[FIC] Once Upon a December [Terminée]

Des bruits de pas de course sont audible dans l'escalier de secours de ce building qui monte quand même vachement haut, mais cela n'empêche une course poursuite à avoir lieu ici, digne d'une scène d'action de Belmondo dans l'un des nombreux films où il a tourné le bougre.
Le pourchassé, vous le reconnaîtrez surement comme étant l'ancien premier ministre de la France sous le mandat François Hollande, Manuel Valls qui essaye de fuir ceux qui veulent l'arrêter pour les exactions qu'il a commis à l'époque en faveur de Green Umbrella, la société dirigée par Natalya Vipèra, mais tenu aujourd'hui par Frederic Downing avec un côté nanardesque en moins il faut bien le souligner.
Sherry Birkin, agent de la Division of Security Operations le suit sur les talons en ayant une bonne endurance, meilleure que ceux qui la suivent alors que ce sont pas Joe le Rigolo, de ce côté là ils font un boulot remarquable eux aussi de leur coté.
Bruce McGivern est juste derrière elle, en étant plus du tout jeune et dynamique par rapport à une certaine époque qu'il aurait juré être la veille, or ce n'est pas pour cela qu'il n 'est pas capable de se surpasser tel un Leon Kennedy avec qui il lie une belle amitié.
Rebecca Chambers est la plus en retard par rapport aux autres, n'ayant plus l'habitude ce genre de chose puisque en temps normal elle se trouve à son bureau à effecteur des recherches en vue de faire avancer la Science avec un grand S, et certains vaccins contre les virus au marché noir ont été obtenu par son aide.
Arrivés au palier suivant, le méchant qui est chassé par les gentils se mange une porte en pleine gueule, qui le fait tomber par terre sous le choc que ça lui a fait, et il ne met pas beaucoup de temps à remarquer qui c'est qui a ouvert la dite porte, à savoir Jake Muller/Wesker, qui fait un sourire viril au vilain gugus avant de le plaquer au sol avec une force redoutable et qui sait se montrer à sa hauteur lors de séquences de combat.

Jake : Alors, on pensait pouvoir s'envoler, monsieur je change tout le temps de camp.

Manuel : Je ne suis pas un homme du présent, mais un homme de l'instant.

Jake :

Manuel : Lâchez moi !

Fier de sa prise, e mercenaire cynique continue à tenir bien comme il faut la poiscaille alors que devant lui, apparaissent les visages des poursuivants qui sont heureux de sa participation à ce plan qui a été murement réfléchi en amont, chose que nous n'avons pas vue car je souhaitais vous en faire la surprise.
Maintenant qu'ils sont rénuis, ils peuvent parler en eux, tout en reprenant leur respiration pour ceux qui ont couru.

Sherry : Bien joué sur coup là, j'ai bien fait de te faire venir.

Jake : Cela me plaît bien de mettre la main sur des politicards de seconde zone.

Manuel : Je suis un ancien premier ministre français, vous ne pouvez pas me faire ça !

Jake : Parler dans le vide, c'est une spécialité des types comme lui.

Bruce : Beaucoup de belles phrases mais pas beaucoup d'action.

Sherry : C'est pourquoi que j'aime pas la politique.

Rebecca : J'espère qu'on arrivera à lui faire délier sa langue pour enfin avoir Frederic Downing.

Sherry : Green Umbrella sera en position de faiblesse, j'espère.

Manuel : Je ne dirai rien, sauf si vous avez un poste à me pourvoir.

Jake : Il n'aura pas fallu longtemps pour qu'il les trahisse, mais c'est bien pour nous.

Soudainement, un coup de fils provenant de la poche avant de sa tenue de combat de la virologue l'envoie dans une autre réalité, surtout quand elle voit le nom de son mari Billy Coen dessus, avec qui elle vit une belle vie, bien qu'il leur arrive de se disputer comme dans n'importe quel couple.
Heureuse comme elle est, elle fait abstraction de ses alliés et de son ennemi, en y répondant avec toute cette joie.

Rebecca : Salut Billy chéri, que fais tu de beau ?

Billy : Je suis en train de mater une version alternative de Scream 2 où Randy survit et où Hallie meurt chez elle, tué après que la flic qui l'a surveillait se soit endormi en mangeant un burger.

Rebecca : C'est une version assez bizarre, on dirait presque un rêve absurde.

Billy : Et toi, tu es en mission ?

Rebecca : Oui, j'épaule la DSO en tant que représentante du BSAA.

Billy : C'est ça.

Rebecca : J'ai grimpé un très long escalier, et c'était éprouvant.

Billy : Comme dans Final Fantasy Sept.

Rebecca : C'est plus sympa quand c'est dans un jeu plutôt que dans la vraie vie.

Billy : Au fait, Barry a appelé, il passe demain à la maison car il a une bonne nouvelle à nous dire concernant son restaurant, mais il passe sans le reste de sa famille car Kathy est aux soins de Polly qui est malade.

Rebecca : J'ai hâte de voir ce que ça va être.

Billy : Il faudra que je nettoie un peu le salon car il y a un peu de poussière dans certains recoins

Rebecca : Profite bien de ta vie en tant qu'homme au foyer alors.

Billy : Et toi bon courage pour ton job d'agent spéciale américaine.

Rebecca : Bisou, à plus.

Billy : À plus.

Les époux se font des petits bisous au travers de la ligne, sans vraiment se toucher, ce qui est assez romantique de leur part, et les autres personnes présentes dans ce dédale d'escaliers plus long que mon colon, assez pour leur faire engager la conversation, tout en continuant à maintenir l'autre bandit fermement au sol.
On pourrait espérer qu'ils lui fassent une George Floyd, mais cet enfoiré n'aura pas ce qu'il mériterait d'avoir.

Sherry : Tu as un programme chargée, on dirait.

