Resident Evil 9
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[FIC] Suzumiya Haruhi no Sureiyāzu [Terminée]

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[FIC] Suzumiya Haruhi no Sureiyāzu [Terminée] Empty [FIC] Suzumiya Haruhi no Sureiyāzu [Terminée]

Message  Maxime Moulin Dim 24 Mar - 22:49

1 Mai 2019

Pays du Beau Gosse; Ville Sacrée des Pieds Féminins; Grosse Teube

Aaaaahhhhh...
La belle vie !
Ça fait longtemps qu'on s'est pas entretenu nous deux !
Qu'est ce que je deviens depuis la dernière fois ?
Ouais c'est vrai que pour toi, je suis censé être mort depuis...
Je sais plus honnêtement, je compte plus le temps qui passe.
Ah si, c'était en 2015, en Août je crois même.
Par contre l'année actuel, je laisse le Narrateur la mettre ne haut car j'en ai aucune idée.
Je t'ai pourquoi.
Alors, où est ce que je suis ?
Pas en Enfer ça c'est sûr, bien au contraire !
C'est le paradis vieux !
Toute les gonzesses suivent ma volonté, n'est ce pas merveilleux !?
Qu'est ce que c'est que ces histoires ?
Attends, je vais te la raconter, ça va être rapide.
Après ma mort, ce fut le trou noir.
Rien, comme si vraiment je n'existais plus, ce qui aurait prouvé qu'on a pas d'âme si il n'y avait pas eu la suite.
Aucun moyen de savoir ce qui s'est passé durant cette période et combien de temps ça a duré.
Ce que je sais en revanche, c'est que j'ai fini par me réveiller, dans un monde différent de celui où je vivais.
Un monde où je n'avais aucun homologue, t'y crois un peu ça !?
Bon c'est cool d'un sens car au moins je n'avais aucune concurrence ici.
Au début j'étais un peu paumé et je ne savais pas quoi faire, jusqu'au moment où j'ai commencé à parler aux gens.
Là, je me suis rendu compte d'une chose extra jouissive, oh oui !
Dorénavant j'ai en moi le pouvoir de plier n'importe qui à ma volonté, sans exception de ce que je sache.
OOOOOUUUUAAAAIIIISSSS !!!!
Tu me connais, j'en ai grave profité !
Toutes ces salopes à mes pieds, enfin juste les plus belles. Celles à mon goût, avec des pieds convenables.
Toutes les autres, ainsi que les gars, mortes et morts.
Je leur ai demandé de se suicider.
Je te laisse imaginer le nombre de corps à se débarrasser suite à ça.
Je ne sais pas si il y a des cons ou connes qui ont pu échapper à ça, sachant que j'ai fait passer le message via la télévision et internet. Peut être des vieux ou des ermites, ou les deux.
En tout cas, ils doivent être très rare.
Désormais, les millions de bonasses qui restent, vivent toutes en France, même si elles sont étrangères.
Enfin la France... Comme je dirige le pays à présent, je l'ai renommé en Pays du Beau Gosse.
Ce qui me décrit bien sans mes lunettes. Cool
La nouvelle capitale est Bischheim, ou plutôt la Ville Sacrée des Pieds Féminins.
Je siège dans la Grosse Teube, en bâtiment ne forme de bite comme tu l'as si habillement deviné.
Je me plaît bien ici, mais... Je sais pas. Il manque comme quelque chose.
Oui c'est ça, certaines bonnes meufs que je kiffais dans mon monde natale mais qui n'existent pas ici.
Enfin, je fais genre de m'en rendre compte que maintenant, mais en vrai ça fait un moment que j'y ai pensé, et j'ai demandé à mes scientifiques, car il y en a encore, de construire une machine nous permettant de retourner à mon ancien chez moi.
Elle est enfin prête, prête à me servir.
Comme le dirait un très grand philosophe, aujourd’hui décédé.
"Hasta luego !
Je n'fais que passer par là !
Hasta luego !
Le monde ne me suffit pas !
"
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[FIC] Suzumiya Haruhi no Sureiyāzu [Terminée] Empty Re: [FIC] Suzumiya Haruhi no Sureiyāzu [Terminée]

Message  Judy Hopps Jeu 28 Mar - 0:42

Royaume-Uni; Londres; Westminster; Siège TerraSave

La lueur orange vient à s'éteindre alors que 18 heures s'approche dangereusement en cette fin de travail.
Claire Redfield a passé sa journée à trier des rapports de missions, tout seule principalement, parce que la personne qui est censée s'en occuper était malade aujourd'hui donc il faut bien que quelqu'un le face. D'habitude, elle c'est juste un agent de terrain, pas plus.
Elle a dû notamment s’occuper d'enregistrer le bilan de la dernière aventure de Moira Burton, son amie et la fille aînée de Barry, sauf que plusieurs heures après, elle ne se sont pas encore sorties de l'auberge. Faute a une histoire qui ne cesse de se contredire.
On en en arrive alors à la dernière version, enfin celle qui note l'espère, parce que les conneries ça suffit.

Claire : Donc je résumé, alors que tu étais en route pour Cardiff, tu as croisé un vieux.

Moira : Non, une vieille.

Claire : Bon OK, une vieille.

Moira : Une vieille et un vieux.

Claire : Si tu veux. Qu'est ce qu'ils t'ont dit ?

Moira : Qu'ils sont souvent victimes de Colibris et qu'ils voudraient bien qu'on les considère en tant que tels ?

Claire : Quoi !? C'est quoi le foutu rapport !?

Moira : Tu n'aimes pas mes histoires de vieux ?

Claire : Attends, y'a que toi que ça fait fantasmer les vieux.

Moira : Quand même, c'est classe les vieux. Ils arrivent, c'est hyper mystérieux.

Une mélodie entraînante se joue dans l'open-space, surprenant tous les employées encore présent dedans. Ce qui laisse sans voix tout le monde, c'est surtout cette lumière blanche qui apparaît au beau milieu du lieux, suivi par l'apparition d'un homme à lunettes et gros pif qui tend les mains vers les deux femmes dont on connait le nom, accompagné par la voix de Marc Lavoine.

Maxime : Venez avec moi.

Claire : Bien sûr !

Moira : Il n'est pas vieux mais il semble cool !

Ses deux premières victimes l'accompagnent vers un destin qui leur semble encore inconnu.

Suisse; Genève; Cité-centre; Siège Mondial UNIT

Dans le laboratoire du Docteur Nimertz, ce dernier et son assistante Curie se font sermonner par Lina Inverse, le Figure en Chef de cet organisme en Europe à cause de leur expérience n'avançant pas, laissant une intrigue en suspend depuis un ancien JDR.
Judy Hopps est aussi présente, pour son rapport de la semaine, bien que visiblement, ça peut attendre.

Lina : Vous pouvez me dire ce que vous foutez avec ce Malzahar !?

Nimertz : Ecoutez, nous sommes...

Lina : Plus d'excuses ! Vous foutez quelque chose de ce prisonnier hautement dangereux ou je m'occupe de son cas. Soit en prison, soit à la morgue ! C'est bien clair !?

Nimertz : C'est clair.

Curie : Nous essayerons de faire de notre mieux et de ne pas vous décevoir.

Judy : Je peux m'exprimer à mon tour ?

Lina : Oui allez, qu'as tu à...

Une chanson bien rythmée par une voix identique à la Générale présente, puis s'en suit la même chose que vu précédemment, avec le même gars qui concentre l'attention des trois femmes présentes en ce lieu.

Maxime: Lina viens avec moi. Les autres vous restez, vous êtes moches.

Lina : J'arrive !

Curie : Les critères de beautés sont subjectifs, mais j'espère ne plus vous décevoir.

Alors que la lapine se met à chialer, la rouquine disparaît.

France; Bischheim; Église protestante Notre-Seigneur-Jésus-Christ

Ophelia ramasse de l'argent à l'occasion de la messe avec un chapeau dans le cadre d'un plan visant à se faire du pognon aux frais des honnêtes gens. Lucy fait la même chose à l'Église catholique Saint-Laurent à quelques rues de là, pour en avoir plus.
On les juge pas, elles doivent avoir une bonne raison derrière tout ça, espérons le.
Ceci fait, elle se tire avec une moto qu'elle avait planqué sous la robe pastorale et défonce la double porte d'entrée avant de foncer victorieuse à travers les petites rues de la ville. Sur sa bécane, elle tente de contacter sa partenaire via son portable mais tombe sur son répondeur.
C'est alors qu'une lueur vive apparaît devant et qu'elle se retrouve obligée de déraper pour éviter de percuter le lunetteux qui en sort. Perplexe, elle se demande ce que c'est ce bordel, et surtout, c'est quoi cette musique à la con qui se fait entendre.

Maxime : Viens avec moi Vipère, Lucy est déjà là.

Ophelia : C'est parti pour un Plan à Trois !

Elle actionne accélérateur et l'embarque avec elle pour traverser cette énergie blanchâtre d'où il provient.

Cuba; Guantánamo; Pit

Excel a été réveillé à 14 heures environs par de drôles de bruits provenant de la cellule d'Erza Josse.
Aucune réponse de se part quand elle se décide à l'appeler, et l'alarme qu'elle entend en ce moment même souligne que ça part en couille, accentué par les bruits de pas de courses dans le couloir devant et les voix de soldats qui résonnent dans tout l'établissement.
Un puissant son arrive dans sa propre cellule quand son sauveur fait son apparition.

Maxime : Viens avec moi Excel.

Excel : Au Diable Il Palazzo !

Elle change l'amour d'amour de sa vie pour un inconnu, sur un coup de tête.

Russie; Sibérie Occidental; Nijnevartovsk

Minuit arrive dans une heure et l'hélicoptère du BSAA a fini de survoler l’étendu enneigé sibérien.
L'Equipe Quebec qui s'y trouve est prise en tenaille par des Mesec qui entourent l’appareil et menacent de le faire faire s'écraser, ce qui tuera probablement tout l'équipage. Ailein Bartley, l'ange de la mort, est elle aussi ici et en les voyant en fâcheuse posture, s'apprête à aller les sauver.
Sauf qu'un air japonais l'empêche de le faire, accompagné d'une belle voix.

Maxime : Viens Ailein, je vais faire ce que Holt n'a jamais pu te faire.

Ailein : Maxime, tu es vivant !

Elle se précipite sans réfléchir vers son ami, laissant ses collègues à leur triste sort.

Canada; Montréal; Appartement Clara

Clara mange une bonne grosse pizza de chez Pizza Hut, avec patate, merguez et poulet, en attendant le retour de son petit ami qui est allé s'en chercher une chez Domino's vu qu'il les préfère là bas. Assise en tailleur, en petite tenue, pieds nus, elle est à l'aise pour cet atmosphère qui se réchauffe, grâce notamment au Bouleversement Climatique.
Caramelldansen, se répand dans la pièce, la laissant dégouliner sa part dans sa bouche, alors qu'une autre vient lui faire un remake assez bizarre de La Belle et le Clochard, lui plaisant tout aussi étrangement.

Maxime : On va pas resté le cul vissé à la casba, on va aller en discothèque, y'a une soirée tuning !

Clara : On va se paqueter la fraise !

Finalement, il va devoir manger seul l'autre quand il reviendra.

Maroc; Casablanca; La Corniche; Plage

Ce couché de soleil est un moment idéal pour se prélasser sur la plage, en pensant à la beauté de la vie.
Gilbert Montagné est là officiellement en visite diplomatique à son vieil ami Mohammed VI, le Roi de ce Pays anciennement colonie française. Alors discutent tous les deux de l'actualité politique tout en gardant un œil sur Shiho qui est en train de se baigner avec un bikini noir.

Gilbert : Alors, j'ai appris que tu as encore fait tuer plusieurs islamistes qui avaient commis une nouvelle tuerie à Rabat. Ils ont pas tous les couilles de faire ça.

Mohammed : Il faut bien que quelqu'un le fasse. Ces Mosska Hallouf n'ont rien compris à la vie, les femmes c'est important, il faut en prendre soin et profiter de leur corps !

Gilbert : C'est dans le Coran ça ?

Mohammed : Aucune idée, je ne l'ai jamais lu. Et si ce n'est pas le cas alors autant dire que je suis bon pour l'Enfer de toute façons, alors autant que je continue mes alliances avec les Mécréants, même si ça ne plaît pas à une bonne partie de mes citoyens.

Gilbert : Attends, c'est juste les Mécréants qui y vont car ils n'ont pas la croyance en Allah ?

Mohammed : Je sais pas pas, car comme j'ai dit, je l'ai lu, et j'écoutais pas vraiment mon Imam.

Gilbert : C'est impressionnant que personne n'ait remarqué que tu faisais semblant toutes ses années.

Mohammed : C'est parce que je suis le meilleur, c'est tout !

Gilbert : C'est normal que j'entends Marilyn Et John depuis avant ?

Mohammed : Bah là comme tu me regardes depuis quelques phrases, il y a un Tahen est passé et enlevé ta femme pour l'emmener dans une lumière blanche chelou.

Gilbert : Quoi !?

Mohammed : Ouais, j'aurais peut être dû te le dire sur le moment, mais je ne ovulais pas gâcher notre conversation.

Notre Président hallucine en voyant que sa vie s'est envolée, sans que ses gardes du corps n'aient réagi.

Etats Unis; New York City; Turtle Bay; Siège ONU

Aujourd'hui, l'Assemblée générale des Nations unies a réuni les représentants des pays membres de groupe qui n'en impose plus tant que ça à l'international, pour écouter le discours de Mylène Farmer qui déplore le manque confiance qu'on apporte à Blue Umbrella qu'elle dirige, même après 10 ans de bons et loyaux services.
En réponse, elle est huée par toute la salle, sous les regards des caméras présentes pour l'occasion.
Le miracle débarque alors sous une guitare bien accordée, avec une ombre se dessinant en face de la chanteuse, lui prenant ses mains, et tentant un sourire plus jaune que blanc pour la séduire, car pour lui, elle est sa préférée.

Maxime : Tu seras ma Meilleure Pute à présent.

Mylène : Pourquoi pas, personne ne veut de moi ici.

Maxime : Si ça n'a pas été le cas, tu ne seras pas venu ?

Mylène : Je ne pense pas.

Maxime: Tu es bien la première à résister à mon pouvoir suprême.

Mylène : Espérons pour toi que je sois la dernière.

Maxime : Okay, est-ce que je peux dire quelque chose de fou?

Mylène : J'aime les trucs fous !

Maxime : Toute ma vie n'a été qu'une série de portes dans la figure ! Et soudain je suis tombée sur toi !

Mylène : Je pensais la même chose, parce que j'ai cherché toute ma vie pour trouver ma place. Et peut être est-ce la notre conversation actuelle ou la fondue au chocolat.

Maxime : Mais avec toi !

Mylène : Mais avec toi ! J'ai trouvé ma place

Maxime : Je vois ton visage !

Ensemble : Et ça ne ressemble à rien de ce que je connais ! L'amour est une porte ouverte ! L'amour est une porte ouverte ! L'amour est une porte ouverte !

Maxime : Avec toi !

Mylène : Avec toi !

Maxime : Avec toi !

Mylène : Avec toi !

Ensemble : L'amour est une porte ouverte !

Mylène : Je veux dire, c'est dingue !

Maxime : Quoi ?

Mylène : Que nous finissions nos...

Maxime : ...parties de Risk sous un clair de lune à s'enculer comme des bêtes !

Mylène : C'est ce que j'allais dire !

Maxime : Je n'ai jamais rencontré quelqu'un !

Ensemble : Qui pense à ce point comme moi ! Un vœux ! Encore un ! Notre synchronisation mentale ! Ne peut avoir qu'une seule explication !

Mylène : Toi !

Maxime : Et Moi !

Mylène : Étions !

Maxime : Simplement !

Ensemble : Fait pour être ensemble !

Maxime : Dites adieu !

Mylène : Dites adieu !

Ensemble : Aux douleurs du passé ! Nous n'avons plus à les ressentir ! L'amour est une porte ouverte ! L'amour est une porte ouverte ! La vie peut être tellement mieux !

Maxime : Avec toi !

Mylène : Avec toi !

Maxime : Avec toi !

Mylène : Avec toi !

