[RP] Résistant et Forêt Mortelle [Terminé]

La cibi, faisant un peu trop de bruit, gênant de part sa présence, et n'étant pas utile pour Leon et ses intentions, est débranchée par Yuki pour mettre sur la seule prise existante dans ce chalet de papy et mamie le fameux frigo qui sera utile à celui qui squatte par ici dans ce trou paumé où très peu de citadins voudraient vivre.
Masumi décide de rester pour la nuit avec Leon, tandis que l'installatrice du frigidaire ultra cheaté retourne au Whiteturtle pour se barrer avec, et elle ne reviendra que dans une semaine, comme selon les dires de celui qui a mijoté un plan.

Leon : Tu reviendra dans sept jours et tu captureras Saryna pour moi. Sept jours, c'est le temps que je lui laisse pour venir me parler d'elle même.

Autant dire que ça risque de prendre du temps encore vu comment la rebelle n'ait pas ouverte à la discussion, comme à son habitude.
Le soleil maintenant couché, Leon et Masumi passent le reste de la soirée à causer entre eux et à bien s'amuser, en dépit du peu de sources de distraction possible dans le coin.
Puis vient le couché, et avec lui, nous aurons peut être une intervention de Saryna, ou pas, si elle décide de rester dehors à la belle étoile.

la nuit s'écoule doucement quand soudain une explosion et un crie a vous glace le sang retenti dans la nuit , quand saryna elle se trouve devant un homme arme qui lui et terrorisse et a moite blesse

-.... : NE ME TUE PAS

saryna regarde cette homme froidement

-saryna : je voie qu'ont se fait passe encore une fois pour des randonneur , tu va retourne voir ton patron et lui dire que je tuerais jusqu'au dernier de ses homme

et revoila que cette homme repart très vite et sur tout blesse ,

Masumi Sera ne trouve pas le sommeil, et ce n'est pas l'explosion lointaine qu'elle a entendu qui sera là pour l'aider à pioncer, ce qui l'oblige à aller faire un petit tour au salon afin d'essayer de se fatiguer ainsi pour dormir, le tout en faisant le moins de bruit afin de ne pas réveiller Leon qui est censé dormir sur le canapé qui s'y trouve.
Excepté que celui est bel et bien réveillé quand elle s'y rend, assis sur le sofa, avec une tasse à café à moitié vidé qui se trouve en face de lui, et en entendant son invitée venir, il tourne son attention sur elle avec un petit sourire en signe de bonjour vu que la nouvelle journée a commencé, bien qu'il fasse encore nuit noir.

Masumi : Toi aussi tu ne trouves pas le repos ?

Leon : Ouais... Je pense beaucoup à Saryna, et à quoi faire de son cas qui est quand même spécial.

Intriguée et inquiétée par l'air grave qui dégage de Leon en dépit de son sourire, la garçon manquée s'installe à ses côtés afin d'essayer de l'encourager de son mieux pour la tâche qu'il s'est incombé lui même, malgré un principal défaut pour elle.

Masumi : Je ne la connais pas vraiment, donc je ne saurais pas quoi dire à son sujet. Juste que je sais que ses pièges ont tué plusieurs innocents et que vos efforts pour laver son casier judiciaire risquent de tomber à néant.

Leon : Je sais. Avec elle, on en voit toujours des vertes et des pas mûres. Mais ce n'est pas la seule Avenger comme ça alors je devrais ne devrait pas m'épuiser autant. Pourtant, c'est le cas.

Masumi : Chris Redfield, lui a abandonné. Ce n'est pas vraiment très encourageant, désolée.

Leon : Je dois dire que je peux le comprendre. Mais pour autant je n'ai pas envie d'abandonner Saryna. On lui doit beaucoup, notamment quand elle a empêché la destruction du monde par un météore. J'ai beaucoup de bons souvenirs de cette période là avec elle, quand elle était amnésique.

Masumi : Haruhi va être jalouse si elle t'entend dire ça.

Leon : J'ai l'impression qu'elle l'est déjà un peu, et je ne serai guère surpris de la voir débarquer sans prévenir avant que Yuki ne revienne.

Masumi : J'espère que tu réussiras à régler pacifiquement ce conflit avec Saryna dans tous les cas.

