[RP] Hyène et Dragon [Terminé]

Naru : Simple curiosité, mais si c'était si facile de sortir, pourquoi t'es pas déjà dehors ?

En voilà une bonne question, pourquoi est-il resté s'il peut faire sortir les gens d'un claquement de doigt ? Soit il y a pas pensé, ce qui serait très con, soit il y a autre chose. Ce petit moment est interrompu cependant par des pas lourds, des chaussures claquent contre le sol de pierre. Bientôt, le loup apparaît puisqu'il a été appelé. Vodka est là, debout devant la cellule de Naru.

Naru : Yo, gros tas, alors t'as fini de bouder ? Pendant que tu faisais ta tête de chien, j'ai joué avec tes camarades, ils sont tellement plus doué que toi tu sais ?

Vodka grogne mécontent d'être à nouveau moqué.

Vodka : Cette fois, tu vas pas t'en tiré aussi facilement, Gin m'a dit de ne pas l'utiliser si possible mais quelque chose que personne ne sait ne fera pas de mal n'est-ce pas ?

Il sort sa boîte pleine de gellules et appelle deux des hommes qui gardent le couloir pour venir l'aider. Il ouvre la cellule et tous trois y pénètrent. Naru ne bouge même pas, absolument pas impressionné et laisse les deux gardes le saisir alors que Vodka sort l'une des gellule d'APTX.

Vodka : Avec cette merveille, tu vas mourir mais pas sans douleur, il parait que ça fait très mal, mwahaha

HEN1 (murmure à HEN2) : Tu trouves pas son rire maléfique ridicule ?

HEN2 (murmure à HEN1) : Ouais complètement.

Vodka : Silence crétins, j'ai entendu ça.

HEN1/HEN2 : Et alors ? C'est pas comme si on insultait quelqu'un d'important.

Vodka : Assez, ouvrez lui la bouche.

Complètement confiant en ses capacités à résister à la plupart des poisons dangereux, Naru ne résiste que pour la forme, pourtant pour une fois, il aurait peut-être dû rester vigilant, car une fois qu'il eut ingérée la pillule son corps se mit à brûler, ses os et ses organes se mettent à fondre et son coeur cogne viollemment. Il ne crie pas mais se tient douloureusement la poitrine, arrivant à murmurer quelque chose :

Naru : Merde qu'est ce que c'est que ça, merde.

Vodka : Ahahah, crève bien sale ordure, ça t'apprendra à me traiter comme ça.

Seulement quelque chose d'innatendu se produit ensuite, alors que le corps de celui dont l'âme est vieille de plusieurs millénaires est en train de rajeunir à vu d'oeil. Une violente vague d'énergie s'échappe de son corps qui ne peut plus supporter d'en contenir autant avec un corps plus jeune. La vague propulse les deux hommes de mains dans les murs et Vodka dans les barreaux de la cellule qui sont détruits à cause de son poids et de la puissante énergie ce qui propulse l'homme en noir à travers le couloir toujours collé au barreaux jusqu'à l'atterrissage contre un mur au fond du couloir, le laissant inconscient pour un bout de temps.

Dans la cellule, Naru est resté en position foetale alors que la douleur a augmenté jusqu'à son paroxysme avant de disparaitre tout à coup. Après quelques secondes, il se lève lentement, reprenant rapidement ses esprits, il remarque alors qu'il voit moins haut que d'habitude. Perplexe il baisse les yeux sur ses mains, le juron ne peut s'empécher de sortir.

Naru : Fais chier de merde, dîtes moi que c'est une blague, je vais tuer cet enfoiré.

Cela est dit mais c'est tout à coup beaucoup moins menaçant avec une voix de gamin de huit ou peut-être neuf ans.
Il sort de la cellule après avoir vérifié que les deux gardes sont inconscients pour l'un et mort pour l'autre. Il se dirige vers l'endroit où est Vodka, traversant le couloir lentement, à la vue des autres prisonniers. Une fois arrivés devant le bandit, il prend la boîte de pillule encore dans la main du gangster et la range dans ses vêtements parce que ça pourrait servir.

Les prisonniers applaudissent l'action de Naru, bien qu'ils n'ont aucune idée de ce qui s'est passé exactement, ayant juste senti et/ou aperçu une explosion d'énergie chelou, puis celui pour qui personne n'a de respect se faire éjecter de la cellule du nouveau venu avec virulence, bien qu'ils soient tous déçu qu'il ne soit pas mort.
Une voix étrangement familière peut être perçue parmi celles qui s'exclament.

TH5 : Eclate lui les couilles !

Dans la cellule où se trouvent Gilbert et Léa, ces derniers n'ont pas vu grand chose à travers les quelques barreaux de leur porte blindée assez robuste, et vu que les gardes ont été assommés ou tués, il y a peut de chance à ce que le non voyant puisse utiliser sa relation avec eux pour le faire sortir, tant que d'autre s e déboulent pas.
Les deux colocataires se regardent avec perplexité et incompréhension sur qu'est ce qui se passe ici bordel.