Ensemble : L'amour est une porte ouverte !

Mylène : Est-ce que je peux dire quelque chose de fou ? Veux-tu m'épouser ?

Maxime : Est-ce que je peux dire quelque chose d'encore plus fou ? Oui !

Les deux quittent cet endroit de merde pour se rendre dans l'autre monde, laissant les débiles qui travaillent ici se demander si c'était pas une mauvaise idée de faire les gamins juste avant et que ça n'allait pas leur retomber dessus tout ça.
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[FIC] Suzumiya Haruhi no Sureiyāzu [Terminée] Empty Re: [FIC] Suzumiya Haruhi no Sureiyāzu [Terminée]

Message  Jackie Estacado Lun 8 Avr - 11:50

Etats Unis; Minnesota; New Raccoon City; Howstreen; Pharmacie du Crevé

Journée de pluie torrentielle avec un bon gros vent à déraciner des arbres sur cette petite ville du midwest américain.
Haruhi Suzumiya, la chef autoproclamée de l'ancienne Brigade SOS est obligé de sortir dehors malgré ce temps de merde, pour la simple et bonne raison que son mari, Leon, est gravement malade et qu'il est cloué au lit. Une vilaine rhinopharyngite bactérienne qui réussit à lui faire ce qui ce que de nombreux boss n'y sont jamais parvenus.
Elle a noté sur un papier la liste des courses qui va coûter blinde car on est sur sur le sol étasunien.
Alors, nous avons du :
- Doliprane 1000 mg effervescent x 8
- NurofenFlash 400 mg x 12
- Fervex Adultes x 8
- RhinAdvil Rhume x 20
- ProRhinel Spray Nasal Enfant-Adulte 100 ml
- Euvanol Respire+ Nez Bouché Rhume Spray nasal 20 ml
- Humex Mal de Gorge collutoire 35 ml
- Belivair Toux Sirop 120 ml
Joan, la médecin des Avengers avait prescris tout ça, autant dire que c'est du lourd.
Nous retrouvons donc la Chef de ce groupe de héros hors du commun attendant impatiemment, non sans garder le sourire, le retour du pharmacien qui est parti avec une collègue chercher les médicaments demandés dans l'arrière boutique car pour certains il y avait plu dans les rayons de devant.
Seule autre cliente du lieu de soins, c'est une petite vieille à lunettes qui renifle de temps en temps fortement du nez et qui murmure des choses à elle même dans une langue ancienne et inconnue. Un personnage typique qu'on peut croiser dans cette bourgade qui attire les cas sociaux.
Alors que les gens te la parapluie s'envolent à l'extérieur, ce qui est clairement visible grâce aux vitres du magasin, le bruit de la porte automatique d’entrée se fait entendre suivi de près par le bip qui signifie qu'un nouveau client est arrivé.
Celle qu'on suit ne prend même pas la peine de se retourner car elle s'en fout, de toute façon elle est en tête de file donc c'est peinard pour elle.
La mélodie vibrante de Sakura Goodbye du groupe Scandal se fait entendre, il s'agit de la sonnerie de son portable. Elle décroche tout en essayant de repérer où sont passés les bouses blanches, seulement pour entendre une voix qu'elle a dû mal à supporter, malgré qu'elle s’efforce depuis le mariage à lui faire la paix.

Sasaki : Haruhi-san, où est ce que tu es !?

Haruhi : A une pharmacie pour essayer d'aider mon mari qui ressemble à un zombie à l'heure actuelle, pourquoi !?

Vieille : Oh bah dis donc, cette jeune fille vous ressemble beaucoup !

Sasaki : Dieu merci du va bien !

Haruhi : Pourquoi, qu'est ce qui se passe ?

Vieille : Ce ne serait pas votre sœur par le plus grand des hasard !?

Haruhi : Pas maintenant madame, je suis occupée !

??? : Tellement occupée que tu ne peux même pas te tourner pour me faire face !?

Derrière Suzumiya et la mémé se dresse une figure familière, trempée de la tête aux pieds.
Ces vêtements usés par les années et sa peau crasseuse laissent suggérer qu'elle ne lève pas tant que ça, mais au vu de l'étincelle qui brille dans ses yeux en ce moment même, ça se semble pas être une préoccupation actuelle.
Ces deux filles ne sont certes pas identiques mais partagent la même identité, celle d'Haruhi Suzumiya.
Autant dire que celle que l'on connait bien roule des yeux, sentant une histoire compliquée arriver en TGV.

Haruhi : On m'explique c'est quoi ce bordel !?

Suzumiya : Ça fait bizarre de me voir comme ça, avec les cheveux courts comme ça.

Haruhi : Si c'est pour parler cheveux, il n'y avait pas besoin de faire le déplacement.

Suzumiya : Il avait raison, tu es quand même plus désagréable que moi !

Haruhi : OK j'ai compris, t'es mon double diabolique et je vais devoir t'affronter.

Suzumiya : Très drôle, mais on a pas le temps pour ces conneries, tu dois absolument m'écouter !

Haruhi : Comme tu veux, ça m'occupera au moins le temps que les autres zigotos reviennent.

Suzumiya : Alors je vais faire bref, sans entrer dans les détails. Tu connais Maxime Moulin ?

Haruhi : Je ne l'ai jamais rencontré mais je sais que c'est lui le créateur des Avengers et qu'il tes mort bien avant que je les rejoigne.

Suzumiya : En fait il n'est pas crevé, et même pire que ça, il a obtenu le pouvoir de plier n'importe qui à sa volonté et c'est le chaos depuis qu'il gouverne mon monde.

Haruhi : Et en quoi ça me concerne ? J'ai déjà mon monde à protéger, alors faire de même sur tous les autres, non merci.

Suzumiya : Je sais bien mais laisse moi terminer ! Il a prévu de venir ici, dans ton monde, pour enlever des personnes qui ne se trouvent pas dans le mien, comme une certaine Claire Redfield ou encore une Jill Valentine, afin de les faire devenir ses esclaves.

Haruhi : Ah bah voilà, fallait le dire plus tôt ! Là ça me concerne !

Sasaki : A ce propos...

Tout le monde, ou en tout cas les deux semblables ont oublié la pauvre femme à l'autre bout du fils qui a tout écouté sans pouvoir ne placer une plus tôt. Elle peut donc continuer avec une très grande mauvaise nouvelle.

Sasaki : Si j'ai appelé, c’est justement parce que c'est ce qui vient juste de se produire.

Haruhi : Ne me dis pas que c’est trop tard !?

Sasaki : Si, des milliers de femmes, voir des millions se sont faites enlevées aux quatre coins du monde.

Haruhi + Suzumiya : Fais chier !

Sasaki : Parmi les disparus, il y a des prochesà toi.

Haruhi : Qui ?

Sasaki : Shiho Miyano, Tsuruya, Lucy Dodgera, Clara Lille...

Haruhi : Yuki va bien !?

Sasaki : Elle va bien.

Suzumiya : Je suis arrivée trop tard...

C'est le bon moment qu'ont choisi les pharmaciens pour revenir avec un gros sachet contenant plein de merdes censées guérir mais avec plein d'effets secondaires pour en reprendre encore plus. Le mec pose tout ça sur une balance et le prix exorbitant s'affiche, qu'il s'amuse ensuite à dire à voix haute.

Pharmacien : Ça vous fera 35 000 000 de dollars s'il vous plaît.

Haruhi : Tiens !

Il se mange un coup de sachet solide comme un rock dans la tronche, le foutant KO.
C'est pas le moment de rajouter de l'huile sur le feu de l'ancienne déesse.
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[FIC] Suzumiya Haruhi no Sureiyāzu [Terminée] Empty Re: [FIC] Suzumiya Haruhi no Sureiyāzu [Terminée]

Message  Clara Lille Mar 9 Avr - 23:51

Suisse; Genève; Cité-centre; Siège Mondial UNIT

Quatre paires de jambes se promènent dans ce bâtiment sentant bon le chocolat tellement le cliché est présent ici.
Outre ça, l’atmosphère est très pesante et ses occupants sont tout autant agitant, à faire des allés et retours de droite à gauche alors qu'il y a des trucs qui clignotent tout en faisant bip et flash. A certains endroits, la télévision est allumée pour nous laisser profiter du non professionnalisme de la plupart des journalistes qui ne savent pas comment réagir face à ce multi-kidnapping à l'échelle internationale voir même extra-universel.
Autant dire que c’est quelque chose qui passe difficilement inaperçu à travers le monde.
L'ONU a organisé une réunion de crise avec tous les pays membres, et même ceux qui ne le sont pas étonnamment, pour tenter de gérer au mieux la situation. Leurs espoirs reposent quand même sur les Avengers pour le coup.
Le quintette que nous allons suivre est composé de :
- Haruhi Suzumiya qui est en pétard à cause de ce bourbier où ses pieds sont enlisés.
- Haruhi Alternative qui est par contre bien plus gai car elle pense que son homologue va pouvoir tous les sauver.
- Sasaki qui essaye de suivre un peu la marche sans perdre son amabilité.
- Gilbert Montagné qui à le visage bien sombre aujourd'hui, ce qui veut dire que ses ennemis vont prier leur maman.
- Miaou Miaou, un chat prêté par la Présidente Orenji pour leur porter bonheur au cours de leur mission.
Ensemble ils arrivent vite devant une porte gardé où on leur laisse entrer au vu de leur statut. Sur celle ci est marqué le nom de Tolk-Hien Nimertz, le nom du docteur d'origine Kree à qui appartient ce labo où ils pénètrent donc.
On y retrouve un décor déjà connu où l'homme en bleu est assis sur le fauteuil dont il ne peut se séparer, accompagné de sa fidèle assistante et fille spirituelle, Curie, ainsi que de l'Agent Hopps qui rajoute encore plus de diversité au bestiaire déjà présent.
Finalement, alors que ça se regarde de partout sans s'arrêter, une voix bien aimable interroge sur leur présence ici.

Sasaki : Pourquoi nous sommes venus là déjà ?

Haruhi : J'ai des bracelets téléporteurs qui peuvent nous emmener dire bonjour à l'autre connard, mais il nous faut la fréquence, et il faut aller voir UNIT pour ça.

Sasaki : Et vous vous déplacez aussi loin en général ?

Haruhi : Non, mais là c'est eux qui nous ont directement appelé pour venir ici.

Tolk-Hien : C'est exact, c'est moi qui vous ait fait venir ici.

Haruhi : Avant qu'on continue cette discutions, je vais m'assurer mes subordonnés ne vont pas me jouer un remake de 7ème Compagnie car j'ai pas la patience d'être Pierre Mondy.

Curie : Je vais vous préparer quelques collations en attendant.

Haruhi : Sasaki, je veux bien que tu me suives mais si besoin tu me rends mes pouvoirs n'est ce pas ?

Sasaki : Je t'ai déjà dit que si tu me le demandais je te les rendrais sans hésiter.

Haruhi : Bien ! Par contre tu n'emmènes ta propre Brigade SOS avec toi ?

Sasaki : Non, je leur ai demandé de veiller sur notre univers, au cas où Maxime essayerait de revenir ici.

Haruhi : Bien, et toi Gilbert ? Pas de connerie, on est d'accord ?

Gilbert : Je ne suis pas d'humeur à ça.

Haruhi : C'est vrai que tu tires une tronche dont j'ai pas l'habitude.

Gilbert : J'aurais dû emmener Thierry et Patrick.

Haruhi : Par contre, ce chat il est vraiment nécessaire ?

Gilbert : A priori de ce qu'on dit, c'est le Chat Potté mais en mieux. Beaucoup de terroristes ont craqué face à son regard.

Haruhi : Alors c'est cool, on l'embarque !

Suzumiya : Qui êtes vous vous trois ?

Tolk-Hien : Je suis le Docteur Tolk-Hien, je travaille depuis plus de 20 ans pour UNIT depuis qu'ils m’ont sauvé la vie après que mon vaisseau de soit crashé en Sibérie, tuant tous les autres passagers et me laissant paraplégique.

Suzumiya : Vous êtes un alien !?

Haruhi : Oui, c'est un Kree, une espèce principalement guerrière qui possède l'un des plus grands empires du cosmos et en général ils sont bleus sauf quelques rares exceptions.

Suzumiya : C'est chouette !

Haruhi : C'est vrai, à force de croiser des trucs chelous j'ai tendance à perdre ce plaisir qui au cœur même du sens de ma vie.

Judy : De mon coté, je m'appelle Judy Hopps et viens d'un monde assez différent du votre tout en étant très similaire sur certains points.

Gilbert : Il y a que moi qui voit une lapine qui parle ?

Miaou : Meow !

Gilbert : Ah donc ça va, je ne suis pas en train de devenir fou.

Judy : Si je suis là c'est parce que une semaine sur deux, je travaille dans votre monde dans le cadre d'un accord avec les hauts gradés de UNIT.

Curie : Tenez, voici des croissants au beurre et des petits pains au chocolat que je vous ai fait moi même, j'espère que ça vous plaira.

Suzumiya : Et toi ?

Curie : Moi ? Je me nomme Contagions Vulnerability Robotic Infirmary Engineer, abrégé en Curie, en référence à la célèbre prix Novel de physique et aussi pour que ça soit plus facile à prononcer.

Gilbert : C'est vrai que Cvrie, hormis sonner serbe, c'est pas loquace.

Haruhi : Maintenant qu'ils sont tous présentés, on peut en venir au cœur du sujet.

Tolk-Hien : Parmi les victimes de ce Maxime Moulin, il y a la Major-général Lina Inverse que vous avez déjà pu rencontrer lors du cas de Mister Jip et aussi revoir à votre mariage.

Haruhi : Ouais je m'en rappelle... Une pute.

Tolk-Hien : Sa disparition chamboule le morale des troupes, le Directeur Fury tient absolument à ce que vous la retrouviez et il est prêt à vous offrir tous les moyens qu'a à sa disposition notre organisation pour vous aider.

Haruhi : Intéressant...

Alors que la raison de leur déplacement de continent est dite, un nouvel élément vient se glisser dans cette situation merdique, quand le Sergent Keagan débarque avec deux subalternes en poussant un grande chevalier bleu aux cheveux blond.
Autant dire que personne ne sait ce qui se passe sur tous ceux déjà présent dans la pièce.

Tolk-Hien : Qui est ce ?

Keagan : Un intrus qui a été repéré tentant de s'introduire en douce au sein du baisement par l’entrée Sud.

Tolk-Hien : Pour l'amener ici ?

Keagan : Car je crois qu'il a à voir avec à votre affaire.

Gourry : Mon nom est Gourry Gabriev et je cherche Lina ! Dites moi où elle est !

Suzumiya : C'est compliqué...

Hé bien, on est pas sorti de l'auberge.
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[FIC] Suzumiya Haruhi no Sureiyāzu [Terminée] Empty Re: [FIC] Suzumiya Haruhi no Sureiyāzu [Terminée]

Message  Mylène Farmer Mer 10 Avr - 20:50

Pays du Beau Gosse; Ville Sacrée des Pieds Féminins; Grosse Teube

Maxime avait réussi son objectif, voler des femmes dans l'autre monde.
Désormais ces dernières se baladent au sein du palais royal en tenue subliment leur corps, plus d'été, et en mettant en avant une certaine partie de leur corps, à savoir les pieds. Autant dire que ce petit pervers dégueulasse se fait plaisir.
Là il est dans sa chambre d’empereur avec lit à matelas rempli d'eau en compagnie de celle pour qui il voue un amour lui rappelant Sandra Bullot, qui se serait presque mignon si il n'employait pas des surnoms peu romantiques sans arrêt.
C'est aussi le cas avec ses nombreuses esclaves qui lui servent à peu près à tout, bien plus utile que de simples servantes car elles finissent pour la plupart au pieu avec lui avec un leur accord, bien qu'il soit complètement manipulé par son puissant pouvoir.
C'est ce qui les différencie de Mylène qui elle a le parfait contrôle de son esprit, pour l'instant.
Hormis ce couple très frais, les seules autres personnes présentes dans la pièce très coloré sont Shiho Miyano et Ailein Bartley qui attendent robotiquement la suite des ordres donnés, sans que ceux ne viennent, les laissant se lancer des regards préoccupés tout ne gardant quand même leur caractère.
La raison est que le couple présidentiel est occupé à discuté entre eux pour daigner leur demander une chose.

