[RP] Woman Versus Wild [Terminé]

Après une phrase très mal articulée de la cuisinière anglaise et quelques remerciements à cette dernière pour accepter de loger pour une nuit dans son chez elle qui n'est vraiment chez elle puisqu'elle n'aucun droit de propriété sur cette habitation, nous passons au dîner.
Avec l'aide d'une cuillère, la convive profite du ragoût comme il se doit, tout en abordant un sujet quelconque en terme de dialogue.

Miku : Depuis combien de temps vis tu ici ?

Elle prend une patate avec son ustensile puis la met dans sa bouche avant de la mâcher au moins sept fois.

-saryna : je ne c'est plus combien de temps que je vie ici

et voila que je me remis a soupirais

Continuant de manger son assiette, Miku choisit de répondre à Saryna après deux ou trois bouchées.

Miku : Je comprends. On voit le temps passer différemment ici que si nous étions dans un village ou une ville.

Elle mange une autre pomme de terre qui essayait de camoufler dans la sauce.

Miku : Cela me rappelle mon enfance avec mon frère quand nous vivions avec mon frère dans la maison familiale à Gunma, avant le suicide de ma mère.

Cette anecdote la replonge dans la nostalgie d'un temps à jamais révolu.

-saryna : oui et en plus ses calme et reposant et ont voie tout plein d animaux

Miku approuve de la tête les dires de Saryna au sujet de la communion avec la nature.

Miku : C'est vrai. J'ai d'ailleurs pu prendre une photo de ce que je pense être un Cerf de Virginie pas si loin d'ici.

Si elles n'étaient pas à table, elle aurait très certainement voulu lui montrer la photo en question.

-saryna : a oui tu a hue de la chance dans prendre un en photo car il ne se montre que très peut

ont pouvais entendre le vent siffle dehors avec force tout comme la neige

La neige recouvre progressivement les parties inférieures des fenêtres de la maison en bois au fur et à mesure que la tempête progresse, et que le dîner se termine avec notamment Miku qui a fini son assiette en trouvant le plat assez bon, sans que ça soit non plus le repas le plus délicieux qu'elle ait mangé de sa vie.
Au moins, on peut voir que Saryna se débrouille plutôt bien pas mal en cuisine, ce qui est intéressant à souligner.

Miku : Encore merci pour cette nourriture.

Elle ne cache pas son sourire, alors qu'elle se lève de table en voulant débarrasser sa propre assiette.
Sans qu'elle, ou son hôtesse de maison ne le sachent, il se trame des trucs ailleurs.
Des trucs qui risquent de ne pas sonner bon pour l'ermite qui vit ici.
Allons donc voir ce qui s'y passe.


Un banc, isolé de ses confrères et qui donne une belle vue sur le Capitole, un monument qui a su pour le moment résister au chaos qui s'accapare des plus grandes villes américaines au fur et à mesure que le temps passe, sans laisser une pointe d'espoir que la situation puisse se résoudre sans un bain de sang.
Deux personnes, assises dessus, sont pour l'instant coupés du reste du monde, et ils profitent de ce privilège pour échanger une conversation au sujet d'une femme qui attire beaucoup trop l'attention sur elle.
D'un côté se trouve Marion Price, la Colonel de UNIT, qui a une mine bien plus fatiguée que la dernière fois que nous l'avons entraperçue.
De l'autre côté il y a Jake Wesker, le fils mercenaire d'Albert, qui semble être un peu agacé d'être présent ici, ce qui ne s'arrangera pas avec ce qui va suivre.

Marion : Je veux que vous protégiez Saryna Coleen.

Jake : C'est une blague ?

Marion : Non, je suis très sérieuse.

Jake : Pourquoi est ce qu'il faut que cela tombe sur moi ?

Marion : Les autres mercenaires que je connaisse ont refusé. Je suis même aller voir personnellement Lucy Dodgera pour ce service, c'est pour vous dire.

Jake : Vous êtes désespérée à ce point à vouloir sauver votre amie la casse pied ?

