[RP] Entre Douceur et Violence [Terminé]

Naru fait un petit sourire sarcastique à la chimiste.

Naru : Sachant que je suis le seul dans cette condition, ta remarque n'a pas vraiment de sens, mais merci pour le compliment. Je suis le premier à reconnaître que je peux parfois paraître fou mais c'est parce que les gens ne peuvent pas me comprendre c'est tout et entre toi et moi, je ne serais probablement celui de la création mais de la destruction si j'étais méchant, tu ne crois pas ?

Les autres dormants et Gilbert étant en train de se faire nettoyer par un steward très fan, ils ont pour une fois la possibilité de partager une conversation seuls.

Naru : Et je ne t'aurais probablement pas aidée non plus.

En continuant dans le sarcasme, la naine rouge en sort une belle à voix basse.

Shiho : Vu les dégâts que tu causes partout où tu vas, tu pourrais bien être celui de la destruction. À croire que toi et Gilbert vous vous ressemblez beaucoup.

Sachant qu'il ne va pas aimer cette comparaison, elle attend en contenant son amusement pour voir sa réaction.

Shiho : Vu les dégâts que tu causes partout où tu vas, tu pourrais bien être celui de la destruction. À croire que toi et Gilbert vous vous ressemblez beaucoup.

Décidant de rester dans le sarcasme puisque l'autre naine joue le jeu, il continu

Naru : Vraiment ? Est-il aussi un être vivant depuis l'existence elle-même qui a été piégé dans un corps qui n'es pas le sien, ce qui l'empèche en fait de penser clairement à temps plein ? Parce que si c'est le cas alors, je peux convenir de la ressemblance.

Tout en tirant sa petit tirade, il donne une informations en fait plutôt intéressante qui peut expliquer beaucoup de choses, mais l'a-t-elle repéré ?

À cause de la fatigue qui commence à à nouveau à se faire ressentir, elle ne fait pas bien gaffe aux infos livrées par l'individu loin d'être humble. À la place, elle baille un petit coup dans sa main avant de répondre à la question du monsieur.

Shiho : Qui sait ? Plus j'en apprends sur lui, plus il bouleverse la conception du monde que je connais.

Elle ferme les yeux qui se mettent à se ferme tous seuls, mais elle continue la conversation.

Shiho : J'espère qu'on n'aura plus besoin de bouger une fois à Londres. On va faire le tour du monde en quatre-vingt jours si ça continue.

Sa petite blague la fait un poil marrer il faut dire.

Naru rit doucement à sa petite blague et référence.

Naru : Je peux t'assurer que là où je vous amène, personne ne vous trouvera, c'est aussi pour ça que je ne voulais pas que beaucoup de monde vienne, je tiens à ce que cette cachette reste la plus secrète possible, je ne l'utilise qu'en dernier recours. Personne ne peut la trouver, alors ne t'inquiètes pas, vous serez tranquile là-bas pendant que je m'occupe des autres membres.

Shiho souffle un petit coup du nez en imaginant une scène assez marrante dans sa tête.

Shiho : C'est là bas que tu allais avec Akeno-chan pour baiser en toute discrétion ?

Cela faisait longtemps qu'on avait pas parlé de la demi démone dont on a plus signe de vie, mais je ne m'attendais pas que ça soit comme ça qu'elle soit remise dans la discutions.

Naru cligne des yeux à l'insinuation audacieuse de la chimiste.

Naru : Je ne peux pas dire qu'Akeno-chan ne soit pas désirable mais nous n'avons pas eu ce genre de relation. C'est une amie proche.

Il dit toute de même cela avec un air nostalgique, comme si cela lui rappelait certains évènements de son passé.

Naru : Mais à part moi, je ne vois qu'une seule autre personne qui puisse trouver cet endroit, et cette personne ne le révélera certainement à personne donc vous serez parfaitement bien là-bas.

En parlant de cette autre personne, il eut alors l'air soudainement un peu pensif, plus que d'habitude, se perdant dans ses pensées.

Pour le coup, Shiho n'ouvre qu'un seul oeil et constate que son interlocuteur est soudainement pensif.

Shiho : Ton ex ? Un membre de ta famille divine ?

Cela a soulevé la curiosité de la scientifique qui a un cerveau plus gros que sa tête.

Naru sort de ses pensées à la question posée par la rajeunie.

Naru : Eh bien, si je prenais en compte ma famille draconique, probablement que plusieurs d'entre eux pourrait trouver l'endroit avec suffisamment de temps mais ils ne peuvent pas vraiment venir ici aussi facilement mais non je ne parlais pas d'un membre de ma famille, ni d'une humaine, probablement la plus intéressante que j'ai rencontré jusque-là, une ex-élève à moi.

