[RP] Back In 2015 Marty !

Claire : Et si elle était partante ? Tu me croirais ?

Leon : Pardon ?

Il se fait plaqué sur le canapé par Claire qui lui bloque aussi les jambes.

Claire : Essaye de prouver tes compétences en me battant.

Leon fronce les sourcils, ce n'est pas la Claire qu'il connait. Le visage de la jeune femme se rapproche dangereusement du sien. Par réflexe, il donne un violent coup de coup et inverse les positions avec un mouvement du bassin. Il sort un de ses Beretta et pointe le canon sur le front de Claire.

Leon : Qui es-tu ? Claire n'aurait jamais fait ça. Claire m'aurait laissé tranquille et elle serait reparti dans sa chambre sans insisté plus.

La situation semble s'inverser pour l'usurpatrice d'identité qui est désormais aux prises avec l'individu plutôt malin qui a fini par comprendre une partie de la vérité, bien qu'il est loin de l'avoir pigé dans son intégralité.
Acculée, elle écoute sagement ce qu'il a à dire.

Leon : Qui es-tu ? Claire n'aurait jamais fait ça. Claire m'aurait laissé tranquille et elle serait reparti dans sa chambre sans insisté plus.

La mystérieuse personne rigole à la première question et y répond en essayant d'être gentille, à sa façon.

Claire : Ça ne t'avancera à rien de le savoir. Je peux juste te dire que j'ai tué Carmine Millione et que tu devrais faire demi tour rapidement. Laisse Gilbert et l'autre rousse dans leur destinée tragique. Sinon, Aerafal, Ada, Sienna et toi, vous allez crever.

Elle fait un clin d'oeil pour accompagner ses menaces sympathiques.

Elle rigole face aux questions de l'agent.

Claire : Ça ne t'avancera à rien de le savoir. Je peux juste te dire que j'ai tué Carmine Millione et que tu devrais faire demi tour rapidement. Laisse Gilbert et l'autre rousse dans leur destinée tragique. Sinon, Aerafal, Ada, Sienna et toi, vous allez crever.

Leon : Ada, Sienna et Aerafal savent très bien se défendre tout seul. Et si tu connais l'existence de mon fils, je devrai tout de suite. Tu ne devrai jamais menacer ma famille et mes proches.

Il a confiance aux capacités de son fils et de sa femme. Il sait aussi que cette dernière protégera leur fille adoptive comme il se doit, même s'il ment sur les capacité de la plus jeune de la famille. Il va devoir commencer l'entraînement sa fille adoptive, pour qu'elle puisse se défendre. Mais il faut avouer que ça l'inquiète un peu. Plusieurs personnes sont au courant de l'existence de son fils et ça ne lui plaît pas. Il va devoir être encore plus vigilant et espacer les visites pour aller le voir.

Son Beretta est chargé et prêt à etre utiliser, mais il aimerait glaner quelques informations en plus.

Leon : Qui t'envoie ?

Le canon du Beretta continue de menacer le doux et jolie visage de l'inconnue.

Leon : Qui t'envoie ?

Claire : Cette Personne.

Cette réponse donne l'impression de se foutre de sa gueule, on ne peut pas en douter.
Surtout que la personne s'amuse pas mal à jouer avec lui, tellement qu'on n'arrive pas à la cerner clairement.

Claire : Tu veux en savoir plus, Shiho rejoindra son beau père que j'ai égorgé dans son sommeil pendant que tu roupillais de ton côté, et Gilbert sera gardé à nos soins bien vivant, je m'en suis assurée. Tes menaces me font autant d'effets que les miennes sur toi, je vois que nous sommes sur la même longueur d'onde.

Son regard devient un peu plus romantique envers lui, comme si elle essayait encore de le draguer.

Claire : Dommage que tu ais refusé mes avances, j'aurais voulu gouter au célèbre Agent Kennedy que toutes les américaines raffolent.

Elle mime un bisou en sa direction.