Leon : Merci du soutien Masumi. Maxime a de la chance de t'avoir.

Le reste de la nuit de passe sans de souci, et Masumi repart dès l'aube, laissant derrière elle un Leon plus confiant que jamais, et qui croit aux liens qui ont été tissés entre lui et son amie Saryna.
Espérons juste que les jours qui suivent ne vont pas lui donner tort.

puis la nuit se passe et le jours pointe le bout de sont nez , tendis que saryna avais quitte les bois pour rejoindre ses amies des F.A.I qui était venu la chercher sur la route . tendis que de votre coter un crie se fit entendre

-... : AUX SECOURS A MOI QUE QUELQUE VIENNS M AIDE

cette personne avais la tête en bas suspendu par les pieds , mais un autre piège était bien cacher et pouvais tuer a tout moment cette personne

-... : A L AIDE IL Y A QUELQU4UN QUI M ENTEND

Quand les cris de la personne prise au piège retentissent jusqu'aux oreilles de Leon, qui est surpris par cette voix inconnue provenant du dehors et qui appelle au secours, au point de se lever sur le coup pour réagir tout aussi rapidement en s'approchant prudemment d'une fenêtre d'où on peut voir l'extérieur avant du chalet afin d'essayer de la localiser la source de tout vacarme.
Il s'agit du Shérif Goodwell, précédemment vu quand Saryna s'était faite arrêtée et renvoyée en prison il y a presque un an de ça, qui là ne vit pas la meilleure période de sa vie puisqu'il est la tête en bas et les deux pieds en haut, ligotés par une solide corde qui ne saura résister à une lame bien aiguisée.
Presque autant que l'humour de notre héros qui ne disparaîtra pour rien au monde.

Leon : Au moins il n'est pas en charpie façon Predator.

Bien décidé à aller sauver ce bougre, Leon sort enfin de la piaule qu'il squatte afin de faire face à la pauvre victime d'un des pièges de la survivaliste, et il a prévu de la libérer en balançant le couteau qu'il a sur lui en direction de la corde pour la trancher, en étant loin de se douter qu'un autre traquenard l'attend.

et oui la ou se trouve notre victime un autre piège qui lui avais était relier a l arbre ou se trouver notre chérif un piège bien mortelle , et se piège était bien camoufle invisble a l oeil . l autre piège pouvais couter la vie a notre chérif ,

mais d autre piège attention notre héro que tout le monde connais

-le chérif : PAUTAIN DE MERDE SORTE MOI DE LA AUX SECOURS A L AIDE

Leon reste à distance et balance son couteau vers la corde comme il avait prévu de le faire.

et voila que d'un coup le chérif fut empaler par un autre piège , se piège était faite d'une branche avec une lame de scie circulaie qui elle était attache a cette branche , tout avais était très vite

La lame de scie circulaire coupe en deux totalement le pauvre shérif dont la moitié supérieure du corps tombe au sol, la tête la première, avec les tripes à l'air, tandis celle supérieure s'écroule bien sagement sur le haut la lame, avec son lot de boyaux aussi pour bien nous dégoûter si on a l'estomac fragile.
Heureusement, celui de Leon est plutôt solide, même si il ne peut s'empêcher de réagir cette fois ci plus sérieusement à la situation qu'il est en train de vivre et qui tourne à la tragédie.

Leon : Fais chier... J'aurais dû pouvoir détecter cet autre piège.

Ses poings se serrent alors que l'amertume s'écoule de sa bouche face à ce désastre.

Leon : Saryna... Tu ne nous aides vraiment pas avec tes conneries.

