Resident Evil 9
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[FIC] Allô, Place Beauvau ? [Terminée]

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Message  Clara Lille Mer 2 Oct - 15:49

5 Octobre 2019

France; Paris; 18e Arrondissement; Porte de la Chapelle

Un rythme de percussion résonne en ce lieu connu pour abriter d'innombrables personnes issues de l'immigration et où on a presque l'impression d'être dans des bidonvilles. Un tram passe dans cette zone, laissant ses passagers observer un spectacle bien rare et qui n'inaugure rien de bon.
Des torches sont soulevées alors qu'il ne fait même pas nuit, tandis que des machettes s'aiguisent pour le massacre qui se préparent. Des hommes, uniquement des hommes, sont réunis pour faire parler leur haine que leur foi, diriger par un homme de renom qui a basculé dans le camp ennemi.
L'ancien président de la cinquième république, Valérie Giscard d'Estain, est là, bien qu'il soit méconnaissable dû à ses cheveux mal taillés et sa grosse barbe grise velue. Désormais connu sous le prénom de Waheed depuis qu'il s'est converti à l'Islam il y a deux ans de cela, il prêche la bonne parole en demandant la mort aux mécréants et en répandant le Salafisme.
Chose facile quand on connaît le bordel sans nom qu'est le Coran.
Personne n'ose s'approcher de ce groupe armé et dangereux, préférant les ignorer comme si ils n'étaient pas là. Après tout la vie continue de tourner et ce n'est pas le Djihad qui empêchera cela, ce qui se disent.
Pendant ce temps là, le chef des sanguinaires monte sur un abri bus afin de démontrer sa splendeur à ses suiveurs.

Waheed : Que peut on attendre !? De dégoûtants petits mécréants !?

Il tend les bras vers les siens, le regard intransigeant.

Waheed : Toute leur race dégoûtante est une malédiction !

La foule approuve par quelques ruminements à peine humain.

Waheed : Leur peau est d'un blanc maladive ! Ils ne sont beaux que quand ils sont morts ! Comme je dis, ce sont des vermines ! Et pire !

Il balance alors tout à un tas de cocktails Molotov à sa milice qu'il ne reste plus qu'à allumer pour la suite.

Migrants : Ce sont des sauvages ! Sauvages !

Waheed : À peine humains !

Migrants : Sauvages ! Sauvages !

Waheed : Éloignez les loin de notre rivage !

Parmi les croyants, seule une paire de mains est en doute face aux propos tenus par le radicalisé, voir même choqué puisque lui adhère à une vision bien moins archaïque de cette religion qui fait plutôt secte. Néanmoins, il n'est pour l'instant pas assez courageux pour s'interposer à cette folie.

Waheed : Ils ne sont pas comme vous et moi ! Ce qui veut dire qu'ils doivent être maléfiques ! Nous devons sonner les tambours de guerre !

Le son des tam-tam résonnent dans tout le quartier, annonçant l'heure macabre s'approche rà grands pas.

Migrants : Ce sont des sauvages ! Sauvages ! De sales white-trash diaboliques ! Maintenant nous sonnons les tambours de guerre !

Leur marche a commencé et plus rien ne les arrêtera, hormis autant de violence.
Pendant ce temps là à Montmartre, une autre formation a lieu avec des types tout autant prêt à mettre leur vie en danger pour en priver d'autres, bien que là il n'est aucune question de croyance en soi. Juste d'un profond nationalisme qui renait en chacun de nous quand notre pays est bafoué par des gens qui n'en n’ont rien à foutre.
L’icône qui s'occupe de mener la lutte finale est un peu extrême dans le genre puisqu'il s'agit de quelqu'un de presque aussi vieux que le leader ennemi, à savoir Jean-Marie Le Pen qui n'est perd néanmoins pas sa fougue d'antan. Cela fait des années qu'il avait prédit qu'une telle chose finirait par avoir lieu et ce fou avait raison, donc il décidé de mener le Résistance par lui même.
Face à un bucher où ils ton incinéré tous les livres répandant la mauvaise foi qu'ils ont pu trouver, il s'exprime tout tout en retournant vers ses semblables.

Jean-Marie : Voilà ce qu'on craignait ! L'homme basané est un démon ! Tout ce qu'ils ressentent c'est l'avidité !

Sa nièce apparait alors en vérifiant que tout le monde s'est bien équipé pour l'attaque et la défense, avec donc des protections du type plaques en métal pour servir de gilets par balle, et des battes de baseball en bois pour le corps à corps. Les plus vieux du lot ont aussi ramené leur fusils de chasse personnel, car rien ne vaut une telle chose quand on part à la chasse aux bêtes sauvages.

