Resident Evil 9
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[FIC] Plus Gros Coups de Flip [Terminée]

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Message  Claire Redfield Jeu 7 Fév - 20:39

20 Mars 2017

Etats Unis; New Raccoon City; Bar Mitzvah

Un cercle entier d'amis était réuni autour d'une table dans car bar juif du nord de la petite bourgade du midwest.
Tout ça pour boire un coup entre eux, après avoir vécu l'une des pires années de leur vie.
Le Nouvel An fut de tout aussi mauvais augure, mais heureusement le calme à suivi la tempête.
Même si les pluies de sangs, et les Créatures de l'Enfer continuaient à hanter les rêves de beaucoup de monde.
Surtout de ceux qui ont vécu l'année perdue.
Ces Natifs de Raccoon City, l'originale, ont déjà connu quelque chose de proche du monde démoniaque.
Ils sont dix personnes au total.
A savoir :
- Chris Redfield, cette icone légendaire du BSAA avec ses muscles seyants.
- Jill Valentine, cette ancien Delta Force qui a fini bien plus blasé après les événements de Kijuju.
- Rebecca Chambers, cette scientifique au cœur d'or.
- Barry Burton, cet amoureux des sandwichs.
- Albert Wesker, ce fanât du caca.
- Ada Wong, cette espionne dont peu connaissent le vrai nom.
- Leon Scott Kennedy, cet agent de la DSO super connu dans le monde.
- Claire Redfield, cette activiste de TerraSave qui y mène la lutte de sa vie.
- Sherry Birkin, cette fille de deux importants chercheurs d'Umbrella.
- Holt Valentine, ce survivant de la Cobratoile.
Ça faisait beaucoup niveaux personnages, il est vrai.
Il convient néanmoins de remettre sur le tapis qu'ils ont un passé commun dans l'ancienne cité perdue.
Depuis, ils ont vécu encore de nombreuses aventures.
D'ailleurs, ils profitent de ces moments ensemble pour en parler, sans rien se cacher.
C'est un peu comme une grande famille, avec des hauts et des bas comme pour la relation entre Jill et Chris/Holt où c'est tendu depuis déjà plusieurs années, et ça ne s'arrange pas depuis qu'ils sont revenus à la vie. Ils n'ont cependant pas prévu de se disputer devant leurs amies, et donc ont prévu de rester calme aujourd'hui.
Quel sera le sujet de conversation du jour ?
Je vous laisse deviner rien qu'au titre de la FIC.
Non, vous ne trouvez pas ?
Ne vous en faites pas, Claire va vous dire la bonne réponse.

Claire : Allez, quel a été votre plus gros coup de flip. Ce moment de votre vie où vous êtes le plus chier dessus. On commence par toi Chris et puis on fait le tour par ta droite.

Chris : C'est dur...

Jill : Il n'y a pas un moment précis en 2006 qui te revient en tête ?

Chris : C'est vrai que ta soit disante mort à toi et Wesker m'a empêché de dormir pendant de nombreux jours. J'ai cru devenir fou à force d'insomnie.

Albert : Je suis fort pour niquer les nuits des gens !

Chris : Donc oui, ça marche bien.

Jill : J'aurais été déçu du contraire.

Chris:  Et toi Jill, c'était quand puisque tu l'ouvres ?

Jill : Il y en aurait tant à choisir durant la période où j'étais la marionnette consciente de Wesker, à infecter des innocents sans pouvoir contrôler mes propres mouvements.

Albert : J'ai déjà dit que j'étais désolé !

Leon : Ça ne semble pas suffire.

Albert : En même temps j'étais seul et j'avais pas de copine, hormis mon clone au féminin et la pouffe aux gros seins, il me fallait bien ma blonde à moi.

Rebecca : C'était pas plutôt parce que Jill était une bonne arme à utiliser avec le virus dans son sang et sa relation avec Chris.

Albert : Ouais ça aussi, ça rajoutait de l'humour en plus !

Jill : Le pire, ça a été l'affrontement contre toi Chris, quand j'ai vraiment cru que j'allais finir par te tuer de mes propres mains. Ça a laissé des séquelles en moi que j'ai eu dû mal à apprendre à vivre avec, malgré que j'avais déjà vécu bien des horreurs.