Rebecca : Oui, j'ai quelqu'un dont il faut que je prenne le plus grand soin.

Bruce : Quel petit chanceux.

Jake : J'en connais un qui sera heureux au lit ce soir.

Rebecca : Reste à voir si je suis pas assez crevée pour pouvoir le faire.

Sherry : On s'occupe du reste, tu peux rentrer quand tu veux.

Bruce : Tu pourras faire un rapport chez toi si il le faut.

Sherry : On fêtera cette victoire contre Green Umbrella une autre fois.

Rebecca : J'aimerai Billy avec moi pour l'occasion, ce sera cool.

Sherry : Ouais, hé hé !

Des rires sincères émanent des différents personnages qui composent cette scène, sauf de celui qui est en train de morfler cher, plus que lors de son combat face à Dieudonné, mais même lui doit être en train de se marrer aussi loin qu'il peut être de l'ancien flicard à la noix qui avait tenté d'annuler ses spectacles.
Sans qu'ils ne le sachent, ils ont donné un coup de pied à la fourmilière, ce qui risque d'en énerver certains...

Dans cette maison de banlieue assez soft, vit un couple qui n'a pas peur d'être entouré par la misère humaine au quotidien, car ils savent qu'ils peuvent apporter leur aide ici à qui qui se montrerait assez américain pour la mériter, pas comme tous ces étrangers qui veulent piétiner leur beau pays, avec pléthore de traitres derrière eux.
Billy Coen est un vétéran qui est heureux d'avoir pu retrouver une place dans cette société qui l'a rejeté après cette fichue mission en Afrique où le sang de beaucoup d'innocents a été mis sur ses mains alors qu'il n'avait rien avoir avec l'affaire, et il avait même tenter d'empêcher le massacre.
Rebecca Chambers est contente d'avoir pu former un couple avec lui, après s'être perdu de vue pendant de longues années, et ensemble ils font leur train train quotidien, en faisant le ménage quotidien pour le mari dévoué et allant au taf pour la virologiste qui n'est plus si jeune que ça à présent.
Là, ensemble, ils profitent d'un moment d'intimité après le repas du soir, pour mater, assis sur le canapé du salon, les dernières informations du moment sur Fox News Channel, où est en train de passer le dernier discours de Donald Trump qui vante les mérites du gouvernement d'Albert Wesker et du précédent de Sakana Orenji.

Rebecca : On a de la chance d'avoir le gouvernement qu'on a, même si la presse du côté démocrate nous traite de racistes.

Billy : Les racistes, c'est plus eux, vu comment ils aiment les migrants et les traitent comme si ils étaient à leur ordre comme de petits chiens chiens qu'on emmène avec soi.

Rebecca : C'est exactement ça.

Billy : Quand tu penses que depuis le premier gouvernement de Wesker, on n'a pas déclenché la moindre guerre.

Rebecca : Hormis celle sur Hydra.

Billy : C'est l'exception qui confirme la règle. Ils ont tenté de faire un coup d'état à l'ampleur mondial ces fous.

Rebecca : Si Leon était là, il tenterait de prendre la défense d'Hydra, avec Ophelia Sarkissian.

Billy : En effet, ce serait bien le cas.

Rebecca : C'est beau la diversité des opinions.

Billy : D'ailleurs, il y a quelque chose que je voulais te dire.

Rebecca : Quoi ?

Billy :

Rebecca : Ne me fais pas rire comme ça, t'as pas le droit, ah ah !

Billy : Il faut bien abriter le bestios.

Rebecca : Tu parles de lui comme si il était énorme, mais on connait la vérité, toi et moi.

Billy : Au fait, il parait que Naru, le héros de la Guerre de 2020, a quitté la Guilde des Grosses Merdes.

Rebecca : La Guilde des Grosses Merdes ? C'est pas le groupe Discord qu'a formé suite à cette guerre, les Avengers ?

Billy : Oui c'est bien ça, et on dirait qu'il y a eu une embrouille ou je ne sais pas quoi, mais je sais que c'était assez sérieux pour faire la une des journaux aujourd'hui.

Rebecca : Faut espérer que ça ne se fâche pas trop, au point de coûter la vie à cette planère.

Billy : Attends, regarde, je crois qu'ils parlent de ce dont tu as participé tout à l'heure au boulot.

Il monte le son de la tv avec l'aide de la télécommande, tandis qu'un présentateur parle à son correspondant se trouvant à Moscou, d'où on peut reconnaître le Mausolée de Lénine de la Place Rouge où certains passants observent d'un air amusé la caméra qui se trouve là, bien que la journée n'est guère envieuse comme on va le voir.
Le reporter a un visage grave qui laisse transparaître les émotions qui vont suivre ses propres propos.

Reporter : C'est un peu plus tôt sur la place rouge où nous nous tenons qu'à eu lieu un meurtre de sang froid il y a à peine une heure de ça, quand le criminel notoire, Manuel Valls, a été victime d'une attaque à l'arme blanche par un homme non identifié qui est mort après son coup en avalant une capsule de cyanure.
Les autorités russes ont capturé plus tôt dans la journée à Saint Petersburg Valls alors qu'il tentait de les fuir, tout ça avec l'assistance du BSAA et du gouvernement américain, puis cet homme politique véreux devait être jugé à Moscou pour ses crimes, notamment sa collaboration avec Green Umbrella, mais rien ne s'est passé comme prévu.
La présidente russe, Ksenia Sobtchak, a déclaré que c'était Green Umbrella qui était derrière ce meurtre.
Néanmoins, son confrère américain, Albert Wesker, a préféré ne pas faire de déductions trop hâtives.

Rebecca est sous le choc de cette nouvelle, elle qui pensait qu'ils avaient marqué un coup décisif pour la lutte contre l'autre groupe bioterroriste dont le nom a été cité plusieurs fois, et elle se rend compte que ces derniers ont réussi à mettre le roi en échec, ce qui est vraiment troublant pour eux.
Billy veut essayer de la rassurer sur tout ça, mais il peine à trouver ses mots car la situation n'est pas folichonne.