Gilbert : Tu crois qu'il a un peu trop mangé de fajitas ?

Léa : Je ne sais pas mais je n'aime pas ça.

La franco-japonaise aux cheveux naturellement rose s'approche avec méfiant de la seule sortie de la pièce afin de vérifier à travers le petit espace servant de fenêtre pour voir ce qui peut bien se passer de l'autre côté, et autant dire qu'elle est surprise de voir un enfant sortir de la cellule voisine où a lieu la détonation, sans trouver de signe de vie du type avec qui ils ont échangé une petite conversation juste avant.

Léa : Il y a un gosse qui ramasse quelque chose sur le corps du Pitbull et qui traine des vêtements bien trop grands pour lui.

Gilbert : Kamoulox !

Léa : Je suis sérieuse là.

Gilbert : Qu'est ce que tu veux que je dise d'autre après ce que tu viens de me décrire !?

Léa : T'as pas tort.

Gilbert : J'espère qu'il a survécu l'autre nouveau car j'ai pas eu le temps, ni de lui demander son nom, ni de répondre à sa dernière question.

Léa : Hé gamin ! Qu'est ce que tu fais là toi, et c'était quoi cette attaque à la Dragon Ball Z !?

Ils sont loin de se douter que derrière ce petit être se cache un papy à l'égo surdimensionné.

Naru termine de fouiller le corps de Vodka, cachant la boite de pilules dans ses vêtements amples et prenant son arme par la même occasion. C'est là qu'il entend une voix féminine l'appeller.

Réfléchissant rapidement à une histoire suffisamment crédible, il s'approche lentement de la cellule où sont la femme qui vient de parler et le chanteur. Il a plaqué sur son visage un air enfantin et bouleversé. Il se met en face de la cellule et répond à la femme.

Naru : Je ne sais pas trop ce qui s'est passé. Avant j'étais dans une autre cellule mais j'ai demandé à un garde de me changer parce que mon colocataire voulait me blesser. Le garde m'a emmené dans cette cellule en douce lorsque tout le monde dormait. Quand ils ont amené le nouveau, je me suis caché sous le lit pour ne pas être vu, ensuite le gros monsieur là-bas est venu, il a forcé le nouveau à avaler quelque chose et c'est là que son corps s'est mis à gonfler et puis il y a eu comme une explosion qui a envoyé les trois hommes en noirs voler. Maintenant la cellule est pleine de sang, du sang partout.

Pour augmenter son effet, ses yeux se mettent à briller comme si des larmes allaient en sortir et bientôt quelques unes glisse sur le visage de garçon de huit. Son jeu d'acteur lui vaudrait sûrement des félicitations de Chris Vineyard. De plus son apparence et sa voix enfantine ne font que renforcer l'effet.
Il reste là pendant quelques minutes, les laissant réagir. Jusqu'à ce qu'un autre prisonnier gueule.

Prisonnier : Hé gamin, récupères les clés des gardes et ouvres ces portes.

Essuyant les larmes, Naru hoche la tête avec un air encore bouleversé sur le visage et rentre dans son ancienne cellule et profite de récupérer les clés du garde mort pour regarder les murs et le sol, à cause de l'impact, le garde mort à éclaboussé la plupart de la cellule avec son sang aidé par la vague d'énergie qui a aidé à le répandre partout. Cela corrobore son histoire improvisé, ce qui est plutôt bien.
Il ressort de la cellule et demande :

Naru : Si je vous libère tous, vous pouvez faire payer cet homme qui m'a enlevé à ma famille ?

Il demande avec des yeux de chiot en pointant le Vodka endormi. Suivant la réponse de ces derniers Naru leur ouvre la porte pour qu'ils puissent tous s'occuper du gros lard et s'enfuir par la suite, les convaincre ne semble pas trop dur vu que personne ne l'aime de toute façon.

Tous les prisonniers, sauf trois en particuliers, sont attendris par les yeux de Chat Potté de Naru.

Prisonnier 1 : Bien sûr p'tit, on se fera un plaisir de lui faire payer sa grande gueule !

Prisonnier 2 : Esta criança é muito fofa !

Prisonnier 3 : naneun geuleul segseuhago sipda. (나는 그를 섹스하고 싶다.)

TH5 : Ce gamin me rappelle cet enfoiré de Naru, mais il est vachement plsu cool que lui !

Pendant que ceux là s'émerveillent sur le gosse, parfois de façon malsaine, Frank Castle reste silencieux dans sa cellule à lui à voir comment se passe la suite des choses afin d'improviser en conséquence, tandis que Lightning reste de marbre face à ce môme qui lui donne déjà envie de la claque tellement il fait trop enfant pour elle, car faut dire que ses rapports avec les mineurs sont loin d'être cordiaux de manière générale.
Son compagnon de chambre quant à lui se cure le nez en ne sachant pas trop quoi en penser de tout ça.

