[RP] Back In 2015 Marty !

Lucy notre blonde decoupeuse de personne a la tronsoneune preferer ce trouver a bord d'un Dc-3 avec son grand pere Armand qui pilote l'apreiel Hbilier comme si il comme en 44, tout les deux son en plien vol avec a son bors un groupe de personne ayant reserver l'avion, apres avoir gagner un cours d'inihation de saut en parchute, apres avoir tout verifier a nouveaux leur matos le groupe ce lever en atendant leur feu vert du vieux monsieur, ce dernier fit signe  dans son oreille a sa petite fille douvrire la porte arriere de l'engin, ensuite il anon sa un top et, lucy leur indiquand que c'etait le moment de sauter, tous sauter alors hors de l'apareil, quand fut le tour du dernier, elle consta que son papi passa juste a coter d'elle, pour ce placer dernier le dernier homme qui ce preparait a sauter, trouver qu'il metait du temps Armand lui fouta un coup de pompe au cul pour le pousser en dehors du Dc-3

Armand: Aller hop hop pas de traine save a bord d'utre voudrais sauter eu aussi merci,

il referma la porte puis il s'adressa a sa petite file
Armand: Bon maintenat que l'on n'e debarrase des autres con, passon a ta missin, tu te souvient de ce que tu doit dire a leon

Lucy: oui,que si il veut savoir où est Shiho, il devrait aller voir Zarick.

il reouvrit denouveau la porte

Armand: Bien avant caporal Lucy go go go

Lucy sauta a son tour de l'avion

Claire : Pour une fois tu n'auras rien à faire, on s'en occupe, OK ?

Glenn : Je vais essayer de savoir où ils sont partis ?

Claire : Helena ne vous a rien dit sur pourquoi elle voulait les voir ?

Glenn : Non, juste que cela concernait Gilbert.

Claire : Je me demande ce que ça peut bien être.

Glenn : Je reviens plus tard pour vous apporter des bonnes nouvelles, je l'espère.

Glenn s'en va avec à sa suite une grosse partie de l'équipe médical. Leon se retrouve seul avec Claire et un dernier médecin.

Claire : Une idée de ce qui pourrait le concerner ?

Leon : Aucune... J'étais aller les voir ce matin pour leur demander des explications par rapport à l'article dans le journal et puis plus rien... Et me voilà ici...

Il regarde Clair.

Leon : Désolé, j'aurais préféré qu'on se rencontre un autre moment, je ne suis pas au mieux de ma forme, et puis tu sais, je ne crois pas qu'on connaisse le même Gilbert.

Lucy descendit chute a pleine vitesse et ouvrit son parachute a la distance que avait conseiller son grand père, une fois le sol des vache attend , Lucy entra par une bouche d'égout laisser ouverte par des ouvrier juste a coter qui prenait leur 25 -ème pause de la ajourner pour ainsi délivrer le code, elle prit échelle es descendit le long puit pour arriver jusqu'en bas devant sa cible ou plutot derrière et lui chuchota d'une voix sexy le code lui piquants au passage de l'argent dans ces poche

Lucy: Si il veut savoir où est Shiho, il devrait aller voir Zarick,

Le code délivrer, Armand débarqua a son tours accrocher a un élastique

Armand: les enfoirer il on abattu mon Spitfire au dessue de la manche
il agrippasa petite fille et tout les deux remontraient a la surface

Leon regarde Claire en souffrant le martyr.

Leon : Désolé, j'aurais préféré qu'on se rencontre un autre moment, je ne suis pas au mieux de ma forme, et puis tu sais, je ne crois pas qu'on connaisse le même Gilbert.

Claire : Je sais qu’il a changé depuis 2004, mais ne t’en fais pas, il finira par aller mieux maintenant que sa vengeance est du passé.

Alors que la bonne amie touche l’épaule du malade, un évènement vient distrait tout le monde.
Albert Wesker débarque dans l’infirmerie avec son doudou Canard en Plastique à Lunettes de Soleil, le tout vêtu de son fameux pyjama en peau de chambre. Il est suivi de près par sa vieille mère habillée aussi classe que lui et qui lui ressemble beaucoup, malgré qu’elle ne soit qu’adoptive.

Mère : Wesker, viens prendre ton bain avec moi, vite !

Albert :

Il se planque sous l’un des lit vide, obligeant Claire et les médecins à essayer de le déloger en vain.
La figure maternelle n’aidant pas dans tout ce Schmilblick.

Claire : Wesker, tu es ridicule là dessous !

Albert : Allez vous faire foutre de caca !

Mère : Ce n’est pas bien de parler comme ça aux êtres inférieurs mon chéri.

Albert : Je ne suis pas ton fils mère alors dégage !

Pendant que cette situation se complique, seul l’agent Kennedy est conscient de l’apparition de Lucy par ici.
D’ailleurs, on peut se demander pourquoi elle se fait tant chier à être discrète alors qu’elle est membre des Avengers et peut y entrer sans problème dans cette base, mais bon nique la logique !
On est plus à ça près !
Je me casse !