Mylène : Et donc là, tu as jeter toute la faute à Stive ?

Maxime : Oui, ce con est tellement ouvertement raciste que ça passer crème.

Mylène : Je suis surprise.

Maxime : Bah nous sommes tous les deux de gros racistes, mais moi au moins je suis malin.

Mylène : Je n'en foute pas.

Maxime : Hé attends deux petites heures ! Si tu deviens ma femme, ça fera Mylène Moulin, un double M comme moi !

Mylène : Ou tu pourrais devenir Maxime Farmer pour qu'on ait quand même les mêmes initiales.

Maxime : Oh non, ferme ta gueule là ! C'est moi le plus important ici, pas vrai les garces !?

Shiho : C'est vrai.

Ailein : Trop même !

Maxime : Tu vois ?

Mylène : Je n'en doute pas une seule heure.

Maxime : Mais allez vas y, je veux bien te laisse me parler un peu de toi pour une fois ! Raconte une histoire, et drôle s'il te plaît, car sinon je vais me faire chier !

Mylène : Alors je vais te raconter l'un des dîners les plus mémorables que j'ai eu avec les commandants de ma Blue Umbrella...

L'écran se floute pour nous faire voyager dans le temps.

26 Mai 2014

Québec; Pierrefonds; Villa Farmer

L'odeur de raclette fondue vient emplir la pièce de son ton fromager, alors que la chaleur se fait aussi sentir.
Autour de la table où l'appareil et la charcuterie sont posés, se trouvent 5 personnes, liés par leur métier.
Mylène Farmer, toujours aussi mignonne et mince malgré l'âge, ce qui envie bon nom de personnes.
Ean Jambier, qui la drague de temps en temps avec un certain charme gâché par une petite insistance ressentie.
Colin Salmon, qui ne touche pas à la viande dû à mode vie alimentaire végétarien.
Nikolai Zinoviev, qui est étonnamment un peu le médiateur de la soirée pour éviter que ça ne dégénère.
HUNK, silencieux tel un mime muet car de toute façon, tant qu'on lui demande pas son avis, pas besoin de l'ouvrir.
Autant dire qu'avec de tels personnages, vous pouvez imaginer ce que ça a pu donné quand les sujets sensibles ont été mis au feu, causant un brasier immense entre trois d'entre eux, alors que les deux autres doivent éviter de se brûler.

Colin : Alors oui je suis d'accord pour dire que les Religions se valent dans le mauvais, mais non, le racismeanti-blanc n'existe pas !

Ean : Ça existe, c'est rare mais ça existe.

Mylène : Rare...

Colin : Est ce que tu t'es déjà fait traiter de sale blanc ?

Ean : Oui.

Colin : C'est pas pareil.

Mylène : Pas pareil... Ce sont des gens d'une couleur qui insultent d'autres d'une autre couleur juste pour cette raison. J'appelle ça du racisme.

Colin : Non mais vous ne pouvez pas comprendre, vous n'avez jamais subi ce qu'ils ont subi.

Mylène : Tu sais que ta logique, je peux te la retourner ? En quoi tu es bien placé pour nous expliquer ce qu'on subi vu que t'es "noir" et nous "blanc" ?

Ean : C'est un peu dur, mais un peu vrai.

Colin : Vous les Blancs vous n'avez jamais été esclaves alors contentez vous de vous excuser et de vous faire petit au lieu de l'ouvrir comme ça.

Mylène : Tu mérites de crever.

Ean : Oulah, quand même pas.

Mylène : Pourquoi ? Ça ne les gène pas de nous buter nous, gratuitement.

Ean : Eu...

Colin : Qu'est ce que tu racontes ?

Mylène : Ma meilleure amie d'enfance, Camille Leblanc, est morte à cause de connards de noirs racistes... Et voir votre indifférence face à nos problèmes, ainsi que le fait de nier cette forme de racisme, ça revient à dire que c'est bien fait pour elle qu'elle soit crevée.

Colin : Je suis sur que tu inv...

Un couteau vient se planter sur à coté de sa main, le faisant sursauter et prendre peur en voyant la haine qui anime le regard de celle qui est pourtant bien plus conviviale en temps normal. Elle lui adresse la parole de façon venimeuse, à voix basse.

Mylène : Si tu tiens à ta langue, je te conseille de te taire.

D'un coup, le russe se lève en haussant la voix qu'il n'avait pas utilisé depuis un bon moment.

Nicholai : Il suffit ! Soit vous vous calmez, soit je fais sauter toute la baraque, vous avec.

Ean : Soyez raisonnables.

La tension est vive, alors que le cramé vient aux narines de tout le monde, n'aidant pas.
La rousse tourne les talons, se tirant loin de cet homme qui lui aspire des envies de meurtres, bien plus que n'importe quel fils de pute venant de Tricell. Laissant un silence pesant derrière elle qui ne risque pas se rompre.
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[FIC] Suzumiya Haruhi no Sureiyāzu [Terminée] Empty Re: [FIC] Suzumiya Haruhi no Sureiyāzu [Terminée]

Message  Gilbert Montagné Lun 15 Avr - 0:09

1 Mai 2019

Suisse; Genève; Cité-centre; Siège Mondial UNIT

Bon... Pour ceux qui auraient mal suivi, je vais vous rappeler qui sont les présents dans ce labo.
Il y a :
1) Le Docteur Tolk-Hien Nimertz, un des scientifiques le mieux réputés de UNIT.
2) Curie, son assistante synthétique qui aspire la sympathie à tous.
3) Le Sergent Keagan, dont tout le monde se tout car il n'a qu'un rôle tertiaire.
4) Judy Hopps, la lapine flic d'un autre monde qui respire la joie de vivre.
5) Jean-Claude Juncker, qui sort de nul part en étant complètement beurré.
6) Haruhi Suzumiya, qui croise les bras en analysant sérieusement la situation.
7) Haruhi Alternative, qui est super excité en entendant l'histoire qui est conté actuellement.
Cool Gilbert Montagné, notre comique préférant qui ne servira pour une fois pas à cet aspect là.
9) Miaou Miaou, un chagent checret qui se frotte aux jambes de la dernière personne à représenter.
10) Gourry Gabriev, un vrai chevalier de fantasy qui ne vient clairement pas de notre monde.
Ce dernier est en train de raconté le parcours qu'il a fait pour en arriver jusqu'à ici, sans lésiner sur les détails.
Je vous ai passé la majeure partie, pour éviter de vous faire un chapitre à 26 000 mots, donc passons à la fin.

Gourry : Sachant qu'elle serait là, je suis venu la chercher en pensant qu'elle y était emprisonné contre son grès. Mais maintenant grâce à vous, j'ai compris que ce n'était le cas. Bien que je n'ai saisi ce qu'était UNIT et cette histoire de personnages de fiction.

Haruhi : Donc je résume. Alors que vous affrontiez toi et tes compagnons un Roi Démon, tu t'es retrouvé au Sahara recouvert de neige et tu as appris que l'un des tiens, en l’occurrence Lina, se trouvait ici, donc tu as fait tout un trajet digne d'un migrant pour t'y rendre.

Sasaki : Le passage avec le bateau qui coule et les survivants qui sont recueillis par l'Aquarius était émouvant.

Gilbert : Des connards ouais !

Suzumiya : Cette histoire était trop cool !

Haruhi : J'avoue, même si la fin n'est guère joyeuse.

Gourry : Vous êtes sûr que vous dites que ça fait 18 ans que Lina est là ?

Curie : Il n'y a aucune erreur là dessus.

Haruhi : Par contre si ça peut te rassurer, elle n'a pas vieilli d'un poil, et a gardé son mauvais caractère.

Suzumiya : Tu comptes faire quoi maintenant ?

Gourry : Vous accompagnez pour la sauver de ce type dont vous avez parlé.

Miaou : Meeeeoooowww !!!

Gilbert : Il est super content que vous soyez désormais dans l'équipe.

Tolk-Hien : Nous allons préparé la machine.

Curie: Elle est inspirée de Stargate SG-1 et vous éviteras d’utiliser les bracelets téléporteurs.

Haruhi : Hé attendez ! Où est passée Sasaki !?

Suzumiya : Je n'en ai aucune idée.

Jean-Claude : Je suis là mes grosses salopes !

Gilbert : Jean-Claude, qu'est ce que tu fous là !?

Jean-Claude : Horf ! Rien ! Tu me suces la bite !?

Gilbert : Pas aujourd'hui, je ne suis pas d'humeur.

Haruhi : Quelqu'un sait d'où il sort ?

Keagan : Pas moi, mais je peux lui tirer les vers de nez si vous voulez ?

Haruhi : Avec plaisir ! Ça va me laisse le temps d'interroger mon autre moi.

Suzumiya : Je devine que tu veux tout savoir.

Haruhi : Dans les moindres détails.

Suzumiya : Ça va être long, mais il fallait bien qu'on passe par là.

Gilbert : Je vais me chercher à boire !

Judy : Moi je vais m'asseoir un peu.

Un retour dans le temps, encore un, est nécessaire pour bien comprendre comment on en est arrivé là.
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Message  Judy Hopps Lun 15 Avr - 21:29

1 Août 2015

Japon; Kansai; Nishinomiya; Kouyouen

Une journée ordinaire dans une vie ordinaire.
Pour beaucoup de gens ça ne pose pas de problème, mais pour Haruhi Suzumiya, si.
Tout sa vie a été vouée à chasser le surnaturel sous toutes ses formes pour ne pas mourir seule d'ennuis.
Aliens, espers, voyageurs temporels...
Jamais elle n'avait pu ne croiser.
Elle aurait par tout abandonner, puis probablement se suicider dans un avenir pas si lointain, si elle ne l'avait pas revu.
John Smith, ou plutôt devrais je dire Kyon.
Quel drôle de nom d'ailleurs.
On dirait un presque un surnom à la con donné par un membre de sa propre famille.
Leur retrouvailles s'est faite en Décembre dernier, aux environs de Noël.
Au départ elle l'a pris pour un taré, mais quand il lui a dit qui il était, elle a eu l’impression que son cœur s'arrêtait.
Ce fut à la fois le meilleur et le pire jour de sa vie.
Le meilleur car elle a eu la preuve que ces choses surnaturelles étaient vraies quand Kyon a disparu.
Le pire parce que... Bah tout est redevenu normal par la suite, si l'on peut dire.
La seule différence a été la création de la Brigade SOS qui le même but que dans le monde que l'on connait.
Sauf que aucun de ses membres n'a de pouvoirs, et que son l'autre lycéen cynique, c'est pas pareil.
A vrai dire, elle regrette de l'avoir aider.
Elle aurait voulu qu'il reste, même si c'est assez égoïste de penser à ça.
Enfin, avec la Haruhi de notre monde, on a déjà bien l'habitude de ce type de comportement.
Cette version est tout de même plus sympa, même si aussi bipolaire dépressif que son homologue.
Les oiseaux volent et chantent derrière la fenêtre, l'adolescente déprime.
Elle ferait n'importe quoi pour ravoir quelque chose d'excitant à se perdre sous la dent.
Qu'importe le prix à perdre !
Que ce Kyon revienne...
D'une manière ou d'une autre !
Ses prières ont en quelque sorte étaient entendu, ce qu'elle va vite regretter.
Des sonneries de portables résonnent à travers la salle de classe, provenant aussi bien des élèves que de la professeur, alors qu'ils étaient pourtant tous sûr de les avoir éteint. Sans même presser de bouton, ils s'auto-décroche pour révéler une voix grave partant parfois dans les aigu, venant d'un malade mental.

Maxime : Les belles filles, vous survivez, les autres suicidez vous !

Les violons commencent à jouer alors qu'autour de celle qui devrait être Dieu, tout le monde devient fous. Certains se fracasse le crane contre leur propre bureau ou contre le mur. D'autres se plante des compas à répétition dans la gorge, s'égorgent avec un coupe papier, se plante des crayons dans l’œil et voir même se plante à mort dans le torse au cutter.
Cette boucherie, Haruhi ne peut qu'être tétanisée en voyant ça, la pauvre.
Allez savoir pourquoi, ce mauvais sort ne semble pas l'atteindre, bien qu’elle soit spectatrice.
Elle voudrait faire quelque choses, tendre les doigts, leur demander d'arrêter, mais elle n'a pas la force de le faire.
Son souffle devient de plus en plus brouillant, suffoquant même, elle veut crier, elle le veut.
Sa bouche frétille, laissant des sons inaudibles en sortir.
Ce n'est pas assez.
Sans pouvoir prononcer un mot correct, ils sont déjà morts, dans d'atroces souffrances.
Leur corps gisent là, dans l'indifférence générale.
Pourquoi ?
Alors que quelques minutes plus tôt le cours se passait normalement, comme à l'accoutumé.
Elle qui voulait que cette routine s'arrête, elle l'a eu.
Pour quelqu'un qui n'a pas de pouvoirs, elle devrait se remettre en question.
Bilan, la moitié des élèves sont morts, le prof avec.
Ceux restant, que des filles plutôt jolies, quittent la pièce pour la plupart, tranquillement, comme si rien ne s'était passé, alors que pourtant c'est le cas. Elles laissent seule la traumatisée entourée des macchabée dans une scène sordide.
La jeune Suzumiya regarde autour d'elle, en évitant de croiser leur regards, et fait une fixette sur l'élément déclencheur de toute cette folie soudaine.
Leur portables...
Cette voix, avec un accent français prononcé.
Qui était ce ?
Qui est ce connard qui a fait tuer mes camarade !?
Elle devra le savoir.
Elle s'en fait la promesse.
Par contre...
Une pensée vient de la foudroyer.
Les autres membres de sa Brigade.
Nagato...
Asahina...
Koizumi...
Est ce qu'ils sont... ?
Une partie de la réponse vient s’annoncer à elle par le bruit de ses pas accourant vers la salle où elle se trouve avant de pénétrer de dedans par l'ouverture laissé par les élèves partis. Il d'agit de son camarade aux cheveux châtains avec qui elle noue une profonde amitié.
Son regard portant tant d'émotions s'adresse à elle, essoufflé, puis il se précipite pour lui faire une accolade.
Chose rare de sa part.

Koizumi : Suzumiya-san, tu n'as rien !

Il la sert assez fortement, peut être même un peu trop.
Elle met un peu de temps, puis finalement arrive à lui retourner ce câlin à son tour.
Isolés face à l'inconnu, l'avenir s'annonce sombre.

Nishinomiya; North High

Pas un bruit dehors, rien que le son de la mort qui s'étend à l'infini.
Seule zone d'activité légère, la salle abritant officiellement le club de littérature de ce lycée locale et officieusement la fameuse Brigade SOS. Tous ses membres, au nombre de quatre, sont réunis autour de la table.
L'heure est grave, ça se voit sur leur visages.
Faisons un bref descriptif :
- Haruhi Suzumiya a le regard perdu en direction de l'ordinateur posé sur la table un peu à sa droite, repensant à ce qui s'est passé il y a même pas une heure. Ses connaissances qui s’ôtent la vie, comme ça, comme si c'était si simple alors qu'en vrai ça demande un sacré courage.
Surtout qu'ils n'avaient aucune raison de le faire.
Tout ce sang...
Ces yeux encore vivants...
Des rictus...
Impossible de ne pas y repenser.
- Itsuki Koizumi, son ami, qui fait genre qu'il arrive à passer outre ça, mais est aussi chamboulé par les événements et vu aussi tout sa classe s'exterminer devant ses yeux. Sa main droit en tremble encore, bien qu'il tente de le cacher aux autres membres du groupe.
- Mikuru Asahina qui fixe sans cesser ses jambes en murmurant à répétition un seul nom, celui sa meilleure amie, Tsuruya. Elle qui était toujours de bonne humeur et appréciée de tous, a fini par être écrasée par un camion alors que pourtant, elle avait fait parti des "épargnées" par ce Maxime Moulin.
Le Destin peut être un vrai salopard.
- Yuki Nagato qui est actuellement la plus stable mentalement car elle n'a pas assistée directement au suicide collectif comme elle était à cette place actuel en train de faire du rangement au moment du drame.
Néanmoins, elle reste choquée par ce qu'il s'est passé et ne comprend pas vraiment comment une telle chose a pu se produire. Par contre ce n'est pas à elle à faire des théories, mais bien au seul mec ici présent, dont on est habitué à ce qu'il fasse cela, peu importe le monde d'où il vient.