Gilbert : On est d'accord qu'on reste là ?

Léa : Oui.

Gilbert : Bien ,car je n'ai pas l'intention de bouger.

Léa : Moi non plus.

Autant dire que vu comme c'est parti, l'adulte rajeuni va faire sortir tout le monde, sauf ceux qu'il faut.

Naru a ouvert la porte à tout les prisonniers du bloc qui ont tous accepté de défoncer Vodka sauf deux, il s'approche de la cellule de Gilbert et s'adresse à lui.

Naru : Au fait je crois que le gars qui était dans la cellule était là pour te paler parce que avant d'y passer il a laissé tomber un message, je l'ai ramassé en allant chercher les clés.
Il attrape un morceau de papier froissé dans sa poche et le lit la note pour lui, ce qui aura surement un effet.

Naru : Il est écrit, "Gilbert, Esma est vivante, tu dois sortir d'ici et la trouver rapidement", je sais pas de qui il parle mais ça t'es adressé je pense. T'es sûr que tu veux pas te barrer ?

Il demande innocemment.

Gilbert à lâché son sourire pour prendre une mine plus sérieuse, en soufflant un bon coup du nez.

Gilbert : Je ne crois pas ce type, peu importe qui il était. Il doit plutôt appartenir à l'un de mes nombreux ennemis et voulait m'attirer dans un piège.

Léa : Esma, c'était ta femme c'est ça ?

Gilbert : Ouais, Esmaraldine...

Cachés par ses lunettes de soleil, ses yeux deviennent humides rien qu'en repensant à elle, l'amour de sa vie.

Gilbert : Ma canne en sucre... Ces bâtard voulaient la buter et ont réussi sans que je ne puisse rien y faire, tellement je suis nul.

Lightning ne sait pas trop quoi faire ou dire à ce moment donc elle préfère ne rien faire pour ne pas être maladroite.

Gilbert : J'ai déjà perdu Suzanne... Je suis décidément le pire les maris car les mariages qui comptent le plus pour moi n'arrivent même pas à dépasser quelques mois sans que je devienne veuf. Bordel... Fais chier !

Il tape du poing contre le mur en s'en foutant totalement de se faire mal au passage.

Gilbert : Et puis là t'as ce crétin qui vient remuer le couteau dans la plaie avec sa note à deux ! "Va la retrouver, gnagnagna !" Merci Sherlock ! Déjà, elle est mort, et c'est pas inconnu qui me convaincra du contraire ! Et même si elle était vivante, comment ut veux que je sache où elle se trouve !?

Léa : Tu es son mari, tu ne le sais pas ?

Gilbert : Facile à dire ! En retrouvant ses souvenirs, elle est un peu devenue une autre personne ! Shiho Miyano, c'était ça, je crois... J'ai à peine pu la côtoyer quelques jours, même pas, sous cette identité donc je ne pourrais pas savoir ce qu'elle peut penser exactement sous cette identité.

Léa : Sous cet angle là, c'est vrai que ça ne doit pas être facile.

Gilbert : Allez le jeunot tu peux partir, ça ne concerne pas de toute façon, et tu dois avoir des gens qui s'inquiètent pour toi dehors !

On dirait bien que le stratagème de Naru n'a pas marché comme il l'aurait souhaité.

Naru le regarde attentivement, il ne s'attendait pas totalement à cela mais encore une fois, comprendre les humains est dur, plus facile qu'avant mais toujours difficile.

Naru : Mais tu ne sais pas si c'est vrai ou pas, alors ne devrais-tu pas essayer au moins, peut-être que c'est faux mais peut-être que c'est vrai aussi, les deux sont possibles, tu devrais t'accrocher à cet espoir, non ?

Il fait mine de réfléchir et une ampoule clignote dans son esprit. Et tout aussi innocemment il fait passer un nouveau message.

Naru : Attends Shiho ? Maintenant que tu le dis ça me rappelle un truc que le mec se disait avant que lourdeau n'arrive, il a dit un truc du genre, "Faut que je rejoigne Shiho à la planque de Léon rapidement une fois fini ici, si ils n'y sont plus, ils doivent avoir laissé quelque chose pour les retrouver".

Gilbert trouve le gamin un peu trop insistant, un peu comme si il avait une raison qu'il ne disait pas pour vouloir l'aider. Léa pense la même chose, mais elle c'est dû au fait qu'elle déteste les enfants et qu'elle aussi un côté un chouilla paranoïaque.
Néanmoins il joue le jeu pour l'instant car il sent que  ce môme ne lâchera pas l'affaire tant qu'il ne sera pas sorti de cette cellule.

