instant. En remarquant celui pour qui voue elle voue de puissants sentiments, elle le salut d'une main en cachant une certaine tristesse dans son regard un poil visible.
Tout le monde étant là, la conversation peut ainsi reprendre en bonne et due forme.

Zarick : Vous pourrez passer le nuit sur le canapé pour l'un d'entre vous, et l'autre dans l'ancien lit d'Esma.

Claire : Il n'y a pas de place pour deux dedans ?

Zarick : Non, désolé.

Claire : Dommage.

Reste à voir ce que va rajouter Leon ensuite, alors qu'une ellipse risque de se faire prochainement.
Histoire de passer directement au lendemain, au siège des Illuminatis.

Leon voit Zarick et Claire revenir. Il avait finit sa canette et l'avait jeté dans la poubelle.

Zarick : Vous pourrez passer le nuit sur le canapé pour l'un d'entre vous, et l'autre dans l'ancien lit d'Esma.

Claire : Il n'y a pas de place pour deux dedans ?

Zarick : Non, désolé.

Claire : Dommage.

Leon les regarde.

Leon : Je prendrais le canapé, tu n'auras qu'à dormir dans l'ancien lit d'Esma.

Il regarde l'heure et s'inquiète pour ses amis, il espère qu'ils vont bien.

Leon regarde l'heure sur sa montre et il est déjà tard, le soleil se préparant à se coucher.
Des Cormoran à aigrettes saluent à pleine ailes leur ami à son départ du boulot, revenant demain à la même heure car il est ponctuel le bougre, jamais une absence ou un retard quelconque, sinon ça se serait fait sentir.
Sa remplaçante prend ensuite sa place pour faire la même chose pendant douze heures d'affilées.
Les trois adultes vont se coucher chacun de leur côté, Claire dans la chambre où logeait jadis Esmaraldine, Leon sur le canapé et Zarick dans son petit coin à lui tout seul. Les lumières électriques s'éteignirent laissant la gardienne prendre à cœur sur son job en éblouissant de sa demi moitié une lueur profonde touchant la maison sur pilotis.
Les heures passent avec juste le bruit des vagues qui profitent de la torpeur des humains pour danser le Jerk, sous de la musique pop. Celle ci n'est entendu par nul autre qu'elles, les laissant continuer jusqu'à bon leur semble.
Laissons les à leur délire et restons au salon où l'Agent Kennedy semble avoir quelques cauchemars.
Sans en savoir le contenu, je peux essayer de le deviner assez facilement.
Et vous, vous en pensez quoi ?
C'est vrai, vous avez raison.
En tout cas, il finit par en sortir quand une voix souffle à ses oreilles des mots assez cash.

Claire : Leon, je veux baiser avec toi.

La subtilité, tu meurs.

Leon faisait un cauchemar dont il ne veux pas en parler, préférant l'oublier quand il se réveillera. Mais il ne s'attendait pas à se réveiller si tôt dans la nuit avec ce murmure.

Claire : Leon, je veux baiser avec toi.

Il se réveille en sursaut, son instinct d'agent de la DSO refaisait surface sur l'instant, il sort son couteau de combat et le place sous la gorge de la personne qui venait de murmurer. Il se rend compte rapidement que c'est Claire et soupire en rangeant son couteau dans son étuis. Il se redresse sur le canapé et passe un main sur son visage puis dans ses cheveux. Il murmure :

Leon : Claire... Tu m'as fait peur. Qu'est-ce-que tu viens faire ? Tu devrais dormir.

Malgré la pression du couteau contre sa gorge, Claire garde étonnamment un sang froid de T-1000 et parvient à se focaliser mentalement sur son but premier de la nuit, à savoir faire des galipettes au li avec son ami depuis Raccoon City pour qui elle voue de forts sentiments.
Une fois la lame rangée dans son étuis, l'homme pour qui la soirée va être très longue soupire un bon coup tant qu'il ne peut et puis il commence à débroussailler ses cheveux afin de remettre sa mèche à la bonne place tout en se redressant au passage.
Il murmure alors ces quelques mots bien prononcés.

Leon : Claire... Tu m'as fait peur. Qu'est-ce-que tu viens faire ? Tu devrais dormir.