Koizumi : Un type sorti de nul part force tout le monde à se tuer grâce à de mystérieux pouvoir et oblige les survivantes à venir le rejoindre en France. Je ne sais pas pourquoi mais quelque chose me dit qu'il ne vient pas de notre monde. Peut être même vient il du monde de John Smith.

Asahina : Tsuruya...

Nagato : Qu'allons nous faire ?

Suzumiya : Nous allons nous battre, et tous les venger. Il le faut !

Elle tape du poing sur la table en se levant.
Une larme coule le long de sa joue jusqu'à former une bonne étoile sur le bois triste.


Dernière édition par Judy Hopps le Mar 30 Avr - 0:28, édité 2 fois
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Message  Excel Lun 29 Avr - 23:33

26 Janvier 2016

Pays du Beau Gosse; Versailles; Château

Le temps a passé depuis cette tragédie sans nom.
Mère nature a repris ses droits sur la grande majorité de la planète où il n'y a plus âme qui vive.
Toutes les femmes ensorcelées par ce vil marabout décérébré se sont rendus au Nord Est de la France où il semble siéger un peu comme le Roi du Monde. Voilà pourquoi la Brigade SOS a été obligé de déménager si loin de chez eux.
Leur but étant avant tout de venger l'humanité avant de...
Eu...
Ils ne le savent pas encore eux même.
Probablement tenter de sauver leur espèce de l'extinction.
Avec un peu de bonne volonté, contrairement à toutes ses décennies à exterminer les autres espèces, ils devraient pour y arriver. Surtout que tous les gouvernements sont détruits, donc ils seront pas là pour rendre la tache impossible.
Après, je ne peux vous le cacher, ça leur prendra du temps à se préparer.
Maxime Moulin a des milliers, voir des millions d'esclaves armées à ses commandes.
Si ils y vont au cake, ils perdront, c'est sûr.
Il leur faut un plan solide, même si il prend des mois, voir des années à se construire.
En attendant, ils vont déjà de rebâtir leur vie du mieux qu'ils peuvent, dans leur nouvelle planque.
Nos héros ont choisi l'ancien siège de la Royauté Française pour s'installer pour plusieurs raisons. Déjà c'est classieux, ensuite ça une ironie symbolique forte, et puis personne ne pensera à aller les chercher ici.
En termes de pratique, il y a tout à disposition ici pour survivre, mais nous y reviendrons plus tard.
Le temps est passé, ils en sont ressorti plus grandi et bien plus près pour les futurs cauchemars qui s'annoncent.
Haruhi se tient à l'heure actuelle au beau milieu de la Galerie des Glaces, se contemplant avec le sourire dans un des miroirs qui y est présent, notamment un point précis de son anatomie. Pour quelqu'un qui a perdu énormément de poids depuis la dernière fois, jusqu’à avoir les os qui se démarquent, son ventre s'est pas mal arrondi.
Ça couve quelque chose tout ça.
Nous en aurons la confirmation puisque Itsuki arrive à son tour dans cette pièce iconique et apparaît donc derrière le reflet de l'anorexique pour l'enrouler avec ses bras, lui permettant de toucher la bosse. Il dépose ensuite un petit bisou sur son cou avant d'enfin débuter un petit dialogue pour nous remettre sur de bons rails.

Koizumi : Je le sens bouger.

Suzumiya : Ça me fait un peu mal de me dire qu'il va grandir dans ce monde dystopique.

Koizumi : Je dirais plutôt chaotique. Il n'a jamais été utopique.

Suzumiya : Le problème reste le même. Après j'essaye de garder les espoirs vers le Nord sans me tourner vers le Sud sauf que c'est pas facile. Un jour sur deux, je suis au bord du suicide, et l'autre jour je pète la forme.

Koizumi : Ce n'est pas ta faute. Je suis sûr qu'on arrivera à s'en occuper comme il faut. Je ferai de mon mieux de mon coté, même si je ne me serai jamais vu père avant tout ça.

Suzumiya : Et moi mère ! Ouais... Je ferai aussi tout mon possible de mon coté pour qu'il puisse bien vivre.

Koizumi : Tout ira forcément mieux quand nous aurons réussi à nous occuper de son cas à tu sais qui.

Suzumiya : C'est clair. Le seul moyen de tomber plus bas serait qu'une invasion extra-terrestre.

Koizumi : Ce serait vraiment manquer de chance.

Suzumiya : Ça tu l'as dit.

Koizumi : Mikuru t'attend dans le potager pour discuter des ressources de la semaine.

Suzumiya : Je vais aller la voir.

Koizumi : D'ailleurs...

Suzumiya : Quoi ?

Koizumi : Pense à reprendre des forces. Toi, autant que le bébé, vous ne avez besoin.

Suzumiya : J'essaye, mais j'ai pas vraiment faim en ce moment. Allez, on se revoit plus tard.

Elle lui retourne son bisou en un baiser sur les lèvres, suivi d'un petit clin d’œil jovial, puis elle s'en va.
Direction les Jardins situé en face de la galerie, où ces derniers ont été transformé en champ pour la cultivation des légumes qui leur servent de ration de survie en ces temps dur. L'espace boisé juste derrière a servi aussi à l’agrandir, tout en permettant d'y construire des enclos pour avoir de la nourriture animal. Actuellement, ce sont des poules, vaches et canards qui s'y trouvent. Bien qu'un espace vide servira à y mettre des cochons si ils en trouvent.
Celle s'occupe principalement de ça, c'est Mikuru qui s'est découverte une vocation pour la jardinage, et aussi une passion qu'elle peine à assumer pour la chasse. Pour ce qui est de l'élevage, elle l'avait déjà auparavant, grâce à ses grands parents maternels.
Je sais, ça va pas mal bousculer votre vision du personnage, mais l’apocalypse peut changer n'importe qui.
Même si elle reste toujours la figure de l'innocence que l'on connait tous, je vous rassure.
Là, nous la retrouvons en train de cueillir des navets alors que Footsteps joue a travers une vieux lecteur cassette qu'elle a retrouvé précédemment lors d'une expédition avec Itsuki dans le 93.
En voyant sa chef arriver, un large et grand sourire se grave sur son visage alors qu'elle tend ses mains sale l'un des produits qu'elle est fière d'avoir semé les graines précédemment.

Asahina : Haru-chan, regarde la taille de ces navets !

Suzumiya : Wouah bravo Miku-chan ! Il est bien gros et violet celui là !

Asahina : Merci ! Je suis contente de voir que mes efforts ont été récompensé.

Suzumiya : Ce sera une bonne soupe cuisiné avec ton talent ce soir !

Asahina : Oui bien sûr, ce sera prêt à temps, mais....

Suzumiya : Quoi ?

Asahina : Pourrais je avoir un tout petit peu d'aide ?

Suzumiya : Non !

Asahina : D’accord... Pas de problème !

Suzumiya : Sinon, tu saurais pas où est Yuki ?

Asahina : Je l'ai vu se rendre à son endroit habituel pour bouquiner.

Suzumiya : D'accord. Allez, travaille bien !

Asahina : Je ferai de mon mieux !

Elles se saluent de la main, l'une étant plus embêtée que l'autre après ce dialogue pourtant de bonne humeur.
Certaines choses changent, d'autres pas.
Prochaine direction pour la protagoniste de cette série de Flash-back, la Chapelle Royale !
Là dedans, assis sur une chaise au beau milieu de cette impressionnante pièce faisant des échos quand y circule; c'est Yuki, toujours avec ses lunettes, qui lit un gros bouquin en anglais où si l'on traduit le titre, ça donne :

Une Chanson de Glace et de Feu.

Un titre assez particulier pour une oeuvre qui est connue mondialement qui a dû s'arrêter subitement le Jour des Suicides. Là, c'est le Tome 2 qu'elle est en train de feuilleter délicatement, pour n’abîmer aucune page.
Haruhi va la voir sans vraiment connaître le matériaux de base et essaye d'entamer une discutions avec elle.

Suzumiya : Tu lis quoi ?

Nagato : Un Choc des Rois.

Suzumiya : Et c'est bien ?

Nagato : Très bien même. La preuve, c'est qu'il y a eu une série adaptée de ces livres, et qui a connu un succès à l'international.

Suzumiya : C'est quoi le nom de la série ? Car avec un titre pareil, j'aurais dû en entendre parler.

Nagato : Le Jeu des Trônes ou Game of Thrones en anglais.

Suzumiya : Ça te dit qu'on en parle plus longuement et que tu m'en lises même quelques extraits !?

Nagato : Eeeuuu... Oui bien sûr.

Suzumiya : Bouge pas, je vais chercher une chaise !

Nagato : D'accord, je ne bouge pas.

La figure d'énergie part vite fait prendre le premier objet servant de posoir à fesse pour y revenir avec.
Autant dire que l'âme de George R. R. Martin va être présent pendant quelques heures en ce jour de lecture.
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[FIC] Suzumiya Haruhi no Sureiyāzu [Terminée] Empty Re: [FIC] Suzumiya Haruhi no Sureiyāzu [Terminée]

Message  Judy Hopps Mar 30 Avr - 14:28

13 Juillet 2017

Même Endroit

Une chanson française enivrante se joue dans une paire d'écouteur aux oreilles de celle qui nous raconte dans le futur cette histoire du passé. Elle aime bien cette chanson, sans savoir que la chanteuse est une ancienne actrice porno déjà apparue dans un RP bien plus marrant que cette FIC.
Ses trois camarades sont au lit à cette heure là, dans les appartements du rez-de-chaussé du corps central pour être un peu plus précis. Notre insomniaque, en plus de rien manger, dort très mal en ce moment, et donc passe des nuits blanches à écrire des fictions pour tenter de rallumer la flamme de sa gaieté.
Celle ci s'est déjà bien consumé et elle est contrainte à faire semblant pour la faire subsister.
Vous remarquerez que son état s'est encore aggravé par rapport à la dernière.
Je vous coupe déjà avant que vous ne me demandiez pour quoi, afin de vous apporter directement la réponse.
Tout simplement parce que leur plans pour vaincre le Fléau Moulin ont été piétinés par ce dernier.
Pire encore, sachant désormais qu'il était menacé, il a envoyé plusieurs de fantassins armées aux quatre coins de la France afin de régler leur compte. Ce qui fait que la parano est vite entrée dans leur vie qui essayait d'être douce te paisible jusqu'à présent.
En plus la venue du bébé n'a pas aidé, loin de là.
Il faut s'en occuper, et lui assurer un avenir correct, ce que ses parents galèrent beaucoup à faire.
Rajoutons que le petit Kyon est l'une des causes qui fait que sa maman ne dort plus la nuit, avec donc le stress que l'ennemi arrive à leur porte à tout instant. En gros, elle est devenue la sentinelle du groupe qui risque de crever si ça continue comme ça.
Après, de quoi elle va crever, à vous de choisir parmi ces propositions :
- Tuée par l'Armée Maximilienne.
- Écroulée par une surcharge de stress.
- Flinguée par la faim qui la tiraille.
- Suicidée pour ne plus pouvoir assumer ses responsabilités.
Personne ne voudrait vivre que qu'elle subi nuit et jour.
Sa fine plume essaye de maintenir éveiller, mais ça devient de plus en plus dur d'imaginer des histoires drôles.
Aidons la un peu en allant voir du coté de ce qu'elle a déjà écrit, afin de voir si il y a encore quelque chose à sauver.

C'est l'histoire d'un Murloc qui va dans une boulangerie nommée "Sith Pornographique" où il se croise Darth Vader déguisée en boulangère. Le petite bête verte hésite entre l'incroyable choix de pains qui existent, y compris celui à la Scoumoune, mais il choisit au final une simple baguette à 100 balles.
C'est l'inflation des prix, merci Macron.

Murloc : (Bruit Bizarre)

Vader : Et une baguette pour la 12 ! En attendant qu'elle arrive, je vous propose un peu de musique. Palpatine aux platines !

L'Empereur s'improvise DJ et nous propose un remixe de sa part de Coucougnettes de Lucien Grodard, un chanteur très connu, à Melun. Pendant ce temps son disciple utile la Force pour sortir une baguette du lot et la poser sur le comptoir, avant de réclamer l'argent au client.

Vader : Ça vous fera 150 euros ?

Murloc : C'est tout ?

Vader : AAAAAAHHHHH !!!! Il parle !!

Murloc : Je parle !?

Gobelin : Tu parles !?

Palpatine : Nous parlons !?


C'est tout.
Ouais, c'est nul.
Franchement, je comprends mieux qu'elle nous fasse une dépression.
Allez, comme je suis bon joueur, je vais aller lui dire deux mots, après tout je suis le Narrateur, je fais ce que je veux.

Narrateur : Haruhi.

Haruhi : Hein !?

Elle regarde derrière, comme pour me chercher, sans savoir que l'on ne peut pas trouver puisque je suis immatériel.
Techniquement, je suis plus balaise que n'importe quel Dieu, et même que leur père, Cthulhu.

Narrateur : Je suis le Narrateur, ou la Narratrice. C'est comme tu vois, je n'ai pas de sexe.

Haruhi : Ça y est, la mort approche, je deviens folle.

Narrateur : Tu n'es pas folle. Dans un autre monde tu as même des pouvoirs divins.

Haruhi : Sauf que je suis trop conne pour accepter le fait qu'une vie géniale m'entoure.

Narrateur : Ne dis pas ça de ton autre toi.

Haruhi : Qui est vraiment ?

Narrateur : Disons que je suis l'Entité Mère de Tous les Univers et je raconte votre histoire à d'autres âmes mortelles sur des forums de role-play.

Haruhi : J'ai vraiment perdu la boule.

Narrateur : Peut être, peut être pas.

Haruhi : Pourquoi me parles tu ?

Narrateur : Pour faire avancer le Scénario.

Haruhi : Youpie...

Narrateur : Et parce que j'ai envie d'y contribuer pour une fois.

Haruhi : Si tu le dis.

Narrateur : Tu ne me crois pas ?

Haruhi : Devrais je croire une voix dans ma tête ?

Narrateur : Je vais te fournir quelques preuves de mon existence. Dans exactement 30 secondes, Kyon et ses amies de l'autre monde vont arriver poursuivi par les sbires de Maxime Moulin. Vous allez vous entre-aide, mais cela coûtera la vie de ton Koizumi.

Haruhi : Attends...

Des coups de feux interrompent notre conversation, comme je savais que ça allait se passer.
L'Histoire est déjà écrite, avec ses milliards de possibilité, mais c'est plus drôle quand je viens réécrire un peu par dessus parce que sinon je m'ennuierai un peu.
Suivons donc ce que va faire Haruhi suite ce rebondissement scénaristique.
Nous la voyons se précipiter vers la sortie du bureau où elle se trouve afin d'arriver à une pièce servant d'accès à l'extérieur où nous pouvons voir des lueurs orangées se dessiner en dehors dans cette nuit pourtant autrement noire.
Du mouvement s'approche de la porte permettant d'entrer à l'intérieur, et notre héroïne, méfiante, prend un tisonnier à coté de la cheminée éteinte et se prépare à attaquer les intrus, sauf que ceux ci se révèlent surprenant quand ils apparaissent enfin de l'autre coté du porche vitré.
D'abord, c'est le visage d'Itsuki Koizumi que l'on peut apercevoir, ouvrant la porte à coup d'épaule, avec une peur lisible dans son visage qu'il garde le plus souvent joyeux même dans les pires moments. Il est suivi de près par Yuki Nagato sans lunettes et une Mikuru Asahina mortellement touchée à la tête qui se trouve dans les bras de...

Suzumiya : John Smith !

