[RP] Aide à l'aveuglette [Terminé]

Je tente de lui tirer dans les deux genoux pour l'immobiliser.

Sans problème, tu parviens à tirer sur ce pauvre Gilbert qui a ta merci.
Tu tires deux cartouches, une dans chaque jambe, les explosant au passage dû à la puissance du calibre.
D'un coté comme c'est un androïde, tu peux voir des étincelles se produire au niveau de là où tu touches puis différents fils et autres trucs pour faire fonctionner le bousin dépasser de l'endroit où s'est désormais coupé.
Ton coup a marché bien plus que prévu et le voilà immobiliser au sol, ne pouvant plus se relever à cause de ses blessures. Celles ci lui causent beaucoup de douleurs et il hurla à la mort pendant plusieurs secondes avant de tenter de se maîtriser.
Il en vient même à cracher sur le sol tellement ça bave dans sa bouche dû aux circonstances.
Ne pouvant que regardant tes jambes, il ne lâche pas sa fureur apparente qui pour le coup est bien justifier.

Gilbert : Fils de pute ! Tu comptes me faire souffrir encore longtemps c'est ça !?

Il attend une réponse de ta part, reste à voir si tu lui en donne une.

Je le regarde.

Léon : Tu ne peux pas être Gilbert.

Puis je pars vers la porte pour m'enfuir.

Tu commences à courir vers la porte, tandis qu'autour de toi le temps semble être au ralenti.
Tu entends alors une dernière phrase de Gilbert te parvenir, pour répondre à ta remarque.

Gilbert : Et toi tu n'es pas mon ami Léon !

D'un coup tout se réaccélère et tu te retrouves devant l'issue qui te permet de sortir de cette endroit de mort.
Tu l'ouvres en la poussant d'un coup et une vive lumière t'arrive dans les yeux.
S'en suit une douce mélodie que tu connais très bien, c'est Kids in America de The Muffs, reprise de Kim Wilde, que tu as comme sonnerie de portable, et d'ailleurs tant qu'on parle de ça, tu te sens de plus ne plus happé par une force étrange.
Tu as l'impression de littéralement voyagé le temps.
Quand tu arrives enfin à voir quelque chose après tout se blanc qui t’obscurcissait la vue, tu te rends compte que tu es désormais dans ton lit douillé, en pleine nuit, le plafond faiblement éclairé par le peu de lumière venant de l'extérieur.
Tu reconnais bien évidemment l'endroit, c'est la Maison des Parents de Haruhi Suzumiya qui t'avais invité pour te reposer un peu après tous ces déboires qui ont eu lieu récemment. Tu dormais dans sa chambre à elle, en sa charmante compagnie.
Mais la première chose auquel tu fais attention à revenant dans ce qui semble être la réalité, c'est le fait que ton portable qui est posé sur le meuble juste à coté de toi est en train de sonner.
Tu peux lire d'où tu es que LE Gilbert qui appelle.
Que fais tu ?

Je coupe le son, je sors à l'extérieur de la maison et je décroche.

Tu commences en premier par couper le son du téléphone pour ne pas réveiller toute la baraque.
D'ailleurs, tu constates que Haruhi ne s'est pas réveillée mais en même temps elle a le sommeil lourd.
Tu te lèves de façon assez rapide sans trop non plus y aller comme un sac, ce serait contre productif.
Tu te diriges vers la sortie alors que le portable s'arrête de sonner, mais tu te doutes que ça va rappeler.
Arrivé vers l'entrée, tu enfiles tes chaussures et puis tu passes la porte pour arriver à l'extérieur.
Quelques lampadaires éclairent le coin et des grillons se font entendre, c'est la seule source de bruit ambiante.
L'air est fraîche, bien plus que en journée où il peut faire chaud à en crever, un peu comme l'aprem qui s'est écoulé.
Tu attends un peu et ça revivre dans tes mains, toujours de la part de ce bon vieux Gilbert qui ne perd pas le temps de te laisser le temps de placer une réplique quand tu réponds, non il est le premier à causer comme à son habitude.

Gilbert (T) : Leon, j'ai besoin de toi en vitesse à l'Ecole Marhawa dans la région de Ellnaul à Kudahnkan un quart d'heure avant 10 heure, et avec le décalage horaire tu devrais ne pas avoir de problème à arriver à l'heure. C'est très important et ça te concerne directement, je t'en dit plus une fois là bas, à plus mon pote !

Il raccroche sans même laisser le temps d'une réponse.
Tout ce qu'il y a c'est quelques secondes plus tard tu reçois un lien Google Map pour la localisation de la zone.
Il y a aussi un petit message qui accompagne ceci.

Message : Tu vas pouvoir enfin être libre. ^^

C'est tout ce qu'il y a.
Qu'en penses tu et que fais tu ?

Je pense que si je ne me dépêche pas, Gilbert va encore faire une connerie. Je vais écrire un mot à Haruhi, pour lui dire que le travail m'appelle, encore une fois. Ensuite je vais prendre mes affaires et essayer, par je ne sais quel moyen, de rejoindre Gilbert avant une catastrophe, sûrement mondial.