Maintenant il n'a plus le choix, il va devoir faire venir la police sur les lieux pour s'occuper de ce macchabée qui était leur chef pour ceux du bureaux de shérif, ce qui l'oblige à annuler pour le moment la rencontre qu'il voulait avoir avec son amie qui déconne trop là.
Bien sûr, il demandera aux forces de l'ordre d'être prudents au cas où d'autres pièges les attendraient dans ce secteur là à fouiller.
Laissons notre bon Leon de côté quelque minutes pour aller voir du côté de Saryna pour voir ce qu'elle fait avec ses nouveaux amies de la F.A.I. qui ne sont ni chez Free, SFR, où Orange.

les F.A.I avais pris en chasse des camion remplie de se que vous avez qui aller livre des centre ou des gens venez pour avoir leur petite piqure et leur QR code ,

ses camion avais pris des route avec aucun trafique . et voila que le piège se referme sur ses camion qui eux stop , ni une ni deux des grenade fut lance dans les cabine de ses camion qui eux explose avec tout leur contenu

Albert Bourla, la principale tête pensante de plan de vaccination mondial contre le Covid 19, se ronge les ongles en regardant les informations sur la TV à écran plat dans son bureau, où les informations sur les camion détruits par les F.A.I. sont en train d'être discuter par une équipe de pseudos experts sur une chaîne d'information bidon, qui a au moins le mérite de rendre un tant soit peu hommages aux pauvres routiers qui faisaient juste leur boulot et qui sont morts par les extrémistes anti-vaccinaux sans la moindre once de pitié pour eux.
Le dirlo de Pfizer sent que l'étau se ressert autour de lui, et ses assassins ne sont pas capable de venir à bout de la cible qui doit absolument être abattue puisqu'il s'agit de la figure la plus importante de ce réseau d'ennemies, au niveau de John Connor, c'est pour dire.
Heureusement, il se rappelle d'une vidéo qu'il avait vu autrefois sur YouTube et qui pourrait lui être d'un grand conseil.


Se méfier, c'est ce qu'il doit faire, et il commence à avoir des doutes sur une personne en particulier.
Avec son index, il presse l'interphone afin de s'adresser à son secrétaire en étant tout aussi flou que la dernière fois sur les paroles qu'il va prononcer.

Albert : Ed ?

Ed : Oui monsieur ?

Albert : Faites là venir.

Ed : Vous voulez parlez de votre amie ?

Albert : Bien sûr que je parle d'elle. J'ai besoin de m'assurer qu'elle ne tente pas de me la mettre à l'envers avec ses visions, et si il y a vraiment un moyen de changer le destin comme elle veut me faire croire.

Ed : Si ce n'est pas le cas, qu'est ce que vous ferez, sans vouloir être indiscret ?

Albert : Je tâcherai de mourir avec dignité, en emportant cette saleté de Saryna avec moi dans la tombe.

Ed : Je fais venir votre amie sans perdre de temps alors.

On ne sait toujours pas de quelle amie ils peuvent bien parler, mais on dirait bien qu'elle a sacrés pouvoirs.
Retournons du côté de Saryna pour voir si la situation a évolué après l'action qu'elle a fait avec ses potes.

et voila que dans tout le pays il c'est pas la même chose , des camion ont explose par des groupe de résistant qui sont sous le nom des F.A.I , mais il y a pas quand amérique qu'il se pase la même chose il passe la même chose france .

et les amie de saryna la reconduit a mi chemin de sa forêt ou elle continu a pied en évitant les piège qu'elle avais pose