Ce dernier s'arrête, extrêmement surpris de la voir, de même que ses camarades, bien que pour Yuki ça se voit presque pas vu qu'elle a un visage bien plus dénué d'émotions que Shiho Miyano quand elle s'y met.
Itsuki se remet néanmoins très vite dans l'action en fermant la porte derrière eux et en commençant à bloquer les vitres avec tout ce qui lui passe sous la main, pour éviter les influencées ne viennent jusque là.
Kyon s'occupe de poser la blessée sur le sol où Yuki va tenter de soulager sa douleur de son mieux.
Suzumiya s'approche, la bouche béante sans en croire ses yeux, car il est enfin revenu, même si la situation n'est pas idéale pour de telles retrouvailles. Elle tente quand même de converser avec lui, maladroitement.

Suzumiya : John... Kyon je veux dire ! Qu'est ce que tu fais ici !?

Kyon : Je n'en sais rien ! Nous étions sur le point de nous faire tuer par des androïdes à notre effigie et la seconde d'après, nous étions à Versailles avec ces folles qui nous ont attaqué ! Elles ont réussi à toucher Mikuru-chan à la tête !

Mikuru : Kyon-kun...

Itsuki : Il va nous falloir à un plan de sortie et assez rapidement.

Yuki : Ses pronostiques vitaux sont nuls.

Asahina : Qu'est ce que c'est que ça !?

L'attention se portent sur les trois personnages qui viennent d'entrer dans la pièce et surpris de voir leur homologues alternatifs présents ici. Surtout qu'hormis pour Nagato, ils se ressemblent comme deux gouttes d'eux, hormis pour les fringues qu'ils portent aujourd'hui.
Koizumi et Asahina s'approchent de Suzumiya et accessoirement de la mourante, alors que l'homologue de Yuki n'ose pas s'approcher de sa double. Ouais je sais, c'est compliqué de suivre quand il y a des doublons parallèles.

Koizumi : Est ce que ce sont... ?

Suzumiya : Oui ce sont eux.

Asahina : C'est moi ?

Mikuru : Enchantée de vous rencontrer...

Kyon : Mikuru-chan, tu... tu vas...

Mikuru : C'est pas grave...

Elle approche alors douloureusement son visage du sien et échange un baiser surprenant avec lui.
Quand elle se retire, elle lui sourit, alors que sa vie la quitte.

Mikuru : Protège Haruhi-san...

Elle fermer ses yeux, à jamais.
L'autre Asahina recule, terrifiée de s'être vue elle même en train de mourir.
Elle revoit alors le visage de Tsuruya, quelques instants avant de finir sous un six tonnes.
Sa tête se secoue alors dans tous les sens.

Asahina : Pas ça ! Non, pas ça !

Koizumi : Asahina-san, calme toi ! Nous devons rester fort et nous en aller d'ici !

Itsuki : Il a raison.

Suzumiya : Il faut chercher le petit Kyon qui...

Une odeur de brûler vient interrompre se phrase, alors que ses yeux se tournent vers la source du problème, à savoir une traînée de fumée s'échappant du couloir menant vers les chambres, une de vive lueur semblables à celle de dehors peuvent être vues.
C'est quand les cris du bébé se font entendre, qu'elle comprend que trop tard, ce qui est en train de jouer.

Suzumiya : Ils font cramer le Château ! Kyon-chan !

Kyon : Kyon-chan ?

Elle tente de s'élancer vers leur chambre, mais une main l'en empêche, appartenant à son conjoint.

Koizumi : Reste, je vais y aller.

Suzumiya : Non c'est à moi de...

Koizumi : Tu ne peux pas mourir ici, tu es trop importante pour ça. Que ça soit pour mon cœur ou pour tous nous sauver.

Suzumiya : Non je...

Koizumi : Et tu es notre chef. Sans toi, le morale des troupes sera au plus bas. J'y vais !

Suzumiya : Itsuki !

Encore trop tard, il est déjà parti, disparaissant dans l'ombre des flammes qui commencent à se former dans ce couloir, et qui vont se rapprocher de leur position. Si ils veulent survivre, elle le sait, ils doivent partir.

Kyon : Haruhi...

Suzumiya : Itsuki...

Kyon : Si il survit, je suis sûr qu'il arrivera à nous rejoindre dehors. Allons y !

Suzumiya : Je...

Une main prend la sienne et l'entraîne hors du bâtiment en proie aux brûlures de Satan via un autre accès, faisant écho à une scène connue de l'oeuvre d'origine de ces personnages. Yuki, Nagato, Asahian et Itsuki suivent de très près dans cet ordre là, avec le dernier qui laisse la porte de sortie grande ouverte pour que son homologue puisse y parvenir aussi.
Ils fuient par les Jardins, où les récoltes finiront par être foutues, et où les animaux sont ne panique.
Le brasier consume ce monument de France à une vitesse rappelant le futur incendie de Notre Dame de Paris, laissant le tout finir par s'écrouler sur soi même. Aucune chance de survie pour quiconque se trouvait encore sorti.
Ni Koizumi, ni son enfant, ne s'en sont échappés.
Paix à leur âmes.
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Message  Jackie Estacado Mer 1 Mai - 16:19

9 Décembre 2018

Pays du Beau Gosse; Strasbourg; Contades; Église Saint-Paul

Les années sont passées, sans vraiment de progrès, mais plutôt de la rétrogradation jusqu’à présent.
Certes, la Brigade SOS a gagné quatre membres pour en perdre deux presque immédiatement.
Le Grand Kyon a survécu, mais le Petit Kyon, lui aussi est mort.
Sa mère a mal vécu le décès de ces deux synonymes d'espoir pour elle, et a même tenter de les rejoindre en se passant la corde autour du cou. Si son John Smith n'était pas intervenu à temps en la décrochant, elle aura réussi à parvenir à ses tristes fins.
J'ai été mauvaise langue, il y a quand même quelques signes qui montrent que cela va mieux pour eux.
Déjà, depuis ce mauvais coup, la Chef de cette Troupe a repris des formes que ça soit au niveau du ventre ou du visage, faisant disparaître ces os trop apparents. Tout ça car elle s'est enfin remis à manger, même si c'est toujours moins que le reste de l'équipe, ça lui évite des soucies de santé digne d'un végétalien mal préparé.
Les deux raisons qui font qu'elle se soit remise à s'alimenter sont :
- Les conseils de son Koizumi avant qu'il ne soit parti, où justement il lui implorait de manger pour ne pas mourir.
- Sa relation avec le Voyageur du Temps qui lui avait aidé à tracer son chemin vers l'avenir il y a 3 ans.
En effet, celle ci s'est amélioré jusqu'à ce qu'ils en viennent aux choses plus sérieuses, car c'est pas non plus comme si ils étaient indifférent l'un de l'autre à la base. Et puis à moment donné, il faut marcher vers le futur, au lieu de rester au passé.
Au passage, elle a pu enfin savoir son vrai nom, qui n'est autre que...

Kyokai Iwasaki

Pourquoi Kyon me direz vous alors ?
C’est parce que ses parents pensaient au début que c'était une fille à cause d'une erreur du médecin, et avaient décidé de le nommé Nowaki. Donc quand la tante maternelle l'a appris, elle a fusionné les trois premières lettres de son prénom avec l'initiale de cet autre prénom pour donner une "torsion importune".
Merci encore à sa petite sœur pour l'avoir propager tellement bien que rare son ceux qui l’appellent réellement par son vrai prénom au lieu de ce surnom qu'il n'a jamais voulu. Et ce n'est pas le fait de l'avoir dit à Suzumiya qui va arranger les choses.
C'est même pire car elle l'appelle désormais par son alias féminin juste pour s’amuser.
Il préfère ne rien dire, car il est tout de même heureux de la voir reprendre des couleurs et ne veut pas tout gâcher.
Enfin bon, continuons dans le temps sinon nous ne serons jamais arrivé au bon point avant l'heure du soupé.
Le Groupe de Six a dû chercher un autre coin pour y passer les prochaines nuits, après que le Symbole de la Royauté soit parti en cendre, et ils ont fait un long voyage assez risqué pour au final arriver en Alsace où leur ennemi se terre.
Au lieu d'aller directement à Bischheim, là où il loge, ils ont pris la porte d'à coté, à savoir la Belle Strasbourg.
Plus c'est gros, plus ça passe, et jamais il pensera à les chercher sous ses yeux.
Pour rajouter un coté spirituel, ils ont choisi parmi les nombreuses édifices religieuses de la ville et c'est sur l'église protestante juste au croisement de l'Ill et de l'Aar que c'est tombé.
Il faut dire que ça fonctionne, jamais le grand méchant de s'est douté qu'ils soient là, pour l'instant.
La Lune et le Soleil ont eu le plaisir de bien tourner jusqu'à ce qu'on arrive au jour qui va nous intéresser.
En cette fin d'Automne, le temps se rafraîchit durement et les animaux commencent à hiberner.
La routine est presque toujours la même pour ces personnages, je vais même pouvoir facilement vous la décrire :
- Kyokai Iwasaki, Itsuki Koizumi et Yuki Nagato sans lunettes s'occupent de la machine qu'ils ont construit il y a déjà une demi année de cela après s'être fait chié à rassembler les éléments nécessaires pour la faire. Il s'agit d'un prototype de créateur de portail permettant de voyager entre les univers, qu'ils ont pu imaginer d'après leur souvenirs de travaux de Carton Man.
Pour l'instant, les essais ne marchent pas et c'est loin d'être aussi esthétique que les modèles en forme de bracelets qu'ont les Avengers dans l'autre monde, mais c'est encourageant. Si ils font ça, c'est de un pour pouvoir retrouver leurs proches, et de deux, pour avoir des alliés pour vaincre le Vilain Moulin.
- Mikuru Asahina qui continue à faire les corvées, que ça soit la jardinage, la chasse et la cuisine.
- Yuki Nagato avec lunettes qui passe encore une fois son temps à lire les ouvrages qu'elle a sous la main.
- Haruhi Suzumiya, qui jongle avec tout ça et qui est actuellement avec la diseuse de bonne lecture afin de terminer leur très longue aventure sur l’univers établi par George R. R. Martin dont les ouvrages ont pu par chance être retrouvé après que les autres exemplaires soient partis en poussières.
Malheureusement ça n'ira jamais plus loin que le Cinquième Livre, étant donné qu'il fait parti des Suicidés, et le seul moyen de connaître la suite, serait de faire marcher l'autre appareil. C'est une possibilité bien envisagée, même par l’héroïne de ces flash-back.
En effet la fille au bandeau orange n'a plus envie de vivre dans ce monde précis après avoir cet incident et les retrouvailles avec John Smith. Le mieux serait que elle et les autres survivants du génocide partent dans l'autre univers parallèle, comme cette Terre là ne vaut plus le coup pour l'Humanité.
Alors que ces réfections lui parcours à nouveau l'esprit, une voix vient la ramener à la réalité actuelle.

Nagato : Haruhi-san, tu en penses quoi ?

Suzumiya : Hein ? De quoi ?

Nagato : De la Fin ?

Suzumiya : C'est dommage qu'on aura probablement jamais la suite, surtout pour Arya, car je voulais savoir si...

Asahina : Haru-chan !

La jolie fille japonaise aux cheveux auburn débarque dans cette arrière salle de l'église, exténuée par le sprint qu'elle vient de se taper, afin de parler impérativement aux deux membres isolées de leur groupe. Ces dernières se lèvent, plus ou moins timidement, suivant de qui il s'agissait.

Haruhi : Miku-chan, qu'est ce qui se passe !?

Asahina : La machine... Elle marche !

Haruhi : Enfin ! Allons !

Nagato : Attends, je dois juste...

Haruhi : Rejoins nous là bas !

Nagato : D'accord.

L'hyperéxcitée court en direction du lieu voulant, bousculant au passage la messagère qui se met à la suivre, alors qu'au fond l'autre femme aux cheveux violets range son gros tas de pages assez massif à sa place. Sauf qu'au moment de le poser à sa place, elle remarque d'un détail très inhabituel.
L'un des romans s'illumine progressivement de vive lueur, l’éblouissant.
La blancheur se répand très vite, empêchant de lire le titre de l'ouvrage.
Retournons sur Suzumiya qui arrive à vive allure dans le sous sol où les expériences scientifiques sont effectués et où justement quelqu'un lui confirme les dires d'Asahina. Une douce chanson belge très connue chez nous résonne dans les couloirs lugubres de ce qui servait autrefois de crypte.
Seul problème, Angèle n'a jamais pu la sortir dans ce monde là, vu qu'elle s'est suicidée trois ans auparavant.
L'année même où elle était censée commencer sa carrière, c'est pour dire.
L'enthousiasme de la leader se fait facilement voir quand elle débarque dans la salle précise où se trouve l'engin ainsi que les ingénieurs qui y bossent dessus et qui s'attendaient à la voir débarquer avec entrain. Itsuki lui sourit, de même pour Kyon. Même Yuki semble esquisser un micro levé de lèvre, pendant une demi seconde.
Le son que l'on entend sort bien de ce bazar mécanique, il n'y aucun doute à ça.

Suzumiya : C'est formidable !

Itsuki : Ce n'est que le début, mais c'est très très encourageant.

Kyon : Je suis content que tu sois contente.

Suzumiya : Oh ça pour être contente, je le suis !

Elle lui saute littéralement dessus pour lui rouler une bonne galoche, surprenant agréablement l'Esper juste à coté et étonnant l'Interface Humanoïde qui penche la tête très légèrement sur le coté. Ça laisse le temps à l'homologue de la Voyageuse Temporelle de refaire le sens inverse de sa course et constater de la chose à son tour.
Le baiser se termine avec l'amoureuse qui recule un peu en changeant totalement d'expression, bien plus inquiète, ce qui envoie cette émotion en son amoureux qui veut essayer de savoir ce qui se passe pour elle.

Kyon : Haruhi ?

Suzumiya : Non rien, j'ai pensé à... Quelque chose.

Kyon : Quelle chose ?

Suzumiya : Si nous débarquons dans ton monde, ça voudra dire que toi et l'autre Haruhi vous...

Kyon : C'est vrai...

Suzumiya : On fera comment ?

Kyon : Tout dépendra de comment a évolué la situation de son coté. Si elle a trouvé quelqu'un d'autre et si elle est complètement passé à autre chose. Sinon, je ne sais pas ce qu'on pourrait faire. Ça serait dur de choisir entre deux Suzumiya.

Suzumiya : Sauf que je sais que c'est elle qui a illuminé ta vie avec ses pouvoirs, pas moi.

Kyon : Haruhi...

Suzumiya : Et puis c'est la première. Je viens après. Ce ne serait pas juste.

Kyon : Tu as raison, mais ça me ferait pas de choisir.

Suzumiya : Et puis je ne pense pas qu'elle accepterait de tenter un truc à trois avec son propre double.

Kyon : Qui sait ? Ce serait le summum du narcissisme mais ça ne m'étonnerait qu'à moitié.

Suzumiya : Espérons le.

Kyon : Ce serait le bon moment pour ce "Narrateur" de nous aiguiller.

Suzumiya : Pour annoncer les pires chose, il y a du monde, mais sinon il n'y a plus personne.

Narrateur : Je dois garder mes apparitions rarissimes pour la surprise. Bouh !

Ils sursautent de peur face à ma réponse soudaine, et la seule que je fournirai pour ce chapitre.
Surtout que la Neige en profite pour s'approcher du narrateur des romans Haruhi Suzumiya afin de tester un petit truc, en prenant exemple sur ce qu'a fait leur chef juste avant. C'est ainsi qu'elle l'embrasse tendrement, aux yeux et regards de tous alors qu'aucun n'est encore remis de mon intervention.
Pour couronner le tout, l'autre Nagato débarque à son tour, avec deux nouveaux personnages sous le coude.
Il s'agit d'une princesse et d'un chimère, tous les deux portant des habitants dans le même ton. La première s'annonce fièrement alors que le second, plus méfiant reste en retrait, une main sur sa garde.

Amelia : Mon nom est Amelia Wil Tesla Saillune, et voici mon garde du corps, Zelgadis Graywords-san ! Je vous demande vous arrêter vils bandits !

Zelgadis : Il y a quelque chose qui ne colle pas ici. Regarde leur fringues.