La seule réaction de la femme plus aussi jeune qu'avant face à cette remarque, c'est celle ci :


Comme ça, au cas où elle n'aurait pas bien entendu la première fois à cause de son esprit un peu ailleurs, là il est clairement au courant des intentions de la brunette dont le regard affiche un air plus dérangeant que d'habitude. Des images obscènes parcourent d'ailleurs son esprit au même moment.
Je vous met sa tête et vous allez me croire sur parole.


Autant dire que même les piafs se trouvant à l'extérieur et qui s'étaient préparés à se venger du connard qui avait de mauvaises pensées à propos d'eux, décident finalement de changer d'île car il vaut mieux pour eux. Ce qui va suivre n'est pas donné pour tout le monde.
Reste à savoir ce qui va répondre celui qui est en fâcheuse posture.

Marilou Mabou, une récente recrue de cette ONG aidant des victimes d'attentats bioterroristes, traversent l'un des nombreux couloirs de ce quartier général où à cette heure tardive de la nuit, il n'y presque personne et l'aube ne viendra que dans une heure ou deux seulement.
Elle arrive à la machine à café où se trouve sa supérieure Claire Redfield avec qui elle doit s'exprimer à propos d'une requête lui a demandé et qui est vraiment étrange. Tellement que ça la trouve beaucoup et a un très mauvais pressentiment qui ne saura qu'être confirmé.

Marilou : Monsieur Talbot est formel sur ses dires et il viendra nous rendre visite demain matin.

Claire : Soit je suis amnésique, soit quelqu'un a usurpé mon identité.

Marilou : Est ce que tu t'inquiètes pour Leon.

Claire : Non, où qu'il soit, il arrivera encore à s'en tirer comme d'hab.

Marilou : Ce n'est pas ton meilleur ami ?

Claire : J'aurais aimé que ça soit plus que ça.

Marilou : Ah ?

Claire : Le mieux que j'ai pu avoir c'est une bonne copine de sexe pour quand il n'était pas dans une relation sérieuse. Mais depuis qu'il est avec Ada, je n'existe plus... Et cette dernière me nargue comme un chat avec ça...

Marilou : Je vois....

Claire : Je regrette d'avoir été témoin à leur mariage, mais bon.... Arrêtons de penser à ça et faisons nous une bouffe !

Marilou : Il y a un restaurant indien qui a ouvert juste à côté.

Claire : Parfait, allons y !

Ne voulant plus penser à ces histoires, elle s'en va avec celle qu'elle avait sauté sur cette île merdique l'an dernier.
Le twist auquel vous faites face n'est pas su par Leon qui risque d'être surpris si il vient à le découvrir.

Leon se retourne et regarde Claire surprit en continuant de murmurer.

Leon : Claire, je suis désolé, mais je refuse, tu devrais savoir que quand je suis en couple, je ne vais pas voir ailleurs. Désolé. Je suis fidèle à ma femme. Je l'aime et jamais je ne le tromperai.

Il revient à sa position initiale et regarde en direction de la fenêtre. Ses pensées dévient vers Ada en se demandant ce qu'elle fait en ce moment.

Claire se fait remballer par l'homme fidèle à son femme et qui veut réussir son mariage bien mieux qu'un James Bond en son temps. Cela ne plaît pas trop à la dragueuse relou qui néanmoins garde une certaine répartie, sortant beaucoup de son perso, en ayant une personnalité proche de l'espionne en rouge.

Claire : Et si elle était partante ? Tu me croirais ?

Laissant un petit temps de réponse au mec réveillé en pleine nuit, elle prépare juste après sa prochaine action qui se révèle être plus dangereux pour lui.
Ses deux bras assez forts plaque Leon contre le canapé, puis ses jambes se foutent sur les siennes pour l'empêcher de bouger. Son visage se rapproche alors du sien, gardant ce petit air espiègle dans le blanc des yeux

Claire : Essaye de prouver tes compétences en me battant.

Elle approche ses lèvres dangereusement de celles qui ne veulent pas d'elles, augmentant la suspicion vis à vis du fait qu'elle ne soit celle qu'elle est censée être.