Billy : Ne t'en fais pas, ils ne s'en sortiront pas comme ça.

Rebecca : Ils auraient dû mieux le protéger pour éviter que Green Umbrella puisse faire ça.

Billy : Je me demande si ils s'arrêteront là ou si ils ont prévu des représailles.

Rebecca : On les attend de pied ferme si tel est le cas.

Billy : Tu as entendu ça ?

Rebecca : Entendu quoi ?

Tout à coup, les fenêtres du salon se brisent une par une, alors que des commandos surarmés pénètrent par ces entrées dans la maison du couple très heureux jusqu'à présent, pour leur pourrir la soirée, alors qu'ils ne s'attendaient pas à ce que les représailles du groupe bioterroriste prennent cette forme.
Billy tente de se battre en prenant un couteau de cuisine qui était posé sur la table basse, mais le lone qu'il essaye de poignarder, sauf qu'il parvient à contrer l'attaque en déboitant le bras du mari assez rouillé qui pousse un petit cri de douleur avant d'être forcé à être mis face contre terre.
Rebecca veut aussi se défendre du mieux qu'elle peut, mais elle est bien vite maîtrisée par deux soldats aux visages couverts par un casque intégral, et même en essayant de se débattre, rien n'y fait, elle ne parvient pas à retrouver l'usage de ses membre, et autant dire que ce sont les méchants qui ont gagné sur le ce coup là.
Le chef de cette troupe d'assaut est caractérisé par le fait qu'il est le seul à avoir le visage à découvert, et ce type se nomme Ivan/Vania Fullkevitch, un nom et une tête qui ne sont pas inconnus pour la virologue maîtrisée sur le plancher en bois qui entend cette voix familière s'adresser à elle avec un certain respect.

Vania : Rebecca, cela fait longtemps.

Rebecca : Toi... Vania ?

Vania : Allez y doucement avec elle.

Rebecca : Attends ! Je...

Un des gugusses présents s'approche d'elle pour le couvrir le visage avec un papier imbibé de chloroforme pour le forcer à s'endormir, chose qu'ils font aussi pour son compagnon, car encore une fois nous allons avoir un kidnapping comme ça a pu être le cas à quelques reprises cette année là.
De quoi fêter Noël avec majoritairement des inconnus car c'est ça l'esprit des fêtes de fin d'année, il faut le dire.

La soirée de Noël a été dure pour Rebecca Chambers qui subit un scénario rappelant le calvaire qu'avait vécu à la même période de l'année Claire Redfield quand elle avait été transporté du QG d'Umbrella à Paris jusqu'à leur île prison Rockfort Island où un scénario de film d'horreur avait eu lieu, avec plein de zombies et autres ABO partout.
Sauf que cette fois ci, c'est face au froid sibérien qu'elle va devoir faire face, ligotée comme un saucisson à même le sol dans une cellule délabrée qui nous font penser que Green Umbrella ne prend pas beaucoup soin de ses installations, surtout qu'il n'y a même pas le chauffage pour aider à tenir le coup.
Billy Coen est nul part pour être vu, et cela inquiète grandement sa femme qui prie le seigneur au plus profond d'elle pour qu'ils ne lui aient pas fait de mal jusqu'à présent, et qu'ils ne lui en feront pas plus tard, car on peut souligner que la madame est croyante, et sa foi est inébranlable, peu importe les souffrances qu'ils lui feront.
Ivan/Vania Fullkevitch, son ami d'enfance enfin retrouvé, se tient debout de l'autre côté de la grille en fer qui les sépare l'un de l'autre, et est pour l'instant le seul des personnages présents dans ce complexe bioterroriste à être cool avec elle, même si ce n'est pas pour ça qu'elle ait envie de causer avec lui comme si de rien n'était.

Vania : Tu veux enfin me parler ?

Rebecca : Pour dire quoi ?

Vania : Que c'est agréable de te revoir après toutes ces années.

Rebecca : Le sentiment n'est pas réciproque.

Vania : Je me doutais bien que ces retrouvailles seraient un peu gâchés par les circonstances.

Rebecca : Je ne peux pas croire que tu ais mal tourné à ce point.

Vania : Écoute, si tu avais été là quand je me suis remis en question il y a bien des années, il en aurait été autrement, mais on s'était déjà séparés à cette époque après le collège.

Rebecca : Il est vrai que j'ai mal agis de t'abandonner sans dire un mot, mais ça n'excuse pas tout.

Vania : Tu as ensuite rencontré Brad Vickers et rejoint plus tard les STARS grâce à lui après la fin de tes études. C'est là que tu t'en ais pris à Umbrella et tu as aussi rencontré ton mari d'aujourd'hui, Billy Coen. Je me suis assez bien renseigné sur la carrière que tu as eu entre temps. Je ne t'en veux nullement pour les actions que tu as commis envers durant toutes ces années.

Rebecca : Toi, tu as mal viré de bord, Vania. J'aurais aimé te revoir sous de meilleurs circonstances.

Vania : Il en va de même pour moi.

Rebecca : Alors, comment as tu fini par bosser pour ces ordures de Green Umbrella.

Vania : Ma maitresse Natalya Vipèra m'a recueilli quand j'étais au plus mal au lycée, et m'a offert le commandement d'une partie de ses troupes.

Rebecca : Natalya Vipèra était une grosse tarée, imbue d'elle même.

Vania : Elle était plus que ce que vous croyez, et a toujours été gentille avec moi, autant qu'avec ses serpents.

Rebecca : J'ai dû mal à te croire.

Vania : J'en veux beaucoup à Ophelia Sarkissian et Lucy Dodgera de l'avoir envoyé prison et conduit à sa mort.