Gilbert : Je suppose que par le plus grand des hasards le gars a balancé à voix suffisamment haute pour que tu l'entendes, mais pas assez pour que moi je l'entende alors que je conversais avec lui avant que le lourdeau n'arrive, l'adresse de la planque de Leon ?

Cette question transpire le sarcasme au point que même un aveugle le verrait.

Gilbert : Je suppose que par le plus grand des hasards le gars a balancé à voix suffisamment haute pour que tu l'entendes, mais pas assez pour que moi je l'entende alors que je conversais avec lui avant que le lourdeau n'arrive, l'adresse de la planque de Leon ?

Naru le regarde en clignant des yeux. Il pensait que l'autre saurait peut-être l'adresse puisque la chimiste avait l'air proche de l'agent américain. Malheureusement ce serait trop suspect de donner l'adresse.

Naru : Non désolé, il l'a dit juste avant que tu lui parles, quand le garde partait, il était assis sur le lit donc comme j'étais caché en-dessous je l'ai entendu mais avec l'épaisseur du mur tu n'as pas pu l'entendre, même moi j'ai eu du mal à l'entendre et j'étais à même pas un mètres. Mais il n'a pas dit d'adresse, mais ce mec était japonais comme moi donc si je devais deviner, je dirais que cette planque se trouve au Japon et autant dire que Léon n'est pas très répandue au Japon, ça devrait t'aider un peu non ?

Gilbert doute toujours de la sincérité du gamin et fait part de ses suspicions à sa camarade.

Gilbert : Je pense que le gosse était avec le type quand il est venu ici et qu'on ne l'avait juste pas entendu.

Léa : Je ne sais pas, mais j'ai des gros doutes sur ce crapaud rouge donc je te suis.

Celui qui est plus intelligent qu'il en a l'air reprend à voix haute pour que cette fois l'autre puisse l'entendre.

Gilbert : Je dirais plutôt que le type était japonais car l'organisation noire est d'origine japonaise, mais mon pote Leon étant américain, sa planque doit être aux États Unis ! T'en penses quoi Léa !?

Léa : T'as raison, on devrait vérifier là bas en premier.

Gilbert : Allez libère nous petit et on partira en donnant quelques coups au gros lourdeau au passage !

Léa : Par conte hors de question que tu viennes avec nous. J'ai pas envie d'un sale gosse dans mes pattes.

C'est parti pour jouer avec le garçon pour vérifier la crédibilité de son innocence dans toute cette histoire.

Naru hausse simplement les épaules et ouvre la porte aux deux en disant.

Naru : Peut-être que t'as raison, toute façon c'est pas mes affaires et je ne comptais pas vous accompagner, fais comme tu veux.

Naru tourne les talons, après tout il n'a pas besoin d'en faire plus maintenant que le chanteur est lancé sur la piste, il suffit qu'il parle à Léon et celui-ci informera le chanteur de l'adresse au Japon, ce qui devrait le conduire au final à l'endroit où est Shiho.

Pour le moment, il a une autre priorité : se tirer d'ici et tenter de retrouver une taille normale et pour ça il doit directement se rendre là où est la chimiste. Il sort donc rapidement de la prison et se faufile dans les couloirs de la prison pour échapper aux gardes qui ne vont pas tarder parce que mine de rien, les barreaux qu'a percuté Vodka ont rebondi sur le mur et le sol, ce qui a provoqué un bon son pour alerter les autres gardiens.

Il tourne un coin pour se diriger vers un conduit d'aération qu'il a repéré en arrivant mais avant de pouvoir complètement s'y engouffré, un coup de feu derrière lui l'informe que quelqu'un l'a repéré et la douleur dans son épaule montre qu'il a été touché, ne pouvant pour le moment pas solidifier sa peau à cause du manque de magie provoqué par la vague plus tôt et les réserves réduites dû au jeune âge du corps.

Il arrive tout de même à entrer avant d'être attrapé par l'homme courant pour l'empécher de fuir, son sang coule le long de son dos et tâche ses vêtements mais il continue de marcher à quatre pattes deans le conduit. Quelques balles supplémentaires sont tirées de l'entrée du petit conduit mais ce n'est que lorsqu'il tourne un coin que l'une d'elle le touche à nouveau dans les côtes. Il avance encore un peu et s'arrête, maintenant à l'abri des tirs puisqu'il a tourné un coin et qu'ils ne peuvent pas rentré car le conduit est trop petit pour des adultes.

Examinant rapidement les dégâts, il remarque qu'il perd pas mal de sang et que ses habits sont déjà très imbibés de sang, il les déchire pour former des compresses de fortune sur ses blessures. Après quoi il récite l'incantation pour la téléportation, par chance, cela ne coûte pas trop d'énergie grâce au sceau sur Shiho et son corps peut encore le supporter, même si ne sera pas dans la meilleure forme avant plusieurs jours. Il disparait dans un flash de lumière pour réapparaître non loin de la chimiste, à la limite de la conscience avec la perte de sang.