Marion : Je sais qu'elle a un caractère plutôt difficile, mais elle reste mon amie, et je n'ai pas envie qui lui arrive quelque chose de grave.

Jake : Les Marshals vous font tellement peur, ou il y a autre chose ?

Marion : Baby Bonnie Hood.

Jake : Oh... Je comprends mieux que vous craigniez pour sa vie.

L'attitude de l'homme cynique se veut d'un coup plus compréhensif, et il ne tarde pas à démontrer l'étendue de ses connaissances au sujet de l'individu susmentionné.

Jake : L'une des chausseuses de prime les plus réputées de ce monde. Même si elle a tendance à s'en ficher de la survie de sa cible, même quand elle doit être ramenée vivante.

Marion : Je sais ça, et c'est pourquoi je voudrais que vous la protégiez.

Jake : Très bien je vais le faire, mais ça vous coûtera cher.

Marion : J'accepterai, peu importe le prix.

On dirait bien que ces deux là sont finalement parvenus à une entente.

quand a moi et mon invite ont parle de plein de chose devant le feu tends que le feu danse ainsi que la flame de la lampe a l'huile sans nous doute qu'un danger aller venir

Minuit passé dans la casa de Saryna et cette dernière est toujours en train déchanger quelques trivialités avec Miku qui elle de son côté en a profité pour lui raconter son vécu à elle, en partant du don qu'elle possède de voir des choses que les gens ordinaires ne peuvent pas voir, y compris les fantômes.
Ce qui l'a amené à avoir raconté notamment ce qui s'est passé, de façon abrégée, au Manoir Himuro où elle a perdu son frère, au Royaume des Songes où elle a conçu sa fille Miu, ou encore au Mont Hikami où elle avait disparu pendant près de quinze ans.
De sacrées expériences qui l'ont profondément marqué mentalement, même si physiquement elle fait vachement plus jeune que son âge véritable de 52 ans, et sachant un peu ce que l'ancienne policière à ses côtés à vécu au travers de ses deux vies, elle s'est sentie suffisamment en confiance pour lui confier toutes ces infos qu'elle ne file jamais à la première personne venue.
Matant le jolie feu de cheminée, la japonaise finit alors par résumer tout ce qu'elle a raconté en une seule phrase.

Miku : En sommes, j'ai toujours côtoyé la mort de près, et ce ne serait pas si embêtant si ça n'affectait pas aussi souvent mon entourage.

Attendant de voir la réaction de son interlocutrice face à ses dires, elle entend les flammes crépiter en continue.
Durant le même temps, quelque part dans la forêt environnante plongée dans une couche de matière blanche très froide et qui ne cesse d'augmenter à cause des flocons qui tombent sans arrêt, se trouve une silhouette rouge qui brave tout ça, y compris le fort vent qui s'y trouve aussi, comme si ce n'était que trois fois rien.
La preuve étant que celle qui semble être une innocente gamine est capable de chantonner une petite comptine dans un français impeccable, en dépit du temps de merde qui l'entoure.

B.B. : Promenons-nous dans les bois ! Pendant que le loup n'y est pas ! Si le loup y était ! Je l'étriperai !

Pas sûr que cette version soit connue de tous, mais elle donne ne ton de ce qui attend Miku et Saryna par la suite.

puis je me pris des couverture en gros de quoi dormir sur le canapé que j avais restauré , tendis que je lui montre ma chambre ou un petit feu de cheminé crépité .

-saryna : bon je croie qu'il et temps d aller aux lit il doit surement se faire tard

Miku jette un regard sur une vieille horloge encore fonctionnelle qui fait "tic-tac" tout en indiquant l'heure, afin de constatant qu'elles ont passé des heures à parler tout en s'hydrater, sans voir le temps passer telle une Ferrari sur l'autoroute où on a même pas la possibilité de noter sa plaque.

Miku : Déjà minuit vingt trois ! Je comprends mieux pourquoi la fatigue me frappe autant.