Rebecca : Moi, je les ai félicité pour cela.

Vania : Bien que je ne sois pas d'accord avec toi, je retrouve des sentiments qui m'avaient manqué à ton sujet.

Rebecca : Ce n'est pas réciproque.

Vania : Tant pis.

Rebecca : Et qu'est ce que vous avez prévu de me faire, et de faire à Billy ?

Vania : Toi, je me suis arrangé pour que tu sois redonné à tes copains du gouvernement américain contre une grande rançon qui nous permettra de mieux financer nos recherches.

Rebecca : Je suppose que ce n'est pas la même chose pour mon mari.

Vania : Je n'ai rien pu faire pour lui. Il servira de cobaye à nos expérimentations, désolé.

Rebecca : Tu peux bien être désolé. Billy...

Vania : Honnêtement, je n'aime pas Frederic Downing, qui est un vieillard dépassé par l'époque dans laquelle il vit.

Rebecca : Je suis enfin d'accord avec quelque chose qui sort de ta bouche.

Vania : Bien, mais je vais devoir te laisser un peu seule, mais je reviens vite te retrouver.

Rebecca : Tu peux prendre tout ton temps.

L'homme d'origine russe s'en va alors, laissant sa prisonnière avec elle même pour les heures qui vont suivre car il a des choses plus importantes à faire que de la surveiller, même si il voudrait le faire plus longuement, mais nous allons quitter ces deux personnages où ils sont pour replonger dans leur passé commun.
Sauf que ça sera pour une prochaine fois, et en attendant, portez vous bien et restez en alerte.

Ivan/Vania Fullkevitch avait seulement douze ans à cette période là de sa vie, au 7th Grade du cursus scolaire, et là nous le retrouvons sur le banc de touche dans un gymnase où ses camarades s'amusent à faire du basketball sans lui, car c'est un boulet que personne ne veut.
En même temps, il n'a jamais su dribler et à chaque fois qu'il envoie la balle sur le panier, il foire son coup, donc résultat aucun de des autres membres de sa classe ne veut jouer avec lui, et cela vaut aussi pour leur professeur d'EPS qui est un gros bâtard si l'on pouvait utiliser ce terme un peu offensant.
Rebecca Chambers est déjà là, ayant seulement dix ans par rapport à aux autres gens dans sa classe, et elle réussit parfaitement à jouer à ce jeu qu'elle adore, et notre élève d'origine russe l'observe avec admiration en essayant de ne pas se faire remarquer, ce qui est très dur puisqu'il n'est pas vraiment discret.
Il ne faut pas longtemps pour la surdouée remarque que le petit bougre la contemple en train de s'amuser, et comme il manque quelqu'un à son équipe, elle décide sans tenir des avis des autres individus dans son groupe à aller voir le pauvre garçon exclu par les autres afin de lui laisser une chance de s'épanouir en lui tendant la main, sous son étonnement, lui qui pensait que personne ne voudrait de lui.

Rebecca : Tu veux jouer avec moi ?

Vania : Eu... Oui.

Il attrape sa main et se met debout, alors qu'une mélodie extradiégétique atteint ses oreilles sans qu'on sache comment exactement, mais c'est ce qui lui donne envie de danser un air anglophone, en prenant la parole.
De belles paroles sortent de sa bouche alors qu'il se trémousse face à celle pour qui il voue de forts sentiments depuis le début de l'année scolaire, et dont il n'a pu se confesser jusqu'à présent, et peut être qu'aujourd'hui ce sera le moment tant voulu.

Vania : Des ours dansant, des ailes peintes !
Ces choses dont je me rappelles presque !
Et une chanson, quelques chants !
Il était une fois un décembre !

Il tourne sur lui même dans une danse qu'il semble maîtriser chaque partie, bien plus que le basket en lui même.

Vania : Quelqu'un me tiens !
Me garde sauf et au chaud !
Des cheveux caracolent à travers !
Une tempête argentée !
Des images dansent gracieusement !
Autour de ma mémoire !

Sa voix atteint les oreilles de l'élue de son cœur qui virevolte avec grâce devant ces chants magiques.

Vania : Très loin, il y a longtemps !
Sombre et rougeoyant comme la braise !
Ces choses dans mon cœur !
Que je connaissais !
Il était une fois un décembre !

Tous les élèves tournicotent autour de d'eux deux dans un enchainement presque irréel qui l'est probablement.

Vania : Quelqu'un me tiens !
Me garde sauf et au chaud !
Des cheveux caracolent à travers !
Une tempête argentée !
Des images dansent gracieusement !
Autour de ma mémoire !

Cette fois ci c'est au duo de principal de se mettre à danser dans une certaine virtuosité, qu'on ne veut pas clore.

Vania : Très loin, il y a longtemps !
Sombre et rougeoyant comme la braise !
Ces choses dans mon cœur !
Que je connaissais !
Il était une fois un décembre !

Les deux amoureux joignent leurs mains, puis s'embrassent fougueusement devant le public qui l'applaudit.
C'est à ce moment là que Vania revient dans le réel où il y a Rebecca qui le regarde avec un air amusée, contrairement à ses camarades qui sont plutôt saouler de se taper ce fardeau, et il ne faut pas longtemps pour que la cadette ne pose une question à son ainée qui va encore plus le troubler.

Rebecca : Tu as quelque chose à me dire ?

Bafouillant presque devant cette beauté qui lui fait face, le jeune garçon peine à trouver les mots justes à lui sortir, et on ne peut que l'encourager à se déclarer car c'est ce qu'il veut faire, même si il craint le refus de la personne convoité comme c'est la première fois qu'ils se parlent depuis qu'ils sont en classe ensemble.
L'air joueuse qu'a la célibataire n'est pas là pour aider son admirateur à se confesser, mais il parvient à le faire.