On dirait bien que lesp aroles du vieux sage s'orientent vers un sujet assez intéressant pour la rajeunie.

Shiho : Naru-sensei hein ?

Cependant elle ne pourra pas développer cette conversation peu banale plus loin que ça puisque le steward au physique androgyne qui pourrait faire croire à certains qui ont des grosses loupes en guise de lunettes qu'il s'agit d'une hôtesse de l'air te ce malgré la différence de tenue de travail, revient accompagné du papy qui a mouillé son slip.
Dans sa main, le serviable employé tient une une feuille de papier toilette qui ne sent pas la rose, mais pour lui c'est le plus cadeau qu'il ait jamais eu de sa vie.

Gilbert : Désolé pour l'attente. Je devais signer un autographe et je n'avais pas de stylo sur moi, alors j'ai dû faire avec ce que j'avais sous la main, ou les fesses plutôt.

Steward : Encore merci Monsieur Montagné !

Gilbert : Il n'y a pas de quoi. Si vous pouviez juste éviter de signaler la présence de moi et mes amies par ici, car j'aimerais continuer à voyager incognito s'il vous plaît.

Steward : Bien entendu, je serai muet comme une bombe.

Il mime la zipette d'une braguette avec ses doigts devant sa bouche avant d'en retourner à son boulot.
Gilbert s'installe à nouveau aux côtés de sa tendre chair afin de passer le temps qu'il reste du voyage à ses côtés, et peut être raccourcir un peu la dialogue avec Naru car il est un peu gêné de faire vivre cette scène à sa douce comme ça, alors qu'il essaye de toujours lui montrer le meilleur de lui.

Gilbert : On pourra parler tout le temps qu'on veut une fois à la planque si ça ne vous dérange pas. J'ai une honte à faire évacuer.

Shiho : Je comprends. On continuera ça plus tard Naru.

Gilbert : Merci beaucoup.

La fausse gamine adresse un sincère sourire à celui qui donne l'impression d'avoir le même âge qu'elle.

Haussant simplement les épaules et replongeant dans ses pensées , le vieux dragon ne leur prêta pus vraiment attention. Il retourna aux jours plus anciens où tout était plus facile, où toutes ces menaces ne pesaient pas sur ses épaules. C'était le bon vieux temps. Il se détendit dans son siège mais ne laissa toujours pas le sommeil l'emporter, de toute façon il arriverait dans une petite heure à Londres, dormir maintenant ne ferait que le rendre plus fatigué au réveil. Il pourrait se reposer une fois dans la planque, jusque là il resterait attentif, autant que le permettrait lees sovenirs se rappellant à lui à tout le moins.

Le jour est encore loin de se lever quand ils arrivent à pleine nuit dans la ville phare de la série Doctor Who, et d'un tas d'autres trucs aussi au passage, vachement moins important.
Le vol de la compagnie aérienne British Airways s'est plutôt bien passé pour Naru et sa bande, contrairement à la prochaine fois où il prendra un avion "avec" Gilbert qui se terminera par la mort d'une hôtesse qui n'avait rien à voir dans l'histoire, juste parce que le créateur des mondes avait trouvé ça amusé de gâcher l'envie à celui qu'il n'aime pas de jouer les héros.
Du moins c'est comme cela que je l'ai perçu en le racontant, et j'ai vraiment du mal à le prendre autrement sans que ça sorte de nul part façon série mal écrit.
Pour rejoindre la planque tant attendue, il va déjà falloir sortir du terminal où nos cinq fugitifs se trouvent, et prendre un black cab jusqu'à une première destination qui ne sera pas encore le bon endroit, car visiblement leur guide est successeur spirituel d'Alfred Hitchcock en terme de suspense tellement il nous fait mariner des jours qu'on en aura encore pour cinq pages d'aventures fillers.
Cela semble se concrétiser au moment où ils se retrouvent à nouveau à l'air libre, en sentant la bonne odeur de pollution londonienne, puisque une drôle de musique se met à jouer, suivie de très près par un Grand-duc d'Europe qui n'a à priori rien à faire là étant donné que c'est assez loi nde son territoire, mais on peut très vite remarquer qu'il tient une lettre enroulée grâce à ses serres.
Au final, sa présence n'est pas anodine puisqu'il est ici pour leur transmettre un message que la Mini Shiho prend avant d'observer brièvement le rapace faire demi tour pour retourner sur le continent.
Personne autour du groupe ne donne l'impression d'avoir quelque chose à faire de ce qui vient de se passer, un peu comme si c'était anodin dans cette ville où les sorciers sont de sortis le soir.
Avant de tracer la suite de leur chemin, nous allons avec eux découvrir ce qui est écrit sur ce vieux parchemin semblant sorti tout droit d'un vieux RPG sorti dans les années 80.