Toujours la même nuit qui se prolonge à chaque fois puisque l'on recule de quelques heures en allant dans des pays où il fait plus tôt que le précédent où nous étions.
Shiho Miyano est couchée sur le dos sur un lit rudimentaire dans la chambre réservée aux invitées où se trouvent deux lit doubles dont l'entretien est à revoir puisque des mini araignées noirs ont été aperçus, circulant dans les draps, entre les différentes couvertures.
Ce n'est qui pas ce qui empêche l'insomniaque de dormir, car il y a une toute autre raison derrière ce manque de sommeil qui lui fait avoir des cernes plus grosses que Maïté après un régime.
Ce qu'elle a vécu il n'y a même pas deux jours à rouvert une blessure ancienne qui avait réussi à cicatriser temporairement, le temps de sa vie d'amnésique en tant qu'Esmaraldine, la canne épée volante et parlante qui était plutôt garçon manquée malgré sa voix clairement féminine avec un bon accent des Antilles.
Sa relation avec le grand requin gris argenté, elle ne préfère essayer de ne plus y passer, malgré le fait que ce que lui a fait Killgrave a ravivé de violentes scènes qu'elle a subi et que l'on ne souhaite à personne, sauf aux violeurs sans scrupules.
Il y a notamment leur première rencontre qui revient sans arrêt mais que je ne détaillerai pas encore pour l"instant.
Finalement, le sanglot des cigales servant d'ambiance sonore à cet endroit est interrompu par la voix grave de celle qui est toujours une garçon manquée de son côté, et qui essaye d"être douce avec sa cousine après ce qu'elle a vécu, malgré qu'elle puisse être souvent abrupte dans ses manières.

Masumi : Tu tiens le coup ?

Shiho : Oui. C'est malheureux de dire ça mais j'ai l'habitude.

Masumi : J'aimerais tellement pouvoir te soutenir comme il faut, mais j'arrive pas trouver les mots. Ça m'énerve !

Shiho : En même temps, il n'y a pas de mots assez fort pour contrer ce que je vis. Hormis ceux ci de Gilbert.

Masumi : J'ai hâte de pouvoir le rencontrer un vrai un jour.

Shiho : Si il est toujours vivant...

Masumi : Tu ne dois pas perdre espoir Itoko.

Shiho : Je voudrais bien...

Ne pouvant finir ses mots tellement ils sont durs à recracher, la petite chose aux cheveux auburn ne se retient plus, sachant que Masumi est là, éclatant complètement en pleur telle la petite fille dont elle arbore l'apparence alors qu'à cet âge là elle ne l'était déjà plus vraiment à vrai dire.
L'ancienne détective lycéenne fait la plus belle des accolades à celle qu'elle aime énormément, alors qu'elles sont désormais toutes les deux assises sur leur lit en petite tenue, sous l'obscurité ambiante qui n'est pas totale car de la lumière émane depuis le salon non loin d'ici où quatre autres personnes encore debout s'y trouvent.
Vous l'attendez tous ?
Il fait nuit, et ce n'est pas vraiment le meilleur des moments pour débarquer, et pourtant c'est ce qu'il va faire.
Naru apparaît de façon magie, c'est le cas de la dire, auprès des deux filles sous un effet de lumière digne d'After Effects, sauf qu'au lieu de se réceptionner correctement comme à son habitude, il se retame méchamment par terre comme la toute première où il a usé de ce sortilège démonique quand Akeno Himejima l'avait aidé à le maîtrisé avec son corps de simple mortel.
Pour ceux qui ont déjà oublié qui était cette fille, je ne vous en veux vu comment elle a vite disparu du scénario pour ne revenir que dans un rôle très tertiaire lors de l'Arc des Dieux Dragons.
Pourtant, elle un peu plus utilise que ce qu'elle ne laisse transparaître.
Peu importe ce qu'on en pense car pour le moment, il y a des choses bien plus sérieuses à se préoccuper, et c'est celle qui est le plus en forme qui nous fait le résumé à voix haute.

Masumi : Mama ! Naru est de retour ! Et il est blessé ! Et bien plus jeune que la dernière fois !

Aidons ce vieux dragon aux pouvoirs qui ne sont pas ceux de son espèce à se rétablir pour éviter de causer de soucis de cohérences supplémentaires dans toute cette histoire, surtout que pour une fois il n'est vraiment pas en forme, lui qui est si confiant et sûr de ses compétences d'habitude. Rares sont les fois où il se fait avoir, excepté une fois à Paris qui n'a pas encore eu lieu.
Très vite les renforts arrivent pour prendre soin de lui et éviter de faire le deuil de l'être le plus ancien de tous les univers connus.