Ces personnages d'un tout autre genre vont mettre un peu de temps à comprendre ce dans quoi ils s'embarquent.
Mais bon, si même Gourry a réussi à piger à peu près le truc, ils devraient s'en sortir.
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Message  Judy Hopps Jeu 2 Mai - 23:05

1 Mai 2019

Suisse; Genève; Cité-centre; Siège Mondial UNIT

Cet intense récit s'est enfin terminé, et encore, nous avons expédié plein de choses pour pas que ça soit trop long.
Nous retrouvons ainsi les différents persos présents dans ce labo que je vais énuméré encore uen fois :
- Haruhi Suzumiya qui a été ému pour tout cette histoire, bien malgré elle.
- Haruhi Suzumiya Alternative qui s'apprête à raconter la toute dernière partie qui ne nécessite pas de flash-back.
- Sasaki qui a repris sa place après que Jean-Claude Juncker ait été amené au donjon.
- Gilbert Montagné qui fait mumuse avec le chat qui il n'a que ça à foutre.
- Miaou Miaou qui joue avec un laser, détruisant tout sur son passage.
- Judy Hopps qui reste silencieux, préférant écouter pour tout enregistrer dans sa tête.
- Tolk-Hien Nimertz qui fait les dernières vérifications pour que son étrange petit boitier marche.
- Curie qui l'aide dans sa tache comme le ferait n'importe quelle gentille assistante.
- Gourry qui tente encore de comprendre rien que le tout début de l'intrigue.
- Keagan qui surveille l'entrée en jouant à un jeu de combat japonais avec plein de filles dénudées sur son téléphone.
Rebasculons si vous le voulez bien dans un dialogue qui a assez duré.

Suzumiya : Grâce à l'aide d'Amelia et Zelgadis, nous avons pu mêler technologie et magie pour peaufiner la machine et c'est ainsi que je suis là. On a avait besoin d'envoyer une seule personne et ils ont décidé que j''étais la plus qualité à vous raconter toute l'histoire afin que vous me croyez.

Gilbert : Super génialissime cette histoire ! On en fera un film avec la Montagné Production ! Il faut juste que... Shiho revienne parmi nous.

Sasaki : Nous la retrouverons, j'en suis sûr.

Tolk-Hien : Pendant que vous parliez, j'ai préparé notre propre appareil de voyage entre les mondes et dimensions que j'ai conçu au sein de UNIT et que tout le monde se sert au sein de notre organisation.

Keagan : Je n'ai jamais compris comment elle marchait.

Curie : En fait, c'est très simple, c'est...

Keagan : Excusez moi, il manquait quelque chose à ma phrase. Je n'ai jamais compris comment elle marchait et je n'ai pas franchement envie de la savoir.

Tolk-Hien : Quand vous le voudrez, nous pourrons entrer les coordonnées de votre monde dans cette télécommande un peu spéciale. Ensuite grâce à elle j'ouvrirai un portail contre ce mur là permettant de relier nos deux univers.

Suzumiya : J'ai les coordonnées dont il ne devrait pas y avoir de problème.

Gilbert : On va la jouer à la Stargate, ça va être cool.

Haruhi : Hum...

Suzumiya : Tu m'en veux encore de t'avoir traité d’idiote, ou c'est... Au sujet de Kyon ?

Haruhi : C'est ça.

Suzumiya : En voyant comment tu t’occupais de ce Leon avec qui tu t'es marié, je pensais que tu...

Haruhi : C'est compliqué. Je pensais avoir tourné la page, mais là le fait de savoir qu'il est encore vivant et que nous allons être réuni change mes perspectives. J'ai tout envie de reformer un couple avec lui que de rester avec Réon.

Suzumiya : Tu sais, on peut...

Gilbert : Je ne voudrais pas vous déranger, mais je vais vous le dire avec gentillesse car je t'aime bien Haruhi et toi aussi son double plutôt cool. Je m'en bat les couilles de votre histoire. Je veux juste sauver ma femme à moi, donc vous pourrez régler votre problème amoureux après. Hein !?

Gourry : Se battre les couilles, ça doit faire mal.

Sasaki : Heureusement que je n'en ai pas.

Haruhi : Bon ! Je crois qu'on est au complet ! Donc on va pouvoir faire plaisir à ce crétin de Gilbert...

Gilbert : Pédé !

Haruhi : ...et y aller !

Suzumiya : Ça marche !

Tolk-Hien : Je vais tout de suite vous enclencher tout ça.

Le scientifique appuie sur un gros bouton bleu sur sa télécommande qui active un portail orangé juste devant le groupe de héros improvisé qui vaut pas celle du Colonel Jack O'Neill.
Il ne reste plus qu'une chose à faire.

Haruhi : J'y vais en première.

Elle passe à travers, disparaissant de leur vue et de leur ouïe.

Suzumiya : Mieux vaut que j'y aille ensuite pour clarifier les éventuelles confusions.

Sasaki : Je te suis.

Les deux S y vont ensuite, l'une après l'autre.

Gourry : Lina, je te sauverai, comme cet autre fois avec cet être de lumière.

Le preux chevalier, ennemi des SJW, s'avance jusqu'à aussi se volatiliser.

Judy : Il ne reste plus que nous deux.

Gilbert : Et le Chat ! Hein que tu es mignon !? Hein que tu me crèverais pas l’œil comme pour Nick Fury !?

Curie : Je vous y accompagne aussi, si vous l'acceptez Docteur.

Tolk-Hien : Bien entendu, je reste ici pour surveiller le matériel.

Les derniers aventuriers de l'espace temps s'envolent, laissant le Doc et le Sergent seuls en arrière.
C'est à ce moment qu'un retournement dans la scénario survient quand la porte d'entrée du labo s'ouvre, révélant deux personnes assez haut placé au sein de UNIT. La Capitaine Marlène Schiappa et la Lieutenant-colonel Mahé Yaddoúr qui débarquent au bon moment, comme si elles avaient écouté aux portes.
Ah au fait, pas besoin de vous frotter les yeux, vous avez bien lu quel nom particulier j'ai énoncé.
C'est bien elle, malheureusement.
Passons plutôt à la description du deuxième personnage qui ne vous dit rien.
C'est une femme non genrée, obèse, noire, tétraplégique, aveugle, à moitié sourde, aux cheveux cyans, skoliosexuelle et qui se déplace en fauteuil électrique par rapport à l'autre handicapé qui est obligé de rester en fauteuil manuel à cause d'une réduction nette de salaire prise dans les dents il y a peu alors qu'il voulait remédier à ça pour se faciliter un peu la vie.
Leur présence ne ravit pas l'homme à l'eau peau bleu car c'est principalement de leur faute si cette galère est arrivée, pour une raison qu'il ne connait mais dont ce ne serait pas étonnant si ça venait à être du racisme.
Le chef de troupe, lui s'en fout un peu car tant qu'on lui fiche la paix, il n'a aucune raison de lever la voix.

Marlène : Docteur Nimertz, vous...

Tolk-Hien : Je ne veux p...

Marlène : NE M’INTERROMPEZ PAS !!!

Tolk-Hien : Ecou...

Marlène : Vous me faites du Manterrupting !

Keagan : C'est parti.

La tension est montée déjà d'un sacré ton dans combat des sexes ridicule perçu par un seul camp.
Sachant qu'il n'aura pas le droit à la parole pour l'instant et qu'il ne pourra pas dégager comme ça, le Kree se tait.

Marlène : Tu peux t'exprimer Mahé.

Mahé : Je suis obligé d'interrompre vos travaux infâme petite merde bleu qui n'a rien à faire chez nous. Ça faisait longtemps que je rêvais de vous le dire et c'est enfin le bon moment. Voilà, maintenant vous pouvez me répondre si vous le souhaitez.

Tolk-Hien : Je devine que Nick Fury n'est pas au courant de votre interfération dans mes activités.

Mahé : C'est moi qui suis à la tête nos forces dans ce pays, et pas ce Traître de Général qui couche avec les Blancs !

Marlène : Parfaitement ! Et moi je gère cette base !

Mahé : Donc je vais prendre les rênes à partir de maintenant et faire ce qui aurait dû être fait il y a bien longtemps. Il nous faudra pour cela le corps de ce Maxime Moulin, en espérant qu'on puisse en tirer quelque chose par rapport à celui de Zebediah Killgrave.

Tolk-Hien : Qu'est ce que vous allez faire ?

Mahé : C'est pas tes affaires ! Maintenant Marlène, dégage moi ça, qu'on ne l'ai plus dans les pattes !

Marlène : Avec plaisir.

La Marlène se met derrière le scientifique et saisit son fauteuil pour l’entraîner ailleurs, là où il ne sera pas gênant.

Tolk-Hien : Lâchez moi ! Je ne suis pas un vulgaire meuble !

Une fois cette épine enlevée du pied, la racisée peut rester avec l'autre "raciste" à qui elle jette un mauvais regard.

Keagan : Quoi ?

Mahé : Allez donc respirer un peu de votre air de Blancos et ne revenez plus jamais ici !

Keagan : Bon... Une petite clarification s'impose.

Il range son portable et s'approche de celle qui l'énerve, pose ses mains sur ses jambes et colle dans visage contre le sien avant de crier un bon coup pour être sûr de bien se faire entendre.

Keagan : Ecoute moi bien ! J'en ai rien à faire de tes magouille ! Mais si tu continues à me traiter comme de la merde, je te fais bouffer ton fau...

Une rafale de balles vienne interrompre son engueulade qui débutait pourtant si bien.
Elle le touche mortellement, ce qui fait qu'il s'effondre au sol dans son propre sang, sans pouvoir rien faire.
Plusieurs soldats à la solde de la raciste pénètrent dans la pièce pour la sécuriser et débarrasser le corps.
Autant dire que nos héros auront une bonne grosse surprise au retour.
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Message  Jackie Estacado Ven 3 Mai - 12:01

23 Août 1977

Comores; Moroni; Badjanani

La climat est tendu sur l'Archipel auparavant colonie français.
Depuis le 6 juillet 1975, trois des quatre îles sont devenues indépendantes, mais Mayotte de son coté a décidé rester fidèle à l'Etat Français, ce qui ne plaît pas à ses sœurs. Autant dire que ce n'est que le début d'un long calvaire qui ne fera que s'intensifier avec les années, puisque le Gouvernement Français finira par s'en foutre de ce territoire d'outre mer, comme des autres, jusqu'à l'arrivé au pouvoir de Gilbert Montagné en 2017.
Hé oui, 40 ans putain !
Vous sentez bien la grosse merde que c'est donc comme c'est tout frais à ce moment là ?
C'est dans ce cadre là que nous retrouvons une tête connue qui avait ses cheveux bruns naturels à l'époque en mode grosse touffe au lieu de les avoir roux et bien lisses. Il s'agit évidemment de cette chère Mylène qui va bientôt avoir 17 ans cette année là mais qui a autre chose à faire qu'à penser à les fêter.
Si elle est présente ici, au lieu d'être dans sa France adoptive, c'est pour son amie, sa meilleure amie.
Camille Leblanc qui est originaire de Pamandzi sur l'île toujours française. Elle née d'un père natif de Mayotte et d'une mère venant de la Grande Comore, mais le premier est mort quand elle n'avait que deux ans, laissant sa maman refonder sa vie à autre homme, un blanc venant de Ville-d’Avray, tout près de Paris.
C'est allant habiter chez son beau-père qu'elle et Mylène ont pu se rencontrer et nouer une forte amitié.
Récemment, Camille a perdu sa mère et son amie a insisté pour qu'elles aillent ensemble chercher ses affaires à son ancien chez elle où la sœur de la mère vit toujours, malgré les avertissements du beau-père qui craint que les tensions actuelles ne leur portent atteinte.
L'aller s'est passé sans problème et elles ont même pu passer la nuit sans problème.
C'est au retour, avec les souvenirs de la défunte sur le dos, que les ennuis sont arrivés.
Sur les coups de 10 heures, les lycéennes sur le chemin vers le bateau qui les ramènera sur le continent, mais alors que la fille à la peau blanche est plutôt sereine, celle qui l'a brun foncée est plus paranoïaque. Regardant tout autour d'elles pour s'assurer qu'il n'y ait aucune embûche sur la route.
Pour le moment, le peu de monde présent est plus préoccupé par leur propres activités que par les présence de ces deux mineurs, ce qui est bon signe. Néanmoins, la pure française reste prudente, contrairement à la mi-canadienne.
Pour autant, cette dernière remarque l'anxiété de son ami et va tenter de faire de son mieux pour la calmer.

Mylène : Ecoute Camille, ne stress pas trop, tu sais que c'est pas bon pour ton cœur.

Camille : Je sais mais... On n'aurait jamais dû revenir, et tu le sais bien.

Mylène : C'était important. Pour ta mère qui était une personne super aimante et qui nous a quitté trop tôt.

Camille : J'aime... J'aimais ma mère, mais elle même aurait préféré que je laisse sa mémoire là où elle est plutôt que de risquer ma vie à la chercher.

Mylène : Tu ne risques pas ta vie avec moi. Ensemble, nous bravons la mort comme en primaire !

Camille : C'est vrai, nous étions les Deux Faucheuses que rien ne peut arrêter.

Mylène : De Moroni à Ville-d’Avray, en passant par Pierrefonds ! Nous nous en sortirons toujours !

Camille : Tu me rassure un peu, même si je maintiens toujours mes dires. On n'aurait jamais dû revenir.

Elle n'aurait pas puis bien dire.
D'une ruelle devant laquelle elle passe, à leur gauche, sort quatre individus à la colère à peine dissimulée.
Ces derniers s'approchent tels des vautours de celle qu'ils ont choisi comme la cible de leur mépris et l'entoure, en prenant à peine en compte la fille un peu plus foncée qu'eux. Camille se met de façon protectrice devant celle qu'elle considère limite comme une membre de sa propre famille, et met ses bras autour d'elle en tournant de manière à avoir toujours celui qu'elle a deviné être le chef de ce petite groupe bien devant les yeux.

Camille : N'approchez pas !

Chef : Toi tu dois bien être une mahorais !

Camille : Je vous emmerde.

Chef : Je ne comprendrai jamais pourquoi vous avez toujours voulu rester des esclaves de l'Empire Français ! Vous devez bien aimer lécher le culs des Blancs !

Camille : Honnêtement, je préfère rester avec les "Blancs" qu'avec des crétins dans votre genre !

A ce moment là, la vive fille semble un peu faiblir, comme si elle avait un saut au niveau du cœur.
Seule celle qui l'a connait sait de quoi il s'agit.

Mylène : Camille, respire un coup s'il te plaît, je ne veux pas que...

Camille : Laisse Mylène, je gère.

Chef : Nous ne la laisserons pas partir indemne ! Elle doit payer pour tous ce que ses ancêtres ont fait ! Et tous ceux après elle aussi !

Camille : Espèce de malade mental, je vais t'éclater la tête tellement fort que tu ne pourras plus penser à de telles inepties par la suite !

Chef : Attaque moi si tu l'oses !

Mylène : Surtout ne l'écoute pas, nous....

Camille : Je ne te lâcherai pas Mylène, jamais ! On n'aurait jamais dû revenir.

Après ces mots rappelant la dure réalité, l'amie au bon cœur sourit à sa protège puisse lance au cake sur la tête d'une groupe, histoire de bien l'éclater et de faire fuir les autres. Elle fonce d'un coup vers le mec pour tenter de lui foutre un bon coup de pied bien là où ça fait mal, mais est déviée par un coup de poing dans le bide qui la fait tomber à terre.
Son visage s'écrase sur le sol et l'adrénaline monte encore d'un cran, faisant carburer à fond son corps.
Mylène veut se précipiter surelle pour l'aider, sauf que les lascars l'en empêchent, et l'un d'eux lui fait même à croche patte pour qu'elle se rétame juste à coté de son ami. Tels des gorilles sans cervelles, ils la rouent de coups alors qu'elle ne peut pas se défendre.
A la tête, au ventre, sur ses membres...
Aucune partie de son corps n'est épargnée.
Personne n'ose intervenir, soit par peur, soit par xénophobie.
Camille veut tenter de se relever pour venir à sa rescousse, mais là... C'est le drame.
Son organe le plus vital après le cerveau cesse de fonctionner, la faisant retomber immédiatement au sol, se tordant de douleur alors qu'elle ne peut plus respirer. Son dernier geste de tendre sa main vers celle qui l'a entraîné ici, puis dés qu'elle l'a attrapé, de la serré le plus fort possible.
Finalement, toute la tour s'éteint, avec les chances de la rallumer qui deviennent de plus en plus veines plus les minutes passent. Comme personne ne se bouge pour que ça change, autant dire que c’est presque fichu.
Vous connaissez déjà l'issu de tout ça, mais la rouquine pas encore.
Miracle !
A l'autre bout de la rue, un trio s'approche de leur position et va probablement pouvoir sauver celle qui le sera de toute manière. Il s'agit de deux soldats et d'un officier de UNIT en tenue service. Ils papotent tranquillement d'une anecdote sans se douter de ce qui est en train de produire.