Sherry : Le PTSD, c'est quelque chose que je ne souhaite à personne, pour l'avoir subi moi même.

Chris : Moi, ça été avec la mort de mon équipe en Edonia que j'ai eu ça.

Jill : Des fois je me demande si on a vraiment réussi à gérer tout ça, et si ce n'est pas en train de nous tuer à petit feu.

Barry : Woooowww ! J'aime pas la tournure que prend la conversation.

Holt : Moi non plus.

Rebecca : C'est à mon tour, en espérant égayer un peu la conversation.

Ada : Bonne chance, c'est pas gagné.

Rebecca : Je dirais que c'est le moment où je me suis retrouve face à un Hunter sans armes dans le Manoir. C'est vraiment regretté d'avoir donné tout mon attirail à Billy et n'avoir gardé que mon Samurai Edge sur moi pour le coup.

Chris : Heureusement que j'étais dans le coin quand ça s'est passé, sinon tu serais morte.

Rebecca : J'ai horreur de quand ça m'arrive, être sans défense face à ces monstres.

Sherry : Au moins, tu n'étais pas qu'une gamine de 12 ans que ça t'est arrivé.

Barry : A mon tour mes amis !

Jill : Je sais déjà de quoi tu vas parler.

Barry : Moi c'est quand Wesker a pris en otage ma famille pour que je fasse ce qu'il voulait de moi.

Jill : Ah non, j'aurais pensé que tu aurais parlé du Jill Sandwich.

Holt : Oh non, pas encore ça.

Barry : Oooohhh, je ne parle pas que de ça quand même !

Ada : On doit lui dire ?

Albert : C'est vrai que c'était rigolo de faire ce genre de choses à l'époque.

Barry : Et toi, tu as eu au moins peur de quelque chose dans ta vie ?

Albert : Je dois vraiment en parler ?

Sherry : Tu peux y aller, nous ne te jugerons pas.

Claire : C'est pas sûr.

Rebecca : Nous ferons de notre mieux.

Albert : Vous vous rappelez des événements de Rockfort Island il y a presque 20 ans ?

Chris : "Oh petit poisson viens voir mon hameçon".

Holt : C'était très gay à l'époque.

Albert : Hé, comment vous savez que j'ai dit ça !?

Leon : Ada nous a montré des enregistrements de toi de cette époque.

Ada : Remercie tes hommes pour me les avoir filé.

Albert : Ah la salope... Enfin bref, c'était plus précisément dans le passage en Antarctique. J'étais en train de confronter Alexia Ashford pour qu'elle me file le Virus T-Veronica, sauf qu'elle m'a envoyé chier et a commencé à descendre l'escalier qui nous séparait. Et là putain, elle s'est transformé devant mes yeux sous un déluge de flammes, j'ai lâche mes sphincters !

Rebecca : Charmant...

Sherry : Burk !

Albert : J'ai essayé de l'affrontement brièvement, mais dès que j'ai vu que Chris était là, je me suis barré pour laissé tout le boulot parce que j'avais trop peur de cette nana là ! C’est un peu comme Leon qui m'effrayait aussi de ce que j'avais pu avoir d'infos de lui, notamment de ses actions en Amérique du Sud avec le même virus.

Leon : Heureux de voir que je faisais peur à l'un des plus dangereux terroristes de ce siècle.

Chris : J'aurais aimé que ça soit le cas pour moi, comme ça le combat dans le Château Spencer aurait été vite gagné.

Ada : Je devine que c'est mon tour maintenant ?

Barry : Yeeeaaahhh !!

Ada : J'ai la réponse mais je n'ai pas envie de vous le dire, ce serait trop vous dévoiler de mon enfance. Une partie de ma vie que même mon mari ne connait pas.

Sherry : Sérieux !?

Leon : Au moins, il y a encore de la surprise dans notre couple.

Jill : Quelle chance.

Rebecca : J'aimerais bien être en couple de mon coté.

Claire : Tu ne veux même pas jouer un peu le jeu ?