Vania : Veux tu sortir avec moi ?

Quelques clignements d'yeux se font du côté de la génie ne culotte courte, qui se marre un peu face à la timidité de son confesseur, et ça semble presque être un râteau complet qu'il se prend dans la figure, et on peut déjà lui dire de trouver un autre coup à choper, sans se faire d'illusions.
Sauf qu'en vérité, une chance s'offre à lui, puisque la réponse qu'il va recevoir va agréablement l'étonner.

Rebecca : Si tu gagnes cette partie, pourquoi pas.

Sur ce coup là, il va devoir se surpasser si il veut espérer emporter la fille avec cette victoire, et donc il va se surpasser et atomiser l'équipe adverse, se montrant plus utile que ce que sa propre équipe l'aurait cru, et remporter ainsi le cœur de la demoiselle, sans qu'il n'y ait le bisou pour l'instant car il ne faut pas bruler les étapes.
On verra bien la prochaine fois de quoi il va en retourner de ce couple assez surprenant qu'on découvre.

Vers la fin de soirée, à l'heure où les petits sont censés déjà être rentrés chez eux, deux gosses mal élevés ont décidé de rester traîner dehors jusqu'à tard en s'en foutant de ce que les gens pourraient en penser, car après tout c'est Noël et cette fête est juste magique, autant pour eux que pour n'importe quel autre couple, tel Erza Josse et Holt Valentine qui vivront leur idylle à eux plusieurs années plus tard en Bourgogne en France.
Ivan/Vania Fullkevitch utilise une des deux balançoires côte à côté, pour s'asseoir et avoir un siège qui avait de quoi l'occuper, et comme ça il pourrait parler à sa nouvelle et première petite amie qu'il n'ait jamais eu, donc on peut dire chapeau à ce champion qui en a trouvé une qui est mignonne qui plus est.
Rebecca Chambers, présente sur l'autre siège, joue un peu de la balançoire en allant de l'avant vers l'arrière, et vice et versa, en s'amusant comme une folle tenté d'un ange auquel on n'oserait point toucher la grâce afin de ne pas salir cette pure beauté, car hormis les pédophiles, personne n'osera les souiller.
Avec leurs pieds, ils tracent des trainés dans la neige qui recouvre le parterre artificiel et c'est beau de voir autant de poudre blanche car de nos jours c'est devenu rare d'en avoir, ce qui est bien dommage quand nous y pensons.

Vania : Quand nos parents seront là, ils vont nous punir très fort !

Rebecca : Si ils nous trouvent !

Vania : On se cachera dans la neige pour ne pas nous faire prendre !

Rebecca : Ah ah ah, tu as raison !

Vania : Tu veux faire une bataille de boules de neige ?

Rebecca : Est ce que t'y es aussi fort qu'au basket ?

Vania : Je ne sais pas.

Rebecca : Qui n'aura pas essayé, ne saura pas si il est bon.

Vania : Essayons alors !

Rebecca : Allons y !

D'un bond de léopard, le jeune garçon se précipite sur un tas de neige à proximité afin de prendre un morceau du gâteau, ayant de quoi préparer une belle boule de neige bien ronde comme il faut, puis il se centre vers sa compagne de jeu pour la lui balancer, ce qu'elle esquive aisément avant d'à son tour en faire une rien que pour elle.
Avec celle ci, la cadette des deux réussit à le toucher en plein dans le mille, ce qui le fait rire, et la bataille continue entre les deux camps qui opposent une farouche résistance où un coup sur l'autre l'un des deux parties parvient à toucher l'autre partie en marquant bon nombre de points.
Cette guerre intrigue au plus haut point les oiseaux et autres chauve souris qui trainent dans les arbres autour d'eux car ils aimeraient bien savoir qui ressortira vainqueur de ce duel qui n'est pas gagné d'avance, il faut le reconnaître, mais vers la fin, quelques minutes plus tard, quelqu'un finit par la remporter.
La métissée asiatique se lève victorieuse tout en riant, alors que son compagnon rampe à ses genoux pour l'attraper et la faire tomber la tête la première sur de la poudreuse, ce qui n'énerve pas du tout la principale concernée, car au contraire ça la fait plus rire, joint à ce rire par l'autre gars.

Vania : Je t'ai eu sa la fin là, hé hé !

Rebecca : Tu as a triché, ah ah !

Vania : Même pas vrai !

Rebecca : Ma vengeance sera terrible !

Vania : Que compte tu faire ?

Rebecca : Ça !

Telle une ninja qui ne court pas avec les bras en arrière, notre pro de la bataille hivernale, chope un peu de neige avec sa main droite puis frotte le tout au visage de son amoureux afin de lui faire goûter la défaite à plein le nez, et on peut dire qu'il ne l'oubliera jamais, puis se vengera peut être un jour.
Tout ce qu'on peut dire, c'est qu'il recrache ses tripes pour ne plus avoir ce sale goût dans la bouche.

Vania : La neige a un goût de pisse, c'est dégueu !

Rebecca : Je t'avais dit que ma vengeance serait terrible.

Vania : Tu es plus forte que moi à ces jeux là.

Rebecca : Pas mal pour quelqu'un qui a deux ans de moins que toi.

En réponse à cette remarque quelque peu arrogante, le collégien prend la collégienne dans ses bras pour fiare une accolade qui réchauffe leur corps en un tour, avant de s'embrasser d'une manière enfantine qui est trop mignonne à voir si on est attiré par les trucs mignons.
Dommage que dans la présent, cette relation se soit entaché, mais bon, on verra si ils arriveront à s'entendre.