En même que l'incident avec Wesker, Lucy arrive près de l'oreille de Leon pour lui dire d'aller voir Zarick. La mère de Wesker finit par choper son fils par l'oreille et le tire en dehors de l'infirmerie. Leon regarde le plafond où un désormais trou fait place à un puit puis il observe ses amis.

Leon : Il faudrait reboucher le trou dans le plafond et condamné ce puit qui donne sur l'infirmerie, c'est pas bon pour les patients. Lucy Dodgera vient d'arriver par là pour me dire d'aller voir Zarick. Et au fait, depuis quand on a un puit qui donne ici ?

Il semble réfléchir.

Leon : Je vais devoir revoir avec Glenn les plans de la base, ça m'inquiète que des gens puisse rentrer et sortir aussi faciliment sans qu'ils ne se fassent remarquer.

Le fruit de la réflexion de Leon vient en une phrase.

Leon : Je vais devoir revoir avec Glenn les plans de la base, ça m'inquiète que des gens puissent rentrer et sortir aussi faciliment sans qu'ils ne se fassent remarquer.

Médecin 1 : En fait, ce sont ces cons d'ouvriers là haut qui se sont plantés dans LEURS Plans à eux et qui ont construit un puits au mauvais endroit !

Ouvrier 1 : Je t'emmerde Didier !

Didier : Oh putain, je vais me le faire !

Ouvrier 2 : Non Simon !

D'un coup un hurlement se fait entendre, puis un mec vient s'écraser sur le torse de Leon, mourant sur le coup, mais laissant survivre l'agent trop robuste pour cela. Son collègue descend par la suite pour y présenter ses condoléances avec son casque de chantier.

Ouvrier 2 : Vous aviez raison, il était très con.

Didier : Enfin un truc de censé.

Médecin 2 : Sinon vous allez bien monsieur Kennedy.

Claire, toujours là, se penche à l'oreille de son ami pour lui susurrer quelque chose d’intelligent.

Claire : Et si on faisait une ellipse, non parce que là... On y est encore dans trois semaines.

Sage suggestion de sa part.

Claire : Et si on faisait une ellipse, non parce que là... On y est encore dans trois semaines.

Après que tout le monde se soit calmé, Leon finit par partir de l'infirmerie et retourne dans sa chambre en demandant à Claire de l'attendre dehors. Il s'habille d'un pantalon et chaussure tous deuxde couleur noir, avec une chemise bleu foncé. Par dessus sa chemise, il rajoute un gilet noir qui permet de mettre ses ranger ses chargeurs et sa lampe torche. Un holster au niveau des épaules sert à ranger ses deux armes et un autre à la cuisse droite son couteau de combat. il finit par mettre une veste en cuir noir par dessus. Après un dernier coup de brosse à cheveux, il sort de sa chambre et verrouille sa chambre.

Leon : Désolé pour l'attente. On va pouvoir aller voir Zarick sur l'île Renmen. Tu es prête ?

Juste après avoir verrouillé la porte de chambre, Leon glisse quelques phrase.

Leon : Désolé pour l'attente. On va pouvoir aller voir Zarick sur l'île Renmen. Tu es prête ?

Claire : Oui je suis prête.

Alors qu'il se retourne, il découvre son amie désormais affublé du peignoir qu'il avait pourtant laisse dans la pièce qu'il vient juste de quitter, et surtout que la garçon manqué était resté tout ce temps dehors, enfin d'après lui. La miss se marre ne voyant sa tête et lui répond sans problème.

Claire : Il y a des compétences que tu ignores encore de ma part Leon, tu devrais d'ailleurs penser à vérifier ton calendrier la prochaine fois que tu iras là bas.

Ceci placé, elle commence à prendre de l'avance dans le couloir pour leur destination tout en conversant avec le malade, qui va mieux après toutes ces conneries, et qui est juste derrière derrière elle. En parallèle, les soldats affectés à la base peuvent être vus se déplaçant autour d'eux.

Claire : On emprunte le White Turtle ou on prend l'avion ? Je te préviens, je n'ai pas d'argent sur moi. Tu en as ?

Elle attend de voir ses réponses.

Claire : On emprunte le White Turtle ou on prend l'avion ? Je te préviens, je n'ai pas d'argent sur moi. Tu en as ?

Leon sceptique se dit qu'il devrait changer sa serrure et mettre un digicode pour plus de sécurité pour sa vie personnelle.

Leon : On va emprunter le White Turtle, je ne sais pas comment elle a fait mais Lucy a réussi à me piquer mon fric alors qu'il était dans ma chambre et qu'elle est seulement apparut dans l'infirmerie. Enfin, j'ai arrête de trouver des sens logiques à ses agissements bizarre.

Alors que Leon pense à sa vie personnel, il croise la route d'Ichigo.

Ichigo : Au fait, je t'ai emprunté ta collection de magazines qui trainaient sous ton lit.

Puis il repart comme une flèche, digne d'un Shinigami.
Leon n'en tient pas compte et discute avec Claire.