Ce document n'ne s'est pas trop tiré en longueur et a été même assez concis, tout en donnant une idée à Shiho.

Shiho : Faudra aller faire un tour du côté des infos une fois à la planque, car je suis curieuse à l'idée de voir les discours de Baptiste et Albert.

Gilbert : Moi aussi !

En effet, il ne faut pas oublier que c'est Wesker le chef de l'état américain, donc ça a dû donner quelque chose de marrant cette prise de parole publique.

Prenant rapidement un taxi à la sortie de l'aéroport après avoir reçu une lettre d'une manière assez famillière pour l'un de nos héros, Naru demande au chauffeur dans un anglais très maitrisé

Naru : Amenez-nous à Charing Cross Road.

Une fois cela fait le chauffeur emmène les cinq voyageurs donc heureusement trois sont des enfants en apparence ce qui facilite le fait de s'entasser ensemble.

La route n'est si longue que cela mais cela laisse les auts personnage jinteragir brièvement s'ils le souhaitent.

À bord d'une Austin FX4 servant de Black Cab, ou autrement dit de taxi, nos héros peuvent à nouveau se reposer après voir un peu marcher, ce qui doit être très essoufflant, surtout dans le cas où il y aurait hypothétiquement un asthmatique parmi eux.
Trêve de mauvaise langue de ma part, je suis tout de même content que pour l'instant les ennuis semblent être partis tous ensemble chercher des clopes, de quoi leur permettre de faire plus ample connaissance, à l'étroit dans cette bagnole noire où on se dit si il n'y avait pas trois rajeunis et que les deux adultes n'étaient pas maigres, il y aurait eu quelques victimes d'étouffement.
L'hommeau volant se nomme Joe, et vous avez peut être déjà pue le voir récemment dans une autre histoire que je n'ai pas fini de vous content d'ailleurs.
Etant un honnête chauffeur, il augmenté le volume de la chanson de son côté pour permettre à ses passagers de causer de choses privées sans qu'ils ne puissent être gênés par sa présence.


Quitte à parler, autant aborder la grande absente évoquée tout à l'heure qui n'est apparue que dans une seule partie de cet arc et dont on aurait aimé la voir un peu plus à l'écran, notamment pour défoncer quelques corbeaux avec ses pouvoirs magiques.
Je veux bien sûr parler d'Aka...
Hé non, pas Akako Koizumi !
Raté, ressayez encore !

Shiho : Naru, je voulais savoir une chose vu que je l'ai brièvement mentionné dans l'avion tout à l'heure. Qu'est ce qu'elle devient Akeno depuis la dernière fois que je l'ai vu ? Ce qui remonte à plus d'un mois déjà. Quand on était dans cette base de UNIT avec Baptiste, Leon et Zarick.

Masumi : C'était pas l'étrange fille qui draguait Leon en faisant "Ara ara" et "Fufufufu" dans la ruelle où je vous ai croisé pour la première fois ?

Shiho : Oui c'était bien elle.

Gilbert : J'ai aucune idée de qui est cette Akeno, mais je regrette tellement de ne pas avoir été là cette fois ci là vu comment tu viens de me décrire la scène.

Masumi : J'ai pas encore parlé de la baston entre moi et Leon qui aduré plusieurs minutes quand même avant que je ne morde la poussière.

Gilbert : J'ai grave les boules d'avoir raté ça.

Pendant que ça se plaint de ce côté là, celle qui a posé une question au dieu dragon attend désormais une réponse.

Pas spécialement gêné par la question mais sans vouloir donner d'informations trop précise le vieux dragon répond facilement.

Naru : Elle est sur une autre mission pour le moment, quelque chose d'assez important pour l'avenir.

Il reste vague mais certains pourront peut-être deviner de quoi il s'agit.

Naru : Elle nous rejoindra peut-être pour en finir avec les corbeaux, du moins si elle arrive à finir ce qu'elle fait en ce moment.

Alors qu'il répond, la voiture s'approche assez rapidement de Charing Cross Road où elle finit par s'arrêter, ne laissant pas vraiment le temps de poursuivre la conversation. Naru fait signe au chauffeur qui s'arrête et les laissent débarquer au niveau d'un vieux pub coincé entre une librairie et un magasin de disque. L'endroit, appelé Leaky Cauldron, semble assez miteux et délabré vu de l'extérieur, pourtant Naru n'hésite pas à s'y engouffrer, demandant aux autres de suivre en restant discret.

Directement après être entré il se dirige vers une cheminée un peu à l'écart et attend que tout le monde soit devant avant de leur dire.

Naru : Bien, mettez-vous tous dans la cheminée et nous pourrons y aller.

Cette dernière phrase énigmatique pour nos héros ou du moins certains d'entre eux, pourrait bien dire quelque chose à nos chers lecteurs.