Officier : Vous saviez que les Nazis avaient réussi à trouver le Graal ?

Soldat 1 : Sérieux ?

Soldat 2 : Mon père m'en a déjà parlé, il faisait parti des gens qui ont aidé ce mystérieux couple à empêcher les Boches de repartir avec ce saint calice.

Soldat 1 : Hé regardez ! Là bas !

Cet homme est le premier à remarquer le tabassage qui a lieu à quelques mètres devant eux et le pointe du doigt.
C'est son officier supérieur qui réagit ensuite en sortant son MAC modèle 1950 et en tirant un coup de sommation dans les airs. Ça a pour effet de direct refroidir les agresseurs qui s'enfuient en mode cafards par la ruelle d'où ils avaient déboulé.
Le troisième et dernier à intervenir, s'approche en courant de la seule fille qui semble encore vivante, malgré le fait qu'elle ait la gueule cassée, et tend sa main afin de pouvoir l'aider à relever.
Faiblement, elle parvient néanmoins au prix de nombreux efforts à la prendre, sans sans lâcher de l'autre main son amie qui la retient toujours. Ce détail saute aux yeux des trois gus qui se sentent mal car ils comprennent direct qu'il y avait une certaine amitié entre les deux filles.

Soldat 2 : Madame, je suis navré de vous dire ça, mais il va falloir la lâcher si vous ovulez qu'on puisse vous amener à l'hôpital.

Officier : Bordel, c'est le troisième cas comme ça cette semaine, et on est que Jeudi.

Mylène comprend seulement maintenant ce que leur propos veulent dire.
sa tête réussit à se tourner suffisamment pour pouvoir découvrir le regard marqué de sa défunte amie.
Leur mains se tenant toujours.
Blessée, la blanche femme déverse un torrent de larme pour marquer la fin de ce flash-back éprouvant.
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[FIC] Suzumiya Haruhi no Sureiyāzu [Terminée] Empty Re: [FIC] Suzumiya Haruhi no Sureiyāzu [Terminée]

Message  Excel Mer 8 Mai - 18:16

1 Mai 2019

Pays du Beau Gosse; Ville Sacrée des Pieds Féminins; Grosse Teube

Assise sur le lit alors que son prince peu charmant se fait une descente de Lipton à la Pèche, Mylène verse quelques larmes après avoir raconté ce souvenir dont la blessure n'a jamais pu vraiment cicatriser. Et ce n'est pas la Montée de la Haine qu'il y a depuis une décennie ua moins qui va arranger ça.
l'Homme continue à s'entre tuer pour les raisons les plus connes du monde, sans que personne puisse rien y faire.
Tu m'étonnes qu'après coup, cette célèbre chanteuse doit devenue ce qu'elle est aujourd'hui, avec plusieurs chansons connues pour leur thème osés et parfois même assez noir, comme "C'Est Une Belle Journée" où derrière un conte tout choupinou se cache une fille qui parle de suicider.
Charles Trenet approuverait d'ailleurs d'ailleurs ce style de mélange entre le doux et l'amer.
Après si on l'aime tant, enfin pour moi en tout cas, c'est pour justement cette ambiance qu'elle a su instaurée au travers de ses textes et qu'elle sait interpréter avec sa douce voix. En plus, c'est l'une de plus belles rousses qu'il m'ait été donné de voir, et moi même sait que j'ai eu une très longue vie.
Néanmoins, celui à qui elle a raconté l’événement le plus tragique de son adolescence ne semble que très peu de soucier de l'impact que ça lui fait. Non, il est plus occupé à tâter les pieds de Manuela Hidalgo pendant qu'Excel lui fait une petite pipe avant d'aller se coucher.
De quoi déconcerter même le plus ivre des Sébastien Patoche.
La folie en Madame Farmer se cache quelques minutes, dévoilant un ton plus grave sur son visage.
Ce qui peut vous rappeler le vrai visage de Gilbert Montagné quand on s'en prend à sa famille.

Mylène : Tu en penses quoi ?

Maxime : Que c'est pas de peau pour ton amie, mais en même temps c'était logique que ça arrive.

Mylène : Comment ça ?

Maxime : Les Noirs passent leur temps à s'entre tuer, comme les Arabes ! N'est ce pas les filles !?

Excel : Oui Maxi-chan !

Manuela : J'approuve vos dires.

Maxime : Même au niveau physique, les premiers ont le nez en patate et les cheveux crépus, c'est moche ! Et les seconds sont pas vraiment jolies, ça doit être d'ailleurs pour ça qu'elles ont fini par cacher entièrement leur corps, pour pas choquer les gens avec leur mocheté !

Il se marre en disant ces propos d'un gout douteux alors que les deux filles à ses cotés suivent l'hilarité.

Maxime : Les indiennes, que ça soit d’Asie ou d’Amérique, ça va donc j'en ai fait survivre certaines. Bon les latinos, on en a une ici donc tu vois que ça passe pour moi. Pour les bridées, ça dépend. Rare sont les chinoises que j'ai gardé parce que leur nez est trop plat et puis leur pieds, comme pour les autres de ce coin du globe, c'est pas top. Heureusement que les Japs, Coréens et autres garces des jungles sont mignonnes physiquement car sinon ça aurait été pareille. Avec les Blanches, il y a moins ce problème, mais c'est normal, elles sont parfaites !

Excel : C'est vrai, nous sommes parfaite !

Maxime : Tu ne penses quoi Myl... ?

Alors qu'il se retourne, il se fait suriner par un schlass tenu dans la main d'une rouquine en pétard et assombrie.
Les cordes vocales étant touchés, il ne peut plus parler, ce qui est en fait le but voulu.

Mylène : Tu ne veux pas mieux qu'eux.

Manuela : Qu'est ce que vous avez fait !?

Mylène : Vous êtes les prochaines.

Ces dires sont suivis d'une rafale de lame dans le petit ventre fin de la dame latine qui finit au sol avec les tripes à l'air et à peine le temps de dire au revoir au monde avant de rejoindre là haut. Ces attaques choquent la prochaine sur la liste qui prend les cheveux à son cou pour tenter de survivre.
Si elle meurt maintenant, elle ne pourra jamais retrouver son Il Palazzo ou bien manger Menchi.
Pour l'avenir d'Across !
Tout espoir est anéanti quand elle se prend le canif en plein dans la colonne vertébrale, la paralysant complètement en dessous de l'endroit touchée. Enfin il y a toujours une toute petite lueur venant de la porte se situant à peine à quelques mètres devant elle. Rampant de toutes des forces, elle tente d'y parvenir, alors que son ennemie s'approche d'elle avec une plus grande rapidité.

Excel : Alors tu vas rire mais il y a une explication très simple à tout ceci, je suis en fait pas vraiment dans mon état normal car la fièvre et tout ça c'est pas facile mais ça tu peux comprendre, donc on peut toujours la régler à l'amiable, notamment en échangeant quelques sommes d'argents si tu le veux bien, ou bien en...

Mylène :  Puisqu'il faut choisir, à mots doux je peux le dire... Sans contrefaçon je suis un garçon !

Et craque fait la nuque quand le talon vient la frapper durement.
Il ne reste plus qu'un morpion à écraser, et il se vide déjà de son sang, en ne pouvant plus respirer.

Mylène : Tu t'entêtes à te foutre de tout... Mais pourvu qu'elles soient douces !

Elle le roue de coup avec un déchaînement qu'on ne lui connaît pas, comme une lionne en furie.
Tout ça finit par l'achever, non sans une extrême douleur.
Couverte de sang, l'assassin regarde l'étendu de ses actes, sans vraiment apprécier l'avoir fait.
C'était nécessaire de son point de vue.

Mylène : C'est à cause de gens comme vous que Camille est morte.

A nouveau seule, elle songe l'espace d'un instant à en finir avec cette vie qui ne veut pas d'elle.
Pourtant, elle ne trouve pas encore le courage de la faire et reste en transe jusqu'à ce que quelque chose se produise.
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[FIC] Suzumiya Haruhi no Sureiyāzu [Terminée] Empty Re: [FIC] Suzumiya Haruhi no Sureiyāzu [Terminée]

Message  Jackie Estacado Dim 19 Mai - 8:55

Pays du Beau Gosse; Strasbourg; Contades; Église Saint-Paul

Un portail similaire à celui traversé par notre groupe est présent dans le sous sol de cette édifice religieuse, faisant bouger les loupiotes de la machine dont le but est justement de traverser les différents plans temporels, bien que pour le coup ce n'est pas elle qui est utilisée là.
Une autre bande de gens se trouve là, prête à accueillir nos voyageurs du temps et de l'espace.
Ils sont composés de :
1) Kyokai Iwasaki, l'âme sarcastique du lot qui arrive toujours à souligner d'absurdité de ce monde.
2) Itsuki Koizumi, le stratégique joueur d'échec qui garde souvent une bonne humeur peu importe la situation.
3) Yuki Nagato sans lunettes, la dont quelque chose me chiffonne à son sujet mais je ne saurai vous dire quoi.
4) Yuki Nagato avec lunettes, la timide rate de bibliothèque qui est intriguée par ce qui se passe en ce moment même.
5) Mikuru Asahina, l'innocente fille à la voix trop kawaï qui est la plus perturbée par tout ça.
6) Amelia Wil Tesla Saillune, la princesse d'un royaume dont le Roi est lui même un sacré cas social.
7) Zelgadis Graywords, un chimère qui s'occupe amoureusement de la protection de sa dame.
Pour les visiteurs qui viennent d'arriver sur les lieux, je vais aussi vous refaire une énième fois un récapitulatif :
Cool Notre Haruhi Suzumiya, la Dieu privée de ses pouvoirs mais qui pourraient les retrouver prochainement.
9) L'Autre Haruhi Suzumiya, la jeune femme ordinaire qui rêve de vivre une vie extraordinaire.
10) Sasaki, l'ancienne lycéenne qui liée à l'apparition de pouvoirs chez la Suzumiya qu'on connait.
11) Gilbert Montagné, la rigolo gigolo qui est réduit au même rôle que Samuel L. Jackson dans Captain Marvel.
12) Miaou Miaou, un chat car on ne voit pas assez d'animaux dans ces fictions et il faut remédier à ça.
13) Judy Hopps, la lapine anthropomorphe qui a un sens de la justice qui ferait plaisir à Batman.
14) Curie, la synthétique assistante du docteur qui leur a permis de venir ici grâce à son invention.
15) Gourry Gabriev, un chevalier neuneu qui ne comprend rien au scénario et qui adore manger.
Pas facile de suivre avec autant de persos !
Pire que Game of Thrones !
Heureusement que je ne vous présente pas tous les personnages qui ont été enlevés de notre univers.
Enfin... Si vous voulez une liste non exhaustive, la voici :
Claire Redfield, Jill Valentine, Ada Wong, Sherry Birkin, Manuella, Rebecca Chambers, Lina Inverse, Lucy Dodgera, Ophelia Sarkissian, Erza Josse, Ailein Bartley, Excel, Clara Lille, Shiho Miyano, Mylène Farmer, Ange, Katya Zamolodchikova, et tant d’autres femmes ont disparus dans ce monde.
C'est bon ?
Continuons !
Toutes ces personnes ont tant de choses à se dire, cependant ils vont devoir s'exprimer chacun leur tour.
Débutons par la Haruhi aux cheveux courts qui s'approche de la Nagato qu'elle connait avec méfiance car elle s'est souvenu plus précisément du truc que j'avais sur le bout de ma langue.

Haruhi : Depuis que mon autre moi m'a raconté son histoire, je me pose cette question. Comment ça se fait que tu sois là depuis 2017 et que dans le même temps tu sois toujours restée dans notre monde depuis le Grand Remplacement orchestré par Gin et Killgrave ?

Yuki : Quand les Life-Model Decoy ont tenté de nous remplacer, il y a eu une discontinuation dans la ligne temporelle, ce qui a fait que nous nous sommes retrouvés dans un autre plan temporel. Mon enveloppe corporelle étant artificielle, il y a eu un bug et il s'est retrouvé divisé que notre plan originel et dans celui là. Je peux sentir la présence de mon autre moi dans notre plan d'origine mais je n'ai aucun moyen de savoir ce qu'elle a vécu durant ses deux années. Ceci doit être réciproque.

Haruhi : D'accord...

Suzumiya : Ça veut dire qu'il y en a deux comme toi ! Trop cool !

Gilbert : Si ils font une fusion à la DBZ, ça répare l'erreur c'est ça ?

Curie : Impressionnant ! Mes organes sont tout extatiques rien que d'entendre cette analyse !

Sasaki : Je me demande pourquoi

Haruhi : D'après Leon, ce serait principalement dû à la fin de vie de Cthulhu, une puissante créature avec des pouvoirs divins. Il serait le créateur de toutes créatures divines présentes dans les dimensions de notre monde à nous. Sans lui, Ailein et Baptiste n'auraient jamais existé.

Sasaki : Pourtant j'ai vraiment l’impression que ça ne fait que croître à très grande vitesse depuis quelques années. Il doit y avoir un autre facteur.

Judy : UNIT a remarqué la même chose.

Gourry : Je comprends rien de tout ça.

Itsuki : Yuki-san, n'aurais tu pas quelque chose à nous dire à ce sujet ?

Elle approuve de la tête à la surprise de tout le monde sauf le gars qui a posé la question.

Itsuki : J'ai remarqué à l'époque où nous étions encore chez nous que les perturbations s'étaient accentuées courant 2015, et je sais que Yuki me devance souvent sur ce type d'informations.

Suzumiya : C'est justement en 2015 que Maxime Moulin est venu dans notre monde. Le 1 Août.

Gilbert : C'est le jour de sa mort, elle est inscrite sur la statue à son effigie dans le Mausolée des Avengers. J'étais pas là à l'époque mais on m'a dit que son corps a bien été trouvé, même si en plusieurs morceaux. C'est vraiment bizarre qu'il se soit retrouvé ici le même jour.

Haruhi : Allez Yuki, explique nous c'est quoi ce bordel.

Yuki : Une forte instabilité temporelle s'est produite courant Avril-Juillet 2015.

Les membres de la Brigade SOS du Monde du Forum, et Sasaki, écarquillent les yeux face à cette mauvaise nouvelle. Ils savent très bien ce qui s'est passé durant ces mois là.

Itsuki : Je vois...

Kyokai : Yuki, tu veux dire que... !?

Sasaki : C'est notre faute !?

Haruhi : C'est ma faute !?

Les autres gens qui sont là ne comprennent pas plus que Gourry pourquoi ils réagissent ainsi.

Suzumiya : En quoi ce serait votre faute ?

Haruhi : Disons qu'à l'époque je n'étais pas du tout au courant de l'existence de mes pouvoir, et puis il y a eu elle.

Sasaki : Moi et mon équipe, nous nous sommes mis sur son chemin, et puis il y a eu...

Itsuki : Beaucoup de jalousie.

Kyokai : Le concours de qui sera le Meilleur Dieu.

Amelia : Vous êtes des Dieux, c'est trop chouette ça !

Zelgadis : Quand je les entends parler, je n'en ai pas l'impression.

Sasaki : Il faudra trouver le moyen de faire réparer ça de nous même.

Haruhi : Tu me feras penser quand on aura tout ça à que je te force à me rendre mes pouvoirs.

Sasaki : J'y penserai.

Gourry : J'ai compris !

Il tape dans sa main en ayant une lueur d'étincelle dans les yeux, celle repartant aussi vite qu'elle est venue.

Gourry : C'est une blague, n'est ce pas !?

Après s'être un poing au sommet du crane de la part de la Chef de notre Brigade SOS, ses deux amis viennent le réconforter pour qu'il ne souffre pas trop non plus de sa propre connerie.