Leon : On va emprunter le White Turtle, je ne sais pas comment elle a fait mais Lucy a réussi à me piquer mon fric alors qu'il était dans ma chambre et qu'elle est seulement apparut dans l'infirmerie. Enfin, j'ai arrête de trouver des sens logiques à ses agissements bizarre.

Claire : Je crois que tu n'aurais pas dû parler de Gilbert plus tôt dans le RP.

Suivant ces précieux conseils, ils n'en parleront plus, juste de Shiho, il vaut mieux.
C'est ainsi qu'ils arrivent au hangar où se trouvent divers aéronefs militaire plus celui qui les intéresse et qui est reconnaissance entre tous, l'engin personnel des Avengers pour partir en mission à l'autre bout du monde en un clin d’œil. La soute n'est pas ouverte et donc pour rentrer, il faudra d'abord y remédier à ça.

Claire : Classe le vaisseau, je veux le même sous forme de statuette à la maison !

Elle laisse alors faire son compagnon qui s'y connait mieux à tout ça.

Claire : Classe le vaisseau, je veux le même sous forme de statuette à la maison !

Leon s'approche de la soute et un faiseaux laser scan son visage.

Leon : Leon S Kennedy, chef des Avengers.

Une voix robotique se fait entendre.

Voix : Identité confirmé, bienvenue Leon S Kennedy.

La soute s'ouvre pour les laisser entrer. Leon entre dans le White Turtle.

Leon : J'ai proposé ce système d'ouverture, seul les membres de Avengers peuvent ouvrir le White Turtle. C'est Carton-man qui l'a mit en place.

Claire est impressionnée par ce système de reconnaissance facial pour rentrer dans le vaisseau.

Claire :

Elle suit alors son ami dans le vaisseau impressionnant des héros qui n'ont pas vraiment de supers pouvoirs.

Leon : J'ai proposé ce système d'ouverture, seuls les membres de Avengers peuvent ouvrir le White Turtle. C'est Carton-man qui l'a mit en place.

Claire : J'avais oublié que vous aviez littéralement la parodie des différents membres de Avengers des films et Comics. J'ai même vu une Fenêtre Noire en arrivant ici, je suppose que c'est censée être Black Windows.

Elle se marre elle en faisait cette remarque alors qu'ils au poste de pilotage de l'engin.
Évidemment, la membre de l'ONG ne sait pas pilote de genre de truc, contrairement à son frère.

Claire : J'ai entendu parlé de tes exploits de pilote de ligne en Chine il y a 2 ans donc je suppose que tu peux le conduire ?

Elle attend sa confirmation.

Claire : J'avais oublié que vous aviez littéralement la parodie des différents membres de Avengers des films et Comics. J'ai même vu une Fenêtre Noire en arrivant ici, je suppose que c'est censée être Black Windows.

Leon : C'est Maxime Moulin qui a créé les Avengers et rassembler toutes ses personnes. Je n'y suis pour rien pour la parodie des Avengers.

Leon s'installe au poste de pillotage.

Claire : J'ai entendu parlé de tes exploits de pilote de ligne en Chine il y a 2 ans donc je suppose que tu peux le conduire ?

Leon : J'avais quelques notions de pillotage à cette époque, depuis j'ai prit des cours. Donc ne t'inquiète pas.

Il ferme la soute et prépare le décollage.

Le décollage est sur le point de commencer.
Claire s'asseoit à une place libre et regarde à travers le hublot l'appareil où elle se trouve décoller à pleine puissance, avec ses moteurs qui rugissent du feu de Dieu, devant le regard de plusieurs figurants de la base pour qui cela devient petit à petit une habitude de voir un tel spectacle après un mois de collocation avec ces héros.
Le toit menant au stade de la ville s'ouvre lentement, permettant au vaisseau de prendre son envole sans trop se précipité afin d'éviter un crash. Une fois la grande porte entièrement ouverte, et sans se préoccuper des deux équipes de footballers américains qui sont tombés sur la coque de l'engin, celui ci remonte à la surface puis met la sauce pour foncer hors du lieu, hors de la ville, hors du pays.
Entre temps, dans l'Infirmerie...
Glenn Talbot revient avec de bonnes nouvelles, sauf qu'il n'y plus personne pour les entendre.
Sa seule réaction est celle ci :

Deux Weskers passent derrière lui sans qu'il y prête attention, plutôt désemparé.
Laissons le disparaître de l'intrigue.

Le trajet ce fait sans encombre jusqu'à l'île Renmen. Arrivé là-bas, Leon remarque que l'île est trop petite pour puisse se poser. Ils seront obligés de se poser sur l'île Marawarzaza, celle juste à côté pour atteindre la première.

Leon : On va devoir utiliser un bateau pour aller voir Zarick.

Il amorce la procédure de descente et se pose tranquille sur l'île dans un endroit bien dégager. Il ouvre la soute puis coupe les moteurs. Leon se lève et regarde son amie en souriant doucement.

Leon : Allons y. Je voudrais éviter une catastrophe causé par le couple Montagné.