Claire : Je n'ai pas prévu de te tuer toi, alors à toi de voir si tu me tues ou pas, mais dépêches toi, ça commence à me serrer beaucoup.

Elle attend de voir sa réaction face à tout ce qu'elle a sorti de sa bouche.

Claire : Tu veux en savoir plus, Shiho rejoindra son beau père que j'ai égorgé dans son sommeil pendant que tu roupillais de ton côté, et Gilbert sera gardé à nos soins bien vivant, je m'en suis assurée. Tes menaces me font autant d'effets que les miennes sur toi, je vois que nous sommes sur la même longueur d'onde.

Leon : Au moins, on est d'accord sur une chose.

Claire : Dommage que tu ais refusé mes avances, j'aurais voulu gouter au célèbre Agent Kennedy que toutes les américaines raffolent.

Elle mime le bisous.

Claire : Je n'ai pas prévu de te tuer toi, alors à toi de voir si tu me tues ou pas, mais dépêches toi, ça commence à me serrer beaucoup.

Leon se reverra en enfer alors.

Sans aucune hésitation, il presse la détente et tire une balle entre les yeux de l'usurpatrice. Du sang et des bouts de cervelle éclaboussent le canapé, le sol et Leon. Pour être certain, il tire une seconde fois dans la tête de la femme. Au moins il est sûr qu'elle est morte et elle ne fera pas de mal à sa famille.

Il se redresse et range son Beretta. Elle a dit qu'elle avait égorgé Zarick. Il faut qu'il vérifie. Il s'éloigne du cadavre et fonce en direction de la chambre de Zarick. Il y entre précipitamment.

Leon : Zarick ?!

[-2 Balles de Beretta]

Inquiet pour son hôte, Leon range l'un de ses nombreux pistolets personnels dans son étuis et se relève en hâte pour foncer sans réfléchir vers la chambre où devrait se trouver le corps encore chaud du pauvre homme, un marque rouge sur le gorge dont des hectolitres de sang s'y découleraient.
Or, le spectacle est bien moins macabre à contempler.
Zarick est dans son lit, sans aucun vêtement pour le couvrir, et a les yeux fermés avec de la bave coulant de ses lèvres, annonçant une très mauvaise nouvelle, bien qu'on soit loin du flot de globules annoncé. Pire encore, il devient clair en vérifier son pouls qu'il est actuellement encore vivant, et qu'on lui a juste fait une prise dans son sommeil afin de s'assurer qu'il en viendrait pas tout gâcher avec sa magie.
Il est bizarre que cette vilaine femme ne l'ait pas tué plutôt que de se faire chier à faire ça.
Par contre, il ne faut pas espérer le sortir de son état de suite car il est bien sonné avec le coup précis qu'on lui a fait, digne de Spock. Au moins, on peut à présent être rassuré en se disant que les craintes étaient infondées, sauf que ce n'est pas encore le moment de baisser sa garde.
Un craquement de plancher a lieu dans le couloir, signifiant l'arrivé d'une personne en douce, et on dirait que celle ci s'est rendu compte de son faux pas. D'un coup, elle se précipite vers la position de la belle gueule et montre enfin son apparence de façon très rapide avec un Remington 870 dans les mains.
Sans attendre le temps qu'on puisse bien la discerner, elle tire un coup.
Espérons que ça saura esquiver en face.

Leon est rassuré de voir que Zarick est vivant, inconscient mais bien vivant. Il entends soudainement un craquement provenant du couloir puis un tire par réflexe. Leon saute sur le côté par instinct et tire plusieurs fois à son tour en direction de la porte. Evidemment, l'adversaire évite les tires.

Il sort sa figurine d'Ada Explosive, l'active et il la lance en direction de la personne. La figure explose aux pieds de l'adversaire emportant une partie de la maisonnette et en éparpillant des morceaux de corps partout.