Naru pour une fois a du mal à se redresser après un voyage magique épuisant à cause des petites réserves magiques que peut contenir ce corps d'enfant. Pissant encore le sang mais sans trop en ressentir la douleur, il met en position assise alors que d'autres personne entrent dans la pièce. Une enfant de quatorze ans est à leur tête même si elle est en réalité plus âgée que ce qui paraît. Portée par ses réflexes d'ancien agent de terrain du MI6, elle s'approche pour examiner les blessures.

Mary : Chiara avez-vous de quoi soigner des blessures par balle ?

Chiara : Je pense que oui, attendez je reviens.

Pendant que celle-ci part chercher le matériel nécessaire l'ancienne membre des service secrets anglais se retourne vers le mâle roux pour poser quelques questions.

Mary : Qu'est ce qui s'est passé là-bas ?

Naru : Disons pour faire simple, que la mission a été un succès mais que la fin a eu de légères complications.

Elle le fixe sévèrement.

Mary : Expliques !

Il lève les mains en signe d'apaisment.

Naru : Ca va, je vous ferais un résumé un peu plus tard, disons pour l'instant, que j'ai frappé un bon coup dans la fourmilière, Vodka est aussi mort qu'on peut l'être, Lucy a été relâché, Bénédictine les a trahis et qu'est ce que j'oublie ? Ah oui, tout leur prisonnier se sont fait la malle.

Pas grand chose à dire au niveau des réaction, surtout que comme Shiho n'est pas au meilleur de sa forme et a l'esprit ailleurs, elle n'a pas compris pour l'instant ce que sa dernière phrase sous entend entre autre, car il y a un prisonnier en particulier qu'elle aurait voulu voir s'échapper à tout prix, quitte à vendre son âme à un dieu dragon démoniaque.
Ce dernier sera soigné comme le faut avec les fournitures ramenées par Chiara, aidée par son grand père paternel ici présent, et par Mary aussi.
Il faudra juste ensuite un peu de repos pour le casse cou, avec interdiction de sortir dehors pour l'instant.
Surtout que ce dernier doit encore expliquer comment il a s'est retrouvé à ingérer l'APTX et rajeunit à l'âge de huit ans.

Lucy Dodgera est planquée dans un grenier sombre avec les trois personnes chargées de sa protection, en évitant de faire le moindre bruit pourraient trahir leur position, ce qui lui fait penser à ce qu'a dû vivre Anne Frank avec sa famille quand ils étaient cachés de leur côté en 40 pour éviter de finir en camp d'extermination, ce qui au final n'a pas vraiment bien marché.
Encore une fois, ce sont des hommes en noirs plutôt expéditifs qu'il faut à tout prix éviter.
N'arrivant à rien voir dans cette obscurité la plus totale de cette zone la plus en hauteur de l'habitude, la française qui adore les films d'horreurs, incluant Scarface et Scooby-Doo selon elle, n'est pas si enjouée que ça d'être au coeur de ce genre pour une fois. Si ça avait été dans un slasher, un survival ou un zombie encore, ça aurait pu aller. Mais là, on est passé d'un thriller à du fantastique avec des putains de fantômes.
Depuis le placard en dessous où ils se trouvaient juste avant, ils ont vu ces types loin d'être des bras cassés se faire zigouiller par une nana à la peau plus blanche qu'une gothique.
Sans oublier que elle n'est pas encore remise à fond de son accident, étant encore obligée d'utiliser des appuies pour éviter de se péter la gueule.
C'est donc dans l'incapacité de voir ses soutiens, et en attendant de possibles secours, qu'elle prend la parole à voix basse pour tuer le temps, ne sachant pas depuis combien d'heures ils sont ici.

Lucy : Quelqu'un a vu le dernier épisode de Rokka no Yūsha ? C'était vraiment cool la conclusion, notamment pour le vrai coupable, et je suis contente de Fremy n'était pas l'imposteur.

Kyte : Je ne crois pas que ça soit le meilleur moment pour parler de ça.

Arnaud : Je n'ai pas encore vu cette série.

Kyte : Eu...

Dyne : Je n'ai pas vraiment accroché à cet animé. Par contre c'est pas Flamie normalement, et non pas Fremy ?

Kyte : On ne m'écoute pas...

Lucy : Il y a ma seyuu préférée qui double sa voix en plus, et je suis contente qu'elle soit le vrai crush du héros ! D'habitude c'est toujours la princesse super gentille et populaire qui l'est, ce qui a un peu était le cas au début, même si c'était pour nous piéger.

Dyne : Qui est la doubleuse ?

Lucy : Aoi Yūki ! Celle qui prête sa voix à Madoka Kaname de Puella Magica, Yūki Konno de SAO, et aussi Diane de Nanatsu no Taizai.

Kyte : Sinon... On pourrait se tenir la main pour s'assurer qu'il ne nous arrive rien ?

Dyne : C'est un peu pédé.

Kyte : Mais j'ai très peur !