Dans sa cellule au sol plus que froid, limite glacial, notre Rebecca Chambers traîne toujours par terre, ligotée comme un cochon qu'on serait près à rôtir, bien qu'elle n'aurait sûrement pas bon goût, à moins de tomber sur des cannibales qui ne font pas leur fine bouche.
Après s'être ressassé ces tendres souvenirs qu'elle a eu en commun avec son geôlier, elle regrette un peu de l'avoir envoyer chier juste avant, même si elle avait toute les raisons du monde de réagir comme elle a réagi puisqu'on s'en est pris à elle et son mari qu'elle aime plus que tout au monde.
Peut être presque tout car voilà que Ivan/Vania Fullkevitch, l'élément perturbateur, refait son apparition, tout seul, dans cette prison d'une taille assez dérisoire où on peut se dire que Green Umbrella ne pourra pas y mettre tous les pauvres gens qui vont tomber sous les griffes assêrés.
Le russe qui est dans son pays natal, ouvre alors la porte de la cellule afin de se rapprocher un peu plus de son ex petite amie dont il voue encore de profonds sentiments, comme on peut ne déduire de ce regard fuyant qu'il a en étant auprès d'elle ,refaisant sortir sa timidité d'antan.

Rebecca : J'ai beaucoup réfléchi si je devais t'en vouloir autant que avant.

Vania : Et donc ?

Rebecca : Je pense qu'il y a moyen de te reguider sur la bonne voie.

Vania : Tu veux donc enfin me reparler, c'est bien.

Rebecca : Tu sais, je ne regrette pas notre relation passée.

Vania : Moi non plus, même si j'aurais voulu qu'elle continue.

Rebecca : J'ai merdé en coupant tout contact avec toi une fois au lycée.

Vania : Tu le reconnais enfin.

Rebecca : Cela n'excuse pas tes mauvais choix, mais j'ai mon lot de torts dans l'histoire.

Vania : Tu sais, hormis toi, il y a un truc qui me manque.

Rebecca : Quoi ?

Vania : La passion que Natalya avait en voulant changer le monde.

Rebecca : Je ne suis pas la seule dans ce cas là, mais je n'avais pas sa vision des choses, loin de là.

Vania : J'aurais aimé que vous soyez sur la même longueur d'onde.

Rebecca : Tu peux toujours en rêver si tu veux.

Vania : Je n'aime pas la tournure qu'a pris les choses avec l'arrivé de l'autre bureaucrate à notre tête.

Rebecca : Pourquoi tu ne quittes pas ton job alors ?

Vania : J'ai longtemps hésité, mais je ne voyais aucun avenir, et je ne voulais pas abandonner mes hommes.

Rebecca : C'est bien que tu tiens à ceux qui bossent pour toi.

Vania : Sauf que te revoir aujourd'hui m'a fait trancher sur la question.

Rebecca : Tu veux dire que... ?

Vania : J'ai envoyé les données de localisation de notre base à tes amies Barry Burton et Sherry Birkin.

Rebecca : Merci...

Vania : Attends, ne bouge pas, je vais te détacher.

Avec l'aide de son canif, il tranche les liens qui obstruent les mouvements de la prisonnière plus si jeune que ça, mais qui sait toujours bien se débrouiller malgré ça, avant de lui tendre la main pour qu'elle puisse se relever sans souci, l'aidant au passage à enlever les morceaux de roches qu'elle a sur ses vêtements.
Désormais libre, le virologue se tourne vers son ami d'enfance pour qu'il la guide à travers ce calvaire.

Vania : Il nous reste à sauver ton Billy.

Rebecca : Où est il ?

Vania : Dans le labo, je vais te donner mon arme et nous y allons.

Rebecca : Je regrette d'avoir été si dur avec toi tout à l'heure.

Vania : Tu avais tes raisons que je respecte.

Rebecca : Allons y.

Sans se mettre sur son trajet, elle suit celui qui connait cette prison comme sa poche, dans le but de sauver son époux qui risque d'être changé en une monstruosité mutante issu d'un virus quelconque dont les effets sont ravageurs, car elle tient à sa santé à lui.
Nul doute que des renforts vont intervenir pour les aider à triompher, et l'apothéose risque d'être bien à voir.

Au sein du repaire de Green Umbrella, une évasion a lieu sans que le personnel de l'endroit n'en soit au courant, et ce malgré les nombreuses caméras de sécurité dispersées par ci, par là, qui devrait empêcher que cela soit possible ou ça devrait au moins empêcher quelqu'un d'y penser.
Ivan/Vania Fullkevitch mène ce coup là qui risque de lui valoir de gros problèmes quand ça se découvrira, mais il s'en fout, il fait ça pour la femme qu'il a aimé, et qu'il aime encore un peu de nos jours, même si le sentiment n'est pas exactement le même qu'autrefois à cause des réactions chimiques que son corps a en sa présence.
Rebecca Chambers le suit de très près, ayant l'espoir d'atteindre son très cher Billy Coen avant que le pire soit fait à son égard, car il ne voudrait surtout pas se retrouver à vivre un scénario similaire à celui de Claire Redfield quand elle a fait face à un Steve Burnside quand ce dernier s'est changé en monstre après s'être fait injecté contre son gré le virus T-Veronica.
Tout à coups, sur leur chemin se dresse des sbires qui respectent un minimum leur chef ici présent, bien que certain, y compris ceux là, sont du bord du grand patron suprême, et il sait qu'avec ceux là, pas moyen de négocier.
Frederic Downing fait alors son apparition de derrière nos deux vaillants héros en applaudissant cette occasion ratée pour eux de sauver le mari de la métissée, mais il a décidé de jouer les innocents avec eux, mimant la surprise de cette découverte, comme si il avait anticipé le truc à l'avance pour mieux les cerner.
Pour le coup, le conversation qui va suivre ne va pas y aller par quatre chemins pour comprendre leur motivations.

Frederic : Fullkevitch, que fais tu avec notre prisonnière ?

Vania : Il se trouve que je vais l'aider à sortir d'ici, et ainsi vous trahir pour respecter la mémoire de ma défunte maîtresse.