Leon se redresse et observe en direction de la porte. Il regarde Zarick qui est pour le moment encore immobile. Il soupire légèrement, soulagé de n'être pas blessé, ni lui, ni Zarick.

[-1 Figurine d'Ada Explosive]
[-2 Balles de Beretta]

Une explosion déchire les entrailles de la demeure, éparpillant les bouts de de chairs et organes humains un peu partout, en même temps que le bois des murs éclatés. A la fin, un gros trou s'est fermé à la place du petit couloir séparant les chambres, facilitant l'accès aux différentes pièces.
Le sacré boucan n'avait pas réveillé le sorcier neutralisé, le laissant ignorant des évènements actuels.
Il faudra soit laisser le temps de revenir à lui, soit insister fortement pour y parvenir.
En attendant, les rares flammes créés par le souffle juste avant éclairent l'endroit, alors qu'une fumée noire se répand dans le ciel déjà assombri. Il faut croire que cette figurine était efficace, quoique l'on peut se demande pourquoi Leon avait ça sur lui, depuis comment, et qui l'avait créé.
Quelqu'un devra lui demander ça à l'avenir.
En attendant, voyons voir ce qu'il va faire maintenant que tous les ennemis semblent avoir été éliminés.

Leon regarde les dégâts fait sur la maison et soupire.

Leon : Je paierai les réparation.

Il va chercher un récipient et de le l'eau pour éteindre les flammes. Il passe dans le salon, là où il avait tuer l'usurpatrice et ne trouve pas le corps à part une mare de sang.

Leon : C'est quoi encore ce bordel ?

Il se demande s'il n'y a pas un deuxième complice sur l'île. Il attrape un seau, le remplit d'eau et éteins les flammes. Par mesure de sécurité, il sort de la maisonnette et observe toute la petite île avec la faible lueur de la Lune. Il aperçoit alors un bateau s'éloignant.

Leon : Elle n'a pas pu survivre à mes balles. Elle devrait vraiment avoir un deuxième complice.

C'était la solution la plus logique sur le moment et surement la plus probable.

Zarick a eu une mauvaise nuit et son cou lui fait mal, l'obligeant à y appliquer régulièrement quelques gestes de soin vaudou pour la soulager. En plus, sa maison qui chérissait tant et qui avait résisté à tant de décennies et d'attaques a fini en piteux état.
Il n'en veut absolument pas à Leon pour ça et regrette plutôt de n'avoir rien vu venir, et que ses pièges à intrus n'aient pas fonctionné quand il l'aurait fallu.
Il se fait vieux, c'est ce qu'il pense.
Là il est assis avec celui qu'il a choisi d'aider et dont le portable avait été volé par Gilbert, ce qui explique pourquoi personne n'arrive à le joindre. Les deux sont assis sur un banc à Main Street USA où il y a du monde, y compris et surtout des enfants. Il y a aussi des mascottes qui se balladent en agitant leur membres partout.
Le français tient entre ses mains le masque en latex ressemblant très pour très à Claire Redfield, ce qui est flippant rien que d'y penser. Celui ci est tâché de sang et a été trouvé près de la mare de sang laissé par le corps de l'usurpatrice.
D'innombrables questions se posent sans pour autant avoir de réponses.

Zarick : J'ai peur pour Esma. Ces personnes sont fortes et préparées, j'ai rarement un niveau de compétence comme cela. Et toi ?

Le vouvoiement a laissé la place au tutoiement comme ils se sont rapprochés en peu de temps.

Zarick : J'ai peur pour Esma. Ces personnes sont fortes et préparées, j'ai rarement un niveau de compétence comme cela. Et toi ?

Leon : C'est pareil pour moi, ça m'inquiète beaucoup. Ils ont des informations que je ne pensais pas qu'ils découvriraient. J'espère que Gilbert et Esma vont bien.

Leon regarde autour de lui et finit par se lever.

Leon : Bon, on devrait aller trouver ses Illuminés.

Leon se lève du banc, prêt à l'aventure.