Tu sens au plus profond de toi que le monde est en danger et que tu n'es pas assez rapide, Gilbert va encore faire une grosse connerie qui pourrait bien coûter la vie à n'innombrables innocents.
Tu retournes à l'intérieur de la maison et avec l'aide d'une lampe de chevet posé sur une commode tu parviens à écrire un mot pour Haruhi en évitant d'aller trop dans les explications pour ne pas non plus l’inquiéter.

Mot : Excuse moi Haruhi, je n'ai pas voulu de réveiller. Le travail m'appelle, encore une fois. Je reviens vite.

Tu gardes ce mot avec toi et tu remontes dans la chambre où tu le laisse sur la table juste à coté de la belle endormie.
Tu prépares ensuite ce dont ut as besoin pour cette mission, donc ton équipement habituelle qui comprends un couteau de combat, deux Beretta 92 avec 5 chargeurs au total, un Mossberg 590 avec 3 chargeurs, une lampe torche et une figurine d'Ada qui est en réalité une grenade.
C'est tout ce que tu avais amené avec toi ici, le reste se trouve dans ta chambre chez les Avengers.
Tu pars ensuite pour un autre pays d'Asie afin de rejoindre Gilbert avant une catastrophe, surement mondiale.
Grâce à la map qu'il t'a filé, tu n'as pas besoin de faire un jet pour trouver où il est.
Tu prends le premier vol jusqu'à la capital Kudahnkan et tu te reposes un peu en cours de vol.
Sauf que ton sommeil est écourté quand tu as un nouvel appel qui vint vibrer sur tes jambes.
Tu regardes qui c'est et tu vois que c'est le boulot.
Est ce que tu réponds ?

Je répond à l'appel.

Tu réponds à l'appel et de l'autre coté l'appareil ce n'est pas Hannigan pour une fois.
Non tu entends une respiration masculine suivi d'une voix que tu as déjà entendu mais assez peu souvent.

??? : Bonjour Monsieur Kennedy, je ne suis pas votre contact habituel au sein de la DSO mais bien votre Directeur, Diarco Rammaz, qui vous parle.

Il soupire un peu juste après cette phrase et en enchaîne par une autre.

Diarco : Votre ami Gilbert Montagné mijote quelque hcose qui nous plaît pas et il souhaite me rencontrer personnellement à 10 heure à l'Ecole Marhawa dans la région de Ellnaul à Kudahnkan. J'aurais déjà quelques agents sur place pour me protéger, mais j'aimerais que vous y alliez avant nous pour tenter de savoir ce qu'il nous prépare. J'espère que vous comprenez pourquoi nous sommes inquiet à ce sujet là ?

Il attend une réponse de ta part.

Léon : Je comprends parfaitement votre inquiétude Monsieur Rammaz. Je m'y rend sur le champs.

Ta réponse semble le ravir, ça s'entend dans sa voix.

Diarco (T) : Bonne chance, et faites très attention, ce type est imprévisible.

Il raccroche ensuite et le reste du voyage se déroule calmement.
Tu arrives dans la matinée, vers 9 heures passées sur la route conduisant à cette Académie reculée dans les bois.
Un taxi t'y conduit sans problème et finalement tu parviens à temps, soit à peu près un quart d'heure avant 100 heures Gilbert l'avait voulu, devant la grille d'entrée de l'établissement où se trouvait un gros système de sécurité avec caméras et beaucoup de gardes.
Le taxi te déposa là, tu le payes et il s'en va.
Deux types de la sécurité se trouvent juste en face de cette lourde porte qui t'empêche d'aller voir ton ami timbré.
Que fais tu ?

Je tente de demander poliment aux deux types de sécurité de me laisser passer.

Le membre 'Léon Kennedy' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

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'D100' : 9

Tu t'approches d'eux et parle calmement pour ne pas qu'ils aient une mauvaise impression de toi.

Leon : Excusez moi, est ce que je pourrai passer ?

L'un d'eux te regarde de long en large puis fait un signe de la tête à l'autre.
Ce dernier prend alors la parole dans un français approximatif.

Garde 1 : Oui, votre ami a prévenu nous, vous allez pouvoir passer.

Garde 2 : سٺو ڏينهن توهان جي لاء.

Ils s'écartent et font signe à leur collègues d'ouvrir la grille, ce qui te permet d'entrer.
Une fois dans l’enceinte de la propriété privée, tu vois une personne s'approcher de toi et cette personne, c'est Gilbert justement. Il semble très heureux de te voir et son premier réflexe est de te faire une accolade en guise de salutation.
Après quelques secondes, il s'écarte et regarde ton visage comme si il remarquait quelque chose.

Gilbert : Désolé de t'avoir privé de ton sommeil mais c'est très important ce qu'on va faire là et je ne ovulais pas le faire sans toi dans ton dos, je ne suis pas comme ça et je sais que c'est réciproque. Dans des temps où les trahisons s'acculent c'est bien de savoir à qui on peut encore faire confiance.

Il se tait ensuite pour te laisser le temps de lui répondre.
Mais après, tu n'es pas obligé que de faire ça.