Marion : Derrière ce masque couleur de cacao ! Il n'y a que du vide !

Patriotes : Je me demande au moins s'ils saignent !

Tous s'encouragent, main dans la main, pour ce moment où leur âme de coq se ressent le plus.

Patriotes : Ce sont des sauvages ! Sauvages ! A peine humains ! Sauvages ! Sauvages !

Jean-Marie : Tueurs dans le cœur !

Marion : Ils sont différents de nous ! Ce qui veut dire qu'on ne peut leur faire confiance !

Jean-Marie : Nous devons sonner les tambours de guerre !

Patriotes : Ce sont des sauvages ! Sauvages !

Ils se rendent alors dans un recoin où se trouve ligoté et bâillonné, Yassine Belattar, qui va passer un sale quart d'heure.

Patriotes : En premier lieu, nous devons nous occuper de celui ci !

Ils le jettent dans le feu où il se consume lentement sous des cris d'agonies, alors que la marche débute pour ce camp là.
Les deux groupes se déplacent donc, se rapprochant de plus en plus, dans ces quartiers de la capitale bien trop calme.

Tous : Puis on sonnera les tambours de guerre !

Migrants : Sauvages ! Sauvages !

Un certain Mickaël Harpon décide se faire remarquer, en portant son uniforme de travail.

Mickaël : Allons en tuer un peu, camarades !

Patriotes : Sauvages ! Sauvages !

Waheed : Maintenant c'est à vous de décider, camarades !

Tous : Sauvages ! Sauvages ! A peine humains !

Ils arrivent au même moment à Barbès où leur haines entrent en conflit l'une contre l'autre.

Tous : Maintenant nous sonnons les tambours de gueeeeeeeeeeeerre !!!

Les pas s'élancent en course, pour se percuter avec choc et violence, se frappant avec vigueur.
Des mâchoires se brisent, des oreilles se font trancher.
C'est le chaos à l'état pur.
Rajoutons à cela la BAC, les CRS et la Gendarmerie Mobile qui se rappliquent très peu de temps après, et vous obtenez la plus grande bataille qu'est connu la France sur son propre territoire depuis des siècles. Quand on pense que tout ça a commencé à partir de la présidence du meneur migratoire et que cela aura atteint son apogée sous celle de Gilbert Montagné qui avait tenté vainement d'arranger la situation avec juste un pot de glus et quelques clous.
On ne s'improvise pas MacGyver.
Si Macron aurait été encore là et à la tête de l’État, je suis sûr qu'il aurait trouvé une combine pour retarder l’inévitable afin que ça arrange lui et ses amies. Malheureusement le Roi a vu sa tête tomber et des années de terreur suivent son règne éphémère, comme ce fut le cas durant al Révolution.
Priez pour vos vies, si il vous reste encore de la foi, vous français.
Il y a bien deux spectateurs qui ne semblent pas trop préoccupés par les évènements, ou qui du moins arrivent à trouver du positive dans cette situation plus que merdique. Ceux ci sont assis sur un escalier non loin de la baston, observant celle ci en discutant de diverses choses qui n'ont rien à voir avec le Schmilblick.
Nous avons Clara Lille, la hackeuse professionnelle surnommée BadBoy17.
Et Raymond, le clochard professionnel surnommé Réré la Raie Manta.
Les deux se sont connus dans cette même ville il y a plus d'un de ça, d'une façon peu commune.

Clara : Malgré les choses peu reluisantes que j'ai appris sur leur passé durant mes recherches, notamment impliquant Rob Dealer, UNIT va quand même me manquer.

Raymond : Tu ne crois pas qu'ils vont se relever de leur mauvais coup ?

Clara : Non, aucune chance vu que les unions se brisent et chacun des pays de ce monde se referme sur soi.

Raymond : Ouais, c'est pas faux.

D'un coup, une tête s'envole jusque sur les jambes du sans abris, le faisant sursauter et réagir au quart de tour à la virant aussitôt tout poussant la gueulante. En même, recevoir la tronche du fondateur du Front National sur soi, c'est jamais quelque chose d'agréable à expérimenter.

Raymond : Il n'y en a vraiment qui ne se gênent pas ! Allons nous trouver un coin plus tranquille si tu veux bien.

Clara : Pas de souci.

Ils se lèvent et se tirent de là, en passant à côté de cadavres découpés en plusieurs morceaux, de personnes en flammes et aussi de flics matraquant à morts leur concitoyens sans vergogne. Une puissante explosion vient décimer une bonne partie des forces de tout bord mobilisées sur place, alors que les deux silhouettes s'évaporent comme si elles n'avaient jamais été là en premier lieu.
Un Samedi comme un autre à Paris.
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