Amelia : Gourry-san, ça fait plaisir de te revoir !

Gourry : Moi aussi, Amelia-san et Zelgadis-san ?

Zelgadis : Est ce que tu sais où est Lina ?

Gourry : De ce que j'ai compris, ce Maxime l'a enlevé lui et d'autres filles pour les emmener ici grâce à un pouvoir de persuasion ou quelque chose comme ça.

Amelia : Oh non... Pas elle !

Zelgadis : Il faudra faire attention, nous ne sommes pas immunisés contre ses pouvoirs. Si Lina s'est faite avoir, nous pouvons très bien tomber à notre tour dans son piège.

Alors qui se préparent pour la suite des événements, il est temps pour un couple divin de se retrouver après un long temps de séparation. Une petite boule de nerfs se jette dans les bras de l'ancien lycéen blasé pour l'embrasser sauvagement à la vue de tous qui sont étonnés, et pour certains ravis, de cet élan d'attention.
Quand les lèvres se lâchent, une conversation douce et un peu nerveuse se joue entre les deux.

Haruhi : Je suis heureuse de te retrouver.

Kyokai : Moi aussi.

Haruhi : Néanmoins, quand on aura fini ça, ça va être le bordel pour définir nos relations.

Kyokai : Suzumiya t'a parlé de notre relation ?

Haruhi : Un peu. Et moi aussi j'ai travaillé de mon coté ?

Kyokai : Qui est l'heureux élu ?

Haruhi : Leon. On s'est même marié.

Kyokai : Il n'était pas marié à Ada Wong ?

Haruhi : Elle est morte, remplacée par un de ces fichus robots.

Kyokai : Ce drame a touché tout le monde.

Haruhi : En plus, une autre Ada a été ramené pat Gilbert dans notre monde, et celle ci est mariée à lui. Ça ne fait compliquer encore plus des choses déjà bien galères.

Kyokai : Je suis sûr que Notre Grande Chef Suprême arrivera à trouver un moyen de rendre tout le monde content.

Haruhi : J'espère...

Gilbert : Oh allez les gars !

L'aveugle au grand sourire un peu bête, se glisse entre les deux en les prenant dans ses bras avec vigueur.

Gilbert : Pourquoi toujours se mettre des des bâtons dans les roues quand il s'agit d'amour !? Rien ne vaut le libertinage ! On ne se prend jamais la tête ! J'ai une trentaine de femmes ! Shiho essaye de nouer d'autres relations charnelles du mieux qu'elle peut ! Ce qui n'empêche jamais de nous retrouver ! Je peux enseigner ça si vous le voulez !?

Kyokai : Non merci, ça ira.

Haruhi : Malgré l'âge, il est quand même bon au lit.

Gilbert : Oh le chat, te voilà !

Il chope la petite boule de poil qui passait par là et la sert fortement dans ses bras en lui faisant tout plein de bisou.
Ce qui devait arriver arriva, il se prend un méchant coup de griffe à l’œil gauche, au travers de ses lunettes de soleil.

Gilbert : AH SALE FILS DE PUTE !!!

Avec une force herculéenne, l'homme en colère balance la chose contre un mur, claquant tous ses os contre celui ci et la laissant finir comme une crêpe au sol.
Autant dire que ce geste attire l'attention de toutes les personnes dans cette pièce, ce qui ne plaît pas à Gilbert.

Gilbert : Non, c'est pas moi, j'ai un alibi, j'étais au cinéma !

Sentant la pression se resserrer contre lui, il se tire comme un voleur.
En même temps, vu l'utilité qu'il avait jusqu'à présent, son départ ne changera rien au déroulement du scénario.
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Message  Kenzie Dodgera Jeu 23 Mai - 17:30

Pays du Beau Gosse; Ville Sacrée des Pieds Féminins; Grosse Teube

L'heure est enfin à l'attaque sur le Plais du Grand Méchant dont on vous passera l'infiltration car...
Il n'y en a pas.
Pour la simple et bonne raison qu'en arrivant discrètement sur place, le groupe que nous suivons et qui s'est séparé pour couvrir plus de terrain, afin de notamment entrer par plusieurs cotés, découvre qu'ils sont attendus paisiblement par l'armée du roi déchu.
Des milliers de femmes se sont réunis à l'entrée extérieur rien que pour ça, se tenant droites sur leur jambes, dans des tenues qui les gênent, et qui sont divisées en deux cotés. Ceci est fait pour pouvoir créer une sorte de chemin entre elle, avec un tapis rouge déposé pour l'occasion, menant directement à l'entrée du repère du vilain.
Autant dire que nos aventuriers extra-temporels ne savent pas trop quoi en penser et s'attendent à un piège.
Nous avons pour l'occasion seulement six personnes, incluant :
1) Haruhi Suzumiya aux cheveux courts.
2) Yuki Nagato sans lunettes.
3) Judy Hopps aux grandes oreilles.
4) Gourry Gabriev à la cervelle de méduse.
5) Amelia Wil Tesla Saillune au puissant sens de la Justice.
6) Zelgadis Graywords à l'apparence si particulière.
Postés dans une benne à ordure à l'entrée de cette ligne parfaite, ils se concertent sur la suite des évènements.

Gourry : Je crois que pour passer sans se faire repérer, c'est raté.

Zelgadis : Il y a encore moyen de tenter de les avoir par surprise.

Amelia : On peut ainsi foncer dans le tas pour tous les avoir au cake.

Haruhi : Ils nous attendent, alors autant se montrer courtois et accepter l'invitation.

Yuki : Courtois ?

Judy : Sans vouloir être méchant, mais avec ce que j'ai vu de ta personnalité jusqu'à présent, je ne pensais pas te voir choisir cette option.

Haruhi : Je sais être décente quand il le faut.

Zelgadis : C'est un piège.

Haruhi : Si c'est le cas, préparez votre magie. Je ne pense pas qu'ils pourront faire quelque contre ça.

Amelia : Et pour le pouvoir de ce Maxime ?

Haruhi : J'ai chopé ça sur le trajet, quand je suis allée pisser avant.

Elle sort des bouchons pour les oreilles de la marque "Kei Hee", qui est la première sur le marché car avec eux on est sur de ne rien pouvoir entendre. Voir même pour certaines personnes, ils n'ont plus jamais pu réentendre de leur vie, même après les avoir retiré.

Haruhi : Amelia, Zelgadis et la Lapine, vous les prenez.

Gourry : Pourquoi nous ne prenons pas nous trois ?

Haruhi : Parce que à en croire le récit de mon homologue, ça ne marchera pas sur moi et Yuki.

Gourry : Et pour moi ?

Haruhi : Vu le niveau de ta connerie, je pense qu'on craint rien, et puis j'ai pas réussi à en avoir plus, donc ça aurait rien changé.

Amelia : Vous êtes méchante Suzumiya-san.

Zelgadis : Elle n'a pas tort pour ça.

Haruhi : Allez, allons y !

D'un poussage de main vibrant, elle s’éjecte hors de sa cachette, suivi par sa petite troupe parée au combat.
Sur leur gardes, ils s'avancent entre les deux divisions non armées du restant de l'humanité dans cette Terre qui laisse vraiment à désirer. Les têtes s’inclinent à leur passages, certaines en larmes, d'autres plus fièrement, comme si ils avaient fait quelque chose d’héroïque alors qu'ils viennent à peine de débarquer.
Le victoire semble facile, trop facile.
C'est alors qu'après un peu de marche, la tête blonde du groupe s'arrête, reconnaissant quelqu'un au fond.
Lina Inverse, vêtue outrageusement et qui fait donc la gueule en contrepartie, attendant devant la grande double porte en bois de cerf menant à l'intérieur de la bâtisse.
Quand ils se remarquent enfin, une joie indescriptible se grave dans leur pupilles sous forme d'étoile, puis sans hésiter une seule seconde, ils se mettent à courir l'un vers l'autre. La naine d'1m47 saute alors dans les bras du géant d'1m91, les faisant tournoyer dans un élan incassable, sous leur propre rire et les regards d’admiration qui les entourent.
Poussée par ces jouissantes retrouvailles, la mini rousse embrasse de façon surprenant son chevalier bleu, étonnant à peine leur deux amies qui attendaient ça depuis un moment. Gourry est en premier lieu surpris, avant de laisser faire cette déclaration d'amour qui aurait dû être faite depuis longtemps, tant ça sautait aux yeux qu'ils s'aimaient ces deux blaireaux.
Cet intense instant est suivi par une discutions entre les amoureux, alors que la pygmée est reposée à terre.

Gourry : Ce méchant Maxime ne t'a rien fait j'espère Lina ?

Lina : Ne t'inquiète pas, il ne m'a rien fait. Tant mieux pour lui sinon j'aurais atomisé son cadavre.

Gourry : Bon, je dois t'avouer ne pas trop comprendre ce qui se passe ici, alors il faudra que tu me l'explique doucement en tête à tête.

Lina : Ouais je sais tête de méduse, tu es comme en un enfant, il faut tout t'explique trois fois.

Gourry : Enfin bon, avec ton manque de sein et ta petite taille, c’est plutôt toi l'enfant.

Lina : Ne gâche nos retrouvaille s'il te plaît, car là je commencer à avoir une soudaine envie de t'en coller une.

Il rit en premier face à sa remarque, elle le suit ensuite, et s'est reparti de plus belle.
Si il y a bien quelqu'un qui n'a pas le temps pour l’hilarité, c'est la Chef Suprême de la Brigade SOS qui décide de s'interposer entre eux pour pouvoir questionner la Major-générale de UNIT au sujet de ce qui se pas dans le coin

Haruhi : Excuse moi Lina...

Lina : Tu ne m'avais pas manqué toi !

Haruhi : C'est réciproque.

Lina : Enfin bon, faisons un peu une trêve, comme du temps de l'autre Mister Jip. Je devine que tu veux savoir le pourquoi du comment de ce comité d'accueil.

Haruhi : On pourrait presque croire que tu as appris à lire dans les pensées.

Lina : Mylène Farmer, tu voix qui c'est ?

Haruhi : Une chanteuse française du même genre que ce crétin de Gilbert.

Lina : Elle a tué Maxime et nous a libéré de son entrave.

Judy : On aura plus besoin de battre le grand méchant de l'histoire.

Haruhi : Pourquoi je ne vois personne de chez nous ?

Lina : Gilbert, tant qu'on parlait de lui, est venu peu après et a négocié avec son amie pour ramener déjà ceux de votre monde aux endroits où ont été pris à la base. Vous l'avez manqué de quelques minutes seulement.

Yuki : 6 minutes, 45 secondes, 11 centièmes.

Haruhi : Pourquoi toi tu es encore ici ? Tu n'es pas native de l’univers où on se trouve.

Lina : Le chanteur m'a prévenu pour... Gourry.

Gourry : Il est sympa ce type aux lunettes de soleil.

Lina : Donc je suis resté ici pour transmettre les infos. Vous avez quand même un rôle à jouer, pour décider de ce qu'il faut faire de toutes ces femmes, sachant qu'il n'y a plus d'homme sur cette planète. L'espèce humaine est vouée à s'y éteindre.

Judy : C'est horrible !

Amelia : Ce n'est pas juste !

Haruhi : Si on les ramène chez nous, ça sera une sacré foule de migrants. Déjà que c'est un sujet sensible en ce moment, ça ne va pas arranger les choses. Il faudra en discuter avec l'ONU.

Judy : Ce n'est pas si loin que ça du QG de UNIT d'où nous sommes venus.

Haruhi : Avant ça, je voudrais discuter avec cette Mylène si elle est encore ici.

Lina : Oui, elle vous attend dans l'ancienne chambre royale. Je vous y accompagne.

Zelgadis : Je ferme la marche.

Le groupe suit ainsi la guide un peu particulière dans les couloirs classieux de ce bâtiment d'un autre temps.
Ils arrivent ainsi devant la chambre du Roi et de la Reine, avec le premier qui a réussi à faire part de sa présence sous le signe d'une imagerie horrifique qui choque les plus innocents de nos héros, à savoir Amelia et Judy, obligées de détourner le regard pour éviter de gerber.
Le corps sans vie de Maxime Moulin est attaché contre le mur juste à droite de la porte, en partant de son point de vue, complètement dévêtu de ses vêtements. Sa tête lui a été retiré pour être remplacée par celle d'un porc déjà crevé, afin de marquer la symbolique.
Un drôle de mélange entre l'Homme de Vitruve et Robb Stark.
Lina se retourne vers les touristes et affiche momentanément un visage peiné avant d'être à nouveau plus neutre.

Lina : J'avais oublié ce détail. Désolée.

Zelgadis : Elle ne l'a pas raté.

Amelia : Je ne partage pas le goût des méthodes employées, mais il a su ce qu'il méritait.

Haruhi : Deux fois mort, deux fois décapité de façon posthume.

La suite, ça se passe l'autre coté de ce double battant.
La salle qu'on a pu suivre auparavant s'est vue passé un petit coup de serpillière pour nettoyer toutes les taches rouges accumulées, et les deux autres cadavres sont aux abonnés absents.
Il y a cependant quelque chose de bizarre dans l’atmosphère, sans que j'arrive à y mettre le doigt dessus.
Même Haruhi et Lina ont cette étrange impression, or c'est Judy qui va mettre la main là où il faut.

Judy : Il y a une lettre.

Amelia : De qui ?

Judy : De celle que nous cherchons.

Haruhi : Ça dit quoi ?

Judy : Alors attendez, je vous la lis...

Elle se racle la gorge avant de traduire en anglais ce message écrit en un français impeccable.

Bonjour, chers Avengers.
Gilbert et Shiho m'ont tant parlé de vous au cours de ces dernières années.
J'admire votre travail et votre volonté de sauver ce monde, ça redonne de l'espoir.
Malheureusement de l'espoir, j'en ai plus.
J'ai essayé moi aussi de changer la mentalité abjecte des Êtres Humains, que ça soit par mes chansons provocatrices ou en dirigeant la Blue Umbrella. Rien n'a marché, ça a même empiré de mon point de vue.
Nous retournons à un Racisme digne du temps de l'Esclavage.
Chacun dans sa petite communauté à envoyer chier les autres.
Bien que ça soit la communauté des blancs qui soit cette fois le Bouc Émissaire, après celle des Noirs pendant un temps ou celle des Juifs.
Quand est ce qu'ils arriveront à comprendre ?
Jamais.
Je n'ai même pas envie d’imputer la faute aux Américains d'avoir fiat venir cette mode, ce serait jouer à leur propre jeu.
Des Maxime Moulin, on en voit partout à la télévision en ce moment.
Que ça soit des Sibeth Ndiaye, des Jean-Marie Le Pen, ou des Chérif Chekatt.
Les Blanche Gardin, Zineb El Rhazoui et autre Samuel L. Jackson se font rare.
En plus, la montée de l'extrémisme sectaire, financé par l'Arabie Saoudite, n'est pas pour aider.
Je n'ai jamais aimé les Religions.
L'Islam est le meilleur exemple actuel de pourquoi je ne les aime pas.
J'en ai marre de tout ça.
Mes combats ne servent à rien.
C'est pour quoi je m'en vais rejoindre une amie qui m'attend depuis longtemps.
Si jamais par miracle une solution existe.
Je suis sûre que vous arriverez à la trouver, vous Avengers.
Mylène Farmer

Les gens sont sans voix suite à l'écoute de cette lettre qui fait réfléchir.
Judy baisse ses oreilles, comprenant le sens caché derrière ces mots.

Judy : C'est une lettre de suic...

Amelia : Oh non ! Venez ici ! C'est horrible !

La voix provient de salle de bain dont la porte est à présent ouverte, laissant d'échapper un air de guitare assez ironique, le tout alarmant assez le reste du groupe pour qu'il vienne rejoindre la Princesse Justicière qui est complètement tétanisée par la peur face à la vision se tenant devant elle.
Un corps nu avachi dans une baignoire à l'eau rouge, les cheveux orangés cachant son visage, alors que sa main gauche tient fermement une lame de rasoir. Une fente se trouve sur son bras droit, marque qui ne s'effacera plus jamais.
Mylène était, Mylène n'est plus.
Kenzie Dodgera
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