Ceci mentionné, elle met la main devant la bouche pour y bailler un petit coup, de manière assez courtoise.

Miku : Merci encore pour me prêter ton lit cette nuit. Passe une bonne nuit.

Dit elle avant de se saluer poliment d'un mini geste de la main et de partir dans la seule piaule de cette barraque afin d'aller piquer un gros somme, tandis que sa nouvelle amie va occuper le canapé dans le salon avec ses couvertures personnelles afin de ne pas tomber malade à cause de cette fraicheur extrême.
Les heures s'écoulent, avec juste le bruit du vent à l'extérieur pour accompagner le sommeil de nos protagonistes.
Jusqu'au moment où vers 4 heures du mat, une fine main vient tambouriner à la porte d'entrée de la résidence.
Qui peut bien donc venir taper l'incruste si tôt dans la journée que même le soleil n'est pas encore levé ?
Peut être le grand méchant loup ?
Saryna saura sans aucun doute la réponse puisqu'elle est la plus proche de la porte pour aller l'ouvrir.

j'était réveille bie avant que j'entende frappe a ma porte , je regarda par la fenêtre et je vie une personne que je n avais jamais vue de tout ma vie ,

je me dirige vers ma chambre ou je vie mon invite reveille et je lui fit signe de faire aucun bruit j avais pris avec mon mon fusile ma hache et une autre arme avec moi et je passa par la fenetre bien sur j avais dormis habile , et je fit le tour de la maison en silence pour arrive juste derrière cette personne que je braque mon fusil derrière sont dos

-saryna : qui et tu

mon regard et froid comme la neige de ses montagne je reste sur mes garde sa serve de dormir d un oeil et d une oreille

Le canon gelé du fusil de Saryna tient le dos de ce qui parait être une fillette blonde d'une dizaine d'années toute innocente, portant un chaperon rouge à grelots rappelant énormément le conte de Charles Perrault, d'autant plus qu'elle porte une panier en osier avec sa main gauche, comme si elle allait rendre visite à sa grand mère perdue dans ses bois et qui risque de se faire remplacer par un loup travelo.
De plus, la gamine lève tout doucement les bras vers les airs, ne voulant à priori pas causer de problèmes.

B.B. : Je ne veux pas d'ennuis ! Je me suis perdue, c'est tout !

Dit elle avec un timbre de voix très enfantine et en commençant à verser quelques larmes d'une apparente tristesse.
Est ce que celle qui la tient en joue va croire ces douces paroles ?

-saryna : perdu dis tu , ne me la fait pas a moi

et je lui arrache le panier puis je la fouille et paf j avais vu juste ont me la faisait pas

-saryna : QUI TEMPS VOIE REPOND OU JE TE FAIT SAUTE LA CERVELLE CONNASSE

ma voie et cruelle sans vie , j avais trouver des arme sur elle

Dans le panier en osier se trouvent des pommes, mais pas que...
Il y a aussi un gros uzi et deux dagues qui semblent s'être elles aussi perdues par ici.
Sentant que ça ne servait plus à rien de feindre l'innocence, la gamine prend une voix plus adulte pour causer.

B.B. : Je me doutais bien que de nuit avec cette tempête à la con, c'était un paris risqué de tenter cette approche là.

Elle tourne alors le visage vers l'arrière, révélant un sourire psychotique à destination de Saryna.

B.B. : J'aurais pu t'égorger dans ton sommeil, mais ce n'aurait pas été assez sportif.

Elle se tourne alors entièrement devant celle qui la tient en joue, sans vraiment avoir peur d'elle.

B.B. : Personne ne m'envoie pauvre truffe vulgaire. Tu as une prime sur ta tête, et c'est comme cela que j'ai eu vent de ton existence. Mais comme l'oseille me plaît moins que la chasse, j'avais prévu de ta traquer pour te tuer au lieu de ramener vivante.

On peut dire que sur ce coup là, c'était cash la façon de formuler tout ça.