Frederic : Dommage, je m'attendais à mieux de la part du meilleur pion que j'ai pu récolter sur le cadavre de Madame Vipèra.

Vania : Ordure ! Je vous interdit de parler d'elle sur ce ton méprisant !

Rebecca : Laisse. Il veut nous provoquer pour mieux nous avoir par la ruse.

Frederic : En voilà une qui est douée intellectuellement parlant.

Rebecca : Tu ne seras pas le premier dirigeant d'Umbrella que je tuerai. James Marcus est passé avant.

Frederic : Si votre but est de m'effrayer, alors autant vous dire que c'est raté.

Vania : Je vais te faire fermer ton clapet !

Frederic : Mais oui, mais oui... Éliminez les.

D'un coup, avant que personne n'ait pu agir, une explosion retentit pas si loin que ça de l'endroit où ils se trouvent, provoquant un tremblement de terre qui désarçonne quelque peu les hommes du salopard en chef dont on peut voir alors une forme de peur s'exprimer sur son visage.
Pour preuve de ça, il s'empresse de dégainer un Walther P5 Compact qu'il avait de rangé sur lui, puis il braque son arme sur l'ancienne membre des S.T.A.R.S. afin de la faire crever avec lui si il doit y passer, et le voilà qu'il tire un coup en sa direction.
La balle part toucher un corps, sauf qu'il s'agit de celui du russe aux cotés de la principale cible, qui crache alors du sang sur le sol, sans avoir le moyen de se relever, ce qui fait réagir sa bien aimée qui a déjà la crainte de perdre un être cher, mais ne voudrait pas en perdre un autre.
Inquiète pour celui qu'elle envoyait copieusement chier il y a encore quelques heures de cela, elle s'exprime à lui.

Rebecca : Non, ne ferme pas les yeux, surtout pas !

Vania : Qui voudrait les fermer quand on a une telle beauté face à soi.

Rebecca : Et tu trouves encore le moment pour rire... Idiot...

Vania : Je suis heureux d'avoir pu t'aider, et racheter mes fautes.

Rebecca : Ne dis pas ça... Je vais stopper l'hémorragie de ta blessure, en espérant que ça n'ait pas touché un organe vital.

Vania : Cela me rappelle cette nuit là, de Noël, quand on s'est amusé comme des petits fous, et que nos parents nous avaient cherché en nous sermonnant parce qu'on était resté tard dehors.

Rebecca : Le plus beau des Noël.

Vania : Je ne veux pas mourir, pas ici et maintenant.

Rebecca : Enfin un peu de bon sens !

Vania : Élimine ce connard pour moi.

Alors que le type semble rendre l'âme, une nouvelle explosion a lieu à quelques mètres de là, touchant plusieurs des subordonnées armées jusqu'aux dents qui veulent bien tenté une contre offensive, mais en regardant dehors, ils se rendent compte que leur ennemi est de taille puisqu'il s'agit du Whiteturtle des Avengers, leur vaisseau volant.


Ophelia Sarkissian est présente à l'arrière de cet aéronef avec la soute ouverte, en train de faire tournoyer à la Final Fantasy sa gunblade comme si elle était victorieuse d'un combat où elle a dû monter d'un niveau au niveau de l'XP qu'elle a ramassé sur ce coup là.
Lucy Dodgera est à ses côtés, en ressortant sa grosse Bertha qui ne s'appelle pas Bertha, et qui est une tronçonneuse, la plus vieille des trois qu'elle possède, et pour le coup aujourd'hui elle a préféré ne se trimballer que celle ci qui est censée être à deux mains de base, ce qui témoigne de la force de sa possesseur.
Les deux tueuses nées sont prêtes à se fritter avec les méchants du jour, et ça tombe bien, ça faisait longtemps qu'elles ne s'étaient pas faites des morpions d'Umbrella, et autant dire qu'elles nous prévoient du lourd, en évitant les tirs adverses avec brio tout en causant entre elle.

Ophelia : Je vais me faire le moustachu des années 70 !

Lucy : Moi je vais me faire leur chef pour mieux les voir plier bagages après son trépas !

Ensemble, le nouveau couple qui se montre à jour dans cette fiction, sauta hors de leur appareil afin d'atterrir devant les brutasses ennemies qui avaient de quoi leur faire ravaler leurs salives avec l'aide de leur armes automatiques, mais ce serait sous estimer leur puissante forte qu'elles savent déchaîner sur ceux qui les gênent.
Autant dire qu'il n'y avait aucun moyen de négocier avec elles, alors que c'est ce que veut croire le grand vilain.

Frederic : Vous pensez avoir gagné, mais je suis déjà sorti de taule une fois, et je peux bien le recommencer si vous m'y jeté une nouvelle fois.

Lucy :

Muni de sa tronçonneuse chérie à deux mains, la blondinette qui n'aime pas qu'on sa vante de la sorte devant elle, décide de déchiqueter les parties intimes du monsieur avec avant de monter afin de traverser le torse puis la tête, coupant en deux moitiés son corps, et cassant ses lunettes au passage.
Suite à cette immense acte de barbarie, et les morts de certains d'entre eux, les trouillards prirent la fuite.
Derrière eux, ils laissent les deux bonnes femmes fêter leur coup réussit en se tapant dans la main avant de s'embrasser devant le court public qu'elles avaient là, avant de s'attarder à ceux ci qu'elles sont venues secourir comme il était spécifié dans l'appel téléphonique qu'elles ont eu plus tôt dans la journée.
Une chose est certaine, le gaillard avec du sang qui sort du torse, faisait pale figure par rapport à elles.

Lucy : Bah dis donc, c'est qu'il est mal en point ce bonhomme.

Rebecca : Il faut le sortir de là pour le sauver.

Lucy : Dommage qu'on ait pas Curie avec nous pour nous apporter ses talents de médecine.