Déjà que le gouvernement français avait beaucoup souffert de groupe terroriste Padamalgam l'an dernier, là ils devaient se farcir les conséquences de l'exportation des actions des F.A.I. à l'étranger, alors que pourtant ils sont l'un des pays européens les plus cool niveau lois sur la vaccination, au point de ne pas traiter leur peuple comme des sujets de test dans un laboratoire ou comme du bétail, contrairement aux Etats Unis dans cet univers par exemple.
Il manque juste les camps pour non vaccinés aux states pour être comme les quelques pays dingues qui ont adopté ces mesures drastiques.
Arrêtons de parler de tout ça pour l'instant et retournons voir du côté du chalet réquisitionné par Saryna où il y a de l'activité vu que le bureau du shérif et la police d'état sont sur place afin de s'occuper de la scène de crime qui se trouve juste à côté, avec le cadavre du shérif lui même qui a dû être déplacé dans deux sacs mortuaires différents, tellement ils arrivaient pas à recoller les deux parties du corps ensemble.
L'intérieur de la maison est aussi fouillée de fond en comble, comme elle appartient à un membre du groupe d'anti-vax terroriste qui ravage la contrée, donc autant dire que Saryna qui est en chemin pour se rendre ici, ne risque pas de pouvoir réellement le faire, sans se faire arrêter une nouvelle fois et refinir derrière des barreaux dans une cellule qu'elle n'aurait jamais dû quitter.
Après elle pourrait tenter de tuer tout ce petit monde comme une grosse psychopathe, mais est ce vraiment une bonne idée, et la bonne chose à faire ?
Leon Kennedy quant à lui, a essayé de défendre son amie comme il le pouvait durant le questionnement, mais autant dire que les mecs qui l'ont interrogé n'étaient pas d'humeur à écouter ce qu'il avait à dire pour tenter de sauver celle qui a buté leur chef respecté d'une manière aussi barbare.
Pour notre héros au grand cœur, ce n'est jamais facile d'essayer de jouer les avocats pour l'un de ses trop nombreux amies sociopathes ou tarés d'une autre forme, et là c'est encore le cas aujourd'hui où on peut au moins dire qu'il a fait de son mieux.
Il espère quand même au fond de lui qu'il trouvera un moyen de parler à la cible de toutes les attentions.
Même si c'est probablement mort pour l'instant, bien qu'il ne se doute pas qu'elle n'est pas si éloignée que ça de sa position actuelle, et qu'il voudrait qu'elle soit loin d'ici afin qu'elle ne se fasse pas capturer.

et saryna se stoppa net a l'approche du chalet , qu'elle regarde de loin . puis la voila qu'elle décoche une flèche avec une petite bombe qui mettra le feu a se chalet

et oui notre saryna avais tout prévu elle préférais sacrifier se chalet maintenant , quand a la fleche elle c'était planter dans le drapeau . et voila notre saryna qui s'éloigne du lieu , puis la voila qu'elle fait explose les voiture de police . et elle s'approcha d'une des moto de la police qu'elle aller surement voler quand elle entendis dis pas derrière avec les bruit d'une arme

-saryna : j ai reconnu tes pas leon range cette arme

Les explosions des voitures de police s'enchaînent presque par magie jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus aucune en état de fonctionner, et cela créé beaucoup de blessés ou de morts parmi les membres des forces de l'ordre, ainsi qu'une zizanie sur place où l'on parle même d'envoyer la garde nationale pour régler cette affaire.
Un motard de la police d'état qui a eu de la chance de s'en tirer, voit alors la responsable de tout ça essayer de profiter du chaos pour se barrer tranquillou, l'air de rien, avec sa propre moto, et sans perdre de temps il s'approche d'elle pour braquer l'arrière de sa tête avec une arme à feu, ce qui ne semble pas la surprendre, au point où elle finit par sortir une phrase semblant assez incohérente.

Saryna : J'ai reconnu tes pas Leon, range cette arme.

Motard : Leon ?

D'un coup, un coup de pied bien placé sur la nuque envoie le pauvre bougre valdinguer sur plusieurs mètres, en étant complètement sonné par cette action stylée qui ne peut provenir que d'une seule personne, et vous vous aussi de qui il s'agit.
Leon Kennedy, l'air grave, qui prend conscience de la portée de ses actes, mais ait prêt à prendre des risques si c'est pour protéger une amie, comme il l'a déjà fait par le passé pour d'autres personnes, bien que pour le coup il aimerait plus de reconnaissances de cette dernière.
Ce sera peut être la dernière fois qu'ils se verront avant un moment, il le sait bien, alors il choisit très bien ses mots.

Leon : Essaye si possible de raisonner tes amies. Des innocents n'ont pas à payer de leurs vies dans ce conflit. Nous pouvons couper les têtes responsables de la dictature vaccinale sans que ça soit nécessaire. Je m'en assurerai avec les Avengers.

Anticipant une réponse égoïste et bornée de la part de Saryna, il rajoute une dernière chose.

Leon : Tu seras toujours des nôtres, quoi que t'en dises. Alors accepte le, et la prochaine fois, j'aimerais qu'on puisse se parler dans de meilleures conditions que dans un parloir ou aux portes de l'enfer.

Voilà, tout ce qu'il avait à dire pour l'instant a été dit, et il n'empêchera pas son amie de partir si elle le souhaite.