Leon : Bon, on devrait aller trouver ses Illuminés.

Zarick le suit dans son élan, déterminé à sauver sa fille.

Zarick : Suis moi de près, il pourrait y en avoir d'autres, on ne sait jamais. Quand on sera avec mon ancien groupe d'amies, on sera plus en sécurité.

Le plus vieux lève la marche pour guider celui qui ne sait pas où.
Sans le savoir, un viseur les a en joue depuis le haut du château où ils se dirigent. Laissant planer les craintes sur eux, elle une cible dans le dos

Zarick : Suis moi de près, il pourrait y en avoir d'autres, on ne sait jamais. Quand on sera avec mon ancien groupe d'amies, on sera plus en sécurité.

Leon le suit. Il arrive rapidement au Château de la Belle aux Bois Dormants. En rentrant, on remarque tout de suite la hauteur sous-plafond plutôt impressionnante. De nombreux piliers sont dans le hall à l'effigie d'arbre soutenant un balcon et même le plafond. La balustrade du balcon à des motifs de cœurs stylisés. Il y a aussi trois grand vitraux représentants les personnages cultes de l'histoire de la Belle aux Bois Dormants. On peut aussi apercevoir une statuette de la princesse Aurore et de son prince en train de danser. Des immenses chandeliers éclairent le grand hall.

Il remarque sur la droite une mascotte représentant Oliver, un chat roux avec un collier bleu et une petite médaille d'or où l'on peut lire son nom. Il est devant une porte en train en de faire de son boulot de mascotte. Mais d'ailleurs que fou un chat roux dans le Château de la Belle aux Bois Dormants ? Leon se tourne vers Zarick.

Leon : Où allons nous maintenant ?

Les deux hommes se retrouvent engloutis par la majestuosité fantasmagorique de ce château sortant d'une merveilleuse histoire créée par Disney, en se basant sur un contre pas forcément aussi choupinou surtout si l'on prend la version des frères Grimm où le prince est plutôt du genre pressé et viole la pauvre rose endormie avant de partir chercher des clopes sans jamais revenir, laissant les gosses à celle qui ne sait pas encore qu'elle en a.
Zarick ne connaît principalement que cette version là et celle de Perrault.
Lui non plus n'a pas souvenir d'avoir déjà entendu parlé d'un chat roux se prénommant Oliver dans n'importe laquelle de version de cette œuvre intemporelle. Néanmoins il savait ce que cette mascotte était en train de garder, à savoir la porte menant de façon expéditive au QG des Illuminatis.
Leon se tourne vers le guide afin de savoir que faire car cela ressemble à une impasse.

Leon : Où allons nous maintenant ?

Zarick : Laisse moi faire.

Alors que le sorcier s'avance vers le garde non armé, une personne déguisée en Fagin passe dans le dos de l'agent Kennedy en faisant la danse du "Je brise le Quatrième Mur et je m'en fous" avant de se jeter par dessus la balustrade sur le sol réfléchissant, se brisant le cou par la même occasion. Les enfants qui voient ceci se mettent à crier de joie en sautillant dans tous les sens.
Revenons au père adoptif de Shiho qui se présente devant l'homme en costume pour lui glisser une phrase subtile.

Zarick : Hé j'ai les couilles qui me grattent, tu me peux me les manger !?

Garde : OOOOUUUUUIIIII !!! Tu peux passer.

Il leur ouvre la porte puis s'écarte pour les laisser passer.
Derrière celle ci se trouve un toboggan magique menant à leur destination.

Zarick : Hé j'ai les couilles qui me grattent, tu me peux me les manger !?

Garde : OOOOUUUUUIIIII !!! Tu peux passer.

Leon hausse un sourcil, surprit par le mot de passe.

Leon : C'était obligé ce mot de passe ?

Il jette un coup d'oeil vers le toboggan, mais il ne voit pas l'arriver et ça l'inquiète un peu.