Ada : A la limite, je peux vous dévoiler mon vrai nom, vu que c'est en lien avec ce que je ne vous dirai pas.

Holt : Je suis pour !

Chris : Il y a déjà qui savent son vrai nom autour de la table ?

Leon : Devine.

Chris : Oui bon je me doute que si il y a bien quelqu'un qui doit le savoir c'est toi. L'inverse me laisserait perplexe.

Claire : J'en ai aucune idée.

Jill : Idem.

Rebecca : On ne sait connait presque pas, donc non.

Sherry : Je pensais qu'Ada Wong était son vrai nom.

Barry : Pareil.

Albert : Je le connais puisque c'est ma pute !

Ada : Veux tu un coup dans l'entre jambe ?

Albert : Oh oui cochonne !

Chris : Arrêtez, tout le monde nous regarde maintenant.

Leon : Je pense que tu peux le leur dire sans crainte.

Ada : C'est Akana Galdae.

Leon : Aka pour rouge en japonais...

Jill : C'est bien ce que j'avais compris.

Leon : Et Galdae veut dire Roseau en coréen.

Rebecca : Mon coréen n'est donc pas trop rouillé, ça va encore.

Albert : Je vous avait dit que c'était un nom de p... Aille !

Ada : Je t'avais prévenu.

Leon : Je vous faire sentimental mais c'est quand j'ai cru te perdre cette nuit là au labo du Docteur Birkin, Ada.

Ada : Comme c'est mignon. Tu ne veux pas nous jouer du violon aussi ?

Leon : Je préférerai du piano, c'est plus mélodieux.

Claire : Je vais faire simple et évident pour moi. Le premier zombie que j'ai croisé dans mon vie. Seule, désarmée et encore plus ou moins innocente à l'époque. Le choc.

Jill : Toi au moins tu n'as pas gerbée dans des chiottes dégueulasses.

Sherry : Tant qu'on parle de Raccoon City à la fin Septembre 1998, quand j'étais cachée dans le Commissariat en espérant avoir de l'aide, mais qu'à la place je voyais les derniers officiers sur place se faire éliminer un par un par les armes biologiques et le Chef Irons. En plus mon Père rodait dans la station après l'évasion de quelques flics et survivants en fourgon du SWAT. Le traumatisme.

Jill : Quand je pense que j'aurais pu te croiser à l'époque.

Sherry : Avec Nemesis qui te poursuivait, je n'ose imaginer le résultat.

Claire : Déjà que j'aurais rêvé voir un affrontement entre Mister X et Birkin, alors Nemesis face à ce dernier...

Albert : Il y a toujours moyen, il suffit de retourner dans le t...

Leon : Non, il ne faut pas jouer avec la ligne temporelle, sinon ça se retourne contre nous.

Holt : Bon, c'est moi le dernier. Je vous laisse une chance de deviner mon coup de flip.

Jill : C'est la mort de Maman avec Ailein qui était sous le contrôle d'Umbrella ?

Sherry : Celle d'Erza des mains d'Ailein justement ?

Barry : Le vieux sandwich tout pourri que t'a acheté dans le Bronx ?

Holt : C'est ça t'as trouvé !

Rebecca : OK, là je suis perdue.

Holt : Plus jamais je suis retourné à Castle Hill après ça !

Chris : Il s'est passé quoi ?

Holt : J'ai eu des hallucinations, vertiges, diarrhées, vomissements et la tête en compote. J'ai vraiment cru crever à cause de ça ! Dés que ça allait un peu mieux, je suis retourné au vendeur auquel j'avais acheté cette merde pour lui en enfoncer une autre droit dans le cul !

Rebecca : C'est bien vulgaire cette conversation.

Sherry : Tu as raison.

Albert : Attendez, vous voulez voir le mien !?

Tous : NNNNNOOOONNNNN !!!!!

Albert : Trop tard !

Il avait déjà baissé son pantalon alors qu'il ne porte aucun sous vêtement.
Rajoutons à ça une petite crotte qui pendouille entre ses deux fesses.
Il a toujours l'art de ruiner une belle conversation.
C'est bien pire que Cyril Hanouna.
Claire Redfield
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