Rebecca : Heureusement que j'en ai aussi. Il me manque juste le matériel pour les utiliser convenablement.

Ophelia : On va te faire monter à bord de notre vaisseau.

Lucy : Et regardez, v'là le reste de la cavalerie qui arrive.

La silhouette d'un Bell UH-1 Iroquois se déssine dans le ciel avec à son bord quatre grand nom de l'histoire Residentevilienne, à savoir Barry Burton qui pilote l'engin, Sherry Birkin, Bruce McGivern et Jake Muller/Wesker qui se trouvent à bord de l'engin volant et qui sont bien heureux de découvrir à travers la brèche causer par Lucy et Ophelia que ça va bien chez eux.
Un Sikorsky S-92 appartenant au BSAA ne tarde pas non plus à se montrer avec ses soldats d'élites qui sont prêts à se farcir les forces de Green Umbrella qui subsistent encore dans ce complexe bien protégé, et autant dire qu'ils vont faire peu de prisonniers sur ce coup là.
Après que tout ce monde ait atterri, le blessé fut envoyé au seins intensifs, tandis que Billy Coen fut retrouvait sur une table d'opération dont celle ci n'a eu pas le temps, fort heureusement, d'être exercé à son encontre pour lui injecter un virus à la con, et ça c'était bon pour la moral de ce récit.
Tout ça aura le mérite d'être une belle fin heureuse qui le conclura avec le prochain poste qui sera le dernier.

Pour l'occasion du nouvel an, des amies se sont réunis dans cette grande ville du sud des USA afin de fêter cette fête de fin d'année comme il se doit, avec de l'alcool qui coule à flot, et des échanges verbaux qui se font, ce que nous allons voir plus en rigueur
Rebecca Chambers est fière d'avoir réussi à s'en tirer de son calvaire sans qu'il n'y ait de pertes à déplorer du côté des gentils dont elle fait partie, et elle a en plus pu renouer avec son passé qu'elle avait renié comme si il n'avait jamais existé, et ça c'est un bel effort de sa part.
Ivan/Vania Fullkevitch se remet de la blessure qu'il a reçu en cadeau de Noël, même si celle ci lui fait encore mal, et lui aussi est plus qu'heureux d'avoir pu retrouver son premier amour tout en convenant d'un pacte scellé en trois parties que représentent ceux qui le composent.
Billy Coen n'est pas contre ce ménage à trois car il reconnaît que sa femme avait eu un lien très proche avec ce mec sans qui il aurait sûrement péri là bas dans la prison de Green Umbrella, bien qu'on pourrait dire aussi que si il n'avait agi en les enlevant au préalable, rien de tout ça n'aurait eu lieu.
Barry Burton aurait dû passer l'autre jour si il n'y avait pas eu l'intervention du commando surpuissant, et il est content d'avoir pu filer un coup de main en pilotant ce vieux modèle américain aérien qui rappelle ces jours chez les S.T.A.R.S. dont il a fait partie jadis.
Sherry Birkin est toujours la plus guillerette du groupe puisqu'elle est positive dans peu importe le sujet qu'on aborde avec elle, ce qui plaît beaucoup à son mari à elle, et on peut toujours souligner que ses capacités régénératives inhumaines qu'elle possède sont toujours un atout quand elle est sur le terrain.
Bruce McGivern l'a encore une fois épaulé comme quand ils avaient fait la traque envers Manuel Valls de la semaine précédente, et il ne se fait pas plus remarquer que ça, étant un peu un second couteau invisible pour la majorité des spectateurs, chose dommage pour lui qui aimerait être aussi célèbre que son ami Leon Kennedy.
Jake Muller/Wesker n'a pas pu faire son show comme la dernière fois sur ce coup là, et ça le frustre un peu, étant donné qu'il aime bien se la péter un peu sur le terrain quand il y ait, or on peut se dire que le mercenaire a l'une des meilleurs prestances de tous les personnages présents cette nuit ici.
Ophelia Sarkissian rode autour de sa femme pour qui elle voue un amour sans limite, même si elle essaye quand même de s'ouvrir aux autres en discutant d'un peu de tout, ayant son mot à dire sur tous les sujets, y compris leur intervention en Russie où elle s'est fait remarqué.
Lucy Dodgera a eu le bon rôle à jouer avec la mort de Frederic Downing de ses mains qu'elle a fait en s'amusant comme une folle, et comme au Connemara, elle y est arrivée avec une folle envie de sexe qui ne s'est pas dissipée depuis, malgré les nombreux ébats qu'elle a eu avec sa compagne.

Lucy : Vous auriez dû voir sa tête quand j'ai commencé à le transpercer de ma tronçonneuse !

Ophelia : Moi, l'autre moustachu a fait la gueule quand je la lui ait arraché.

Jake : Vous avez un goût pour le sanguinolant vous deux.

Bruce : Heureusement que j'ai l'estomac serré.

Sherry : On ne peut pas parler de chose plus gai ?

Barry : Le couple à nouveau réuni pourrait nous parler de leur passé en commun.

Billy : Je trouve que c'est une bonne idée.

Vania : On pourrait parler de ce fameux Noël en quatre vingt dix.

Rebecca : Je vais m'occuper de le décrire car je suis un peu meilleure pour conter les histoires.

Une histoire que je vous ai déjà décrite en détail est récité par quelqu'un qui ne saurait m'égaler en terme de narration, et c'est là dessus que nous allons nous quitter, même si vous auriez espérer suivre encore plus longtemps ces personnages hauts en couleurs que vous avez apprécié suivre dans le récit du jour.
On aura encore l'occasion de les revoir à l'avenir, et comme je peux vous dire, on en a pas terminé avec eux.
Je n'en dit pas plus, et je vous laisse nous quitter pout aujourd'hui et revenir quand ce sera l'heure de la suite.