Dyne : Bon d'accord... Tant que les couilles ne se touchent pas.

Kyte : J'ai les mains de qui ?

Arnaud + Dyne : Moi.

Arnaud : J'ai la fine main de Mademoiselle Dodgera à ma droite.

Lucy : Tu trouves toujours les meilleurs pour me réconforter !

Dyne : Si Lucy est à droite d'Arnaud et donc assez loin de moi, à qui appartient la main glaciale qui m'a saisi par la gauche ?

Ce moment moffatien fait se rendre compte au groupe de réfugiés qu'ils ont un membre en trop parmi eux, et que celui ci n'est plus très frais à vrai dire. On peut être se demander si il lui reste une véritable enveloppe corporelle ou si il nous joue juste un mauvais tour.
Quoiqu'il en soi réellement, cela suffit à terrifier tout le monde où de hurler comme des fous à se faire entendre dans tout le quartier, réveillant ceux qui ont réussi à dormir en cette nuit de pleine lune.
Gin qui était en train de se dire que ses hommes mettaient énormément de temps à revenir, alors que contrairement à Vodka, ce n'étaient pas dans leurs habitudes, entend cela alors qu'il montait l'escalier du vestibule pour parvenir au premier étage où étaient partis ses sbires afin de voir ce advenait d'eux.
Ni une, ni deux, il se précipite vers le point vers l'angle du corridor afin de trouver quel accès permet de monter au grenier puisque dans les barraques japonaises la trappe n'est pas simplement mise dans un couloir avec juste une petite corde pour faire descendre l'échelle permettant d'y accéder.
Là, c'est un peu plus technique, et flippant, donc personne ne pourra vaincre les combles du soleil levant par à celles du soleil couchant au niveau des frissons qu'ils nous font ressentir.
L'œil du faucon remarque la porte laissée ouverte au fond du passage, menant à la salle de jeu, et il suppose que comme toutes les autres portes sont fermés, cela doit être par là tous les visiteurs sont partis. Même si c'est pas sûr à cent pourcent, et dans le doute il s'assurera d'être assez silencieux pour écouter si on essaye de la lui mettre à l'envers en essayer de s'enfuir façon Hitman dans son dos.
Avançant prudemment avec son Beretta 92F dans la main gauche, pour pénétrer dans cette pièce où une étrange luminosité semble émettre, et jamais il n'aurait cru voir ce qu'il allait voir là dedans, ce qui explique sans aucun doute la stupeur inhabituelle qui s'affiche dans son visage quand lui fait face une scène macabre.
Deux de ses subordonnés, ceux qui n'ont pas disparu dans un journal intimes, sont pendus au plafond, une expression de profonde épouvante gravé pour toujours sur leur tronche, alors que leurs corps est balancé d'avant en arrière par une force inconnue. Peut être cette même force qui a enroulé ses cheveux autour de leur cou à la manière d'une corde et dont l'immense marée noire recouvre le plafonnier en se mouvant comme c'était une masse vivante, ce qui est immensément déroutant à observer.
Même le carnassier sans cœur met un petit moment bien plus long que n'importe quelle situation qu'il a pu vivre dans sa vie, à retrouver son calme et réfléchir à ce qu'il devrait faire dans une telle situation le dépassant tellement au point qu'il est obligé de le reconnaître.
En parallèle à ses mures réflexions, le monde ne nous attend et il bouge, il bouge vite, au point de bientôt faire toc toc à notre porte, ou plutôt à la sienne.
Une mélodie loin d'être inconnue pour certains nous entraîne à l'extérieur pour étancher notre soif de curiosité en découvrant ce qui vient à eux.
Des lumières bleus tournoyantes peuvent aperçues au loin s'approcher de la maison hantée à vive allure, alors que des sirènes assez uniques dans leurs genre puisque tapant un peu dans la science fiction au niveau du style, sont entendues et nous annonce tout de suite que ce n'est ni la police ni les ambulances qui sont en train d'arriver.
Ces lueurs appartiennent aux gyrophares d'un convoi militaire essentiellement composé de Land Rover Defender SVX 110, dont il ne faut toutefois pas trop s'attarder sur leur couleur noir qui est une fausse piste, qui s'arrêtent devant le site où une effraction a été signalé, en y formant un blocus empêchant quiconque de pénétrer sans leur accord dans la ruelle avant de la demeure débouchant sur une impasse.
Une Toyota Mirai tout aussi sombre se trouve au centre du groupe, et se démarque en étant la seule voiture de son modèle présente au sein de celui ci.


Des bottes claquent au sol en sortant de tous ces véhicules avant de quadriller le secteur avec leurs armes diverses et variées, incluant autant de vieux fusils Arisaka datant de la Seconde Guerre mondiale, que des bijoux de technologies futuristes et qui pour certains donnent l'impression qui n'en est sans doute pas qu'une d'avoir été faits avec des matériaux extra-terrestres.
Quelques soldats servent de portier à leur nouvel officier en charge des opérations à Tokyo dans leur base "Le Métro" qui remplace le décédé Eisuke Hondō qui était autant apprécié parmi ses hommes que Vodka avec pas ses hommes vu que lui n'avait même jamais pu en avoir avant de crever comme une merde.
Triste destin pour ces deux personnages qui nous faisaient bien rire.
Son successeur au défunt frère d'Hidemi, Major Hyōe Kuroda, est un ancien agent très haut placé au sein de la National Police Agency, et avant cela il était aussi Chef de Première Division de Police de Nagano. Donc avec un CV pareil, on peut espérer de lui qu'il soit à un meilleur niveau d'intelligence que la plupart des flics de la capital, enfin surtout ceux sous les ordres de l'Inspecteur Megure qui n'est clairement pas l'équivalent japonais du Commissaire Maigret.
Ce serait vache pour cette icône de la culture générale que d'oser cette comparaison douteuse.
D'ailleurs quel est votre interprète préféré de cette légende française sur toutes les adaptations qu'elle a connu ?
Moi c'est Jean Gabin.
Loin d'être Auguste Dupin non plus, le vieil homme barbu qui cache son oeil de verre avec un verre hyper teinté à ses lunettes, observe ce tombeau de centaines de vies pour la plupart innocentes qui se dresse devant lui avec un regard supra pénétrant qui rivalise sans discuter avec celui de sa cousine américaine, Amityville.
Sa fidèle secrétaire Sally Jacobs, le rejoint sans perdre une seule seconde de son temps pour l'avertir en anglais de l'information vitale qui vient toujours juste de lui parvenir.

Sally : Le Superintendent Matsumoto a envoyé une équipe qui sera là d'ici moins de dix minutes.

Hyōe : Il faut donc régler cette opération en ce court laps de temps.

Pour a bien le déroulé du plan dans les temps, il peut faire confiance à l'afro-américain qui dénote du reste de la troupe qui fait bien bien plus locale, le Sergent de 1re classe Robert Dudley, en continuant dans la langue d'Élisabeth II.

Hyōe : Sergent Dudley, vous avez entendu Sally, il faut remplir la mission d'ici moins de dix minutes.

Robert : Bien reçu Major ! Les gars, en formation et on y va !

Le soldat ayant le mérite d'avoir au moins à grade mène le gros des unités présentes à l'assaut contre cette forteresse pénétrable, pendant que l'officier en charge de cette affaire décide de converser avec celle qu'il connait depuis un bon petit moment déjà au point de parler de manière familière avec elle.

Hyōe : Rien de neuf au sujet de Killgrave ?

Sally : Absolument rien. On dirait que encore une fois, il a réussi à se jouer de nous et à disparaître dans la nature.

Hyōe : Ah... Toujours obligé de rattraper la merde des autres, et en l'occurrence celle de Mace et Sanchez sur ce coup là.

Sally : Maintenant que les Avengers et les Corbeaux l'ont en ligne de mire, il pourra peut être faire une erreur qui nous permettra de le capturer.

Hyōe : L'espoir fait vivre. Pas que l'espoir... Le désespoir aussi. Ils sont complémentaire pour que tout réussisse.

La blonde blanche amoureuse de lui l'admire avec un très beau sourire alors qu'i lest en train de continuer à contempler cette résidence à l'histoire tragique, tout en se remémorant une chanson d'un groupe évanescent de métal alternatif américain qui est hyper tourné en dérision de nos jours.


Les minutes passent avant que plusieurs bonnes nouvelles reviennent en compagnie de ses hommes.
Tout d'abord, le seul renard qu'ils ont réussi à choper dans cette tanière et celui ci vaut le max de point puisqu'il s'agit de l'homme de main le plus redouté des piafs dans la pénombre, à savoir Gin pour ceux qui auraient déjà oublié qu'il ne restait plus que lui en vie là dedans. Ce dernier s'est étonnamment rendu sans faire d'histoire et garde bien sous regard assassin caché derrière longs cheveux bien soyeux, afin que l'on ne puisse pas deviner ce qui lui passe derrière la tête, même si il ne croit pas qu'il existe une telle personne capable de ça sur cette planète.
Excepté Sherry.
Il n'en faut pas plus pour célébrer cette victoire qui fait plaisir à voir.

Hyōe : Préviens le Major-général Takahashi que nous tenons Gin.

Sally : Tout de suite !

Pour couronner le tout, Lucy et ses amies sont sauvés de cette séance de cache cache dans le noir pour éviter de se faire attraper par les vilains esprits qui t'entraîneront dans un endroit d'où tu ne pourras pas revenir, hormis en devenant l'un des leurs évidemment car c'est pas drôle sinon.
Un bon coup dans la fourmilière, tel le dirait un Naru aux portes des Enfers.